L’Étranger


Partout ou nous allons, il y aura toujours des personnes inconnu, ayant une manière de vivre différement et ce même si c’est dans notre voisinage. Apprendre a vivre avec nos différence c’est ce qui forme une société équilibré
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On est toujours l’étranger de quelqu’un. Apprendre à vivre ensemble, c’est cela lutter contre le racisme.

Tahar Ben Jelloun

200 nouvelles espèces découvertes déjà en danger


Quand on découvre une nouvelle espèce animale ou végétale, c’est que depuis longtemps elle a pu rester cacher a nos yeux mais avec l’environnement qui est de plus en plus changeant ces espèces ne peuvent plus rester dans l’anonymat et c’est probablement un malheur pour eux car certains les captures toutes sortes de raisons tel que les servir au menu dans des restaurants ou les vendre Il est dommage qu’on ne respecte pas ces animaux qui sont appelé a disparaitre par notre faute et que des lois ne les protègent pas
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200 nouvelles espèces découvertes déjà en danger

 

200 nouvelles espèces découvertes déjà en danger

© AFP photo | L.Lee Grismer – Le lézard femelle qui se reproduit par clonage.

Un lézard femelle qui se reproduit par clonage ou un singe qui éternue quand il pleut: plus de 200 nouvelles espèces, animales et végétales, ont été identifiées en 2010 dans la région du Grand Mékong, mais beaucoup sont déjà menacées, a annoncé lundi le Fonds mondial pour la nature (WWF).

«En moyenne une nouvelle espèce est enregistrée par la science tous les deux jours» dans cette zone qui comprend le Vietnam, le Cambodge, le Laos, la Thaïlande, la Birmanie et la province chinoise du Yunnan, selon le rapport «Mékong sauvage».

Soit 145 plantes, 28 reptiles, 25 poissons, 7 amphibiens, 2 mammifères et un oiseau en 2010. Qui s’ajoutent aux 1345 autres espèces identifiées par les scientifiques depuis 1997.

Parmi les nouveaux venus, un lézard femelle qui se clone sans avoir besoin de mâle, découvert au menu d’un restaurant de la province de Ba Ria Vung Tau, dans le sud du Vietnam. Ou une nouvelle espèce de singe au nez retroussé, noir et blanc, déjà connu des Birmans de l’État Kachin pour éternuer quand l’eau entre dans ses narines et qui passe les journées pluvieuses la tête entre les jambes pour éviter ce désagrément.

Nouvelles espèces

Le WWF fait également état d’un cousin de la carpe qui ressemble à un «cornichon» ou d’un lézard «psychédélique» au cou jaune vif, au corps bleu et aux pattes et à la queue orange. Mais «beaucoup sont déjà destinées aux assiettes, se battent pour survivre dans des habitats qui rétrécissent et risquent de disparaître, a commenté Stuart Chapman, responsable de WWF pour la région du Grand Mékong.

«Les trésors de biodiversité de la région seront perdus si les gouvernements n’investissent pas dans la conservation et le maintien de la biodiversité».

 Ce risque a été illustrée par la mort en 2010 au Vietnam du dernier représentant du rhinocéros de Java dans le pays, retrouvé mort la corne coupée. En danger également, le tigre et l’éléphant d’Asie, ainsi que le poisson-chat géant et le dauphin du Mékong.

WWF a ainsi appelé les six gouvernements du Grand Mékong à «accélérer les efforts vers des économies vertes».

«Les gouvernements du Mékong doivent arrêter de voir la protection de la biodiversité comme un coût et la reconnaître comme un investissement pour assurer la stabilité à long-terme» de l’environnement, a insisté Chapman.

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Impôts ► Un batteur à oeufs de 75 000$


Je sais que les gouts ne se discutent pas mais quand même, je trouve qu’on peut faire n’importe quoi en prétextant que c’est de l’art, mais ce qui est plus frustrant c’est l’argent allouer a cette mascarade alors qu’il y a des besoins beaucoup plus criants qu’un batteur a oeuf en sculpture qui ne sert strictement a rien ..
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Impôts  ► Un batteur à oeufs de 75 000$

Impôts - Un batteur à oeufs de 75 000$

L’oeuvre intitulée Mélangez le tout qui est sur le point d’être complétée derrière le Centre Jean-Claude Malépart va coûter près de 75 000$ aux contribuables montréalais.

© Mélanie Colleu/Agence QMI

MONTRÉAL – La collection en art public de la Ville de Montréal ne cesse de s’agrandir. Dernière acquisition: un batteur à œufs géant d’une valeur approchant 75 000$.

L’œuvre, intitulée Mélangez le tout, est en cours d’installation derrière le Centre Jean-Claude Malépart, dans l’arrondissement de Ville-Marie. L’instrument de cuisine de près de cinq mètres de hauteur se dresse devant l’une des entrées du complexe de loisirs sportifs, culturels et communautaires.

Les deux artistes québécois, Jean-François Cooke et Pierre Sasseville, ont remporté cet automne un concours organisé par le bureau d’art public de Montréal qui cherchait un projet artistique reflétant le caractère multidisciplinaire du centre.

