Liberté


J’ai toujours considérer la liberté était intérieur car extérieur il n’y pas une liberté mais des libertés
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Liberté


"On rencontre beaucoup d’hommes parlant de liberté, mais on en voit très peu dont la vie n’ait pas été
principalement consacrée à se forger des chaînes."

Gustave Le Bon

La rancune


La rancune ne fait que nous rendre malheureux, bien sur ce n’est pas facile d’effacer ce sentiment, mais il est nécessaire qu’on essaie de s’en débarrasser car c’est nous que nous faisons du tord
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La rancune

Lorsque nous entretenons de la rancune, aussi douloureuse que soit notre blessure ou notre déception, nous laissons demeurer en nous une semence qui grandira pour devenir un arbre qui fera de l’ombre à votre paix intérieure.

La rancune favorise les dépressions, le stress et autres troubles. Cette émotion est toxique et ne dépend que de ce que vous VOULEZ en faire

Michel Poulaert

Le saviez-vous ► Expression : Se faire bardasser


Une expression typiquement québécois, qui serait quand même emprunté d’un mot arabe pour en faire un verbe ..ou d’un verbe français que nous avons adapter a notre vocabulaire Enfin, une chose de sur, personne n’aime se faire bardasser
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Se faire bardasser


 Avoir été bruyamment et/ou brusquement déplacé
 
origine :  Canada (plutôt Québécois) 

Le verbe bardasser, sous sa forme "se faire bardasser", signifie "avoir été bruyamment et/ou brusquement déplacé".

Il y a pour ce verbe 2 origines possibles :

– Selon une première hypothèse, l’expression serait tirée du verbe bordanser (Poitou) qui signifie balancer, branler, secouer.

– Jean Moisant suggère quant à lui que le verbe bardasser vient du substantif bardas, emprunté à l’arabe barda (le harnais des bêtes de somme) qui désignait en langage militaire l’équipement du soldat. Par extension, le terme barda représente un chargement encombrant.

Un soldat chargé de son barda faisant beaucoup de bruit à cause des nombreux objets métalliques qui le composait, c’est cette idée de bringuebalement, de chahut bruyants qui aurait fixé le sens du verbe dans notre expression.

Le Glossaire, Clapin et Dionne donnent le même sens à l’expression "se faire berdasser" qui signifie aussi que l’on a été secoué de manière violente, comme dans : " J’arrive de Lorette, je me suis fait berdasser dans des chemins affreux." (Dionne) 

http://www.francparler.com

Il obtient un nouveau procès car un juré «tweetait»


Il y a des gens qui ont un manque total d’étique, qu’on trouve ou non que jugé devant jurie est dépassé, étant donné qu’on continu cette méthode, il y a des gens qui devraient prendre un peu plus de sérieux,
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Il obtient un nouveau procès car un juré «tweetait»

Il obtient un nouveau procès car un juré «tweetait»

Photo: AFP

Agence France-Presse
Washington

Un condamné à mort dans l’Arkansas a obtenu jeudi le droit à un nouveau procès car, lors de sa première comparution, un juré dormait et un autre tweetait.

La Cour suprême de l’Arkansas a annulé la condamnation à mort d’Erickson Dimas-Martinez et a ordonné la tenue d’un nouveau procès.

«Le fait qu’un juré dorme et qu’un second gazouille constitue une faute du jury», a justifié la Cour dans sa décision rendue publique jeudi et dont l’AFP a obtenu une copie.

Après une condamnation à la peine de mort et la prison à perpétuité pour meurtre et cambriolage aggravé, les avocats de M. Dimas-Martinez avaient fait appel en 2010.

La requête avait été rejetée en première instance, puis en appel avant d’aboutir devant la Cour suprême de l’État de l’Arkansas.

Dans leur requête, les avocats avaient pointé «une faute du jury mettant en doute l’impartialité du tribunal», selon la décision.

Ils avaient souligné qu’«un juré gazouillait pendant le procès en dépit des instructions précises du juge» de ne pas communiquer sur internet à propos de l’affaire.

Ils avaient également relevé qu’«un juré s’était endormi pendant» une phase du procès, «un fait qui avait été porté à l’attention du tribunal».

Selon le document, le juge avait interrogé l’intéressé, mais avait décidé de ne pas le récuser et de poursuivre l’audience.

