L’incroyable amitié entre un chat et un dauphin


Certains ont vu la vidéo de la relation spéciale entre un chien et un dauphin, sur le même principe c’est un chat qui fait office d’ami très particulier et pour cause, les chats ne sont généralement pas très chauds l’idée d’aller trop prêt de l’eau. Ce chat qui est copie conforme a ma Fripouille semble bien plus dégourdi pour se faire de nouvelle amitié tout a fait particulier dans un environnement complètement différent. Bref, de toute beauté de voir
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L’incroyable amitié entre un chat et un dauphin

 

Certains chats sont très sociables, mais d’autres le sont vraiment extraordinairement, que ce soit avec les chats, les chiens, les humains… et même les dauphins.

Arthur fait justement partie de ces chats qui tissent les liens d’une amitié hors norme avec des animaux qu’on ne soupçonnerait pas ! Pour lui, l’amitié va bien au-delà des différences liées aux espèces. Un ami, pour lui, ce peut être un animal à poils, à plumes, à écailles, à pattes, ou à nageoires. Un animal qui vit sur terre, dans le ciel ou dans l’eau.

Du coup, son amitié avec Shiloh et Thunder les dauphin slui paraît tout à fait normale. Et cela semble plutôt réciproque.

Au Theatre of the Sea, un parc pour animaux marins à Islamorada en Floride (Etats-Unis), on peut donc voir beaucoup d’amour entre ce chat et les dauphins. Ils se font des bisous, se câlinent… Bref, une belle amitié à voir dans cette vidéo pleine de tendresse !

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7 clés pour comprendre la solidarité après une tragédie


Je trouve que c’est un article très intéressant pour une communauté ou une école/université par exemple qui vivent des catastrophes, comme une tuerie ou le déraillement du Lac-Mégantic. Les points positifs et négatifs de la solidarité. Mais quand la solidarité est bien équilibrée cela aide à mieux passé au travers, Je crois que le Lac-Mégantic penche beaucoup sur le côté positif de la solidarité
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7 clés pour comprendre la solidarité après une tragédie

 

Des résidants de Lac-Mégantic se réconfortent après la tragédie – Photo: Ryan Remiorz / Presse Canadienne

Des résidants de Lac-Mégantic se réconfortent après la tragédie ferroviaire. Photo: Ryan Remiorz / Presse Canadienne

Le sociologue américain James Hawdon s’intéresse aux bienfaits de l’entraide et de la cohésion qui émergent dans la foulée d’un désastre (la tragédie ferroviaire de Lac-Mégantic, par exemple)… mais aussi à leurs côtés un peu plus sombres

Les monuments spontanés à la mémoire des victimes. Les oursons et bouquets de fleurs déposés près du site du drame. Les veillées à la chandelle, les envolées de colombes. Les effusions de sympathie provenant de partout au pays.

Le sociologue américain James Hawdon a tout vu. Non pas à Lac-Mégantic, lieu de la tragédie ferroviaire qui a fait une cinquantaine de victimes et réduit en miettes le cœur du village, mais à l’université Virginia Tech, en 2007. Il était là lors de la fusillade qui a fait 33 victimes, l’une des plus meurtrières de l’histoire des États-Unis.

Ce spécialiste de la sociologie du crime s’intéressait depuis longtemps aux communautés qui s’unissent pour combattre la violence. L’événement du printemps 2007 lui a inspiré un nouveau programme de recherche : la solidarité sociale après les tragédies.

« C’est une réaction courante et tout à fait spontanée, dit le chercheur. On assiste à des moments extrêmement intenses émotivement, qui dirigent l’attention de chacun sur la communauté. Leur fonction est très semblable à celle des funérailles : dire haut et fort que, bien qu’un de ses membres ne soit plus de ce monde, le groupe, lui, est toujours là. Nous sommes peut-être éclopés, mais pas vaincus. »

Avec des collègues américains et finlandais, James Hawdon a produit au moins une douzaine d’articles savants sur la réaction des collectivités aux catastrophes, dont celle de Virginia Tech, mais aussi une fusillade survenue la même année dans un centre d’achats d’Omaha, au Nebraska, qui a fait 9 victimes; deux tueries dans des établissements scolaires de Finlande – à Jokela, en 2007, et à Kauhajoki, en 2008 –, de même que l’explosion de la plate-forme pétrolière Deepwater Horizon, en 2010, dans le golfe du Mexique.

