Mauvaise herbe


Toute plante a des propriétés qui peuvent être utiles mais par ignorance nous aimons mieux utilisé des produits chimiques pour s’en débarrasser
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Mauvaise herbe

 

« Qu’est-ce donc qu’une mauvaise herbe, sinon une plante dont on n’a pas encore découvert les vertus ? »

Ralph Waldo Emerson

Concours de toilettage canin de l’extrême : attention les yeux !


La gagnante de cette année argumente ‘ceux qui critiquent ce genre de concours ces propos a mon avis n’aident en rien quand elle parle de «ceux qui n’aiment pas les gens tatouer »… alors que les chiens ne peuvent pas protester, ils sont obliger de rester a se faire toiletter pendant 2 longues heures. Elle rajoute que «ceux qui n’aiment pas cela ne veut pas dire que ce n’est pas bien pour les autres »… Quel bien que le le chien peut en retirer ???
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Concours de toilettage canin de l’extrême : attention les yeux !

 

On sait que les Américains sont réputés pour leur goût de la démesure. Mais pas seulement concernant les buildings, parcs d’attractions et hamburgers XXL. C’est aussi le cas avec les chiens, comme en témoigne le concours de toilettage canin de l’extrême qui se tient chaque année à Hershey, dans l’Etat de Pennsylvanie.

Personnages Disney, Maître Yoda, marionnettes du Muppet Show, créatures arc-en-ciel, panda, vache, paon, tigre, dragon, et… on ne sait pas trop quoi. Non, vous ne rêvez pas : bienvenue au concours du toilettage de l’extrême ! Et tous ces drôles d’animaux qui semblent venir d’un monde parallèle sont en fait… des chiens. Des chiens relookés, de la truffe aux pattes !

L’Art de toiletter

Vous l’aurez compris, il ne s’agit pas d’un concours de toilettage classique. Le but est de créer une œuvre d’art sur un être vivant en seulement deux heures.

« Les propriétaires doivent laisser pousser les poils de leur chien en préparation du concours, de sorte à ce qu’ils soient assez longs pour en faire quelque chose d’original. Généralement ils s’entraînent toute l’année, c’est un art pour eux » explique Ren Netherland, photographe animalier, au Daily Mail.

Après deux heures de coupe et de coloration, le résultat du relooking est impressionnant, et donne un spectacle canin haut en couleurs.

Une récompense à la clé

Chaque année, ce sont des milliers de CanichesFox-terriers et autres Huskys qui subissent ainsi une transformation radicale des plus insolites pour tenter de faire de leur maître le « meilleur toiletteur de l’extrême ». En plus de son titre, ce dernier se verra remettre un chèque de 30 000 dollars (23 000 euros) en guise de récompense.

Cette année, l’heureuse gagnante s’appelle Catherine Opson. Elle a transformé son Caniche, Kobe, en un florilège de personnages enfantins tels que le célèbre Elmo.

Pour ses créations, cette toiletteuse californienne utilise des teintures spécialement conçues pour les chiens, qui ne contiennent pas d’agents de blanchiment nocifs, ni d’ammoniaque, ni de quelconque produit qui pourrait nuire à la santé de l’animal.

Un appel à la tolérance

A ceux qui critiqueraient son art, Catherine Opson répond :

« Je peux comprendre que des personnes n’aiment pas, et qu’ils pensent que ce n’est pas pour eux, mais c’est comme tous ces gens qui n’aiment pas les tatouages : ça ne leur donne pas le droit de juger ceux qui en ont ! (…) Quelque chose de différent, qui n’est pas votre tasse de thé, ne veut pas dire que ce n’est pas bien pour les autres. »

Par Sophie Le Roux

http://wamiz.com

Traduction Loufoque


Encore une série de traductions quelque peu douteuses qui ne donne pas envie d’acheter ces produits par manque de responsabilité des compagnies concernées …
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Traduction Loufoque

 

Interdiction de guérir, compris?