Pendant une pause déjeuner, un autre juré avait écrit ces mots sur son compte Twitter:

«des choix doivent être faits, des coeurs vont se briser… chacun, nous devons trancher». Cinquante minutes avant que le verdict soit annoncé, il avait à nouveau gazouillé: «C’est fait».

«C’est une violation flagrante des instructions du tribunal interdisant les gazouillis», avait estimé l’avocat de M. Dimas-Martinez, en alertant le tribunal.

Il avait souligné qu’un des abonnés de ce juré était un journaliste.

Mais là aussi, le juge avait été convaincu par le juré arguant qu’il «n’avait pas parlé du tout de l’affaire» dans ses gazouillis, et l’avait maintenu dans le jury.

«Plus grave encore», souligne ce document, le juré avait continué de tweeter pendant le procès et les délibérations, en dépit des alertes du juge.

«Ne gazouillez pas, n’utilisez pas votre téléphone portable pour parler à quiconque de cette affaire, si ce n’est, peut-être, pour souligner la longueur de l’affaire ou quelque chose comme ça», avait prévenu le juge.

«Twitter étant un média social sur internet, les gazouillis du juré sur le procès devenaient une discussion publique. Même si ces discussions ne venaient que d’une partie, il n’était en aucun cas, approprié pour un juré de publier ses pensées, ses impressions ou toute autre information sur cette affaire», a conclu la Cour suprême d’Arkansas, dans sa décision.

http://www.cyberpresse.ca

Salles de bain De vrais nids à microbes


Je déteste aller dans les toilettes publiques, mais quand il le faut, il le faut. Suite a cette étude je pense qu’on devrait utiliser la papier de toilette ou papier essuie main quand c’est pas un sèche-mains qui prend la place, pour tirer la chaste d’eau et ouvrir et fermer les robinets … en plus bien sur de se laver les mains
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Salles de bain De vrais nids à microbes

De vrais nids à microbes

Crédit photo : AFP

Agence QMI

Les salles de bain publiques et la plupart des surfaces qu’on y retrouve regorgent de bactéries et de microbes, selon des chercheurs américains.

Poignées de porte, sièges de toilette, robinets, distributeurs de savon, chasses d’eau, planchers : toutes les surfaces des toilettes publiques sont littéralement couvertes de bactéries, ont découvert des scientifiques qui ont réalisé une étude à ce sujet.

Les auteurs de ces travaux, chercheurs à l’Université du Colorado, à Boulder, ont prélevé des échantillons sur différentes surfaces des toilettes dans des lieux publics et des campus universitaires.

Ils ont constaté que le sol constituait la zone où l’on retrouvait le plus grand nombre de bactéries, en quantité et en variété. Celles-ci sont traînées par les semelles des personnes qui se rendent dans les toilettes. Les poignées des chasses d’eau présentaient la même diversité de microbes, ce qui laisse croire que plusieurs personnes déclenchent la chasse d’eau avec le pied.

Les chercheurs ont aussi retrouvé de grandes quantités d’une bactérie potentiellement dangereuse pour la santé gastro-intestinale sur les sièges de toilette et les poignées de porte, provenant soit d’un contact direct avec les selles ou à cause d’éclaboussures avec de l’eau contaminée au moment où la chasse d’eau a été actionnée.

Ces constats démontrent hors de tout doute que se laver les mains consciencieusement après avoir utilisé des toilettes est absolument indispensable.

Les résultats de ces travaux ont été publiés dans la revue scientifique PLoS One.

http://tvanouvelles.ca

Cultiver la bonté


Une journée internationale de la gentillesse .. je trouve cela épatant, mais la gentillesse ne doit pas se faire 365 jours par année ?  Vous savez, je déteste les fêtes, je trouve que cette période est lourd et en fait je suis une anti fête pour une raison personnelle mais aussi parce que c’est la fête du gaspillage, en argent, bouffe etc .. mais une chose que j’aime a cette période, comme par exemple la guignolée ou on ramasse des aliments non périssable, de l’argent et des jouets. Les gens sont plus souriants et saluent même s’ils sont inconnus. Les ainées ont enfin de la visite de leur famille ou d’étrangers, les itinérants ont un peu plus d’empathie de la population, mais cela ne devrait pas durer juste un mois .. mais bien toute l’année
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Cultiver la bonté

Cultiver la bonté

Illustration: La Presse

Sylvie St-Jacques
La Presse

 

Au nom de la charité, les membres de Simple Plan ou Joannie Rochette ont posé nus au profit de Centraide. Les Français ont récemment célébré la 3e Journée internationale de la gentillesse, sentiment humain auquel le magazine Psychologie vient de consacrer un grand dossier. Pas de doute: y a de la bonté dans l’air. Phénomène saisonnier ou réchauffement du climat social?