Ses travaux jettent un éclairage plein de finesse sur les bienfaits de l’entraide et de la cohésion qui émergent dans la foulée d’un désastre, mais aussi sur leurs côtés sombres.

L’actualité l’a joint à son bureau de Virginia Tech, à Blacksburg, en Virginie, d’où il a suivi attentivement les développements à Lac-Mégantic.

1. C’est bon pour le moral
La solidarité a un effet protecteur à long terme contre la détresse psychologique.

« Dans toutes les localités que nous avons étudiées, plus les gens expriment de la solidarité envers leur communauté, meilleure est leur santé mentale, selon des tests qui mesurent la détresse émotionnelle, les symptômes de dépression et de stress post-traumatique. Ces effets étaient observables 6 mois, un an ou même 18 mois après la tragédie.

Bien sûr, on peut se poser la question de l’œuf ou la poule : est-ce vraiment la solidarité qui favorise la santé mentale, ou est-ce leur bonne santé mentale qui amène ces gens à se montrer solidaires ? Nous avons pu le vérifier à Virginia Tech, en suivant le même groupe d’étudiants, de professeurs et d’employés pendant plus d’une année. Ceux qui étaient les plus solidaires immédiatement après le massacre étaient psychologiquement moins mal en point que les autres lorsqu’on les a sondés de nouveau 13 mois plus tard.

Et ce n’est pas seulement parce que la solidarité nous fait bénéficier d’un meilleur réseau social. C’est autre chose : c’est être fier de faire partie de la communauté, sentir qu’on partage les mêmes valeurs, qu’on peut faire confiance à ses voisins, que les gens travaillent ensemble pour le bien de la collectivité. Et cette solidarité a des effets protecteurs, que l’on ait ou non accès à du soutien dans son cercle intime. »

2. Solidarité sélective
Certaines conditions doivent être réunies pour que ce sentiment se manifeste après une catastrophe.

« D’abord, les survivants doivent posséder une identité collective. Les habitants d’une ville en ont une, pas les passagers d’un vol. Après les attentats du 11 septembre 2001, notamment, les gens avaient l’habitude de dire : « Nous sommes tous New Yorkais ». Après un écrasement d’avion, vous n’entendrez personne déclarer que nous sommes tous des voyageurs aériens. On a de la peine pour les défunts et leurs proches, bien sûr, mais on n’est pas pris d’un élan de solidarité envers eux.

Ensuite, la communauté doit se définir collectivement comme une victime de la catastrophe. C’est-à-dire que ce ne sont pas seulement les morts, les blessés et leurs familles qui sont touchés, mais la collectivité tout entière, en tant qu’entité – comme à Lac-Mégantic, où le cœur même de la communauté a été atteint.

Finalement, les victimes doivent être perçues comme étant morales et n’ayant pas mérité leur sort. C’est évidemment le cas, ici aussi, de Lac-Mégantic. Mais il y a des tragédies dont les victimes sont dépeintes sous un jour moins favorable. À la suite de l’ouragan Katrina, par exemple, des cas de pillage et de violence à la Nouvelle Orléans avaient été rapportés dans les médias. Quoique la vaste majorité de ces histoires se soient révélées fausses, c’était néanmoins plus difficile de se solidariser avec les rescapés. Nous étions empathiques, mais nous ne nous sentions pas « tous Néo-Orléanais ». »

3. N’annulez pas les matchs de soccer
L’élan de solidarité qui suit une tragédie s’essouffle au bout de quelques mois. Voici comment la cultiver.

« On sait qu’après une tragédie, la solidarité demeure élevée pendant environ six mois avant de revenir à son niveau d’avant. Ainsi, nous n’avons pas vraiment été surpris de voir toutes ces effusions de solidarité dans la foulée du massacre de Virginia Tech. Ce qui nous intéressait surtout, c’était de savoir comment la maintenir.

