La maman surprend son fils en train de porter sa petite sœur


Quand un nouveau bébé rentre à la maison, les parents espèrent que tout se passe bien avec les autres enfants. Ce grand frère, était heureux de pouvoir prendre avec sa petite soeur. Il chante en anglais : tu es magnifique, et pèses sur ses mots quand il entonne : tu es tout ce que tu souhaitais. N’est-ce pas un grand moment pour les parents ?
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La maman surprend son fils en train de porter sa petite sœur

 

Le frère SDF de Madonna s’exprime sur sa sœur


Je peux comprendre que les membres d’une même famille ne s’entendent pas, mais c’est triste. Cependant quand une personne aussi riche que Madona laisse son propre frère dans la rue, je trouve que c’est inadmissible. Je n’aime pas Madona et voilà une autre bonne raison
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Le frère SDF de Madonna s’exprime sur sa sœur

Alors que la fortune de la chanteuse frôle le milliard de dollars, son frère Anthony Ciccone vit dans la rue depuis quatre ans. Ce dernier s’est confié au site israélien Tabletmag, évoquant sa relation avec sa cadette, chantant pour l’occasion un de ses titres.

Le ton est donné:

«J’ai beaucoup de respect pour le succès de ma sœur. Elle est partie de rien et a atteint le sommet. Je ne lui ai jamais rien demandé, et je ne le ferai jamais. D’ailleurs pourquoi donnerait-elle son argent à un étranger», a confié Anthony Ciccone au site israélien Tabletmag.

L’une des plus riches villes du Michigan abrite le frère de l’une des plus grandes fortunes du monde. Car Anthony Ciccone est le frère de Madonna et vit depuis quatre ans dans les rues de Traverse City.

Le journaliste isarélien est allé à sa rencontre pour démêler le nœud de cette ineptie familiale:

«Nous ne sommes pas vraiment amis» explique Anthony, «Je me souviens que dans les années 80, je suis allé rendre visite à ma sœur dans son loft à Soho, avant que ce quartier ne devienne à la mode. On devait aller au restaurant mais lorsqu’elle a vu mes vêtements, elle a décrété que nous serions mieux sur le toit de son immeuble pour manger chinois».

Une relation fraternelle plutôt tendue donc. Seul le titre de Madonna Like a Prayer semble constituer un lien ténu entre le frère et la sœur. En témoigne cette vidéo sur laquelle Anthony se met à la chanter:

 

Quant à l’histoire plus personnelle d’Anthony Ciccone, sa vie a basculé en 1993, à la naissance de son fils:

«J’étais vraiment heureux. J’ai attendu d’être père de famille toute ma vie. Ma femme et moi étions ensemble depuis sept ans et était l’amour de ma vie. Après la naissance de notre fils, elle a sombré dans la dépression. Je travaillais à Hollywood et rentrais après de longues heures de travail. Après ma journée de travail je la trouvais encore au lit. La situation a dégénéré et un jour, elle a pris notre enfant et est partie», a-t-il déclaré.

Et de continuer dans le mélodrame:

«Elle a obtenu une ordonnance restrictive contre moi. J’ai déprimé, perdu mon travail et commencé à boire. Alors toute ma famille a cessé de me parler me croyant responsable de la situation. Aujourd’hui, ma femme est mariée à un nouveau mec et je n’ai pas vu mon fils depuis 1999», conclut-t-il amer.

http://www.lefigaro.fr/

Un garçon apprend qu’il va être grand frère devant la caméra,


C’est une très belle façon d’annoncer un nouveau venu dans la famille. Je trouve que ce moyen fait encore plus participer le grand frère pour préparer l’arrivé du bébé. Même, si c’est en anglais, c’est beau a voir, l’expression, vaut mille mots
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Un garçon apprend qu’il va être grand frère devant la caméra,

 

Cette vidéo d’un petit garçon de 11 ans nommé Logan a fait le tour du monde.

Pour lui annoncer qu’il allait être grand frère, ses parents lui ont fait lire une lettre devant la caméra. Au fil des mots, le garçon apprend qu’il va devenir grand frère !