«L’empathie est l’élément social soudant toutes les civilisations», écrit l’économiste américain Jeremy Rifkin dans

La civilisation de l’empathie, essai paru en traduction française au printemps 2011. Dans cette brique de près de 700 pages, ce conseiller pour l’Union européenne s’emploie à démontrer que la nature humaine profonde est plus altruiste que vile ou avide de pouvoir et que l’humanité doit absolument prendre un «virage bonté». La survie de l’espèce, selon lui, en dépend.

«L’empathie est l’âme de la démocratie. C’est la reconnaissance du fait que chaque vie est unique, inaliénable et mérite une considération égale dans la sphère publique. L’évolution de l’empathie et l’évolution de la démocratie ont toujours avancé main dans la main, à travers l’histoire. Plus une culture est empathique, plus ses valeurs et ses institutions sont démocratiques», poursuit Rifkin.

Pour survivre en ce siècle de turbulences, les quelque 7 milliards de Terriens que nous sommes devront renouer avec notre bonté intrinsèque. Mais cultiver la bonté, n’est-ce pas aller à contre-courant? Le cynisme a en effet été associé à l’intelligence et un certain réalisme. Et quels sont les contextes qui favorisent chez l’individu les comportements nobles?

Le philosophe Ruwen Ogien, dans un récent ouvrage intitulé L’influence de l’odeur des croissants chauds sur la bonté humaine, explore justement les conditions morales, intrinsèques et contextuelles qui motivent l’égoïsme ou l’altruisme chez les mortels. Ogien, un spécialiste de philosophie morale et chercheur au CNRS, à travers une série de mises en situation qui impose un choix moral, confronte le lecteur à des dilemmes avec des questions comme «la vie d’un animal vaut-elle moins que celle d’un homme?» ou «est-il acceptable de sacrifier une personne pour en sauver cinq autres?» À travers ces «expériences de pensées» à solutions multiples, Ogien fait la preuve que de trancher entre le bien et le mal est un complexe casse-tête éthique. Et, études scientifiques à l’appui, il démontre que la bonté humaine est moins une vertu intrinsèque qu’une réaction au contexte ambiant. Ainsi, écrit Ruwen Ogien, il a été prouvé que les effluves du four du boulanger ont un effet positif sur le cerveau humain et motivent les gens à être plus serviables et patients…

«Ce qui est plus étonnant, c’est à quel point les facteurs qui déclenchent la bonne humeur et les comportements «prosociaux» associés peuvent être futiles ou insignifiants. Il suffit de trouver une pièce de monnaie sur l’appareil dans une cabine de téléphone public pour être bon!», écrit Ruwen Ogien.

La guérilla de la bonté

Interviewé par le magazine français Psychologie, qui consacrait récemment tout un dossier à la gentillesse, le moine bouddhiste Matthieu Ricard expliquait le retour actuel aux valeurs comme l’empathie, l’altruisme, la coopération, comme une réaction à la mondialisation.

«Nous sentons bien que nous sommes tous sur le même bateau. Face à la question écologique, face aux écarts entre riches et pauvres, et entre Nord et Sud, nous comprenons que l’heure n’est plus à la compétition, mais à la coopération. Sans quoi, nous serons tous perdants. Et à l’échelle individuelle, nous mesurons bien que cet égoïsme et cet individualisme font notre malheur. Ils sont la cause de notre sentiment de solitude, de nos ruminations excessives, de nos déprimes…», affirme le traducteur du dalaï-lama.

Patience Salgado, alias «Kindness Girl» (c’est le titre de son blogue), a quant à elle pris l’initiative de contribuer à créer un monde meilleur, en pratiquant au quotidien des menues actions de générosité, une noble mission qu’elle tente aussi de transmettre à ses enfants.

