Cette photo dédicacée d’Hitler enlaçant une enfant juive s’est vendue 11 500 dollars


Il est difficile de croire qu’Adolf Hitler malgré sa propagande d’une race pure, s’était pris d’affection d’une enfant juive. Son secrétaire général voyait de très mauvais oeil cette affinité avec une Juive, qu’il a essayé de le remettre à l’ordre. C’est une photo rare qui s’est vendu plusieurs milliers de dollars aux États-Unis.
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Cette photo dédicacée d’Hitler enlaçant une enfant juive s’est vendue 11 500 dollars

 

Crédits : Alexander Historical Auctions

par  Laura Boudoux

 

La photo date de 1933 et montre Adolf Hitler serrant dans ses bras Rosa Bernile Nienau, une petite fille juive de 7 ans.

Dédicacée par le dictateur, le cliché pris par Heinrich Hoffmann s’est vendu le 13 novembre 2018 à 11 520 dollars (soit 10 160 euros), lors d’une vente aux enchères organisée à l’Alexander Historical Auctions, dans le Maryland. La photo a été prise au Berghof, la résidence secondaire d’Adolf Hitler située dans les Alpes bavaroises, et n’avait jusqu’à présent jamais été montrée publiquement, rapporte le DailyMail.

« Hitler était très souvent pris en photo avec des enfants pour servir la propagande. L’aspect choquant de cette pièce, c’est qu’il semblait avoir une véritable affinité avec la petite fille. J’étais tout simplement stupéfié [de voir cette photo] », a déclaré le commissaire-priseur Bill Panagopulos.

Pris d’affection pour la fillette malgré son idéologie, Hitler l’a régulièrement vue, jusqu’en 1938. Entre 1935 et 1938, l’enfant et le Fürher se sont même échangés une dizaine de lettres, dans lesquelles Rosa s’adressait au Führer en l’appelant « mon oncle ».

Martin Bormann, le secrétaire général d’Hitler, a fini par intervenir lorsqu’il a découvert les origines « non-ariennes » de Rosa, et l’enfant, ainsi que sa mère, ont été bannies de la vie du dictateur.

« Rosa et Hitler sont devenus très proches, à tel point que le dictateur a longtemps refusé tout effort pour interdire sa compagnie. Finalement, il a cédé et la fillette et sa mère ont reçu l’instruction de se tenir à l’écart et de rester silencieuses », raconte Bill Panagopulos.

Le 20 avril 1933, alors qu’il fêtait son anniversaire, Adolf Hitler a appris que la petite Rosa partageait la même date de naissance que lui. Il l’a alors invitée chez lui, ainsi que sa mère Karoline. Dans le livre Hitler Was My Friend, paru en 1955, le photographe Heinrich Hoffmann se souvient d’Hitler allant d’abord à l’encontre des recommandations de Bormann concernant ses fréquentations

. « Il existe des gens qui ont un véritable talent pour gâcher chacune de mes joies », se serait ainsi plaint Hitler lorsqu’il lui a été interdit de revoir Rosa.

Rosa Bernile Nienau est décédée à 17 ans d’une polio dans un hôpital de Munich, en pleine Seconde Guerre mondiale.

Sources : BBC News / DailyMail

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L’Ouragan Florence : la population fuit la cote est


 

L’ouragan Florence qui va s’abattre sur les États côtiers risque de faire de gros dégâts sur nos voisins américains. 3 états la Caroline du Sud, la Caroline du Nord et la Virginie, se préparent au pire, Washington subira aussi des conséquences pour plusieurs jours de la montée des eaux
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L’Ouragan Florence : la population fuit la cote est

Entrez la légende de la vidéo ici

De longues files de voitures se sont formées mardi sur les routes du littoral d’une vaste zone de l’est des États-Unis où la population fuyait vers l’intérieur des terres avant l’arrivée de Florence, un ouragan potentiellement dévastateur attendu avec des vents extrêmement violents et des pluies diluviennes.

