Des scientifiques prouvent mathématiquement qu’il est impossible de ne pas vieillir


De toute manière, je ne crois pas qu’il y a un remède à la mort et « la date de péremption » du corps humain. Même si on peut changer l’ADN, le corps, les cellules vont réagir et probablement pas de la manière escomptée
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Des scientifiques prouvent mathématiquement qu’il est impossible de ne pas vieillir

Crédits : Getty

La quête de jeunesse éternelle touche à sa fin, et le dénouement n’est pas positif.

Dans une étude publiée le 6 octobre dans PNAS, deux biologistes de l’université d’Arizona affirment que vieillir est inévitable, avant de le prouver par a + b. Les organismes multicellulaires qui nous composent  seront toujours en compétition, et une seule cellule sortira gagnante – à la fin, cela signifie que la vie sort toujours perdante.

« Vieillir est mathématiquement inévitable – vraiment inévitable. Que ce soit logiquement, théoriquement ou mathématiquement, il n’y a aucune porte de sortie », explique à Science DailyJoanna Masel, coauteure de l’étude.

Car au-delà de l’aspect visible de la vieillesse, ce qui se passe à l’intérieur de notre organisme – la péremption des cellules – est invariable.

Les cheveux grisonnants, par exemple, sont la conséquence du déclin des mélanocytes, cellules chargées de pigmenter la peau. Les rides, elles, sont un signe visible de l’incapacité progressive des cellules fibroblastes à produire du collagène.

Et les tentatives de réparer l’ADN n’y peuvent rien. Au contraire, elles ne feront qu’aggraver les choses.

Comme l’explique Paul Nelson, le second auteur de l’étude, « si vous vous débarrassez de ces cellules déficientes, cela permet aux cellules cancéreuses de proliférer. Et si vous vous débarrassez de ces cellules cancéreuses, les cellules déficientes vont s’accumuler. »

Il n’y a plus qu’à attendre que des génies soient capables de nous soustraire à cette implacabilité mathématique. On risque de se faire quelques cheveux blancs d’ici là.

Source : PNAS / Science Daily

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Doit-on toujours jeter un médicament périmé?


Peut-on prendre des médicaments prescrits ou non ? Il y a des médicaments qui ne perdent pas leur efficacité plusieurs années après la date de préemption, mais pas tous et certains peuvent même être nocifs en plus tout dépend de l’entreposage du médicament
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Doit-on toujours jeter un médicament périmé?

 

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Photo: Shutterstock

Par Catherine Crépeau

 

La saison froide vient de commencer, vous avez le rhume et tout ce que vous trouvez dans votre pharmacie, c’est une vieille bouteille de sirop. Pouvez-vous en consommer sans crainte?

La durée de vie d’un médicament varie entre trois et cinq ans, mais certains seraient encore efficaces des années après leur date de péremption. En 2012, une étude publiée dans la revue Archives of Internal Medicine montrait que certains médicaments seraient utilisables une quarantaine d’années après la date d’expiration.

Des résultats qui rejoignent ceux d’une étude publiée en 2002 par la Food and Drug Administration (FDA) qui révélait que 84 % des 96 médicaments analysés étaient encore stables 57 mois après la date de péremption, soit presque cinq ans plus tard. Malgré tout, l’Ordre des pharmaciens du Québec recommande de ne pas utiliser de médicaments périmés, même d’un seul jour.

Diminution des principes actifs

La date de péremption indique la fin de la période pendant laquelle le fabricant garantit l’efficacité et la sûreté de son produit. Elle correspond au moment où la quantité de principes actifs du médicament a diminué de 10 %, ce qui lui confère un taux d’efficacité de 90 %. Après cette date, le taux d’efficacité du produit et son risque pour la santé ne sont pas connus.

La plupart des médicaments sont utilisables pendant deux à trois ans. Mais certains doivent être détruits dans les semaines qui suivent leur première utilisation, le produit n’étant plus stérile une fois le contenant ouvert. C’est le cas notamment des gouttes pour les oreilles ainsi que des gouttes et onguents pour les yeux. La date qui figure sur l’emballage du manufacturier peut donc porter à confusion. L’étiquette posée par le pharmacien sur l’emballage des médicaments prescrits vous indique la date précise où vous devriez éliminer ces produits.