« Ce mélangeur nous a séduits, car il renvoie aux nombreuses activités que propose le complexe Jean-Claude Malépart, mais également à la diversité de la population qu’il attire. C’est un objet étonnant », a estimé Francyne Lord, chef de section au bureau d’art public à la Ville de Montréal.

« Il a effectivement une forme particulière, mais comme Philadelphie a son épingle à linge, Paris sa bicyclette ensevelie ou Barcelone son carton d’allumettes, Montréal a maintenant son batteur à œufs », a-t-elle ajouté.

Un budget en expansion

Le budget consacré à l’art public à Montréal est en hausse depuis quelques années, selon Mme Lord.

« L’augmentation des constructions de grands équipements sur l’île de Montréal nous donne accès à des fonds supplémentaires pour commander des œuvres », a-t-elle expliqué.

La loi oblige entre autres les constructeurs d’édifices publics à consacrer 1 % de leur budget à la création d’une œuvre d’art public permanente.

Actuellement, la Ville de Montréal est propriétaire de 307 œuvres. Le plus petit projet a coûté 24 000 $ et le plus coûteux, place Émilie Gamelin, près de 375 000 $. La majorité de ces œuvres sont exposées dans l’espace public (parc, place, rue), tandis que les autres sont intégrées dans l’architecture (verrières, murales, etc.).

Le saviez-vous?

Réévaluée en 2002, la sculpture L’Homme d’Alexandre Calder, installée au parc Jean-Drapeau, a été estimée à 52 millions $ US. C’est l’œuvre la plus chère du Canada.

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Prisonniers des glaces Une centaine de bélugas en danger de mort


Les eaux arctiques entourent souvent des victimes par les glaces, et donne un en pâturage aux prédateurs, mais cette fois-ci des bélugas pourraient être sauver grâce a des brise-glaces
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Prisonniers des glaces

Une centaine de bélugas en danger de mort

 

Une centaine de bélugas en danger de mort

Crédit photo : archives AFP

TVA Nouvelles et Agence QMI

Pris dans un étau de glace, une centaine de bélugas risquent la mort s’ils ne sont pas libérés bientôt, en Russie.

Le troupeau de petites baleines s’est trouvé coincé entre les glaces dans un détroit à proximité de la mer de Bering, dans le district autonome de Tchoukotka, comme l’ont confirmé les autorités.

Des pêcheurs ont rapporté que les baleines étaient rassemblées dans deux cuves relativement petites qui se sont formées dans la glace. Pour le moment, elles parviennent toujours à respirer, mais les chances qu’elles arrivent à retrouver la mer sont minces étant donné les vastes étendues de glace qui bloquent le détroit.

Ours et épaulards aux aguets

La bande de bélugas n’a que peu de nourriture à sa disposition et la glace s’accumule, si bien que les baleines blanches risquent de s’épuiser rapidement et, éventuellement, de mourir affamées ou asphyxiées. Prisonnières, elles sont aussi davantage susceptibles d’être attaquées par des prédateurs tels que les ours polaires ou les épaulards.

Les autorités du district ont demandé l’aide du gouvernement fédéral afin qu’un brise-glace soit envoyé pour secourir les pauvres bêtes. Un bateau remorqueur se trouve déjà à proximité pour aider un cargo coréen, mais il lui faudrait une journée et demie pour atteindre le troupeau, et le temps presse.

La Tchoutotka fait partie des nombreux habitats naturels des canaris des mers, et il n’est pas rare que certains d’entre eux se trouvent emprisonnés dans ces eaux arctiques. Souvent, les bêtes captives ne sont pas localisées et passent inaperçues.

Le dernier sauvetage à s’être déroulé dans cette région a eu lieu en 1986. Un brise-glace était alors venu à la rescousse des petites baleines, qui ont repris le chemin vers les eaux claires de la mer.

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Meurtre de Diane Grégoire ►Un million $ dans la mire


Je ne voudrais pas être a la place des enfants qui doivent subir cet affront d’avoir un père qui a tuer leur mère pour une question d’argent. Le pire c’est que Madame Grégoire avait payer le cout des avocats au moment qu’il a été accusé de fraude, mais qu’est-ce qu’elle en a récolter c’est la mort !
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Meurtre de Diane Grégoire ►Un million $ dans la mire

 

Un million $ dans la mire

Crédit photo : Agence QMI

 

Diane Grégoire avait touché un héritage d’une valeur de plus de 1 million $ un an avant son assassinat.

C’est ce que des membres de sa famille ont affirmé au Journal de Montréal et à TVA, hier, alors que Paul Laplante était formellement accusé du meurtre prémédité de sa conjointe, au palais de justice de Salaberry-de-Valleyfield.

Prenant leur courage à deux mains, les deux enfants de la victime et de l’accusé ont assisté à sa comparution avant de faire l’éloge de leur mère.

«Moi, je n’ai pas tué ma femme…»

Fille unique, Mme Grégoire avait perdu sa mère en 2007. Cette dernière lui a légué plus d’un million en argent et en biens, dont des antiquités valant dans les six chiffres, d’après des proches de la victime ayant requis l’anonymat.