Les opérations d’évacuation concernent 1,7 million de personnes en Caroline du Sud, Caroline du Nord et en Virginie. Les trois États sont les plus menacés par Florence, qui progresse vers l’ouest et le nord-ouest à une vitesse de 28 km/h et devrait atteindre jeudi les côtes américaines, selon le Centre national des ouragans (NHC).

Mais l’ouragan, classé mardi en catégorie 4 (sur 5) sur l’échelle de Saffir-Simpson avec des vents atteignant 220 km/h, pourrait sévir jusqu’en Pennsylvanie, a mis en garde l’Agence fédérale de gestion des situations d’urgence (FEMA).

Solidarité

À Charleston, certains ont pourtant ignoré les consignes d’évacuation alors que le Soleil baignait la grande ville touristique de Caroline du Sud, où de nombreux restaurants et magasins ont fermé.

Desiree Taylor, une infirmière, va rester dans son appartement de la banlieue de la ville. Elle compte sur ses voisins et leur générateur électrique pour alimenter son réfrigérateur.

«Tout le monde est solidaire», explique-t-elle.

D’autres habitants ont choisi de partir. Michael Kennedy, ingénieur chez Boeing, va rejoindre ses parents à Atlanta, en Géorgie.

Sa compagne, Emily Whisler, a été réquisitionnée par l’université de médecine de la ville.

«Ils m’ont dit d’apporter une couverture et un oreiller, je vais rester là-bas plusieurs jours», a-t-elle dit.

En Virginie, près d’un millier de détenus ont été transférés dans une prison de l’intérieur de l’Etat. Mais en Caroline du Sud, un millier d’autres vont rester dans leur centre de détention «pour leur sécurité», selon les médias locaux citant un porte-parole des services pénitentiaire.

Les supermarchés ont été pris d’assaut par la population qui faisait le plein d’eau, de nourriture et de produits de première nécessité. De nombreux habitants ont également calfeutré portes et fenêtres de leur logement en prévision des vents violents.

L’agence fédérale chargée du contrôle des armes à feu (ATF) a également recommandé aux armuriers de mettre à l’abri leurs stocks d’armes, d’explosifs et de munitions.

«C’est un ouragan puissant qui va frapper les côtes de Caroline comme les habitants n’en ont pas vu depuis des décennies», a affirmé Jeffrey Byard, un responsable de la Fema à Washington.

Ils doivent s’attendre à des coupures d’électricité, des destructions de bâtiments, de routes et de ponts, ainsi qu’à des inondations d’envergure, des dégâts qui peuvent «potentiellement faire des victimes», a-t-il averti.

Après les trois États côtiers et le Maryland, la capitale fédérale Washington a également déclaré l’État d’urgence, redoutant les précipitations portées par l’ouragan qui pourraient provoquer des crues soudaines alors que les sols sont déjà gorgés d’eau après plusieurs jours de pluie.

Le Potomac, qui longe la capitale fédérale, était déjà en crue mardi et inondait la vieille ville d’Alexandria, en Virginie, où les autorités ont fourni des sacs de sable aux habitants pour se protéger de la montée des eaux.

Dans son bulletin de 17h00, le NHC a mis en garde contre une «montée des eaux potentiellement mortelle sur les côtes» de Caroline du Nord et du Sud, jusqu’à la baie de Chesapeake, dans le sud du Maryland.

Une rue inondée dans la ville d'Alexandria, en... (AFP) - image 3.0

Une rue inondée dans la ville d’Alexandria, en Virginie.

AFP

Inondations majeures 

Les autorités s’attendent à des inondations majeures, avec des montées d’eau de 35 à 50 cm, et à des crues à l’intérieur des terres jusqu’en début de semaine prochaine.

«Nous n’avons été jamais aussi prêt» pour affronter l’ouragan, a assuré le président américain Donald Trump après avoir été informé des mesures mises en place.

«Il est terriblement gros, terriblement humide, un niveau d’eau terrible», a-t-il ajouté depuis le bureau Ovale.

Deux autres dépressions suivent Florence dans l’Atlantique.

