L’arbre est vraiment le meilleur symbole d’une famille
Nuage
La famille
La famille c’est comme les branches d’un arbre; nous grandissons tous dans de différentes directions, mais nos racines sont les mêmes.
Anonyme
L’arbre est vraiment le meilleur symbole d’une famille
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La famille
La famille c’est comme les branches d’un arbre; nous grandissons tous dans de différentes directions, mais nos racines sont les mêmes.
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Bien sûr, le travail est important, cependant, il est important de garder en tête que la famille et notre réseau social doivent avoir eux aussi des moments de qualité de notre présence.
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Famille et amis
Passez du temps avec votre famille et vos amis – Personne, sur son lit de mort ne dit jamais « J’aurais souhaité passer plus de temps au bureau. »
Joyce Meyer
Même si des gens immigrent illégalement, ce n’est pas une raison de séparer les enfants des parents. Et aux États-Unis sous le gouvernement de Donald Trump, ont a pu constater toute l’inhumanité de cet homme égoïste. C’est un vrai fiasco. Le père n’a pas tué, ni posé de bombe, il a simplement eu l’espoir d’un avenir meilleur pour lui et sa famille.
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L’histoire du bébé de 4 mois séparé de ses parents par l’administration Trump
Une mère porte son bébé dans un camp à Tijuana, au Mexique, près de la frontière américaine, le 28 novembre 2018. | Pedro Pardo / AFP
Repéré par Claire Levenson
Repéré sur New York Times
Le New York Times a retrouvé le plus jeune enfant isolé de sa famille à la frontière mexicaine.
En mai 2018, l’administration de Donald Trump a publiquement reconnu avoir mis en place une politique de séparation des familles à la frontière avec le Mexique. Cela faisait près d’un an que ces nouvelles règles avaient été mises en œuvre, dans le but de dissuader les familles de migrant·es de venir aux États-Unis.
Les séparations ont officiellement été arrêtées à la fin juin 2018, mais des milliers d’enfants avaient déjà été séparés de leurs familles. Les adultes étaient placé·es en détention dans l’attente de leur procès et les enfants envoyé·es soit dans des centres de rétention pour mineur·es, soit dans des familles d’accueil.
En examinant les bases de données gouvernementales, la journaliste du New York Times Caitlin Dickerson a identifié l’enfant le plus jeune à avoir été séparé de sa famille dans ces circonstances. Il s’agit de Constantin Mutu, un bébé roumain qui n’avait que quatre mois quand il a été placé dans une famille d’accueil, tandis que son père était en détention.
L’histoire de ce bébé souligne l’inhumanité de la politique de séparation mise en place par le gouvernement Trump.
Cinq mois en famille d’accueil
Les parents de Constantin, qui sont Roms, avaient quitté leur village de Roumanie dans l’espoir d’une vie meilleure aux États-Unis; beaucoup d’autres membres de la localité avaient fait le voyage. La famille Mutu pensait pouvoir obtenir l’asile en raison des persécutions anti-Roms dans leurs pays.
D’abord passés par le Mexique, Constantin et son père ont été arrêtés à la frontière américaine. La mère du bébé et son autre fils étaient restés au Mexique, avant de repartir en Roumanie.
Constantin a été envoyé dans une famille d’accueil dans le Michigan, loin de la frontière. Après deux mois de détention, son père a été expulsé; les agents lui avaient dit que son fils reviendrait avec lui, mais il n’était pas là.
En tout, Constantin est resté cinq mois dans sa famille d’accueil, qui a communiqué avec les Mutu via Skype pour qu’ils puissent rester en contact avec leur fils.
En juin 2018, la mère de la famille d’accueil a présenté le nourrisson au tribunal, où il a été convenu que Constantin retournerait en Roumanie. L’avocat représentant le gouvernement a tenté de convaincre le juge que les frais de voyage devraient être payés par la famille Mutu, mais le juge ne l’a pas écouté.
Après cinq mois, Constantin s’était attaché à sa famille d’accueil; il a eu beaucoup de mal à s’adapter à sa nouvelle vie avec ses parents en Roumanie. Le New York Times souligne que le bébé semble avoir développé un retard de langage –à l’âge de dix-huit mois, il ne dit aucun mot.
