Les fautes des autres


C’est bien de savoir se taire, de ne pas tout dire les erreurs, les défauts des autres car de toute façon, même nous, nous avons des mauvais côtés que nous n’aimerions pas étaler sur les places publics
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Les fautes des autres

« Si on criait sur la place publique les fautes de tout le monde, on ne pourrait plus fréquenter personne !  »

Marcel Pagnol

Je peux


La façon que l’on pense nous aide ou non dans la réalisation de nos projets, de nos rêves, de notre vie en générale
Nuage

Je peux

Si tu te crois battu, tu le seras;
Si tu n’oses pas, tu n’auras rien;
Si tu veux gagner, mais si tu t’en crois incapable,

Il est presque certain que tu ne gagneras pas.

Si tu crois que tu vas perdre, tu es perdu,

Car, dans le monde, on se rend compte
Que le succès dépend de la confiance en soi;
Tout dépend de notre état d’esprit.

Les batailles de la vie ne sont pas gagnées
Par les plus forts, ni les plus rapides,

Mais par ceux qui croient en eux…
En pensant toujours; "JE PEUX"

Auteur inconnu

Truc express ► Nettoyer le dessus des armoires


Les hauts d’armoires .. un vraie plaie, d’ailleurs j’aimerais mieux qu’il n’y ai pas d’espace entre le plafond et les armoires cela serait encore moins compliqué mais a défaut avoir de petit truc ne fera que nous simplifier la vie
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Nettoyer le dessus des armoires 


  Vous en avez assez de frotter le dessus des armoires pendant des heures pour en faire disparaître toute trace de gras et de saletés?

Rien de plus simple : vous n’avez qu’à étendre une feuille de papier ciré sur le dessus vos armoires. Veillez à la couper de façon à ce qu’elle recouvre, mais ne soit pas apparente.

Lorsque vous aurez à répéter cette horrible tâche, vous n’aurez qu’à remplacer le papier ciré et le tour sera joué!
 
http://www.trucsmaison.com/

États-Unis ► Un calendrier perpétuel pour figer le temps


Vouloir tout réformer il me semble que cela amènera a des années de routines. Est-ce faisable partout au monde, je ne crois pas, étant donné certains aspects justement religieux, et ou tradition, car certains se fit au calendrier lunaire, Qu’on veuille une heure universelle non plus je ne pense pas que cela soit possible, cependant qu’on élimine une fois pour toute le changement d’heure me semble possible
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États-Unis ► Un calendrier perpétuel pour figer le temps

Noël et le jour de l’An tomberaient toujours la même journée, ainsi que les dates d’anniversaire et les jours fériés.

© Shutterstock / Agence QMI

BALTIMORE, Maryland – Des chercheurs américains ont mis au point un calendrier perpétuel grâce auquel Noël et jour de l’An tomberaient toujours la même journée, ainsi que les dates d’anniversaire et les jours fériés.

Deux scientifiques de l’Université Johns Hopkins à Baltimore, au Maryland, ont trouvé une façon de «figer le temps» en créant un calendrier où chaque période de 12 mois est strictement identique à la précédente.

Cette idée peut paraître saugrenue, mais selon l’astrophysicien Richard Conn Henry et l’économiste Steve H. Hanke, les avantages pratiques et même économiques d’un calendrier perpétuel seraient immédiats.

«Pensez seulement au temps et aux efforts nécessaires pour revoir le calendrier de chaque organisation à travers le monde. Un calendrier perpétuel serait considérablement plus simple et plus facile à gérer», explique Richard Conn Henry.

Leur système repose sur une période de 12 mois où le 1er janvier tombe toujours un dimanche et le 31 décembre un samedi. À cela, on ajoute une semaine complète tous les cinq ou six ans, à la fin de l’année, ce qui permet de resynchroniser le calendrier avec les saisons.

D’autres essais avaient déjà été tentés par le passé, notamment par George Eastman, vers la fin du 19e siècle. Celui-ci proposait un calendrier de 13 mois identiques de 28 jours chacun. Le projet était toutefois tombé à l’eau, car il ne respectait pas les dates du shabbat.