Helene, un ouragan de catégorie 2, a pris une trajectoire nord-ouest et devrait perdre progressivement en vigueur au milieu de l’océan.

Avec des vents de 110 km/h, la tempête tropicale Isaac prenait pour sa part la direction des Petites Antilles, qui se remettent encore du passage de Maria.

Entre août et septembre 2017, les trois puissants ouragans Harvey, Irma et Maria ont causé la mort de milliers de personnes et provoqué des milliards de dollars de dégâts dans les Caraïbes et le sud-est des États-Unis.

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Des États américains engageront une poursuite contre l’administration Trump pour sa politique migratoire


Donald Trump isole les États-Unis et brise des liens qui duraient depuis des années. En plus, le Président brise en miettes le pays. Plusieurs états américains ont décidé de faire face à Donald Trump en lançant une poursuite contre la manière qu’il gère avec son équipe, le décret migratoire.
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Des États américains engageront une poursuite contre l’administration Trump pour sa politique migratoire

 

Une femme tient une affiche avec le message « Nous appartenons tous à la même communauté » en marge d'une rencontre entre des maires d'un peu partout aux États-Unis, jeudi, près d'un centre de détention d'enfants migrants à Tornillo au Texas.

Une femme tient une affiche avec le message « Nous appartenons tous à la même communauté » en marge d’une rencontre entre des maires d’un peu partout aux États-Unis, jeudi, près d’un centre de détention d’enfants migrants à Tornillo, au Texas. Photo : Reuters/Mike Blake

Une dizaine d’États américains, dont la Californie, Washington et le New Jersey, vont poursuivre l’administration Trump pour sa politique migratoire après la séparation de milliers de familles entrées illégalement sur le territoire américain, a annoncé jeudi le procureur général de l’État de Washington.

AGENCE FRANCE-PRESSE

« C’est une politique aberrante, cruelle et anticonstitutionnelle » et « nous allons y mettre un terme », a déclaré Bob Ferguson dans un communiqué.

Plus de 2300 enfants et adolescents ont été séparés de leurs parents depuis le début du mois de mai, après l’arrestation de ces derniers pour avoir illégalement traversé la frontière avec le Mexique. Devant l’indignation mondiale suscitée par cette politique et le malaise au sein même de son parti, Donald Trump a signé mercredi un décret mettant fin à ces séparations.

L’incertitude demeure toutefois sur le sort des mineurs arrachés à leurs parents et sur la façon dont ils pourront être réunis.

M. Ferguson a dénoncé « l’incertitude » et le « chaos » créés par la politique de séparation des familles, mais aussi par le décret signé mercredi qui « cherche à détenir de manière indéfinie les enfants et leurs parents et continue à poursuivre pénalement les demandeurs d’asile ».

Le responsable dénonce aussi les « conditions inhumaines et horribles » dans les centres de détention de la police de l’immigration et des frontières, et il s’insurge contre le manque de contact – parfois pendant des semaines – entre les mères et les enfants dont elles ont été brusquement séparées à la frontière.

Parmi les États qui se sont associés à la plainte figurent le Massachusetts, le Maryland, le Nouveau-Mexique, la Pennsylvanie, l’Iowa et l’Illinois.

Bob Ferguson a dit s’attendre à ce que d’autres États les rejoignent.

L’État de Washington est l’un de ceux qui se sont montrés les plus agressifs, aux côtés de la Californie et de New York, contre l’administration du président républicain Donald Trump, engageant notamment des poursuites contre le décret migratoire empêchant l’entrée sur le territoire américain des ressortissants de plusieurs pays à majorité musulmane.

L’administration Trump a de son côté poursuivi la Californie pour sa politique d’État « sanctuaire », qui permet aux autorités locales de refuser de coopérer avec les autorités migratoires au sujet de sans-papiers n’ayant pas commis de crimes sérieux.