Il regarde alors la caméra estomaqué avec de grands yeux puis il répète « Quoi ? Quoi ? », avant de se lever. On le voit ensuite se rassoir et digérer la nouvelle avec les larmes aux yeux.

 

http://www.meltybuzz.fr/

Un garçon est complètement dévoué à sa sœur née avec l’amyotrophie spinale


Une belle leçon de vie que ces enfants peuvent nous donner. Même dans la grande difficulté de la vie, l’union fait la force. C’est certain que la maladie est toujours présente, mais la vie peut être belle avec l’amour inconditionnel, tout est possible
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Un garçon est complètement dévoué à sa sœur née avec l’amyotrophie spinale

 

MARLIE BEAUDIN

 

Cette vidéo, qui date du premier juin 2013, circule en ce moment sur le Web. La vidéo montre l’amour inconditionnel qui existe entre un frère et sa sœur atteinte d’une maladie rare qui l’oblige à rester dans son fauteuil roulant.

Lindsay Cochran est née avec l’amyotrophie spinale, une maladie qui affaiblie les muscles. Depuis qu’elle a deux ans, Lindsay est clouée dans une chaise roulante. Heureusement pour la fillette, son grand frère Trenton est toujours à ses côtés et se fait un devoir de faire tout ce qui est en son pouvoir pour que sa sœur soit heureuse. Écoutez le témoignage du garçon. 

http://www.journaldequebec.com/

Au royaume des chouchous


Aimer ses enfants de façon égale est-ce possible ? Pouvons nous admettre que nous avons des préférences parmi nos enfants ? Il est difficile d’apporter l’amour, l’affection en toute égalité envers nos enfants, nous les aimons, mais chaque caractères aident ou nuisent a l’interaction entre parent et enfant ..
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Au royaume des chouchous

Marie-Claude Malboeuf
La Presse

«C’est ma conviction que 95% des parents du monde ont un favori, et que les 5% restant mentent.»

Pour lancer pareille affirmation, le journaliste américain Jeffrey Kruger se base non seulement sur sa propre expérience, mais sur une vaste recension d’études, qu’il vient d’amalgamer dans un essai semi-autobiographique, The Sibling Effect.

«Le favoritisme découle de notre besoin de survie, de l’acte narcissique biologique de se reproduire à travers les générations», explique-t-il dans ce livre paru au début de l’automne. Loin d’être responsables de leur manque d’équité, les parents seraient donc «génétiquement prédisposés» à en faire preuve.

Très souvent, les parents préféreront leur enfant le plus grand, le plus en santé, le plus beau, précise Jeffrey Kluger. Ou tout simplement, l’enfant auquel ils auront consacré le plus de temps, d’argent et attention (plus souvent qu’autrement, l’aîné). Bref, ils tenteront de protéger leur investissement.

Dans certains cas, la vulnérabilité du benjamin les fera tout de même fondre, nuance-t-il, en soulignant que cela distingue très nettement les humains des autres êtres vivants. Dans la nature, illustre Kulger, certains oiseaux laissent l’oisillon le plus faible se faire dévorer par ses frères et soeur. Une espèce de pingouins pond pour sa part deux oeufs et en élimine un: le plus petit. Et les embryons du requin des sables se dévorent entre eux jusqu’à ce qu’il n’en reste plus qu’un, lequel sera ensuite régulièrement nourri de nouvelles rations d’oeufs.

Après avoir filmé les interactions de quelque 400 familles à 9 reprises pendant une période de 3 ans, la chercheuse californienne Katherine Conger a conclu que 65% des mères et 70% des pères avaient un enfant favori.

D’après une étude connexe réalisée à l’Université Redlands de Californie, par Catherine Salmon, la mère préfère généralement son fils aîné, et le père, sa benjamine. D’autres chercheurs ont conclu que les parents sont attirés par ce qu’ils retrouvent d’eux-mêmes en leur enfant du sexe opposé (certains pères adorant par exemple tout particulièrement leur fille sportive).

Moins souvent ciblés, les enfants du milieu sont plus souvent préférés lorsqu’ils sont le seule garçon ou la seule fille de la famille.

Il n’est donc pas surprenant, expose Jeffrey Krugger, que les enfants eux aussi soient génétiquement programmés. Dans leur cas, à lutter pour les ressources de leurs parents -temps, attention, revenus-, surtout lorsqu’ils sont proches en âge.