Denyse Constantineau, Montréal

Boah… Italien, Belge… C’est du pareil au même, non?

Gaétan Sauriol

Si seulement tous les services à la clientèle pouvaient agir de la sorte…

Artemis Lune, Rouyn-Noranda

Seules les personnes d’un «certain âge» sont acceptées.

Robert Verge

Oui oui : nous évalué les deux appareils photo du député.

Louise Dupuis, Saint-Bruno-de-Montarville

Ben quoi? Les francophones cuisinent davantage, un point c’est tout.

Marc Charbonneau, Québec (Beauport)

Enfin! Des journées de 36 heures!

Guy, Brossard

Une usine «avec» des écrous? Incroyable.

Nancy Schmitz, Québec

Ça en dit long sur les goûts du curé en matière de décoration!

Sylvie Houkness, Chelsea

Deux synonymes, bien sûr.

Yves Gauthier, Montréal (Ahuntsic)

M’ouais… Après 48 heures de détention préventive, ils ont été libérés.

Marie, Ottawa

Merci, mais y’a pas de risque que j’embarque dans la laveuse pour prendre ma douche.

Yannick Méthot, Les Cèdres

«C’est le cas de le dire: une belle soupe à la grimace!», souligne notre lecteur.

Pierre Duchesneau, Montréal

Ma mère n’aime pas quand je la traite d’asperge, mais bon.

Frédéric Mallette, Sherbrooke

Non merci, je vais prendre seulement les bleuets

.

Louise Poirier, Salaberry-de-Valleyfield

http://www.protegez-vous.ca

ARTISANAT : Des bijoux controversés


Est-ce glauque ou de l’art ? Ce fut une pratique courante il y a bien longtemps que les chasseurs portaient leur trophée en guise de collier Mais aujourd’hui ??? D’autres veulent rendre a leurs animaux un aspect éternelle (personnellement, je n’aime pas la taxidermie) et beaucoup vont trouver cela normal Quoiqu’il en soit, elle ne mérite quand même pas les menaces de mort du moins pas de la façon qu’elle se procure ses animaux
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ARTISANAT : Des bijoux controversés

PHOTOS LE JOURNAL DE MONTRÉAL, SIMON BOUSQUET

Abigaëlle Hébert porte des boucles d’oreilles ornées de griffes de coyote et tient des colliers faits de têtes d’oiseau. Elle est l’une des seules artistes au monde à créer des bijoux à partir d’animaux morts.

Une jeune artisane de Belœil utilise des animaux morts comme matière première pour faire des parures

Des colliers en tête d’oiseau, des boucles d’oreilles en souriceaux et des bracelets en griffes de coyote sont parmi les créations un peu macabres d’une jeune femme de Beloeil.

Abigaëlle Hébert est éducatrice dans une garderie, mais la jeune femme de 24 ans à un passe-temps unique. Elle empaille des animaux pour en faire des bijoux.

«Mon plus gros vendeur, ce sont les boucles d’oreilles faites en pattes ­d’oiseaux», explique l’artiste.

Avant-gardiste

La plupart des bijoux de l’artiste sont abordables allant de 20 $ à 40 $ pour une paire de boucles d’oreilles. Mais les créations taxidermistes sont extravagantes et peu de personnes ont l’audace de les porter.

«Il y a des femmes qui me disent, par exemple, “j’aime beaucoup le collier en tête ­d’oiseau, mais je n’aurai jamais ­l’occasion de le porter”.»

Depuis qu’elle a commencé à créer, en octobre 2012, l’artiste attire de plus en plus l’attention.

Elle croit que ses bijoux pourraient devenir très tendance d’ici peu. Des créateurs de haute couture, comme Alexander McQueen, ont d’ailleurs dessiné des robes et des accessoires à partir d’animaux morts.