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Le Saviez-Vous ► L’histoire de la Maison Blanche


Les Américains ne devraient jamais oublier leur histoire et se rappeler que ce pays a été construit grâce aux émigrés et l’esclavage des africains venus de force dans ce pays. La Maison Blanche fait partie de l’histoire de ces gens
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L’histoire de la Maison Blanche

La façade sud de la Maison Blanche, à Washington | HiraV via Flickr CC License by

La façade sud de la Maison Blanche, à Washington | HiraV via Flickr CC License by

Repéré par Cyril Simon

Dans son discours de soutien à Hillary Clinton, Michelle Obama a dit qu’elle vivait «dans une maison construite par des esclaves». Ce qui n’est pas tout à fait exact.

La Première dame des États-Unis n’a pas tort mais elle n’a pas entièrement raison non plus. Certes, de 1792 à 1800, des esclaves noirs travaillaient sur le chantier de la Maison Blanche, située entre deux États esclavagistes, la Virginie et le Maryland. Mais ils n’étaient pas les seuls, comme s’accordent à le dire les historiens, notamment ceux de l’Association historique de la Maison Blanche.

Au départ, le chantier ne devait être composé que de travailleurs européens. Leur travail étant jugé pas assez efficace (et peut-être aussi pour réduire les coûts), le recrutement a été ouvert aux ancêtres des Afro-Américains. Rien de surprenant, selon le journaliste Jesse J. Holland, auteur en 2016 du livre intitulé Les Invisibles: l’histoire méconnue des esclaves africains-américains de la Maison Blanche:

«la majorité des demeures qui étaient construites dans le Sud durant l’esclavagisme l’étaient par des esclaves», résume-t-il au New York Times.

Ces esclaves, dont les identités n’ont jamais été retrouvées, étaient envoyés par leur propriétaire. Ils n’ont jamais appartenu formellement à la présidence,comme le prouve une fiche de travail officielle.

Les esclaves dehors, les blancs à l’intérieur

Reste que la hiérarchie était claire entre blancs, noirs, originaires du coin, d’Europe ou d’Afrique. Les esclaves étaient sans surprise affectés aux tâches les plus ingrates.

«Ces esclaves creusaient l’argile avec des pelles à main, travaillant jour et nuit pour livrer la matière première aux briquetiers qualifiés et, en même temps, ils creusaient le terrain qui allait devenir la fondation et la cave de la Maison Blanche», décrit le journaliste Jesse J. Holland dans son livre.

Les immigrants européens, eux, qui, pour la plupart, ne possédaient pas la nationalité américaine, s’occupaient de l’intérieur de la demeure. Les murs de grès ont été érigés par des immigrants écossais, tout comme la rose en haut-relief et les guirlandes situés au-dessus de l’entrée nord. Des immigrants irlandais et italiens se sont quant à eux occupés des briques et des plâtreries. On trouvait également sur le chantier des travailleurs du Maryland et de Virginie.

Après avoir construit la plupart des édifices gouvernementaux de la ville, dont le Capitole, beaucoup d’esclaves sont devenus domestiques.

«Jusqu’à 1840, le Congrès n’allouait pas de fonds au président pour entretenir la résidence. C’était à lui de payer les factures d’entretien, et les noirs constituaient une main-d’œuvre idéale et bon marché», expliquait en 2009 Jesse J. Holland à Paris Match.

 Il faudra attendre 1955 et la nomination de Frederick Morrow comme officier administratif pour les projets spéciaux pour qu’un noir obtienne une haute fonction dans le palais présidentiel.

http://www.slate.fr/

Un canidé préhistorique récémment découvert grâce à une unique molaire


C’est vraiment fort ! Seulement avec une molaire, les paléontologues peuvent voir s’il s’agit d’une nouvelle espèce préhistorique et en plus, ils savent qu’il est un canidé, mais se comportant un peu comme une hyène.
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Un canidé préhistorique récémment découvert grâce à une unique molaire

 

Voici une reconstitution du crâne et du visage de ce canidé préhistorique, Cynarctus wangi, fraîchement découvert. © Crédit Illustration / Mauricio Anton

Voici une reconstitution du crâne et du visage de ce canidé préhistorique, Cynarctus wangi, fraîchement découvert. © Crédit Illustration / Mauricio Anton

Découverte dans une formation sédimentaire du Maryland, une simple molaire fossile a permis à des paléontologues américains d’identifier une nouvelle espèce de canidé préhistorique.