Moins efficaces et parfois toxiques

Le principal inconvénient d’un médicament périmé, c’est qu’il perd son efficacité. Lorsqu’il est question d’un sirop pour soulager la toux, les risques sont minces. Par contre, prendre un comprimé de nitroglycérine qui a perdu en efficacité pour traiter son angine de poitrine peut avoir des conséquences graves. Même chose pour l’adrénaline, utilisée en injection dans les cas d’allergies. Ces molécules étant peu stables, il est donc important de respecter la date de péremption et les consignes d’entreposage.

Un médicament périmé peut aussi donner naissance à des produits de dégradation dangereux. C’est le cas, par exemple, de la tétracycline, un antibiotique qui devient nocif à sa date d’expiration.

Les médicaments inutilisés ou périmés doivent être retournés à la pharmacie. Évitez de les jeter dans les poubelles, les toilettes ou le lavabo. Ils pourraient tomber entre des mains mal intentionnées ou polluer les sols et l’eau.

Évitez de les ranger dans la salle de bain

Les médicaments craignent le gel, ainsi que la chaleur et l’humidité, qui accélèrent leur dégradation. La salle de bain n’est donc pas le meilleur endroit pour les entreposer. Pensez plutôt à un endroit sec et frais hors de la portée des enfants… et des adolescents!

Certains médicaments doivent être conservés au froid. Lisez bien les étiquettes décrivant les conditions d’entreposage.

Vous devriez aussi laisser vos médicaments dans leur contenant d’origine qui les protège de la lumière et de l’oxygène. De plus, vous éviterez les erreurs quand viendra le temps de les prendre.

Les médicaments dont la couleur, la forme, la consistance ou l’odeur ont changé devraient être retirés de votre pharmacie lors de votre ménage annuel.

http://www.protegez-vous.ca/

Gaspillage alimentaire : les consommateurs montrés du doigt


 

Le gaspillage alimentaire est vraiment une honte pour la Terre que pour ceux qui n’ont pas grand chose a se mettre sous la dent.  Et c’est nous, en temps que consommateur que nous devons trouver des moyens pour diminuer ce gaspillage
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Gaspillage alimentaire : les consommateurs montrés du doigt

 

Gaspillage

PHOTO FOTOLIA

Au Canada, six millions de tonnes d’aliments encore comestibles prennent la route des déchets alors que 12% de la population mondiale est sous-alimentée.

DENISE PROULX

Dans le cadre de la Journée mondiale de l’alimentation, les Canadiens sont appelés à repenser leurs habitudes alimentaires qui sont à la source d’un véritable gaspillage. En effet, les Québécois perdent annuellement en moyenne 771 $ en nourriture jetée, soit 2,5 fois plus que les États-Unis.

C’est parfois la moitié de la bouffe rangée au frigo qui passe à la poubelle.

«Il ne faut pas accuser les producteurs agricoles de produire plus d’aliments que nécessaire. Bien souvent, c’est la faute du consommateur qui achète plus que ses besoins et qui est trop à l’écoute des dates de péremption», a affirmé Cora Loomis, diététiste-nutritionniste professionnelle au Service de santé à l’Université de Sherbrooke.

Si les Québécois sont parmi les pires au monde pour rejeter des aliments encore bons à consommer, ils ne sont pas les seuls à le faire. Selon des données de l’Organisation mondiale des Nations-Unies sur l’agriculture et l’alimentation, 1,3 milliard de tonnes de nourriture seraient perdues ou gaspillées tout au long de la chaîne d’approvisionnement chaque année, soit environ un tiers des aliments produits mondialement.

En Amérique du Nord, ce pourcentage grimpe à 50 %, si l’on suit l’aliment du champ à l’épicerie. Les Canadiens gaspilleraient annuellement l’équivalent d’environ 27 milliards $ en nourriture envoyée à l’enfouissement et au compostage alors que du côté des États-Unis, nos voisins du sud jetteraient l’équivalent de plus de 100 milliards $ en nourriture chaque année. À titre comparatif, un groupe de recherche de l’Université de Bologne a estimé pour sa part que le gaspillage alimentaire en Italie aurait une valeur de 5,1 milliards $.