Nos recherches suggèrent que pour entretenir la solidarité à long terme, il ne suffit pas de se joindre aux intenses rituels collectifs qu’un groupe organise pour faire son deuil. Il faut aussi prendre part à la vie communautaire, c’est-à-dire aux activités locales qui n’ont rien à voir avec la catastrophe – fréquenter les commerces du coin, le marché, l’église, les ligues sportives des enfants, les clubs sociaux. À Virginia Tech, nous avons constaté que les gens qui avaient participé à ce genre d’activités immédiatement après la tuerie se montraient plus solidaires, même un an plus tard. Le réflexe est souvent de tout annuler, par respect pour les victimes. Parler de la floraison des glaïeuls au club de jardinage, par exemple, peut sembler tout à coup frivole. Pas besoin de causer des fleurs. L’idée est avant tout de se réunir, pour montrer que la communauté, bien qu’abîmée, bien que souffrante, existe encore. »

4. Partir ou rester ?
Certains survivants pourraient être tentés de s’exiler pour aller panser leurs plaies ailleurs. Ont-ils raison ?

« Lors d’une cérémonie à la suite de la fusillade de Virginia Tech, une professionnelle de la santé mentale avait recommandé aux étudiants d’aller « là où ils recevraient les meilleurs câlins » : autrement dit, chez leurs parents, dans leur ville natale. Je me souviens avoir pensé que c’était la pire chose à leur dire; ce sont plutôt les parents qu’il aurait fallu faire venir ici.

Nos travaux l’ont confirmé. Les étudiants qui sont retournés chez eux et qui n’étaient toujours pas revenus à l’université 5 mois, 9 mois ou un an plus tard, étaient en moins bonne santé psychologique que ceux qui sont restés. Ceux qui sont partis n’ont pas pu être témoins de la résilience de leur communauté. Ils n’ont pas pu voir qu’il y avait aussi sur le campus des étudiants qui placotaient et riaient, pas seulement les jeunes en pleurs qu’on voyait à la télé.

Bien sûr, pour ceux qui sont directement affectés par un drame – ceux qui ont perdu un mari, une épouse, un fils, une fille –, c’est une autre histoire. Mais pour les victimes indirectes, il faut éviter le repli sur soi, se garder de mettre trop l’accent sur le traumatisme psychologique individuel, afin de ne pas priver les gens de leur communauté. Non seulement est-ce important d’être là pour les autres, mais c’est aussi important de voir que les autres sont là pour nous. »

5. Facebook ne suffit pas
Il n’y a rien comme un contact direct avec un être humain pour se réconforter.

« Pendant la semaine qui a suivi le drame, les étudiants de Virginia Tech ont discuté de l’événement avec leur entourage : ils ont parfois échangé en personne, d’autres fois par texto, par courriel ou par l’intermédiaire des réseaux sociaux. Dans l’une de nos études, nous avons évalué l’efficacité de ces différents modes de communication comme sources de réconfort après une tragédie.

Qu’ils en parlent à leurs parents, à leurs amis ou à leurs connaissances ne changeait pas grand chose. La fréquence des interactions n’était pas non plus d’une importance capitale. Mais le médium utilisé, lui, faisait une différence. Chercher du réconfort en communiquant en ligne avec ses proches, c’est bel et bien bénéfique pour la santé mentale… mais seulement si on le fait aussi face à face. Les interactions virtuelles peuvent compléter les échanges en personne, mais ne peuvent pas les remplacer. »

6. Trop, c’est comme pas assez
Une solidarité mal placée peut devenir un fardeau pour celui qui la reçoit.

« Certains survivants, surtout ceux qui sont les plus directement touchés par une catastrophe, peuvent se sentir submergés par les expressions de sympathie à leur endroit. Quand on perd un être cher, on peut avoir besoin d’un câlin, mais préférablement de la part de quelqu’un qu’on connaît ! Des étudiants – surtout des étudiantes – m’ont raconté que de parfaits étrangers les prenaient spontanément dans leurs bras à la suite de la tuerie de Virginia Tech. D’autres se faisaient suivre par des gens qui tenaient à leur exprimer leurs condoléances. D’autres encore se sont sentis envahis par la quantité de visiteurs venus leur offrir leurs sympathies à la maison. La solidarité pousse parfois les gens à dépasser les limites. »

