Parole d’enfant ► La droite ou la gauche


Pas facile de distinguer la droite et la gauche quand on est petit, mais quand c’est les parents qui embrouillent tout  c’est encore plus mélant
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La droite ou la gauche

« Après avoir enlevé son plâtre, Leïna a du mal à marcher correctement, pour l’aider, je lui dis :
 

« -  Arrête-toi, mets tes deux pieds droits!
 

Mais je peux pas maman, je n’ai qu’un seul pied droit, l’autre c’est le pied gauche! » »

Leina 3 ans

Passage


Une époque de grand changement,  de départ, de regret, de recommencement avait eu lieu a cette époque dans ma vie, Une décision pris un peu vite, sur un coup de tête qui sans cela la vie aurait été peut-être différente aujourd’hui. Ce aurait-il été mieux ou pire ?
Nuage

Passage

Au plus profond de mon âme
Je crie dans la nuit ma douleur
Tant de jugements, tant de blâmes
Que se déchire mon coeur

Mes pensées errent dans le noir
Mon esprit réfléchit et cherche
La Vérité, la Direction sans me laisser choir
Non, je ne veux revenir dans ce trou de débauche

Car je sais que cet ennui n’est que passage
Au loin, une main, une force
Écarte pour moi sans peine ces orages
Montrant à mes yeux rougis un bonheur sans ronces

Sans regret, je me relève
Regardant droit devant moi
Trouver ce chemin que guident mes rêves
Cette route, ce destin se dirigeant vers moi

Cette douleur ne sera que lointain souvenir
Une vie pleine de promesses
Oubliant ce mal, oubliant mon ire
Et découvrir un trésor rempli de sagesse

Rachel Hubert (Nuage)
9 mars 2001

Le saviez-vous ► Expression : Vendre la peau de l’ours


L’expression vendre la peau d’ours a évoluer a celle que nous connaissons tous ne pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tuer .. quand quelqu’un cri victoire trop vite ou agit avant d’avoir tous les éléments en main
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Vendre la peau de l’ours

Crier victoire trop tôt.
Disposer d’un bien avant de l’avoir acquis.
Vivre en fonction d’un avenir acquis d’avance.
 

Cette expression est connue depuis longtemps. En effet Esope l’utilise dans sa fable “De deux amis et de l’ours” et Abstémius (fabuliste italien de la renaissance) donnera l’idée de la vente de la peau de l’ours. Philippe de Commynes dans ses “Mémoires” y fait référence au sujet d’une rencontre entre un ambassadeur de Louis XI et Frédéric III Empereur d’Allemagne. Ce dernier aurait conté cette fable lorsque l’ambassadeur lui aurait proposé de partager les biens de Charles le Téméraire.
 
Mais c’est encore une fois Jean de La Fontaine qui popularisera l’expression “vendre la peau de l’ours” au travers de sa fable “l’ours et les deux Compagnons
(livre V – fable 20).
 
“Vendre la peau de l’ours” signifie donc “disposer de ses gains ou d’une chose avant d’être en leur possession”, “se vanter d’un succès aléatoire” et par extension
vivre au-dessus de ses moyens en se reposant sur un avenir considéré comme acquis”.
 
Il est à noter que cette expression s’utilise actuellement plus couramment sous la forme négative. “Il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué” reprend les termes de la fable de La Fontaine et signifie donc :
“ne pas crier victoire trop tôt”, “ne pas considérer
quelque chose comme acquis avant de la posséder”.

http://www.mon-expression.info

Prisons québécoises | Femmes incarcérées De plus en plus nombreuses


A la lecture de l’article, il semble que des femmes préfèrent la prison car ils ont de meilleur condition de vie que s’il elles étaient a l’extérieur en liberté, Il semble bien donc, que le problème pourrait etre régler a d’autres niveaux au moment ou elles sont libres pour ne pas retourner en prison
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Prisons québécoises | Femmes incarcérées

De plus en plus nombreuses

 

Prisons québécoises | Femmes incarcérées - De plus en plus nombreuses

La proportion de femmes incarcérées dans les prisons québécoises augmente plus rapidement que celle des hommes.

©Shutterstock

Agence QMI
Diane Tremblay

QUÉBEC – La proportion de femmes incarcérées dans les prisons québécoises augmente plus rapidement que celle des hommes. De 1998 à 2008, la population moyenne quotidienne des femmes emprisonnées a connu une hausse de 53 %, contre 33 % chez les hommes.

Le ministère de la Sécurité publique a récemment dévoilé le premier profil correctionnel des femmes sous sa responsabilité pour des peines de prison maximales de deux ans moins un jour.

