Des images illustrant la triste réalité


Des valeurs qui ont changé à cause de notre mode de vie, des situations qui devront changer, mais qu’à cause de l’argent, les choses empirent
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Des images illustrant la triste réalité

 

Steve Cutts est un illustrateur et animateur qui habite à Londres.

Il crée des vidéos et des images qui critiquent la vie moderne.

Steve affirme que la folie de l’humanité est un réservoir infini d’inspiration pour lui.

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Source: http://www.stevecutts.com/

11 VÉRITÉS QUE LE GÉRANT DE VOTRE SUPERMARCHÉ NE VOUS DIRA JAMAIS


Il faut bien se nourrir et ce n’est pas si simple avec le coût de la vie, profiter des rabais c’est bien mais si on n’a pas besoin …  N‘oubliez pas que les produits sont disposés de manière a vous laissez tenter
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11 VÉRITÉS QUE LE GÉRANT DE VOTRE SUPERMARCHÉ NE VOUS DIRA JAMAIS

 

Votre gérant de supermarché a plus d’un truc dans son sac pour vous faire dépenser. Voici comment…

Par Ariane Jacob

1. Date de péremption

Les produits dont la date de péremption est la plus tardive sont rangés derrière les autres. Une politique que nous vous recommandons pour votre réfrigérateur !

2. Promotions

Méfiez-vous des promotions : quand vous voyez les mentions « Deux pour le prix d’un » ou « 30 % de rabais », vous avez tendance à acheter davantage.

3. Présentation des produits

On vous présente souvent les articles avec la plus haute marge de profit aux extrémités des rangées et dans les allées qui font le pourtour du magasin, là où vous êtes le plus susceptible de passer.

4. Compostage

Certains supermarchés ont commencé le compostage des produits frais qu’ils doivent jeter. D’autres donnent les aliments encore comestibles à des banques alimentaires ou à des organismes communautaires.

5. Caissières

Les caissières ne sont pas des machines : vous pouvez leur adresser la parole et même les saluer. Et, s’il vous plaît, rangez votre téléphone portable !

6. Marge de profit

Si les cantaloups sont soldés 99 ¢ alors que leur prix courant est de 2,99 $, cela ne signifie pas qu’on engrange un profit de 2,00 $. Fixer les prix n’est pas si simple.

7. Sacs réutilisables

Désormais au moins 70 % d’entre vous apportez vos sacs à emplettes réutilisables plutôt que de prendre de nouveaux sacs en plastique à la caisse.

8. Site de rencontre

Vous cherchez l’âme sœur ? Nous avons assisté à quelques rencontres dans les allées. Un truc, le panier d’épicerie des célibataires est facile à identifier grâce aux portions choisies…

9. Vol à l’étalage

Les vols les plus fréquents ? Le vin, la viande et le fromage… Il existe même des réseaux de revente.

10. Produits locaux

Vous demandez de plus en plus des produits locaux. C’est excellent pour l’économie régionale, continuez.

11. Choix alimentaire

En faisant vos courses dans un supermarché québécois, vous choisissez en moyenne entre… pas moins de 30 000 produits !

http://selection.readersdigest.ca/

Esclaves des dates de péremption


La date de péremption est un indice d’une possibilité que le produit pourrait être altéré .. mais il peut être encore bon .. alors qu’on jette quelques jours a peine avant le jour J… résulte a un énorme gaspillage et comme l’épicerie n’est pas donné nous avons vraiment intérêt a mieux gérer notre frigo
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Esclaves des dates de péremption

 

Un conteneur du marché Jean-Talon rempli de casseaux... (Photo Ninon Pednault, La Presse)

 

Un conteneur du marché Jean-Talon rempli de casseaux de tomates cerises.

PHOTO NINON PEDNAULT, LA PRESSE

STÉPHANIE VALLET
La Presse

Le gaspillage se produit à tous les échelons de la chaîne alimentaire: à la production (18%*), où l’on sélectionne les plus beaux légumes; à la distribution (11%), au cours de laquelle les magasins jettent des tonnes d’aliments périmés (ou non); mais surtout chez les consommateurs (51%), esclaves de la date de péremption.

Dernier maillon de la chaîne alimentaire, l’organisme Moisson Montréal aide chaque mois 142 000 personnes en donnant une seconde vie aux invendus de l’industrie agroalimentaire.

Le directeur général, Dany Michaud, vient de l’industrie agroalimentaire. Il connaît donc très bien les deux côtés de la médaille du gaspillage. Il s’est donné pour mission de convaincre les producteurs et les distributeurs de donner leurs invendus au lieu de les envoyer à l’enfouissement. Son argument principal: le profit.