«On voit que les gens portent de plus en plus de boucles d’oreilles ornées de plumes. Moi, je vais un peu plus loin en mettant les pattes. J’ai un pied dans la marge», admet Mme Hébert.

Menaces de mort

Mais l’attention grandissante pour le travail de l’artisane n’a pas que du bon.

Certains la traitent de sorcière ou prétendent qu’elle fait des jouets sexuels en peau d’animaux.

Quelqu’un l’a même menacée en lui écrivant «Je veux ta peau de sale conne sur mon plancher!» sur sa page ­Facebook.

L’artiste a récemment été forcée ­d’effacer son annonce sur le site Kijiji en raison d’un trop grand nombre de menaces.

«Si j’étais un vieil homme barbu dans le bois, ça passerait sûrement mieux, estime Mme Hébert. Pourtant, je ne contreviens à aucune règle et l’Association des taxidermistes du Québec m’a récemment admise puisqu’ils ­jugent mon travail respectable.»

Selon elle, c’est la méconnaissance des gens pour ses techniques ancestrales qui provoque ces réactions.

«Les gens ont l’image d’une ­personne qui joue dans des cadavres d’animaux pourris, mais ce n’est pas ça du tout. Ça n’a rien de morbide, ­soutient-elle. C’est comme faire la cuisine. Je ne fais que découper la peau. Il n’y a pas de sang ni de tripes partout.»

UNE TÊTE D’OISEAU MORT DANS LE COU

Abigaëlle Hébert aime travailler les animaux morts. Paradoxalement, c’est son amour des bêtes qui est à l’origine de cette passion.

«Quand j’étais petite, je voulais être ­vétérinaire, mais je n’avais pas les notes alors, au lieu de soigner les animaux, je les rends immortels», explique-t-elle.

Pour faire ses créations, l’artiste ne chasse pas d’animaux. Les peaux utilisées sont celles d’animaux qu’elle trouve ou que des chasseurs lui apportent. Elles sont ensuite nettoyées et stérilisées.

«Lorsque je les récupère, je m’assure qu’elles sont toujours fraîches et en bon état. Certains de ces animaux sont nuisibles et ont été abattus par un propriétaire de chalet», explique Mme Hébert.

Passion macabre

La jeune femme a appris les techniques de taxidermie dans les livres, puisqu’il n’existe pas de cours au Québec.

Elle a débuté par la restauration ­d’animaux déjà empaillés depuis ­longtemps. Son premier projet était une table faite avec des pattes d’orignal.

En mettant à contribution ses ­habiletés à manier le séchoir, qu’elle a ­acquises lorsqu’elle était coiffeuse, elle peut ­rendre les plumes particulièrement éclatantes.

En demande

À mesure que son travail se fait connaître, des amateurs de partout dans le monde la contactent pour apprendre ses techniques. Elle a reçu des demandes d’aussi loin que la France et l’Australie.

Son talent aussi est en demande. Elle raconte devoir refuser régulièrement des clients.

«L’autre jour, il y avait un homme qui voulait que j’empaille un ours, mais c’est impossible, car mon condo n’est pas assez grand. Je me concentre donc sur les ­bijoux», explique Mme Hébert.

L’artiste utilise aussi ses œuvres à des fins éducatives. Elle a présenté quelques «pièces simples» à sa classe d’enfants d’âge préscolaire, lors d’un atelier sur les animaux.

«Je n’ai pas dit que c’était moi qui les avais empaillés. Je ne voulais pas faire freaker les parents»,

admet-elle.

http://www.journaldequebec.com/

Faire la guerre aux parasites


Les produits anti-puces et anti-tiques qu’on met aux animaux domestiques doivent être manier avec précautions car il peut s’avérer causer de graves problèmes aux animaux et aussi envers les êtres humains. Malheureusement, ceux qui se tournent vers les produits naturels ne sont pas efficaces 100 %
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Faire la guerre aux parasites

 

Un chien ou un chat qui souffre de... (PHOTOTHÈQUE LA PRESSE)

Un chien ou un chat qui souffre de tiques peut véhiculer des infections bactériennes comme la maladie de Lyme ou l’ehrlichiose, qui se transmettent à l’homme.