Pour l’année administrative 2007-2008 (de mars à mars) 2800 femmes ont fait l’objet de 4044 admissions dans les établissements de détention de juridiction provinciale. Cela signifie que 229,3 femmes étaient présentes chaque jour dans les établissements de détention de juridiction provinciale.

Pour répondre à la demande, une douzaine de lits supplémentaires ont dû être ajoutés récemment au Centre de détention Tanguay, à Montréal, où travaille Mme Aline White, conseillère en milieu carcéral.

«Les femmes n’ont plus le même profil qu’avant, a-t-elle expliqué. Avec l’institution de peines d’emprisonnement avec sursis, on a connu une baisse de la clientèle. Maintenant, c’est comme s’il y avait un ressac. Les gens qui ont bénéficié de différentes alternatives arrivent en milieu carcéral avec des échecs accumulés. C’est pour cette raison qu’ils renoncent à leur libération conditionnelle. Cela contribue à faire augmenter les statistiques.»

La criminalité des femmes diffère de celle des hommes en ce qui a trait à la gravité. Elles sont moins impliquées dans les crimes violents. Par contre, elles sont surreprésentées pour les bris d’ordonnance.

«On n’est pas surpris de ça, a ajouté Mme White. Les problèmes de toxicomanie sont très élevés chez les femmes. Les conditions les plus souvent enfreintes sont en lien avec l’interdiction de consommer des drogues ou d’en avoir en sa possession.»

Le défaut de se conformer à une ordonnance représente 23 % des infractions commises par les femmes contre 6,9 % chez les hommes. Séjourner en prison fait partie d’un mode de vie pour plusieurs, car 10 % des femmes ont été admises trois fois ou plus dans un centre de détention pendant la même année.

Portrait complet

Depuis 1992, l’âge moyen des femmes incarcérées dans les prisons provinciales a gagné environ six ans pour s’établir à 37,1 ans.

Même si elles sont plus nombreuses à prendre le chemin des cellules, les statistiques révèlent qu’elles y demeurent beaucoup moins longtemps.

Bien que la durée moyenne de la peine soit de 78,2 jours, les femmes restent généralement incarcérées pour une période de 35 jours. Seulement 4 % des détenues effectuent des séjours de 6 mois et plus.

Selon le rapport, près de 29 % des détenues doivent composer avec la réalité d’être mère. Les auteurs concluent que, pour répondre aux besoins des femmes judiciarisées, l’ajout de ressources communautaires et publiques «serait souhaitable».

TABLEAU 1

Risque de récidive
Très élevé : 10 %
Élevé : 30 %
Moyen : 32 %
Risque faible ou très faible : 28 %

TABLEAU 2

Motifs d’incarcération
Défaut d’ordonnance : 23 %
Vol simple : 10 %
Drogues et stupéfiants : 10 %
Voies de fait : 9 %
Boisson et la circulation : 8 %
Lien avec la prostitution : 3 %

TABLEAU 3

Durée de la peine
1 jour : 14,9 %
2 jours à 10 jours : 22,6 %
11 jours à 1 mois : 18,6 %
1 mois à 2 mois : 13,6 %
2 mois à 4 mois : 10,6 %
4 mois à 6 mois : 5,4 %
6 mois à 1 an : 7,4 %
1 an à 2 ans moins un jour : 7 %

Une occasion de se remettre en santé

QUÉBEC – Des femmes sont prêtes à renoncer à leur libération conditionnelle pour se refaire une santé durant leur période d’incarcération. En tout cas, leur nombre est suffisamment important pour expliquer en partie l’augmentation de la population carcérale féminine au Québec.

Selon les auteurs du rapport décrivant le profil sociojudiciaire des femmes prises en charge par les Services correctionnels, on assiste de plus en plus à la «santénisation» de l’expérience carcérale.

Le séjour en prison est l’occasion de traiter des problèmes négligés dans le passé. Examen médical, soins dentaires, examen de la vue, séances d’entraînement au gym avec menus équilibrés, bref, tout y passe.

«Comparativement à leurs conditions de vie très difficiles à l’extérieur, certaines trouvent dans le milieu carcéral un environnement plus sécuritaire, est-il écrit dans le document d’une centaine de pages. Elles en profiteront pour prendre soin de leur corps et de leur santé, pour faire de l’activité physique et améliorer leur alimentation, voire régler leur problème de toxicomanie ou d’autres problèmes de santé mentale.»