MOLAIRE. Voilà sur quoi se base la découverte d’une nouvelle espèce de canidé préhistorique. C’est avec une molaire droite de la mâchoire supérieure que des paléontologues de l’Université de Pennsylvanie, aux États-Unis, ont pu identifier et nommer Cynarctus wangi. Les détails de cette découverte ont été compilés dans un article duJournal of Paleontology. Ce mammifère appartiendrait à une sous-famille préhistorique des canidés, celle des Borophaginés ou « chiens écraseurs d’os » (appelés ainsi à cause de leurs mâchoires larges et puissantes).

Ce groupe d’espèces formait celui des Canidés avec une autre sous-famille préhistorique, des Hespérocyoninés, et celle toujours actuelle des Caninés (composés des loups, chiens, renards et autres lycaons). D’après les paléontologues, les Borophaginés auraient disparu il y a environ 2 millions d’années. Grâce à une datation de sa molaire retrouvée, C. wangi devait vivre durant le Miocène moyen, soit il y a 12 millions d’années. Probablement de la taille d’un coyote, cet animal vivait sûrement sur la côte est de l’Amérique du Nord, contemporain et voisin du plus grand requin qui ait existé, le Mégalodon.

Concernant son comportement, « sans doute cet animal devait agir comme les hyènes aujourd’hui », interprète l’un des chercheurs, Steven E. Jasinski, dans un rapport officiel.

En outre, malgré les mâchoires puissantes de C. wangi, il ajoute : « la viande devait composer seulement un tiers de son alimentation. Pour compléter, il mangeait peut-être des plantes et des insectes ».

Autrement dit, ce canidé préhistorique se rapprochait « plus d’un ours de petite taille que du loup ».

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Du soleil et du citron pour purifier l’eau


Il est reconnu depuis quelques années que l’eau contaminée mit dans une bouteille de plastique propre exposée pendant plusieurs heures au soleil se transformait en eau potable, mais voilà qu’avec le citron, l’eau devient buvable dans un temps records .. Un espoir pour les pays en développement
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Du soleil et du citron pour purifier l’eau

 

 

SODIS Eawag

Dispositif de purification de l’eau par exposition au soleil sur des tôles métalliques, en Indonésie.

Par  Delphine Chayet –

Des scientifiques ont découvert un procédé facile à mettre en œuvre qui permet d’éliminer rapidement les bactéries dans l’eau.

C’est un procédé efficace et peu onéreux, susceptible de simplifier la vie de millions de personnes n’ayant pas accès à l’eau potable. En ajoutant du citron à de l’eau exposée au soleil, des scientifiques sont parvenus à éliminer des bactéries nocives pour l’homme, telles que les Escherichia coli, beaucoup plus rapidement que par une désinfection solaire simple. Les détails de cette découverte, faite par une équipe de chercheurs de l’Université Johns Hopkins (Baltimore, Maryland), ont été rapportés dans la revue American journal of tropical medecine and hygiene.

Selon l’Unicef, 783 millions de personnes, dont plus 650 millions vivant en zone rurale, n’ont actuellement pas d’accès à l’eau potable dans le monde.

«Des études ont estimé que, globalement, plus de la moitié des lits d’hôpitaux sont occupés par des patients souffrant de maladies liées à une eau contaminée», indique Kellogg Schwab, responsable de l’étude.

«Le défaut d’assainissement contribue en grande part à la mortalité infantile due à la diarrhée», ajoute David Delienne, conseiller régional de l’Unicef chargé de l’eau pour l’Afrique de l’ouest et du centre.

Une purification imparfaite

Plusieurs techniques de traitement de l’eau à domicile sont actuellement utilisées dans les pays en voie de développement: pastilles de chlore ou chlore liquide, filtres à céramique ou à sable, désinfection solaire.