«Avant d’entrer à Moisson Montréal, je pensais que c’était un grand sous-sol d’église. En donnant des produits proches de la date de péremption, les détaillants ont peur de voir leur nom associé à un scandale. Alors il faut essayer de leur montrer que c’est aussi facile de donner que de jeter et que ça peut même être payant puisqu’ils n’auront pas à payer pour se débarrasser de ces denrées», explique Dany Michaud.

Dany Michaud a fait de l’organisme une véritable entreprise à la fine pointe de la technologie, dotée d’un système informatique de traçabilité, de frigos écolos et d’une chaîne de triage.

«On donne pour environ 55 millions de dollars en denrées chaque année, rien qu’avec des aliments qui devaient être jetés! Pourtant, on ne répond qu’à environ 65% de la demande. Il y a donc encore des besoins à combler et on a les infrastructures ici pour recevoir plus de denrées», précise-t-il.

«On devrait être le dernier maillon de la chaîne alimentaire», ajoute le patron de Moisson Montréal.

En donnant à des oeuvres de charité les aliments qu’elle ne peut plus vendre, Louise Ménard, propriétaire de cinq supermarchés IGA, a également compris qu’elle pourrait économiser chaque mois dans le budget de 3000$ qui sert à se débarrasser des déchets dans chacun de ses magasins.

Elle a été l’une des seules à accepter de parler avec La Presse de ses pratiques en tant que détaillante.

«À trois ou quatre jours de la date de péremption, nous retirons les produits des tablettes et nous les offrons à des oeuvres de charité. Mais quand le produit est périmé, on ne peut pas se le permettre, bien que, dans 95% des cas, il soit encore très sain», explique Louise Ménard.

«Dans le cas des fruits, des légumes et de la viande qui ne sont plus vendables mais qui sont toujours consommables, c’est beaucoup plus simple puisque, dans tous les magasins où il y a un lieu de transformation, on les utilise pour le prêt-à-manger. Pour les boîtes cabossées ou abîmées, une compagnie vient les chercher et nous donne une infime portion de leur prix», ajoute-t-elle.

Dates de péremption, une pratique douteuse

Mme Ménard, qui travaille depuis plus de 30 ans dans le domaine de l’alimentation, n’est pas tendre envers les habitudes de consommation de sa clientèle, non plus qu’envers la tyrannie des dates de péremption.

«Le client n’achètera pas le produit à quatre jours de la date de péremption. On fait peur aux gens, on a créé une clientèle qui s’imagine que, à minuit à la date de péremption, le produit n’est plus bon. Je ne sais pas qui a inventé la date de péremption, mais je ne comprends pas tout ce gaspillage et je trouve ça très difficile de jeter autant», confie Louise Ménard.

La Presse a posé la question à Ginette Bourgeois, consultante en hygiène et salubrité alimentaire depuis sept ans et inspectrice des aliments pendant 30 ans à la Ville de Montréal. Elle est aussi formatrice à l’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec et coauteure d’un livre sur l’hygiène et la salubrité.

«La date de péremption est une information pour le consommateur. Lors de la conception du produit, elle est émise par le fabricant, ou à l’occasion par le détaillant, pour confirmer que l’aliment a gardé sa fraîcheur, sa texture, son goût et ses valeurs nutritives», explique-t-elle.

Si la chaîne de froid a bien été respectée, dans des conditions optimales de conservation, la date de péremption ne signifie pas forcément que l’aliment n’est plus bon.

Alors, comment expliquer que 51% du gaspillage provienne des foyers?

«Dans le doute, les gens jettent des produits même quelques jours avant la date de péremption, de peur d’être malades. Je fais beaucoup d’expériences avec les yogourts. J’en ai gardé jusqu’à neuf mois après la date indiquée sur l’emballage et je ne suis pas morte!», lance Ginette Bourgois.

«Les aliments ont des dates de fraîcheur mais, s’ils sont conservés au congélateur, même si la date de péremption est dépassée de plusieurs mois, l’aliment va être comme si on venait de l’acheter», ajoute-t-elle.

De plus, selon la loi, les aliments dont la durée de conservation est supérieure à 90 jours – comme les croustilles, les confitures, les céréales, etc. – ne sont pas tenus d’être dotés d’une date de péremption. Pourtant, ils le sont tous, même les conserves.

Alors, finalement, à qui cette date profite-telle?