La nouvelle proposition est irréprochable sur le plan religieux, et facilite également la vie des entreprises, qui n’auraient par exemple pas à subir une fermeture en milieu de semaine à cause d’un jour férié.

Sur le plan économique, les avantages seraient également palpables, notamment en simplifiant les calculs de taux d’intérêt, qui doivent tenir compte des anomalies de notre calendrier grégorien. Celui-ci compte en effet une journée supplémentaire tous les quatre ans, chaque année bissextile.

Les chercheurs sont également favorables à la mise en place d’une «heure universelle».

«On en finirait avec les différents fuseaux horaires, avec le passage à l’heure d’été et à l’heure d’hiver et aux incessantes fluctuations de dates, année après année», disent-ils.

http://fr.canoe.ca

Au royaume des chouchous


Aimer ses enfants de façon égale est-ce possible ? Pouvons nous admettre que nous avons des préférences parmi nos enfants ? Il est difficile d’apporter l’amour, l’affection en toute égalité envers nos enfants, nous les aimons, mais chaque caractères aident ou nuisent a l’interaction entre parent et enfant ..
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Au royaume des chouchous

Marie-Claude Malboeuf
La Presse

«C’est ma conviction que 95% des parents du monde ont un favori, et que les 5% restant mentent.»

Pour lancer pareille affirmation, le journaliste américain Jeffrey Kruger se base non seulement sur sa propre expérience, mais sur une vaste recension d’études, qu’il vient d’amalgamer dans un essai semi-autobiographique, The Sibling Effect.

«Le favoritisme découle de notre besoin de survie, de l’acte narcissique biologique de se reproduire à travers les générations», explique-t-il dans ce livre paru au début de l’automne. Loin d’être responsables de leur manque d’équité, les parents seraient donc «génétiquement prédisposés» à en faire preuve.

Très souvent, les parents préféreront leur enfant le plus grand, le plus en santé, le plus beau, précise Jeffrey Kluger. Ou tout simplement, l’enfant auquel ils auront consacré le plus de temps, d’argent et attention (plus souvent qu’autrement, l’aîné). Bref, ils tenteront de protéger leur investissement.

Dans certains cas, la vulnérabilité du benjamin les fera tout de même fondre, nuance-t-il, en soulignant que cela distingue très nettement les humains des autres êtres vivants. Dans la nature, illustre Kulger, certains oiseaux laissent l’oisillon le plus faible se faire dévorer par ses frères et soeur. Une espèce de pingouins pond pour sa part deux oeufs et en élimine un: le plus petit. Et les embryons du requin des sables se dévorent entre eux jusqu’à ce qu’il n’en reste plus qu’un, lequel sera ensuite régulièrement nourri de nouvelles rations d’oeufs.

Après avoir filmé les interactions de quelque 400 familles à 9 reprises pendant une période de 3 ans, la chercheuse californienne Katherine Conger a conclu que 65% des mères et 70% des pères avaient un enfant favori.

D’après une étude connexe réalisée à l’Université Redlands de Californie, par Catherine Salmon, la mère préfère généralement son fils aîné, et le père, sa benjamine. D’autres chercheurs ont conclu que les parents sont attirés par ce qu’ils retrouvent d’eux-mêmes en leur enfant du sexe opposé (certains pères adorant par exemple tout particulièrement leur fille sportive).

Moins souvent ciblés, les enfants du milieu sont plus souvent préférés lorsqu’ils sont le seule garçon ou la seule fille de la famille.

Il n’est donc pas surprenant, expose Jeffrey Krugger, que les enfants eux aussi soient génétiquement programmés. Dans leur cas, à lutter pour les ressources de leurs parents -temps, attention, revenus-, surtout lorsqu’ils sont proches en âge.

«Les enfants sont comme les feuilles dans les arbres, ils s’orientent de manière à pousser dans un rayon de lumière qui n’est pas bloqué par la feuille du dessus», écrit le journaliste, responsable des pages scientifiques au Time Magazine.

Pour se distinguer aux yeux de leurs parents, les frères et soeurs se cherchent une niche propre, que ce soit en terme de tempérament ou d’intérêt, dit-il. Et ce rôle peut nous suivre toute notre vie, et forger notre destin.