«Les enfants sont comme les feuilles dans les arbres, ils s’orientent de manière à pousser dans un rayon de lumière qui n’est pas bloqué par la feuille du dessus», écrit le journaliste, responsable des pages scientifiques au Time Magazine.

Pour se distinguer aux yeux de leurs parents, les frères et soeurs se cherchent une niche propre, que ce soit en terme de tempérament ou d’intérêt, dit-il. Et ce rôle peut nous suivre toute notre vie, et forger notre destin.

D’après les nombreuses études qui s’intéressent au rang familial, le fait d’être l’aîné, le cadet ou le benjamin est très souvent -mais pas toujours- associé à une série de traits de personnalité.

Les aînés seraient plus susceptibles de vouloir répondre aux attentes des parents et d’être conformistes, loyaux et sérieux. Les benjamins chercheraient à se différencier en jouant le rôle du clown, du rebelle, de l’artiste. Ils auraient moins peur du danger. Les enfants du milieu seraient pour leur part plus proches de leurs amis que de la famille.

L’hostilité diminue avec l’âge

> 75% des gens se disputaient fréquemment ou très fréquemment avec leur frères et soeurs dans leur jeunesse, selon une étude de l’Université d’Indianapolis. À l’âge adulte, 87% d’entre eux ne se disputent plus, ou presque plus.

> Quand des enfants de trois à sept ans jouent ensemble, une dispute « significative » éclate chaque dix-sept minutes, selon une étude de l’Université de l’Illinois.

> Entre les petits de deux, trois ou quatre ans, les batailles sont deux fois plus rapprochées (elles surviennent aux neuf minutes et demie), révèle une étude de l’Université de Toronto.

> À l’âge adulte, les relations fraternelles prennent typiquement cinq formes, identifiées par la psychologue Deborah Gold, de l’Université Duke, en Caroline du Nord :

– 17% des gens disent avoir une relation intime. Ils sont très proches de leurs frères et soeurs, qu’ils voient souvent et considèrent comme leur meilleur ami.

– 28% ont une relation agréable. Ils considèrent leur frère ou leur soeur comme un bon ami, qu’ils appellent régulièrement.

– 35% ont une relation loyale. Ils se voient aux grands événements et peuvent se fier l’un à l’autre, sans se fréquenter.

– 10% ont une relation apathique. Ils se sont éloignés et n’essaient pas d’y remédier.

– 10% ont une relation hostile et se détestent passionnément, même sans être en contact.

Source : The Sibling Effect

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Trois frères touchés le même jour par un infarctus


C’est bizarre, il y a des évènements qui nous laissent sans voix, comment trois personnes d’une même famille peuvent avoir le même malaise surtout que le 3 ème n’était pas au même endroit que les deux autres …
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Trois frères touchés le même jour par un infarctus

Trois frères touchés le même jour par un infarctus

Photothèque La Presse

Agence France-Presse
Rome

Trois frères siciliens ont été touchés par un infarctus le même jour et deux en sont morts, tandis que le troisième, qui se trouvait à l’hôpital au chevet de la mère, a pu être sauvé, a rapporté mardi Il Corriere della Sera.

Guido et Alberto Garofalo étaient en train de faire un pique-nique dimanche en famille dans une pinède sur les flancs de l’Etna, quand le premier, âgé de 45 ans à peine, tombe mort à l’improviste, victime d’une crise cardiaque.

Alberto, 54 ans, se précipite près de son plus jeune frère, hurle, pleure et s’écroule mort lui aussi, son coeur ayant également flanché, poursuit le journal.

Le troisième frère, Salvatore, se trouvait en revanche le même jour à l’hôpital de Catane où il rendait visite à leur vieille mère qui, selon le journal, n’était pas encore informée du décès de ses deux autres fils, quand il a été victime lui aussi d’une crise cardiaque.

L’homme a été immédiatement transféré aux service des urgences où les médecins ont réussi à le sauver in extremis, selon la même source.

Selon Il Giornale di Sicilia, la famille compte encore les sept soeurs de Guido, Alberto et Salvatore.

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