La maman surprend son fils en train de porter sa petite sœur


Quand un nouveau bébé rentre à la maison, les parents espèrent que tout se passe bien avec les autres enfants. Ce grand frère, était heureux de pouvoir prendre avec sa petite soeur. Il chante en anglais : tu es magnifique, et pèses sur ses mots quand il entonne : tu es tout ce que tu souhaitais. N’est-ce pas un grand moment pour les parents ?
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La maman surprend son fils en train de porter sa petite sœur

 

Parole d’enfant ► Lien de famille


Je vais pourvoir mettre plus souvent des mots d’enfant de ma petite fille Ana-Jézabelle car, sa maman aussi me fait part de ses petites réflexions qui font sourire. Cette fois-ci, Mlle a compris pourquoi elle a une petite soeur
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Lien de famille

 

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Mlle dit à sa mère : Sais-tu pourquoi que moi et Sydney on est soeurs ? On pète pareil !

Ana-Jézabelle 3 ans/ mars 2015

Un garçon est complètement dévoué à sa sœur née avec l’amyotrophie spinale


Une belle leçon de vie que ces enfants peuvent nous donner. Même dans la grande difficulté de la vie, l’union fait la force. C’est certain que la maladie est toujours présente, mais la vie peut être belle avec l’amour inconditionnel, tout est possible
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Un garçon est complètement dévoué à sa sœur née avec l’amyotrophie spinale

 

MARLIE BEAUDIN

 

Cette vidéo, qui date du premier juin 2013, circule en ce moment sur le Web. La vidéo montre l’amour inconditionnel qui existe entre un frère et sa sœur atteinte d’une maladie rare qui l’oblige à rester dans son fauteuil roulant.

Lindsay Cochran est née avec l’amyotrophie spinale, une maladie qui affaiblie les muscles. Depuis qu’elle a deux ans, Lindsay est clouée dans une chaise roulante. Heureusement pour la fillette, son grand frère Trenton est toujours à ses côtés et se fait un devoir de faire tout ce qui est en son pouvoir pour que sa sœur soit heureuse. Écoutez le témoignage du garçon. 

http://www.journaldequebec.com/

Dis moi


C’est lors d’une photo que j’ai vue d’une femme violée pendant la guerre qui m’a incité d’écrire sur ce sujet .. quand je l’ai montré a 3 amis a cette époque ils ont tous arrêter sur un paragraphe en particulier …
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Dis moi

 

Dis moi qu’est ce que j’ai fait
Pour mériter ta haine
Pour goûter tes méfaits
Jusqu’au fond de mes veines

Ton regard ombrageux
Ne cherche qu’à me faire peur
Ton désir orageux
Me fige dans ma torpeur

Laisse moi ma dignité
Ne touche pas à mon corps
N’use pas d’énormité
Je mourrais de remords

Suis-je donc une simple proie
Qui prouves que tu es fort
Quand tu me violes
Quand tu me bats
Quand tu me tues
A un, deux ou à trois
Riant de mon sort

Je pleure dans tes souillures
Tu as laissé ta trace
Avec tes mains
Avec ton sperme
Avec tes lèvres
Au cœur de ma froidure
Laissant saletés tenaces

Nulle envie de survivre
A l’ombre de tes pensées
Comment oublier et vivre
De tes actes insensés

Et si j’étais ta sœur
Et si j’étais ta fille
Et si j’étais ta femme
M’aurais-tu violé
M’aurais-tu battu
M’aurais-tu tué

N’as-tu pas oublié
D’une femme tu es issu
Ses bras tu t’es confié
L’amour tu as reçu

Moi étrangère et femme
Je n’ai que ton dédain
Jusqu’au profond de l’âme
D’un avenir sans refrain

Rachel Hubert (Nuage)
21 Janvier 2004

Parole d’enfant ► Des jumelles


Déjà qu’a 5 ans … d’ou viens les bébés ce n’est pas très clair mais deux bébé qui arriveront en même temps c’est tout un mystère.
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Des jumelles

 

« Nous apprenons à notre fille de 5 ans qu’elle va avoir deux petites soeurs en même temps

Elle nous répond : « Papa, c’est le papa du premier bébé, mais c’est qui le papa du deuxième bébé ? » »

Fiona 5 ans

Parole d’enfant ► Possession


Un jeune bambin est très possessif, alors le partage c’est quelque chose qu’il doit négocier ..
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Possession

« Cette nuit, mon fils de 3 ans était malade, ce qui a réveillé sa petite soeur Naolynh.

Alors que papa berce sa soeur pour l’endormir, mon fils le regarde et lui dit

"si tu veux une Naolynh, t’as qu’à t’en acheter une, elle, c’est MA naolynh à MOI" »

Lyham 3 ans,

Au royaume des chouchous


Aimer ses enfants de façon égale est-ce possible ? Pouvons nous admettre que nous avons des préférences parmi nos enfants ? Il est difficile d’apporter l’amour, l’affection en toute égalité envers nos enfants, nous les aimons, mais chaque caractères aident ou nuisent a l’interaction entre parent et enfant ..
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Au royaume des chouchous

Marie-Claude Malboeuf
La Presse

«C’est ma conviction que 95% des parents du monde ont un favori, et que les 5% restant mentent.»