7. Le côté sombre
Ce sentiment fait pour nous unir peut, paradoxalement, nous diviser.

« Le danger, c’est que l’esprit de corps intense qui naît entre les survivants peut faire en sorte d’exclure ceux qui ne font pas partie du groupe. À Jokela, en Finlande, les jeunes ont tissé entre eux des liens extrêmement forts à la suite de la fusillade qui a fait neuf victimes dans leur école secondaire, au point de tenir à distance leurs propres parents. De la même manière, les étudiants qui ont fait leur entrée à Virginia Tech en 2008, l’année suivant le massacre, se sont sentis exclus pendant toute la durée de leurs études : seuls ceux qui avaient vécu l’événement étaient considérés comme des « vrais ».

Il arrive aussi que la solidarité elle-même ne fasse pas l’unanimité, creusant un fossé au sein de la collectivité. La ville finlandaise de Kauhajoki, par exemple, s’est retrouvée divisée en deux clans après la fusillade dans laquelle 11 personnes ont péri à l’université. Certains résidants estimaient que la solidarité prolongeait la tragédie au lieu de les aider à s’en remettre. D’autres se sentaient rejetés s’ils montraient trop de chagrin.

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Les psychopathes, des êtres à « empathie variable »


Si on pense que cette étude sur la compréhension de l’absence des émotions chez le psychopathe pourrait être un traitement en vue de sa réhabilitation, il faudrait qu’il soit pris au moment ou les premiers signes se font sentir.
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Les psychopathes, des êtres à « empathie variable »

 

La série Dexter diffusée sur les ondes de Showtime aux États-Unis met en scène un spécialiste dans l'analyse de traces de sang, Dexter Morgan, qui est un tueur en série psychopathe.La série Dexter diffusée sur les ondes de Showtime aux États-Unis met en scène un spécialiste dans l’analyse de traces de sang, Dexter Morgan, qui est un tueur en série psychopathe. Photo :  Showtime

 

Les œuvres de fiction nous présentent souvent les psychopathes tels Hannibal Lecter ou Dexter comme des êtres sans émotion incapables d’empathie, cette capacité à se mettre dans la peau d’un autre et d’imaginer ses émotions.

Or, des travaux réalisés par des chercheurs néerlandais montrent que ces personnes possèdent en quelque sorte un « interrupteur d’empathie » qu’ils peuvent allumer ou fermer selon leur volonté.

Cette réalité expliquerait pourquoi les psychopathes sont capables d’être si durs et si charmants.

Le chercheur Christian Keysers de l’Université de Groningen affirme que cette nouvelle connaissance change notre perception de ce trouble de la personnalité.

Explications

Dans ces travaux, 18 criminels psychopathes et 26 autres personnes ont subi un examen du cerveau par résonance magnétique pendant qu’ils regardaient des extraits vidéo dans lesquels ils voyaient une personne en blesser une autre. On leur a demandé de compatir avec la douleur ressentie par la personne blessée.

Les régions cérébrales liées à la douleur n’ont pas été spontanément activées pour les psychopathes alors qu’elles l’étaient pour le groupe témoin. Toutefois, la différence entre les deux groupes s’est grandement estompée lorsque les chercheurs ont spécifiquement demandé aux participants de se mettre dans la peau des personnes (des acteurs) qui ressentaient la douleur.

Les auteurs de ces travaux publiés dans la revue Brain pensent que leurs résultats montrent que les psychopathes ne sont pas simplement des individus froids incapables de ressentir leurs émotions et celles des autres.

La réalité serait plus complexe, selon eux. Ils auraient bel et bien une capacité d’empathie, mais posséderaient un genre d’interrupteur qu’ils peuvent mettre à « marche » ou à « arrêt » et qui serait par défaut à « arrêt ».