«C’est certain que les producteurs et les distributeurs alimentaires veulent faire rouler l’économie agro-alimentaire. Et ils veulent garder une bonne réputation. Le problème c’est que le consommateur se fie trop à leur évaluation de la fraîcheur des aliments», a précisé Cora Loomis.

La culture et à l’éducation des gens demeure une clé importante, car ce qui est jugé non consommable pour l’un peut être considéré juste à point pour l’autre, que ce soit par des manières ancestrales, culturelles ou innovantes d’apprêter et de consommer les aliments, précise de son côté Éric Ménard, dans un essai produit sur le sujet, pour l’Université de Sherbrooke.

Des solutions

La diététiste offre aux consommateurs de participer aux changements en mettant de l’ordre dans leur frigo.

«Depuis que j’écris sur un tableau ce qui reste dans mon frigo, je l’oublie moins et je jette moins», avoue-t-elle.

Cora Loomis propose aussi de se servir de plus petites portions lors des repas, ce qui éviterait de jeter les restes. La professionnelle rappelle enfin que tout d’un aliment peut être utilisé, soit pour faire des bouillons de soupe ou des sauces.

http://www.journaldequebec.com/

11 VÉRITÉS QUE LE GÉRANT DE VOTRE SUPERMARCHÉ NE VOUS DIRA JAMAIS


Il faut bien se nourrir et ce n’est pas si simple avec le coût de la vie, profiter des rabais c’est bien mais si on n’a pas besoin …  N‘oubliez pas que les produits sont disposés de manière a vous laissez tenter
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11 VÉRITÉS QUE LE GÉRANT DE VOTRE SUPERMARCHÉ NE VOUS DIRA JAMAIS

 

Votre gérant de supermarché a plus d’un truc dans son sac pour vous faire dépenser. Voici comment…

Par Ariane Jacob

1. Date de péremption

Les produits dont la date de péremption est la plus tardive sont rangés derrière les autres. Une politique que nous vous recommandons pour votre réfrigérateur !

2. Promotions

Méfiez-vous des promotions : quand vous voyez les mentions « Deux pour le prix d’un » ou « 30 % de rabais », vous avez tendance à acheter davantage.

3. Présentation des produits

On vous présente souvent les articles avec la plus haute marge de profit aux extrémités des rangées et dans les allées qui font le pourtour du magasin, là où vous êtes le plus susceptible de passer.

4. Compostage

Certains supermarchés ont commencé le compostage des produits frais qu’ils doivent jeter. D’autres donnent les aliments encore comestibles à des banques alimentaires ou à des organismes communautaires.

5. Caissières

Les caissières ne sont pas des machines : vous pouvez leur adresser la parole et même les saluer. Et, s’il vous plaît, rangez votre téléphone portable !

6. Marge de profit

Si les cantaloups sont soldés 99 ¢ alors que leur prix courant est de 2,99 $, cela ne signifie pas qu’on engrange un profit de 2,00 $. Fixer les prix n’est pas si simple.

7. Sacs réutilisables

Désormais au moins 70 % d’entre vous apportez vos sacs à emplettes réutilisables plutôt que de prendre de nouveaux sacs en plastique à la caisse.

8. Site de rencontre

Vous cherchez l’âme sœur ? Nous avons assisté à quelques rencontres dans les allées. Un truc, le panier d’épicerie des célibataires est facile à identifier grâce aux portions choisies…

9. Vol à l’étalage

Les vols les plus fréquents ? Le vin, la viande et le fromage… Il existe même des réseaux de revente.

10. Produits locaux

Vous demandez de plus en plus des produits locaux. C’est excellent pour l’économie régionale, continuez.