PHOTOTHÈQUE LA PRESSE

STÉPHANIE VALLET
La Presse

Depuis 2009, l’Environment Protection Agency (EPA, organisme de protection de l’environnement de nos voisins du Sud) surveille activement certains produits antipuces et antitiques pour chiens et chats. Et pour cause, des réactions indésirables causées par des pipettes insectifuges ont été enregistrées en grand nombre au cours des dernières années. Elles provoquent des problèmes de peau, de digestion, des vomissements, de la diarrhée et même des troubles du système nerveux (tremblements, crises).

L’organisme a donc mené en 2009 une étude sur une période d’un an. Résultat: 44 000 cas touchés par des effets indésirables ont été enregistrés (de l’irritation de la peau à des cas plus graves), dont 600 morts. Cette étude a également révélé que les petits chiens (entre 10 et 20 lb) étaient plus susceptibles d’éprouver ce genre de réactions si on leur administrait une dose d’antiparasite trop forte pour leur gabarit.

La perméthrine et l’imidaclopride présents dans certaines pipettes pour chiens sont en effet de puissants pesticides toxiques pour les chats et les êtres humains, tout spécialement les enfants qui ont tendance à toucher l’animal et porter leurs mains au visage. L’usage de gants est recommandé sur toutes les boîtes de ces produits.

Cependant, pas question de renoncer à faire la guerre aux parasites qui peuvent transmettre de graves maladies à votre animal en plus de créer un grand inconfort. C’est aussi un véritable geste de santé publique à ne négliger d’aucune manière. Un chien ou un chat qui a des puces peut souffrir de perte de poils, de graves problèmes de peau comme la dermatite du chien ou du chat. Il peut aussi souffrir d’anémie et de graves maladies transportées par les puces.

Un chien ou un chat qui a une tique peut véhiculer des infections bactériennes comme la maladie de Lyme ou l’ehrlichiose, qui se transmettent à l’homme.

PHOTO ARCHIVES LA VOIX DE L’EST

Des antiparasitaires naturels?

Certaines marques proposent maintenant des produits plus naturels pour traiter les parasites de l’animal (dont le fameux spot-on), traiter l’habitat et prévenir les infestations. Attention, toutefois, dans le cas des pipettes à déposer sur le cou de l’animal, l’utilisation de produits chimiques est presque inévitable, donc les précautions à prendre sont les mêmes pour toutes les marques.

Il n’existe malheureusement pas d’insecticide naturel 100% efficace et sans danger pour le chien, seulement des substances répulsives qui, appliquées sur l’animal et utilisées pour traiter son environnement, vont éloigner pour un temps seulement les puces. Il existe des produits dits naturels dans le commerce, à base de géraniol, de citronnelle ou de pyrèthre (la perméthrine est une forme de synthèse).

«Les produits bios sont des répulsifs. Ils fonctionnent bien, mais doivent être appliqués à chaque sortie. Ce n’est pas dans le but de tuer les puces ou les tiques présentes sur votre animal, mais de faire en sorte qu’il ne soit plus intéressant pour ce type de parasites. C’est de la prévention et c’est un choix. Si l’animal contracte des puces, il sera toujours temps d’aller vers quelque chose de plus conventionnel», explique la docteure Anne-Marie Gagnon, vétérinaire, qui a créé sa propre gamme de produits répulsifs naturels.

«Quand les gens choisissent cette option, je leur conseille de faire des prises de sang plus régulières pour s’assurer que leur animal n’a pas contracté le vers du coeur ou la maladie de Lyme. Il s’agit d’un test immunologique qui prend huit minutes», ajoute-t-elle.