Le fait qu’ils puissent remettre l’interrupteur à « marche », au moins dans certaines situations, montre qu’il y a de l’espoir sur le plan thérapeutique, notent les chercheurs. Ainsi, après un traitement approprié, l’interrupteur pourrait être replacé à « marche », ce qui permettrait d’envisager une réhabilitation.

Qu’est-ce que la psychopathie?
C’est un trouble de la personnalité caractérisé par un comportement antisocial, impulsif, un détachement émotionnel vis-à-vis de l’autre, et un manque de culpabilité. Elle peut entraîner des comportements destructeurs sur le plan psychologique ou physique.

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5 défis de bouffe… quand on a l’appétit!


Alors que certaines familles ont des problèmes pour joindre les deux bouts, qu’il y a des SDF qui fouillent dans les poubelles ou vont à des soupes populaires et pire la famine ou des familles entières n’ont rien a mettre sous la dent, alors que dans divers restaurants on met des gens aux défis dans des concours de bouffes. Le gaspillage, la gourmandise, l’excès sont a l’honneur. Il n’y a rien pour en être fier
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5 défis de bouffe… quand on a l’appétit!

 

Avez-vous déjà participé à un concours de bouffe? Combien de hot-dogs ou de hamburgers seriez-vous capable d’avaler?

Voici cinq compétitions complètement dingues…

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Il mange 69 hot-dogs!

C’est au restaurant Nathan’s de New York qu’a lieu le «concours du plus gros mangeur de hot-dogs», un concours qui s’adresse aux plus téméraires.

Cette année, le grand gagnant est Joey «Jaws» Chestnut, qui a mangé pas moins de 69 hot-dogs (il avait aussi gagné en 2012, avec 68 hot-dogs en 10 minutes).

Du côté des filles, c’est Sonya «The Black Widow» Thomas qui a remporté le premier prix, avec… 36 3/4 hot-dogs!

Il faut préciser qu’un hot-dog de chez Nathan’s contient près de 300 calories et 18,21 grammes de graisses.

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Pourriez-vous manger 500 huîtres en 60 minutes?

Adam Richman est l’animateur de l’émission Casse-croûte à l’américaine et amateur de bonne cuisine qui visite les restaurants de partout aux États-Unis. À chacune de ses visites, il relève un défi gastronomique: engloutir de pizzas, des steaks immenses, des tonnes des hamburgers. Nommez un défi culinaire, il l’a sûrement déjà essayé! Au restaurant The Acme Oyster House, un restaurant situé à La Nouvelle-Orléans, il aurait essayé le grand défi de l’établissement, celui de manger 15 douzaines d’huîtres en 60 minutes (180 huîtres). Adam Richman en aura finalement consommé… 43 douzaines!

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L’Inferno, une mégasoupe très piquante

Au restaurant Nitally’s ThaiMex Cuisine, de St. Petersburg en Floride, les propriétaires invitent ses clients au défi de l’Inferno Soup. Les participants n’ont que 30 minutes pour manger une soupe de 48 onces faites de piments bhut jolokia. S’ils la finissent, ils ont une récompense de 1000 $. Jusqu’à il y a quelques années, il a été la référence dans le livre Guinness des records comme le piment le plus fort du monde. Il a été détrôné en 2010 par le Naga Viper, mais quand même…

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Un sundae géant

Véritable monstre en crème glacée, bananes et sauces sucrées, la coupe glacée de la crémerie The San Francisco Creamery Co en Californie fait presque peur! Mais le prix en vaut la chandelle: avoir droit à des sundaes gratuits pendant un an, si on réussit à le manger en moins d’une heure.

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Une pizza de 72 cm de diamètre!