Quant à l’assistante sociale qui avait placé Constantin dans une famille d’accueil, comme nombre d’autres mineur·es, elle a depuis démissionné: son travail était devenu émotionnellement trop difficile.
Les gens vivent de plus en plus vieux et quelques générations se croisent, et il n’est pas rare de voir 4 générations se croiser
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On le sait, les gens vivent de plus en plus vieux, permettant aux familles de s’agrandir, mais aussi aux différentes générations de se côtoyer.
Sur le réseau social chinois TikTok, un phénomène viral est né. Plusieurs familles multigénérationnelles se sont mises à se filmer pour montrer à quel point leur famille était grande et leur arrière-grand-mère ou arrière-grand-père toujours aussi vivant(e)s.
Ce n’est pas moi qui va la contredire
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Une grand-mère
“Les oncles, les tantes et les cousins, c’est bien. Les parents, c’est à ne pas négliger. Mais une grand-mère les vaut tous !”
Fanny Fern
Imaginez un homme qui a été adopté, et son ami depuis 60 ans n’a jamais connu son père. Pendant toutes ces années, ils n’ont jamais douté qu’ils fussent frères. Cela a dû être une vraie surprise pour ces deux hommes
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SHUTTERSTOCK / VITSTUDIO
Alan Robinson et Walter Macfarlane se sont rencontrés il y a environ 60 ans.
Deux amis d’enfance d’Hawaï ont reçu un cadeau de Noël extraordinaire cette année lorsqu’ils ont appris qu’ils étaient frères.
Alan Robinson et Walter Macfarlane ont passé des décennies à se demander à propos de leurs familles biologiques. Robinson a été adopté, tandis que Macfarlane n’a jamais connu son père.
Les deux ont cherché en ligne pour avoir des réponses à propos de leurs membres de la famille manquant, et des tests d’ADN les ont finalement aidés à réaliser qu’une pièce importante du casse-tête était devant eux pendant des années.
«C’était une expérience bouleversante. C’est toujours bouleversant», a dit Robinson à la station de nouvelles hawaïenne KHON2. «Je ne sais pas combien de temps ça va me prendre pour passer par-dessus ce sentiment.»
Robinson et Macfarlane sont nés à 15 mois d’intervalle à Hawaï. Ils se sont rencontrés en sixième année, ont joué dans la même équipe de football au secondaire, et sont restés amis pendant environ 60 ans.
KHON2 NEWS/YOUTUBEAlan Robinson (à gauche) avec son ami et demi-frère, Walter Macfarlane.
Macfarlane a commencé à chercher des réponses en ligne à propos de son père il y a des années, mais qu’il n’a rien trouvé. Plus tard, avec ses enfants, il a commencé à utilisé des site web à propos de l’ADN comme Ancestry.com.
Le meilleur match pour l’ADN de Macfarlane s’est avéré à être un utilisateur nommé Robi737, dont les chromosomes X se sont avérés être identiques à ceux de Macfarlane. Et par un coup du destin, il s’est avéré que Robi373 était en fait Robinson.
Les deux hommes se sont rendus compte qu’ils avaient la même mère, et ont célébré la découverte en rassemblant des amis et de membres de leurs familles respectives samedi, juste à temps pour les Fêtes.
«C’est le meilleur cadeau de Noël que je pouvais imaginer recevoir», a dit Robinson à KHON2.
Ils ont dit qu’ils planifiaient passer plus de temps ensemble et de voyager ensemble pendant leur retraite.
Macfarlane et Robinson ne sont pas les seuls à avoir découvert un lien spécial entre eux de la sorte. Plus tôt en décembre, un étudiant à la Kennesaw State University en Géorgie a utilisé Ancestry.com pour trouver son frère – qui étudiait à la même université.
Des compagnies comme Ancestry.com et 23AndMe ont capitalisés sur des avancées en analyse de l’ADN en offrant des services qui permettent aux gens d’en savoir plus sur leur héritage et leurs parents. Ancestry.com est en ligne depuis 1996, mais sa base de données a été lancée en 2012.