D’après les nombreuses études qui s’intéressent au rang familial, le fait d’être l’aîné, le cadet ou le benjamin est très souvent -mais pas toujours- associé à une série de traits de personnalité.

Les aînés seraient plus susceptibles de vouloir répondre aux attentes des parents et d’être conformistes, loyaux et sérieux. Les benjamins chercheraient à se différencier en jouant le rôle du clown, du rebelle, de l’artiste. Ils auraient moins peur du danger. Les enfants du milieu seraient pour leur part plus proches de leurs amis que de la famille.

L’hostilité diminue avec l’âge

> 75% des gens se disputaient fréquemment ou très fréquemment avec leur frères et soeurs dans leur jeunesse, selon une étude de l’Université d’Indianapolis. À l’âge adulte, 87% d’entre eux ne se disputent plus, ou presque plus.

> Quand des enfants de trois à sept ans jouent ensemble, une dispute « significative » éclate chaque dix-sept minutes, selon une étude de l’Université de l’Illinois.

> Entre les petits de deux, trois ou quatre ans, les batailles sont deux fois plus rapprochées (elles surviennent aux neuf minutes et demie), révèle une étude de l’Université de Toronto.

> À l’âge adulte, les relations fraternelles prennent typiquement cinq formes, identifiées par la psychologue Deborah Gold, de l’Université Duke, en Caroline du Nord :

– 17% des gens disent avoir une relation intime. Ils sont très proches de leurs frères et soeurs, qu’ils voient souvent et considèrent comme leur meilleur ami.

– 28% ont une relation agréable. Ils considèrent leur frère ou leur soeur comme un bon ami, qu’ils appellent régulièrement.

– 35% ont une relation loyale. Ils se voient aux grands événements et peuvent se fier l’un à l’autre, sans se fréquenter.

– 10% ont une relation apathique. Ils se sont éloignés et n’essaient pas d’y remédier.

– 10% ont une relation hostile et se détestent passionnément, même sans être en contact.

Source : The Sibling Effect

http://www.cyberpresse.ca

Il veut prendre l’avion avec 247 serpents dans sa valise


Un avantage des personnes égoïste, qui veulent faire de la contrebande et essaie de passer le plus d’animaux possible c’est qu’il est plus facile de les prendre sur le fait dans un aéroport.
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Il veut prendre l’avion avec 247 serpents dans sa valise

On ne rigole pas avec la contrebande d’animaux en Argentine. Surtout quand il s’agit de 247 animaux enfermés dans des boites transparentes ou des sacs en toile, sans oxygène.

Un ressortissant tchèque a été arrêté à l’aéroport international d’Ezeiza, de Buenos Aires, alors qu’il tentait de faire passer une valise remplie de reptiles et d’amphibiens. Enfermés dans des boîtes et des sacs sans air, au fond d’une valise, les animaux étaient tous vivants, excepté deux serpents qui n’ont malheureusement pas survécu.

Selon l’AFP, les animaux n’auraient jamais survécu au vol. Parmi eux, des couleuvres, des jeunes boas, 15 spécimens de vipères venimeuses – dont deux yararas qui peuvent atteindre 1,50 mètre- et des crapauds, escargots, lézards, tortues. Tous étaient destinés au marché noir, mais surtout à une mort certaine. Ce sont les employés de la compagnie Iberia qui ont découvert les bestioles mal en point, alors que l’homme de 51 ans, Karel Abelovsky, s’apprêtait à embarquer pour Madrid.

L’AFP affirme que les éventuelles victimes de ces reptiles auraient eu peu de chance de s’en sortir… puisque la République Tchèque n’a pas les moyens nécessaires en antidote pour guérir ce genre de morsures. L’homme risque une peine allant de quatre à dix ans de prison, après avoir été inculpé puis libéré sous caution, le 7 décembre dernier. L’inculpation de contrebande est aggravée par le fait que certains des serpents sont sur la liste des animaux rares et protégés par la CITES (Convention de Washington sur le commerce international des espèces sauvages menacées d’extinction).

http://www.gentside.com