Le restaurant Big Pie in the Sky en Georgie est l’hôte du défi Carnivore. Les amateurs de bouffe rapide doivent engloutir une pizza de 72 cm de diamètre et d’un poids de 5 kilos, le tout en moins d’une heure. Le gagnant remporte 250 $…

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Trois vitamines et minéraux pour mieux dormir


Pour certaines personnes, les problèmes de sommeil la nuit et ou rester éveillée le jour serait peut-être un manque de vitamine et de minéraux. Donc a vérifié pour une meilleure alimentation, cela pourrait peut-être la solution et ce sans médicament …
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Trois vitamines et minéraux pour mieux dormir

 

Une bonne nuit de sommeil, c'est rare? Si vous dormez mal, c'est peut-être à... (Photos.com)

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RelaxNews

Une bonne nuit de sommeil, c’est rare? Si vous dormez mal, c’est peut-être à cause d’une déficience en vitamines ou minéraux.

Le site santé Livescience a publié un article sur trois problèmes de sommeil courants et les trois nutriments qui pourraient les solutionner.

L’insomnie: des études ont prouvé qu’il s’agissait d’un des symptômes de la déficience en magnésium. Pour en trouver, les légumes à feuilles vert foncé, les graines de citrouille, les haricots et les lentilles sont des sources excellentes.

Le réveil de bonne heure: ça peut être dû à un manque de potassium, explique Livescience. Des études ont révélé que les suppléments de potassium peuvent aider à rester endormi toute la nuit: on trouve cet élément dans les haricots, les légumes-feuilles, les avocats, les pommes de terre au four et en moindre mesure dans les bananes.

La fatigue dans la journée: ceci peut être causé par une quantité de facteurs différents, comme le stress, mais d’après une étude publiée l’an dernier dans le Journal of Clinical Sleep Medicine, il existe «une forte corrélation» entre la somnolence excessive dans la journée et la déficience en vitamine D. Les rayons du soleil sont une excellente source de vitamine D, ainsi que l’espadon, le saumon, le thon et les produits laitiers fortifiés.

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Italie : une ministre noire se fait lancer des bananes


Je n’arrive pas a croire que des personnes dites civilisés soient descendus aussi bas. Je lève mon chapeau a cette femme Cécile Kyenge de continuer a travailler la tête haute malgré ce climat Ce genre d’imbécilité autant en geste qu’en parole ne doit surtout pas être toléré
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Italie : une ministre noire se fait lancer des bananes

 

Cecile Kyenge, ministre italienne de l'Intégration

Cecile Kyenge, ministre italienne de l’Intégration Photo :  AFP/FILIPPO MONTEFORTE

La ministre italienne de l’Intégration, Cecile Kyenge, a reçu des bananes lancées par un spectateur lors d’un discours vendredi, à Cervia, dans le centre du pays.

Peu avant l’incident, des militants du groupe d’extrême droite Forza Nuova (Force nouvelle) avaient déposé des mannequins couverts de sang factice lors de ce rassemblement. Ils entendaient protester contre la proposition de la ministre d’accorder la nationalité italienne à toute personne née dans le pays.

« L’immigration tue », pouvait-on lire sur un tract accompagnant les mannequins; un slogan déjà employé par Forza Nuova faisant référence à des crimes commis par des immigrants.

Le groupe Forza Nuova a cependant démenti samedi que l’un de ses membres ait lancé les bananes.

Cecile Kyenge, qui est née en République démocratique du Congo (RDC), est la cible quasi quotidienne d’insultes à caractère raciste et de menaces depuis qu’elle a été nommée au gouvernement en avril dernier.

Un geste « triste »

Sur son compte Twitter, Cecile Kyenge a qualifié ce geste de « triste » et a jugé qu’il s’agissait d’un gaspillage de nourriture à un moment où le pays connaît une crise économique.

« Le courage et l’optimisme pour changer les choses doivent avant tout remonter de la base vers les institutions », a-t-elle ajouté.

La classe politique dénonce ces actes

Plusieurs personnalités politiques, dont des ministres du gouvernement dirigé par Enrico Letta, lui ont témoigné samedi leur solidarité et ont condamné l’incident. La ministre de l’Éducation, Maria Chiara Carrozza, a salué le courage et la détermination de Cecile Kyenge dans un tel climat d’hostilité. Le ministre de l’Environnement, Andrea Orlando, a fait part de sa « plus vive indignation » à l’égard de cet acte.