La compagnie prétend que ses utilisateurs ont fait plus de huit milliard de connexions entre leurs arbres généalogiques et ceux de d’autres utilisateurs depuis ses débuts en 2008.
Manger en famille autour de la table, a peut-être tendance à disparaitre. Pourtant, cela aide vraiment aux enfants surtout s’ils peuvent discuter librement. Il semble plus que cela les rends moins agressifs, ils sont plus en forme et leur alimentation est meilleur
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Monkey Business Images/Shutterstock.com
Différents travaux ont déjà montré que le fait de manger en famille serait l’un des meilleurs moyens de favoriser une alimentation « santé » et équilibrée. Des chercheurs canadiens ajoutent que les repas familiaux participeraient largement au bon développement (physique et psychologique) des enfants.
Dans nos sociétés modernes, les repas pris en famille autour d’une table ne sont plus systématiques. Certains préférant faire déjeuner ou dîner leurs enfants en amont (parfois même devant la télévision). Pourtant, selon des chercheurs de l’Université de Montréal, nos bambins ont tout à gagner à manger avec le reste de la tribu.
Les scientifiques ont ainsi analysé les données concernant des petits suivis depuis l’âge de 5 mois dans le cadre de l’Étude longitudinale du développement des enfants du Québec. A partir de 6 ans, leurs parents ont commencé à indiquer si leurs repas se faisaient à table, en famille, ou bien seul devant la télévision… Enfin, lorsque l’enfant a atteint son dixième anniversaire, parents, enfants et enseignants ont délivré des informations sur les habitudes de vie de ces jeunes.
Plus en forme, moins agressifs
Résultat, ceux qui prenaient leurs repas en famille à 6 ans étaient en meilleure forme générale, avaient davantage d’interactions sociales et consommaient moins de boissons sucrées 4 ans plus tard. Ils étaient par ailleurs moins agressifs que certains de leurs camarades.
Pour les auteurs, « la présence des parents pendant les repas fournit probablement aux jeunes enfants une interaction sociale de première main. Ils peuvent ainsi discuter des préoccupations quotidiennes… Nos résultats suggèrent que les repas familiaux ne sont pas seulement des marqueurs de qualité de l’environnement familial, mais aussi des pistes pour améliorer le bien-être des enfants. »
Ainsi préconisent-ils que « les repas familiaux ne soient pas négligés dans les campagnes de santé publique visant à optimiser le développement de l’enfant ».
Congeler des embryons pour permettre a d’autres couples d’avoir une famille. Aux États-Unis, ils ont pu donner un embryon congelé depuis 25 ans et qui a donné au couple une petite fille
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Emma Wren Gibson est née le 25 novembre 2017, à Knoxville.
PHOTO AFP
Agence France-Presse
Miami
Une Américaine a donné naissance à une fillette issue d’un embryon congelé pendant près d’un quart de siècle, a révélé l’association National Embryo Donation Center, selon laquelle il pourrait s’agir d’un record mondial.
«Nous aurions pu être meilleures amies», a relevé la jeune mère Tina Gibson, née en 1991, dans une interview avec une chaîne de télévision locale WBIR.
L’embryon de sa fille, née en bonne santé, avait été conçu par un autre couple et congelé le 14 octobre 1992.
Il s’agit de «l’embryon qui a été congelé pendant la plus longue période de temps à venir au monde», a fait valoir la National Embryo Donation Center (NEDC), une organisation chrétienne qui a fait part cette semaine de la naissance d’Emma Wren Gibson le 25 novembre.
La NEDC s’est basée sur les ressources de la bibliothèque médicale Preston de l’université du Tennessee pour tirer cette conclusion.
Le directeur marketing de la NEDC, Mark Mellinger a expliqué que Tina Gibson et son mari avaient sélectionné l’embryon sur la base de ses caractéristiques génétiques, sans savoir depuis combien de temps il avait été congelé.
Selon M. Mellinger, Tina Gibson avait reçu trois embryons, dont un seul a survécu, alors que deux autres embryons du même couple sont encore congelés.
La jeune femme a expliqué avoir seulement appris de la part des docteurs une fois enceinte que l’embryon avait été congelé quelques mois après sa propre naissance.