«En tout cas, pas au consommateur. Mais au fabricant, grâce à la consommation, qui fait en sorte qu’une dame va jeter le produit en s’apercevant en fin de semaine qu’il est devenu périmé. Le lundi suivant, elle va en acheter un autre. Le fabricant profite donc de notre mode de consommation», conclut Mme Bourgeois.

* Selon l’étude Food Waste in Canada, du George Morris Centre.

http://www.lapresse.ca

La guerre


Il est clair que les guerres est une affaire d’argent, de pétrole et autre richesse … Enlever le gout du profit, du pouvoir et ce serait presque la paix sur Terre
Nuage

La guerre

 

 

« Les profits sont intéressants tant que dure la guerre ! La guerre dure tant que des entrepreneurs y trouvent leurs profits.  »

Jacques Lamarche

Des projets ???


Je ne sais pas si vous êtes comme moi, quand j’ai une passion, j’ai tendance a trop en faire … et puis un jour c’est le néant, j’arrête complètement,.  car les idées manquent .. Alors que d’autres eux font plusieurs projets a la fois, ca va pour un temps … mais après soit que c’est mal fait ou on est complètement épuisé ….
Nuage

 

Des projets ???

 

Évitez de vous embarquer dans trop de projet à la fois. Même s’ils vous procurent une immense satisfaction, vous n’en tirerez aucun profit à long terme lorsque votre corps vous lâchera, faute de repos

N’oubliez pas, aussi nombreuses que soit vos activités, que c’est vous qui êtes au centre de votre vie. Ne vous trompez pas d’objectif !

Michel Poulaert

Des manifestants exigent l’abolition des fourrières privées


Il est temps que les lois soient plus serré pour la protection des animaux, que le Québec ne fasse plus une piètre figure a cause de ses usines a chien et de la maltraitance animale J’ai bien aimé l’intervention de Monsieur Georges Laraque et je cite : «La façon dont nous traitons nos animaux de compagnie est représentative des valeurs de notre société. Alors, quelle image voulons-nous laisser de la société québécoise?» Je pense que cela est clair …
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Des manifestants exigent l’abolition des fourrières privées

Montréal - Des manifestants exigent l’abolition des fourrières privéesAgence QMI
Emmanuel Delacour / 24h

L’ancien hockeyeur Georges Laraque était présent à titre de porte-parole de SPA Canada.

© Sébastien St-Jean / Agence QMI

MONTRÉAL – Les fourrières à but lucratif devraient être abolies pour laisser place à des établissements financés par le gouvernement, estiment des représentants de la Société pour la protection des animaux Canada (SPA).

C’est le message qu’a martelé dimanche une centaine de manifestants devant le bureau montréalais du premier ministre Jean Charest.

«Ces fourrières ramassent les animaux errants pour leur trouver un foyer ou les euthanasier, a expliqué Dominique Routhier, directrice administrative de la SPA Canada. Les établissements privés sont plus intéressés par le profit que par le bien-être des bêtes qu’ils recueillent.»

Mme Routhier a rappelé le cas du Berger Blanc, cette fourrière dont les pratiques avaient troublé la population québécoise, pour exiger du gouvernement provincial l’instauration de lois plus sévères afin d’incriminer la maltraitance animale.

Parmi les manifestants, l’ancien hockeyeur Georges Laraque était présent à titre de porte-parole de SPA Canada et pour dénoncer les pratiques des fourrières privées.

«Les animaux sont souvent tués de façon systématique, alors que d’autres solutions existent. Dans certains établissements, les employés ne vérifient même pas si l’animal est marqué par une puce électronique qui permet de retrouver le propriétaire avant d’abattre la bête», s’est indigné M. Laraque.

Ce dernier pointe du doigt la position molle adoptée par l’administration de la Ville de Montréal et par le gouvernement du Québec devant cet enjeu.

«La façon dont nous traitons nos animaux de compagnie est représentative des valeurs de notre société. Alors, quelle image voulons-nous laisser de la société québécoise?» a-t-il questionné.

Une situation différente en Ontario?

Quelques-uns des manifestants avaient fait le voyage depuis l’Ontario pour supporter les réclamations de la SPA.

Certains d’entre eux ont décrit une situation bien différente de l’autre côté de la frontière.

«L’attitude des villes et de la province [en Ontario] est beaucoup plus ouverte envers le droit des animaux, a souligné une manifestante, Pamela Lavoye. Les usines à chiens y sont illégales et il est bien plus facile de circuler avec son animal de compagnie, que ce soit en ville ou à la campagne.»

Mme Lavoye est outrée que des établissements tels le Berger Blanc puissent continuer leurs activités en toute impunité.

http://fr.canoe.ca