Au niveau provincial, il en coûte environ 160 $ par jour par personne incarcérée.

http://fr.canoe.ca

Le besoin de peu de sommeil expliqué par un gène


Voila que nos gènes viennent décider le temps de sommeil que nous avons besoin .. que dire de mon ami Jack qui lui ne dors que 4 heures par nuit .. ses gènes en seraient sont responsables ?? Moi je dors entre 5 a 6 heures par nuit, mais vue Mais, il y a surement d’autres facteurs qui jouent un role

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Le besoin de peu de sommeil expliqué par un gène

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Ce n’est pas seulement une question d’habitude, mais un gène pourrait faire en sorte qu’une personne demeure concentrée sur ses activités malgré le fait qu’elle a dormi seulement quatre heures.

L’équipe de l’Université Ludwig-Maximilians a trouvé que le gène ABCC 9 réduisait la durée du sommeil, mais était également lié aux maladies cardiaques et au diabète.

L’étude a été faite sur 4000 personnes dans sept pays de l’Union européenne

Ce gène explique donc pourquoi une personne n’a pas besoin de beaucoup de sommeil pour reprendre ses activités normalement.

On croit que ce gène est également présent chez d’autres espèces vivantes, notamment chez les mouches, qui seraient également affectées dans leur quantité de sommeil si elles le possèdent.

Des études plus approfondies vont être faites sur le sujet prochainement.

http://sante.canoe.com

Garder le cerveau actif retarde l’apparition de la démence


Allez faites bouger vos méninges cela paie a retarder la démence .. Ce n’est pas la première fois qu’ils en parlent mais ils semble que d’autres études viennent confirmer ce qui avait déjà été dit ..
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Garder le cerveau actif retarde l’apparition de la démence

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Garder le corps et l’esprit actifs permet de retarder la démence.

Une nouvelle étude confirme des théories précédentes disant qu’en gardant son cerveau actif, on éloigne l’apparition de la démence.

Selon le Daily Mail, seulement deux heures d’activités par jour sont aussi efficaces que les traitements médicaux.

98 personnes ont été suivies pour cette étude. Elles devaient réaliser différentes activités comme jardiner, faire des mots croisés, des casse-têtes et des sudokus, préparer des collations ou même chanter.

Toutes ces activités ont permis de retarder le déclin cognitif d’au moins un an.

Les chercheurs affirment que ces activités sont aussi bonnes, sinon meilleures, pour conserver la santé du cerveau que les médicaments qui peuvent être prescrits habituellement pour ralentir la maladie.

Chez les personnes qui ont effectué les petites activités, on remarque également une meilleure aptitude pour réaliser les tâches quotidiennes par la suite

http://sante.canoe.com/

Cracher sur son téléphone pour avoir un diagnostic, vous le feriez?


Euh! Pas sur que je sois intéressé par ce genre de test, Franchement ils pourraient faire la même chose avec un bidule qui seraient vendu a la pharmacie comme pour les tests de grossesses .. Une chose de sur c’est que les gens seront plus réticent a emprunter les cellulaires des autres
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Cracher sur son téléphone pour avoir un diagnostic, vous le feriez?

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Vous êtes malade ou pensez l’être? Si vous n’avez pas le temps de vous rendre dans un hôpital ou chez le docteur, quoi de mieux que de cracher sur son téléphone intelligent pour avoir un diagnostic instantané.

Des scientifiques du Korea Advanced Institute for Science and Technology pensent que les téléphones intelligents pourraient remplacer certains tests sanguins et d’échantillons d’urine.

L’idée est d’utiliser l’écran tactile du téléphone pour analyser la salive. Les chercheurs coréens ont donc effectué quelques expériences avec des bactéries Chlamydia responsables de la chlamydiose. Ils ont utilisé un écran tactile multipoint de 3,5 pouces et ont réussi à déterminer la concentration de cette bactérie. Ils travaillent désormais à élargir la technique à d’autres bactéries.

Ces recherches, si elles aboutissent, pourraient permettre de faire des économies substantielles aux systèmes de santé de nombreux pays. De plus, cela permettrait de vérifier son sang ou son urine de chez soi, ou encore de disposer rapidement de diagnostic dans des écoles, des dispensaires mobiles, etc.

La technologie est encore au stade de développement et le logiciel conçu pour éliminer les faux signaux de touché par des gouttes d’humidité ou de sueur aurait besoin d’être changé avant qu’il puisse fonctionner de manière fiable. Et puis, il ne faut pas non plus négliger l’aspect de devoir cracher ou uriner sur son téléphone… de quoi ne plus prêter son téléphone! Vous voulez le mien?

http://www.branchez-vous.com