11. Choix alimentaire

En faisant vos courses dans un supermarché québécois, vous choisissez en moyenne entre… pas moins de 30 000 produits !

http://selection.readersdigest.ca/

Esclaves des dates de péremption


La date de péremption est un indice d’une possibilité que le produit pourrait être altéré .. mais il peut être encore bon .. alors qu’on jette quelques jours a peine avant le jour J… résulte a un énorme gaspillage et comme l’épicerie n’est pas donné nous avons vraiment intérêt a mieux gérer notre frigo
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Esclaves des dates de péremption

 

Un conteneur du marché Jean-Talon rempli de casseaux... (Photo Ninon Pednault, La Presse)

 

Un conteneur du marché Jean-Talon rempli de casseaux de tomates cerises.

PHOTO NINON PEDNAULT, LA PRESSE

STÉPHANIE VALLET
La Presse

Le gaspillage se produit à tous les échelons de la chaîne alimentaire: à la production (18%*), où l’on sélectionne les plus beaux légumes; à la distribution (11%), au cours de laquelle les magasins jettent des tonnes d’aliments périmés (ou non); mais surtout chez les consommateurs (51%), esclaves de la date de péremption.

Dernier maillon de la chaîne alimentaire, l’organisme Moisson Montréal aide chaque mois 142 000 personnes en donnant une seconde vie aux invendus de l’industrie agroalimentaire.

Le directeur général, Dany Michaud, vient de l’industrie agroalimentaire. Il connaît donc très bien les deux côtés de la médaille du gaspillage. Il s’est donné pour mission de convaincre les producteurs et les distributeurs de donner leurs invendus au lieu de les envoyer à l’enfouissement. Son argument principal: le profit.

«Avant d’entrer à Moisson Montréal, je pensais que c’était un grand sous-sol d’église. En donnant des produits proches de la date de péremption, les détaillants ont peur de voir leur nom associé à un scandale. Alors il faut essayer de leur montrer que c’est aussi facile de donner que de jeter et que ça peut même être payant puisqu’ils n’auront pas à payer pour se débarrasser de ces denrées», explique Dany Michaud.

Dany Michaud a fait de l’organisme une véritable entreprise à la fine pointe de la technologie, dotée d’un système informatique de traçabilité, de frigos écolos et d’une chaîne de triage.

«On donne pour environ 55 millions de dollars en denrées chaque année, rien qu’avec des aliments qui devaient être jetés! Pourtant, on ne répond qu’à environ 65% de la demande. Il y a donc encore des besoins à combler et on a les infrastructures ici pour recevoir plus de denrées», précise-t-il.

«On devrait être le dernier maillon de la chaîne alimentaire», ajoute le patron de Moisson Montréal.

En donnant à des oeuvres de charité les aliments qu’elle ne peut plus vendre, Louise Ménard, propriétaire de cinq supermarchés IGA, a également compris qu’elle pourrait économiser chaque mois dans le budget de 3000$ qui sert à se débarrasser des déchets dans chacun de ses magasins.

Elle a été l’une des seules à accepter de parler avec La Presse de ses pratiques en tant que détaillante.

«À trois ou quatre jours de la date de péremption, nous retirons les produits des tablettes et nous les offrons à des oeuvres de charité. Mais quand le produit est périmé, on ne peut pas se le permettre, bien que, dans 95% des cas, il soit encore très sain», explique Louise Ménard.

«Dans le cas des fruits, des légumes et de la viande qui ne sont plus vendables mais qui sont toujours consommables, c’est beaucoup plus simple puisque, dans tous les magasins où il y a un lieu de transformation, on les utilise pour le prêt-à-manger. Pour les boîtes cabossées ou abîmées, une compagnie vient les chercher et nous donne une infime portion de leur prix», ajoute-t-elle.

Dates de péremption, une pratique douteuse

Mme Ménard, qui travaille depuis plus de 30 ans dans le domaine de l’alimentation, n’est pas tendre envers les habitudes de consommation de sa clientèle, non plus qu’envers la tyrannie des dates de péremption.