«Enfant, j’ai vu mes parents faire des gestes de bienveillance: ils avaient l’habitude d’apporter des repas dans les hôpitaux, par exemple. Quand mes trois enfants étaient petits, j’ai commencé à faire aussi des petits gestes de bonté anonymes: je me promenais dans la ville et je laissais des cartes pour des cafés gratuits. Aux alentours de l’Halloween, je dispersais des citrouilles ou encore j’écrivais à la craie des messages sur le trottoir. J’adorais l’effet de surprise de ces gestes», raconte au téléphone cette mère de trois enfants âgée de 35 ans, qui vit à Richmond, en Virginie.

Depuis que le magazine Oprah a parlé d’elle, Patience Salgado reçoit des quantités d’appels de bons Samaritains qui veulent imiter sa «mission bonté» dans leur propre communauté.

Patience, qui raffole de l’aspect anonyme de ces menus gestes de bonté, confie que sa croyance profonde dans la connectivité qui relie tous les humaines motive son travail, qu’elle autofinance entièrement. La prochaine mission de sa «guérilla bonté» ? Un jour de gratitude envers les éboueurs de son quartier.

«Pendant la période des Fêtes, les éboueurs ont la lourde tâche de ramasser tous les résidus de cette période de réjouissances. Ce sont des personnes qui sont partie prenante de nos vies quotidiennes et pourtant, on ne les connaît pas. C’est pourquoi j’ai invité les gens de ma communauté à laisser sur leurs sacs-poubelles des notes de remerciement, un peu de pourboire ou encore des cartes pour des cafés gratuits, histoire de leur montrer notre gratitude.»

Et au Québec? Pas de doute, une dose d’action désintéressée serait ici la bienvenue.

«Le Québec est la province où l’on pratique le moins de bénévolat», rappelle François Lahaise, agent de communication pour le Centre d’action bénévole de Montréal.

Est-ce le froid qui masque l’odeur des croissants chauds qui nous rend avares de notre temps, de notre énergie, de notre bonté et peu enclins à manifester notre altruisme? Selon François Lahaise, une méconnaissance de ce que représente l’action bénévole en serait peut-être la cause.

«Plusieurs gens pensent que le bénévolat est réservé aux personnes âgées. Mais sur le site du Centre d’action bénévole, on a le choix de 900 activités dont certaines demandent aussi peu que trois heures par mois.»

Sans compter que l’action bénévole, selon certaines études, procure des bénéfices pour la santé, réduit les risques de maladies cardiaques, le stress, la dépression…

Soyons bons, c’est de saison. Mais aussi, comme le rappelle François Lahaise, la bonté bénévole est une vertu à pratiquer 12 mois par année.

«Pour la période des Fêtes, les demandes de bénévoles sont presque toutes comblées. C’est bien beau, aider les démunis le 24 décembre, mais ils seront encore dans le besoin le 24 janvier, le 24 mars et le 24 avril.»

http://www.cyberpresse.ca

Mauvaise idée: un rétroviseur de jeux vidéo!


Je ne sais pas si ils sont vraiment conscient des problèmes qu’ils vont causé. Me semble que cela prend pas une grosse tête pour comprendre que cette nouvelle technologie installée dans une auto et en plus sur le rétroviseur va créer des émois sur la route … Les accidentés vont t’il amener en justice les concepteur de ce jeu ? Déjà que se tue a dire que les textos au volant c,est dangereux alors imaginé un jeu vidéo
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Mauvaise idée: un rétroviseur de jeux vidéo!

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La compagnie Chinavision doit considérer que la population mondiale est trop élevée. Il n’y a pas d’autre explication pour l’existence du gadget d’aujourd’hui.

Il s’agit d’un rétroviseur pour la voiture doté non seulement d’un GPS et d’une connectivité Bluetooth, mais aussi d’un écran tactile de 4,3 pouces de diagonale pour que l’on puisse s’en servir pour jouer à des jeux vidéo. Oui, des jeux vidéo. Sur le rétroviseur. Au lieu de surveiller la route.

Oh, et il y a aussi des fonctions d’enregistrement numérique pour filmer ce qui se passe autour de la voiture. Par exemple, pour vérifier une fois rendu à l’hôpital de quoi avait l’air l’accident qu’on a provoqué en jouant à des jeux vidéo sur le rétroviseur au lieu de surveiller la route.

Misère…

Environ 200$, cartes de mémoire incluses, via GizMag.

http://www.branchez-vous.com/