Selon David Delienne, «le choix de telle ou telle technique dépend beaucoup de la situation. Dans certains pays, faire bouillir l’eau est par exemple contre-indiqué, pour éviter le déboisement».

L’exposition de l’eau au soleil, dans des bouteilles en plastique posées sur de la tôle, est une des méthodes de décontamination reconnues par l’OMS. Ce procédé, connu sous le nom de SODIS, est actuellement employé en Tanzanie, en Angola ou au Togo, par exemple. Le temps requis est de 6 heures au moins et 24 heures en cas de couverture nuageuse. Mais cette durée peut être ramenée à 30 minutes, selon les chercheurs, en ajoutant du jus de citron (30 ml pour 2 litres d’eau) ou de la pulpe.

«Une quantité faible de citron associée au soleil suffit à réduire de manière significative les taux de E. coliet de bactériophage MS2, concluent les scientifiques. Par contre, le taux de norovirus n’est pas considérablement réduit, ce qui en fait une technique imparfaite. Des études devront par ailleurs être menées pour évaluer l’utilisation de citron ou d’autres agrumes, le citron vert étant difficile à obtenir dans certaines régions».

http://sante.lefigaro.fr

États-Unis ► Un calendrier perpétuel pour figer le temps


Vouloir tout réformer il me semble que cela amènera a des années de routines. Est-ce faisable partout au monde, je ne crois pas, étant donné certains aspects justement religieux, et ou tradition, car certains se fit au calendrier lunaire, Qu’on veuille une heure universelle non plus je ne pense pas que cela soit possible, cependant qu’on élimine une fois pour toute le changement d’heure me semble possible
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États-Unis ► Un calendrier perpétuel pour figer le temps

Noël et le jour de l’An tomberaient toujours la même journée, ainsi que les dates d’anniversaire et les jours fériés.

© Shutterstock / Agence QMI

BALTIMORE, Maryland – Des chercheurs américains ont mis au point un calendrier perpétuel grâce auquel Noël et jour de l’An tomberaient toujours la même journée, ainsi que les dates d’anniversaire et les jours fériés.

Deux scientifiques de l’Université Johns Hopkins à Baltimore, au Maryland, ont trouvé une façon de «figer le temps» en créant un calendrier où chaque période de 12 mois est strictement identique à la précédente.

Cette idée peut paraître saugrenue, mais selon l’astrophysicien Richard Conn Henry et l’économiste Steve H. Hanke, les avantages pratiques et même économiques d’un calendrier perpétuel seraient immédiats.

«Pensez seulement au temps et aux efforts nécessaires pour revoir le calendrier de chaque organisation à travers le monde. Un calendrier perpétuel serait considérablement plus simple et plus facile à gérer», explique Richard Conn Henry.

Leur système repose sur une période de 12 mois où le 1er janvier tombe toujours un dimanche et le 31 décembre un samedi. À cela, on ajoute une semaine complète tous les cinq ou six ans, à la fin de l’année, ce qui permet de resynchroniser le calendrier avec les saisons.

D’autres essais avaient déjà été tentés par le passé, notamment par George Eastman, vers la fin du 19e siècle. Celui-ci proposait un calendrier de 13 mois identiques de 28 jours chacun. Le projet était toutefois tombé à l’eau, car il ne respectait pas les dates du shabbat.

La nouvelle proposition est irréprochable sur le plan religieux, et facilite également la vie des entreprises, qui n’auraient par exemple pas à subir une fermeture en milieu de semaine à cause d’un jour férié.

Sur le plan économique, les avantages seraient également palpables, notamment en simplifiant les calculs de taux d’intérêt, qui doivent tenir compte des anomalies de notre calendrier grégorien. Celui-ci compte en effet une journée supplémentaire tous les quatre ans, chaque année bissextile.

Les chercheurs sont également favorables à la mise en place d’une «heure universelle».

«On en finirait avec les différents fuseaux horaires, avec le passage à l’heure d’été et à l’heure d’hiver et aux incessantes fluctuations de dates, année après année», disent-ils.