«Le client n’achètera pas le produit à quatre jours de la date de péremption. On fait peur aux gens, on a créé une clientèle qui s’imagine que, à minuit à la date de péremption, le produit n’est plus bon. Je ne sais pas qui a inventé la date de péremption, mais je ne comprends pas tout ce gaspillage et je trouve ça très difficile de jeter autant», confie Louise Ménard.

La Presse a posé la question à Ginette Bourgeois, consultante en hygiène et salubrité alimentaire depuis sept ans et inspectrice des aliments pendant 30 ans à la Ville de Montréal. Elle est aussi formatrice à l’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec et coauteure d’un livre sur l’hygiène et la salubrité.

«La date de péremption est une information pour le consommateur. Lors de la conception du produit, elle est émise par le fabricant, ou à l’occasion par le détaillant, pour confirmer que l’aliment a gardé sa fraîcheur, sa texture, son goût et ses valeurs nutritives», explique-t-elle.

Si la chaîne de froid a bien été respectée, dans des conditions optimales de conservation, la date de péremption ne signifie pas forcément que l’aliment n’est plus bon.

Alors, comment expliquer que 51% du gaspillage provienne des foyers?

«Dans le doute, les gens jettent des produits même quelques jours avant la date de péremption, de peur d’être malades. Je fais beaucoup d’expériences avec les yogourts. J’en ai gardé jusqu’à neuf mois après la date indiquée sur l’emballage et je ne suis pas morte!», lance Ginette Bourgois.

«Les aliments ont des dates de fraîcheur mais, s’ils sont conservés au congélateur, même si la date de péremption est dépassée de plusieurs mois, l’aliment va être comme si on venait de l’acheter», ajoute-t-elle.

De plus, selon la loi, les aliments dont la durée de conservation est supérieure à 90 jours – comme les croustilles, les confitures, les céréales, etc. – ne sont pas tenus d’être dotés d’une date de péremption. Pourtant, ils le sont tous, même les conserves.

Alors, finalement, à qui cette date profite-telle?

«En tout cas, pas au consommateur. Mais au fabricant, grâce à la consommation, qui fait en sorte qu’une dame va jeter le produit en s’apercevant en fin de semaine qu’il est devenu périmé. Le lundi suivant, elle va en acheter un autre. Le fabricant profite donc de notre mode de consommation», conclut Mme Bourgeois.

* Selon l’étude Food Waste in Canada, du George Morris Centre.

http://www.lapresse.ca

Le saviez-vous ► Comment déchiffrer les dates de péremption sur les emballages ?


Les dates de péremption sur les emballages ne veulent pas tous dire la même chose tout dépend de leur nature. Mais encore la, il n’est pas toujours évident de trouver la date d’expiration … et quelques fois il n’est pas nécessairement noté car cela n’est pas obligatoire pour tous les aliments malheureusement
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Comment déchiffrer les dates de péremption sur les emballages ?

Vous voilà nez à nez avec un vieux paquet de spaghetti débusqué au fin fond du placard

Problèmes : une succession de chiffres ressemblent plus ou moins à des dates mais à quoi correspondent vraiment ces dates. Comment être sûr de ne pas s’empoisonner ?

1 Sur les produits frais, vous trouverez une date avec un jour, un mois et une année. Il s’agit d’une DLC ou Date Limite de Consommation. Au-delà de cette date, le produit devient impropre à la consommation. Les DLC concernent essentiellement les denrées périssables qui se conservent au réfrigérateur.

2 Pour les yaourts, c’est différent. Les bactéries contenues détruisent en partie les mauvaises bactéries susceptibles de se former. Du liquide apparaît, le goût devient plus acide… mais aucun risque que l’expérience culinaire d’un yaourt « périmé »DLC dépassée- se transforme en séjour à l’hôpital.

3 Sur les conserves, les céréales, les épices… il faut savoir que la date indiquée n’a pas la même signification. C’est DLUO ou Date Limite d’Utilisation Optimale. Vous lirez peut-être « à consommer de préférence avant le… ». En clair, le goût sera meilleur avant cette date mais le dépassement n’est pas dangereux pour la santé.

Question de papilles donc et pas de salubrité. Réfléchissez donc à deux fois avant de gaspiller…

http://www.commentfaiton.com