Des experts ont cependant mis en doute les affirmations de la NEDC, expliquant qu’il est seulement requis aux États-Unis de communiquer sur l’issue de l’accouchement et non sur la durée de congélation d’un embryon. Un précédent record serait celui d’un garçon né à New York en 2011 d’un embryon congelé durant 20 ans.
«Personne n’a ces archives», a affirmé sur CNN Zaher Merhi, directeur de recherche au New Hope Fertility Center de New York.
La mission de la NEDC, telle que décrite par l’organisation de Knoxville, dans le Tennessee, est de «protéger les vies et la dignité d’embryons congelés qui ne seront pas utilisés par leurs parents génétiques et d’aider d’autres couples à construire une famille».
Ma fille aurait la famille parfaite avec ses deux filles,.. Enfin, quand elles seront un peu plus vieilles, car pour l’instant .. humm, cela dépend des jours et mon plus vieux des garçons serait en 11 position avec ses 2 filles et ses 2 garçons., alors que mon plus jeune, il faut attendre un peu, car il a eu un premier bébé, une belle petite fille. Et celui qui reste, il attend d’être prêt pour devenir papa. Ma famille a moi 1 fille, 3 garçons, je serais en 9 positions. Bon, cela dépend dépends quand même d’un nombre de facteurs … Qu’il faut prendre peut-être avec un grain de sel
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GETTY IMAGES
Voici les meilleures combinaisons des enfants selon l’étude.
Selon une étude scientifique relayée par The Telegraph, la famille idéale se composerait de deux filles.
Sujets d’étude: 2.116 familles composées de plusieurs enfants de moins de 16 ans ont été étudiées à la loupe.
Au 2e rang des familles les plus harmonieuses, on trouve un garçon, une fille. Et au top, deux filles. Pourquoi? Elles sembleraient moins tournées vers les jeux de bagarre et plus enclines à la confidence et à la discussion. Il semblerait aussi que deux filles ensemble dérangent rarement leurs parents, font moins de bruit et détestent critiquer l’autre ou dénoncer l’autre. Et au troisième rang: deux garçons. Lorsqu’ils sont petits, cela plus simple qu’après. Plus âgés ils se confient peu et partagent souvent peu d’intérêts en commun en grandissant.
L’étude a été réalisée sur des familles présentant douze combinaisons différentes, excluant un seul enfant, mais incluant 4 enfants du même sexe.
On a demandé aux parents de classer leurs enfants selon leur comportement au sein de la famille et selon ces critères notamment: compatibilité et caractère général.
Deux petites filles ensemble remportent tous les suffrages. Elles aident à la maison et généralement s’apprécient.
Fait plus étonnant? Le pire scénario familial? 4 soeurs…! Paradoxalement 4 garçons, ce serait moins de trouble que 4 filles.
Les parents de 4 filles ont créé la surprise. Cette combinaison arrive au dernier rang. Côté matériel, il faudrait une bien plus grande maison ainsi qu’une plus grande voiture. Le matin lors des préparatifs pour l’école la gestion semblerait quasi impossible.
Autre combinaison peu simple: 2 filles et 2 garçons. Quatre enfants incluant de vrais changements de cadres de vie.
«Assurez-vous que vous passez du temps de qualité avec chacun des enfants en leur rappelant combien il est précieux d’avoir des frères et sœurs », conseille aux Faye Mingo, porte-parole du site bouty.com qui a commandité l’étude.
Voici le classement complet selon cette étude:
1 – Deux filles
2 – Une fille et un garçon
3 – Deux garçons
4- Trois filles
5- Trois garçons
6 – Quatre garçons
7 – Deux filles et un garçon
8 -Deux garçons et une fille
9 – Trois garçons et une fille
10 – Trois filles et un garçon
11- Deux garçons et deux filles
12 – Quatre filles
La famille doit rester uni pour affronter les moments difficiles, quoi de plus réconfortant que d’avoir nos enfants et petits-enfants autour de nous
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Les enfants
Dans les moments les plus difficiles de la vie. La présence des enfants est le meilleur médicament
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