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«De la pâture à l’assiette» Chevaux torturés en Outaouais


Je n’ai pas été capable de voir toute la vidéo et pourtant j’ai quand même le coeur solide,  mais c’est vraiment c’est cruel. J’ai honte de ma région pour ce qui attrait de l’abattage de chevaux et je jamais au grand jamais je ne mangerais du cheval ..
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«De la pâture à l’assiette»

Chevaux torturés en Outaouais

Chevaux torturés en Outaouais

Crédit photo : YouTube

Agence QMI

Un groupe de défense des animaux a mis en ligne une vidéo à faire lever le cœur, montrant un horrible abattage de chevaux à l’aide d’un pistolet d’étourdissement, ou pistolet d’abattage.

Les images choquantes, mises en ligne lundi, auraient été filmées à l’abattoir Les Viandes de la Petite-Nation, à Saint-André-Avellin dans l’Outaouais. On y voit des chevaux partiellement inconscients, totalement effrayés, perdant l’équilibre, certains hennissants, en train de recevoir de nombreux coups de pistolet paralysant avant de succomber.

La Coalition pour la défense du cheval canadien a montré la vidéo, qui a été obtenue d’une source anonyme, au Dr Nicholas Dodman de l’école de médecine vétérinaire à l’Université Tufts, au Maryland.

Attention: cette vidéo présente des images choquantes

Ma conclusion, après examen de l’abattage […], est que le processus est terrifiant pour la plupart des chevaux et dans de nombreux cas, horriblement inhumain», a-t-il déclaré lundi dans un communiqué.

Le groupe de défense affirme que plus de 40% des chevaux n’étaient pas rendus inconscients du premier coup, comme l’exigent les règlements sur l’abattage sans cruauté des animaux.

C’est le quatrième abattoir au cours des dernières années qui est pris en défaut parce qu’il viole la réglementation de l’Agence canadienne d’inspection des aliments, a indiqué le groupe de défense des animaux.

Sur son site web, la compagnie se dit pourtant «très fière de son système de manutention des animaux», imaginé par le célèbre expert Temple Grandin de l’Université de Colorado State.

«Respect, bien-être et attention sont portés aux animaux afin de diminuer le stress et rehausser la qualité de la viande», peut-on lire sur le site web de l’entreprise.

Rejointe lundi soir par TVA Nouvelles, l’entreprise a refusé de commenter la nouvelle.

http://tvanouvelles.ca

Une technique chirurgicale qui ne laisse pas de cicatrice


Une belle avancer en chirurgie du cerveau. Déjà que se faire jouer dans le crane n’est pas rassurant mais si le médecin peut opéré sans  laisser cicatrice visible et autres séquelles les risques sont moins grand et l’hospitalisation moins longue
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Une technique chirurgicale qui ne laisse pas de cicatrice


© Agence QMI / Archives


BALTIMORE, Maryland — Des chercheurs américains ont développé une technique chirurgicale qui permet d’ôter des tumeurs à la base du crâne sans laisser de cicatrice visible.

La technique consiste tout simplement à passer par la bouche du patient. Selon les spécialistes du Johns Hopkins Hospital, à Baltimore, il existerait un orifice naturel derrière les molaires, au-dessus de la mâchoire et juste sous la pommette.

À l’heure actuelle, pour retirer une tumeur à la base du crâne, les chirurgiens doivent pratiquer une incision dans le visage du patient et retirer l’os. Cela peut endommager les nerfs, en plus de défigurer le patient et parfois créer une paralysie faciale.

Le Dr Kofi Boahene a réalisé cette chirurgie l’an dernier pour la première fois. Au départ, on évaluait la durée de l’opération à six heures, mais deux heures ont suffi, et le patient avait pu quitter l’hôpital le jour suivant l’intervention, alors que l’autre technique requiert une hospitalisation de plusieurs jours, voire de plusieurs semaines.

Cette approche moins invasive pourrait donc constituer une avenue prometteuse pour les personnes souffrant d’un cancer du cerveau nécessitant une intervention chirurgicale.

Les résultats de cette recherche ont été publiés dans la revue scientifique Laryngoscope.

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