Pour lancer pareille affirmation, le journaliste américain Jeffrey Kruger se base non seulement sur sa propre expérience, mais sur une vaste recension d’études, qu’il vient d’amalgamer dans un essai semi-autobiographique, The Sibling Effect.

«Le favoritisme découle de notre besoin de survie, de l’acte narcissique biologique de se reproduire à travers les générations», explique-t-il dans ce livre paru au début de l’automne. Loin d’être responsables de leur manque d’équité, les parents seraient donc «génétiquement prédisposés» à en faire preuve.

Très souvent, les parents préféreront leur enfant le plus grand, le plus en santé, le plus beau, précise Jeffrey Kluger. Ou tout simplement, l’enfant auquel ils auront consacré le plus de temps, d’argent et attention (plus souvent qu’autrement, l’aîné). Bref, ils tenteront de protéger leur investissement.

Dans certains cas, la vulnérabilité du benjamin les fera tout de même fondre, nuance-t-il, en soulignant que cela distingue très nettement les humains des autres êtres vivants. Dans la nature, illustre Kulger, certains oiseaux laissent l’oisillon le plus faible se faire dévorer par ses frères et soeur. Une espèce de pingouins pond pour sa part deux oeufs et en élimine un: le plus petit. Et les embryons du requin des sables se dévorent entre eux jusqu’à ce qu’il n’en reste plus qu’un, lequel sera ensuite régulièrement nourri de nouvelles rations d’oeufs.

Après avoir filmé les interactions de quelque 400 familles à 9 reprises pendant une période de 3 ans, la chercheuse californienne Katherine Conger a conclu que 65% des mères et 70% des pères avaient un enfant favori.

D’après une étude connexe réalisée à l’Université Redlands de Californie, par Catherine Salmon, la mère préfère généralement son fils aîné, et le père, sa benjamine. D’autres chercheurs ont conclu que les parents sont attirés par ce qu’ils retrouvent d’eux-mêmes en leur enfant du sexe opposé (certains pères adorant par exemple tout particulièrement leur fille sportive).

Moins souvent ciblés, les enfants du milieu sont plus souvent préférés lorsqu’ils sont le seule garçon ou la seule fille de la famille.

Il n’est donc pas surprenant, expose Jeffrey Krugger, que les enfants eux aussi soient génétiquement programmés. Dans leur cas, à lutter pour les ressources de leurs parents -temps, attention, revenus-, surtout lorsqu’ils sont proches en âge.

«Les enfants sont comme les feuilles dans les arbres, ils s’orientent de manière à pousser dans un rayon de lumière qui n’est pas bloqué par la feuille du dessus», écrit le journaliste, responsable des pages scientifiques au Time Magazine.

Pour se distinguer aux yeux de leurs parents, les frères et soeurs se cherchent une niche propre, que ce soit en terme de tempérament ou d’intérêt, dit-il. Et ce rôle peut nous suivre toute notre vie, et forger notre destin.

D’après les nombreuses études qui s’intéressent au rang familial, le fait d’être l’aîné, le cadet ou le benjamin est très souvent -mais pas toujours- associé à une série de traits de personnalité.

Les aînés seraient plus susceptibles de vouloir répondre aux attentes des parents et d’être conformistes, loyaux et sérieux. Les benjamins chercheraient à se différencier en jouant le rôle du clown, du rebelle, de l’artiste. Ils auraient moins peur du danger. Les enfants du milieu seraient pour leur part plus proches de leurs amis que de la famille.

L’hostilité diminue avec l’âge

> 75% des gens se disputaient fréquemment ou très fréquemment avec leur frères et soeurs dans leur jeunesse, selon une étude de l’Université d’Indianapolis. À l’âge adulte, 87% d’entre eux ne se disputent plus, ou presque plus.

> Quand des enfants de trois à sept ans jouent ensemble, une dispute « significative » éclate chaque dix-sept minutes, selon une étude de l’Université de l’Illinois.

> Entre les petits de deux, trois ou quatre ans, les batailles sont deux fois plus rapprochées (elles surviennent aux neuf minutes et demie), révèle une étude de l’Université de Toronto.

> À l’âge adulte, les relations fraternelles prennent typiquement cinq formes, identifiées par la psychologue Deborah Gold, de l’Université Duke, en Caroline du Nord :

– 17% des gens disent avoir une relation intime. Ils sont très proches de leurs frères et soeurs, qu’ils voient souvent et considèrent comme leur meilleur ami.

– 28% ont une relation agréable. Ils considèrent leur frère ou leur soeur comme un bon ami, qu’ils appellent régulièrement.

– 35% ont une relation loyale. Ils se voient aux grands événements et peuvent se fier l’un à l’autre, sans se fréquenter.

– 10% ont une relation apathique. Ils se sont éloignés et n’essaient pas d’y remédier.

– 10% ont une relation hostile et se détestent passionnément, même sans être en contact.

Source : The Sibling Effect

http://www.cyberpresse.ca