Le gouverneur de la région de Vénétie Luca Zaia, qui appartient à la Ligue du Nord et doit participer en août à un débat sur l’immigration avec Cecile Kyenge, s’est lui aussi élevé contre l’acte raciste.

« Lancer des bananes, insulter les personnes (…). Des actes de ce genre n’ont pas de place dans le débat civilisé et démocratique entre la ministre et ceux qui ne partagent pas ses opinions », a-t-il dit, cité par l’agence de presse italienne.

Des dérapages de la Ligue du Nord

Il y a deux semaines, le vice-président du Sénat et membre de la Ligue du Nord (populiste), Roberto Calderoli, avait comparé la jeune femme à un « orang-outang ».

En juin, un conseiller régional de la Ligue du Nord avait estimé qu’il faudrait que Cecile Kyenge soit violée, afin qu’elle comprenne ce que ressentent les victimes de crimes commis par les immigrés. Il a été condamné pour ces propos à une peine de prison avec sursis et a reçu une interdiction temporaire d’exercer ses fonctions publiques.

Reuters

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30 000 abeilles attaquent un couple au Texas


C’est triste qu’une sortie des plus banales en cheval finissent par une tuerie d’animaux et des êtres humains mal en point. Qu’est-ce qui a bien pu arriver pour que un essaim d’abeilles s’affole à vouloir piquer tout ce qui bouge
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30 000 abeilles attaquent un couple au Texas

 

Un essaim d'environ 30 000 abeilles a attaqué un couple du nord du Texas alors... (PHOTO FOURNIE PAR PHOTOS.COM)

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Associated Press
PANTEGO, Texas

Un essaim d’environ 30 000 abeilles a attaqué un couple du nord du Texas alors qu’ils promenaient leurs poneys, piquant les animaux à un point tel que ceux-ci sont morts.

Kristen Beauregard, âgée de 44 ans, a été piquée à environ 200 reprises, tandis que son copain a été lardé près de 50 fois, a rapporté samedi le Fort Worth Star-Telegram. Les chevaux, Chip et Trump, n’ont pas pu être sauvés.

Dans un témoignage concernant l’accident survenu mercredi soir, Mme Beauregard a mentionné que les abeilles poursuivaient le couple, et que la scène semblait être tirée d’un «mauvais film».

Des tests tenteront de déterminer si elles sont des abeilles tueuses. Il n’est présentement pas possible de déterminer ce qui les a poussées à quitter leur ruche.

Mme Beauregard promenait Trump, un poney Shetland, lorsque l’animal a commencé à sauter et à donner des ruades. À ce moment-là, un nuage d’abeilles a commencé à les piquer. Tentant de se sauver, elle a sauté dans la piscine, et le cheval a suivi.

À chaque tentative de remonter à la surface pour respirer, la femme tout comme l’animal étaient assaillis par les insectes.

Mme Beauregard a finalement fui vers la maison, et son copain a appelé les services d’urgence. Les abeilles l’ont poursuivie, s’écrasant dans les fenêtres. Trump a couru dans la cour, se frottant contre des buissons pour tenter d’éloigner les agresseurs ailés.

Les pompiers sont arrivés sur place avec de l’équipement spécial et une substance semblable à de la mousse a été utilisée pour dégager les abeilles. Les services de secours ont ensuite pu traîner les chevaux vers un pâturage, où la police et des techniciens ambulanciers paramédicaux ont tenté de leur venir en aide.

Chip, un cheval âgé de 6 ans, est mort avant l’arrivée d’un vétérinaire. Trump a été mis sous sédation et emmené dans une clinique vétérinaire.

La Dre Patricia Tersteeg a cependant indiqué que le corps du cheval n’avait pas été en mesure de supporter un si grand nombre de piqûres.

«C’était trop pour que survive n’importe quel mammifère de 113 kilogrammes», a-t-elle dit.

Les abeilles ont également tué cinq poules, et piqué le chien du couple.

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