De nombreuses recettes maison circulent sur l’internet, mais attention aux fausses solutions miracles! En plus d’être inefficaces, elles pourraient être toxiques. Consultez toujours votre vétérinaire pour trouver la solution la mieux adaptée à votre animal.

Inspecter le pelage avec soin, retirer les poils morts et les noeuds, soigner d’éventuelles petites plaies… Tous ces gestes perturbent le cycle de reproduction des parasites tout en éliminant un certain nombre d’entre eux. Notez que les bains altèrent la puissance de protection de votre agent antiparasitaire de type spot-on, mais que les shampoings antiparasitaires sont une bonne mesure préventive.

«Il est primordial d’évaluer quels sont les facteurs de risque pour votre animal et de se poser la question au cas par cas pour connaître sa susceptibilité de contracter des parasites. On est près du Vermont: la maladie de Lyme est un risque à ne pas négliger. Alors, vigilance avant tout!», conclut la docteure Gagnon.

http://www.lapresse.ca

UQAM | RECHERCHE : Bientôt chez nous ?


Quand on parle de malaria, on pense au pays en voie de développement. Mais le moustique qui transmet cette maladie semble prendre du terrain grâce aux changements climatiques, il se permet donc, de s’installer en Occident. Il aurait fait quelques dégâts en Europe, mais rien ne dit qu’il ne traversera pas la mer vers l’Amérique
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UQAM | RECHERCHE : Bientôt chez nous ?

ANNE CAROLINE DESPLANQUES
JOURNAL DE MONTRÉAL

Bien que 90% des cas de malaria soient répertoriés en Afrique, le parasite n’a pas dit son dernier mot dans nos contrées tempérées, ayant même fait un retour en force en Grèce l’année dernière.

Au total, 59 Grecs ont contracté la maladie au cours des neuf premiers mois de 2012. En octobre, le moustique vecteur de la maladie mortelle pullulait dans sept régions du pays et menaçait Athènes.

Quatre ans plus tôt, deux Parisiens avaient contracté le parasite, alors qu’ils séjournaient à Nice. Un Corse l’avait lui aussi attrapé, chez lui, deux ans auparavant. L’Italie voisine a également rapporté un cas au cours de la même période.

Climat

«La hausse des températures et les voyages internationaux risquent de réintroduire ou d’accroître la transmission du paludisme dans les pays à climat tempéré qui ont éliminé ou contrôlé la transmission», selon l’Organisation des Nations Unies.

L’équilibre du cycle biologique de la malaria est en effet intimement lié au climat. Une hausse, même minime, de température, combinée à une augmentation de pluviométrie, pourrait donc favoriser sa dissémination.

Toutefois, «la capacité des systèmes de santé à détecter et à soigner rapidement les malades limite la probabilité d’une propagation du paludisme», estime l’Organisation mondiale de la Santé.

Pauvreté

Seulement voilà, partout où la pauvreté gagne du terrain, elle traîne le moustique dans son sillage.

«C’est une maladie de pauvreté. Là où les niveaux de vie sont plus élevés, il y a moins de paludisme», insiste le Dr Paul Reiter, de l’Institut Pasteur.

Ainsi, seulement 8 des 56 quartiers d’Athènes ont été en mesure de répandre des insecticides pour éliminer le tueur en 2012, à cause des mesures d’austérité. La malaria a ainsi fait un retour marqué en Grèce après 40 ans d’absence.

http://www.journaldemontreal.com/

Guerre du Vietnam : un soldat américain rend le bras amputé d’un "ennemi"


Le seul point positif a cette histoire un peu glauque, serait que le vietnamien puisse avoir sa pension d’invalidité suite a des blessures de guerre. Pour le reste, c’est bizarre de garder en souvenir des os amputés comme souvenir de guerre tant d’année pour les remettre a son propriétaire
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Guerre du Vietnam : un soldat américain rend le bras amputé d’un « ennemi »

Les os du bras amputé d’un ancien soldat vietcong ont été remis quarante-sept ans après à…son propriétaire.

Fréquemment, les souvenirs de guerre remontent à la surface lorsqu’une bombe est découverte dans le sol. Mais là, le conflit entre les Etats-Unis et le Vietnam (1954-1975) réapparaît dans l’actualité, quarante-sept ans après, d’une manière particulièrement insolite.

Ce 1er juillet 2013, Sam Axelrad a remis les os du bras amputé d’un ancien guérillero vietcong. Le combattant communiste avait été opéré en 1966 dans la base du médecin américain. Ce dernier avait conservé comme un trésor de guerre ce macabre souvenir.

Nguyen Quang Hung, 74 ans aujourd’hui et père de sept enfants, s’est réjoui de ses « retrouvailles un peu particulières ». 

« Ces os sont la preuve de ma contribution à la guerre. Je vais les garder dans ma maison, dans une vitrine ».

Ce « trophée » devrait lui permettre d’être reconnu comme invalide de guerre, statut qui lui avait été refusé à la suite de la perte de ses papiers.

Le docteur Sam Axelrad "rend" les os du bras de l'ancien soldat Nguyen Quang Hung.

http://www.atlantico.fr/

DÉMÉNAGEMENT Comment éviter les punaises de lit


Quand c’est possible mieux vaut déménager avant le 1 er juillet … Car c’est connu au Québec, la fête du Canada se passe dans les boites a emballé et déballer. C’est aussi une période que certains arpentent les rues pour trouver des trésors que certains ont préféré jeter. Sauf que …. C’est aussi une super période pour une production accentuée des puces de lits qui eux adorent le temps des déménagements …
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DÉMÉNAGEMENT :  Comment éviter les punaises de lit

Dans les rues de Montréal, on trouve des matelas, des sommiers, des sofas jetés à la rue. Une véritable mine d’or pour les punaises de lits.

À quelques heures de la «journée nationale du déménagement», certains seront déçus de trouver des insectes indésirables dans leur loyer. TVA Nouvelles a rencontré un spécialiste qui nous a donné quelques conseils pour éviter les punaises de lits.

Dans les rues de Montréal, on trouve des matelas, des sommiers, des sofas jetés à la rue. Une véritable mine d’or pour les punaises de lits.

En pleine période de déménagement, la reproduction de cet insecte est exponentielle.

«On peut dire qu’une période de déménagement comme maintenant va tripler ou quadrupler le problème de punaises dans toutes les grandes villes du monde», a expliqué Harold Leavey, expert en gestion parasitaire.

Selon M. Leavey, les punaises peuvent se tenir dans n’importe quel meuble.

Conseil numéro 1 : oubliez l’idée de récupérer des meubles laissés à la rue.

Au hasard, M. Leavey a trouvé des traces de la présence de punaises sur des meubles trouvés dans la rue.

Même si le meuble semble propre, «il peut y avoir des oeufs, mais vous ne les verrez jamais», a affirmé l’expert.

Deuxième truc : si vous faites appel à un camion de déménagement, nettoyez-le avant de l’utiliser.

«Peut-être que ce camion-là va faire trois déménagements : aujourd’hui, hier et demain. Finalement, s’il y en a un qui a des punaises dans le groupe, il peut donner des punaises à tous les autres», a ajouté M. Leavey.

Pour ce spécialiste, c’est illogique que la Ville de Montréal ne prenne pas le problème plus au sérieux.

«On aurait besoin d’une bonne campagne d’information grand public. On aurait besoin qu’il y ait des mesures qui soient mises en place pour établir un vrai contrôle du problème de punaises et ne pas les laisser se développer comme elles se développent en ce moment », a-t-il conclu.

L’expert recommande d’agir rapidement si ces coriaces insectes se sont installés dans un logement, puisqu’une seule punaise peut pondre 500 oeufs en deux mois.

http://www.journaldemontreal.com