L’enquête policière a permis d’apprendre que Paul Laplante a fait signer une procuration à sa conjointe, peu avant sa disparition, afin d’avoir accès à ses comptes bancaires, à la succursale de la CIBC où elle travaillait.

Selon nos informations, les policiers croient que l’argent représente d’ailleurs le mobile du crime reproché au camionneur de 54 ans, commis à Coteau-du-Lac, le 31 janvier 2008.

Laplante était aussi bénéficiaire d’une assurance-vie de 250 000 $ advenant le décès de Mme Grégoire, somme qu’il n’aurait cependant pas pu toucher.

Roulant en Mercedes, l’accusé a également vendu plusieurs biens appartenant à la victime, dont une voiture qui était surtout utilisée par leur fille. Après avoir emménagé dans un appartement qu’il louait «à 2000 $ par mois» près du Stade olympique, il résidait à Laval depuis peu.

L’ex-maire de Saint-Liboire a eu des démêlés judiciaires pour une affaire de fraude dont il a été acquitté, en 2002. C’est Diane Grégoire qui aurait alors payé la majeure partie de ses frais d’avocats.

«Ça lui a coûté 80 000 $», ont assuré deux de ses proches, hier.

À l’époque, son père Marcel, propriétaire d’une compagnie d’autobus, l’avait congédié en l’accusant d’avoir imité sa signature sur des chèques. Avant de mourir il y a deux ans, l’octogénaire a déclaré à son fils, devant témoins, qu’il regrettait certaines choses dans sa vie, mais qu’«au moins, moi, je n’ai pas tué ma femme», ont ajouté nos sources.

Des sanglots en le voyant

Paul Laplante a comparu dans une salle d’audience où les 72 sièges étaient occupés. À la première rangée se trouvaient sa fille Élizabeth et son fils Francis, policier. Dès qu’il est apparu dans le box des accusés, sa fille n’a pu retenir ses larmes.

Debout et menotté, le quinquagénaire les a à peine regardés et n’a montré aucune émotion. Il a gardé les yeux fixés en direction de la juge Marie- Chantal Doucet, qui a reporté la suite des procédures au 21 décembre prochain.

La veille, Laplante a subi un interrogatoire de plusieurs heures au quartier général de la Sûreté du Québec. Le Journal a appris qu’il n’a pas livré les aveux qu’on espérait lui soutirer.

Les policiers auraient un enregistrement d’une caméra de surveillance montrant Paul Laplante en train d’acheter une pelle et des tie-wraps au Home Depot des Promenades Saint- Bruno, la veille du meurtre, a rapporté LCN.

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En hiver, déjouez les pièges de la gastro


En cette période de l’année nous sommes plus casanier et l’alimentation est peut-être moins bien équilibré, ce qui laisse une porte entrouverte aux virus dont la gastro. Comme c’est une maladie très contagieuse, il est nécessaire de prendre quelques précaution
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En hiver, déjouez les pièges de la gastro

 

Elle court, elle court, l’épidémie de gastro ! A tel point que vous avez bien peur de ne pas pouvoir y échapper. Petits trucs pour vous prémunir, ainsi que votre famille.

Nausées, vomissements, diarrhée : les symptômes de la gastro


Se précipiter aux toilettes toutes les cinq minutes, être parcouru de frissons de fièvre sans pouvoir contenir sa nausée… On a tous éprouvé au moins une fois les désagréables symptômes liés à la gastro-entérite.

La plupart du temps tout à fait bénigne et de courte durée, cette maladie n’en est pas moins particulièrement incommodante et elle laisse généralement sa victime complètement épuisée pendant plusieurs jours. Chez les enfants et les personnes fragiles, elle peut être encore plus sévère, provoquant une déshydratation qui conduira à l’hôpital.

Très contagieuse

 

© Nyul/Fotolia.com

Mal au ventre, nausées, diarrhée, vomissements… Pas drôle d’avoir la gastro !

La gastro-entérite peut avoir différentes causes, bactériennes ou virales, c’est selon. Les fameuses salmonelles que l’on retrouve dans la nourriture y sont parfois pour quelque chose, de même que les colibacilles.

En hiver, c’est essentiellement le rotavirus,extrêmement contagieux, qui frappe la population européenne, entraînant de véritables épidémies.

Pour lutter : avoir une hygiène irréprochable

 

© iStockphoto/Thinkstock

Le frigo, un véritable nid à bactéries, qu’il faut donc nettoyer le plus souvent possible.

L’essentiel de la prévention consiste donc à fuir ce virus très résistant, qui peut rester plusieurs jours voire plusieurs semaines à l’air libre tout en continuant de sévir. Une hygiène scrupuleuse peut vous permettre de passer au travers.

Se laver les mains après être passé aux toilettes est primordial. Certes, cela devrait toujours être le cas mais des études ont prouvé qu’en l’absence de témoins, beaucoup zappaient cette étape. Surtout pas en période de gastro !

Se laver les mains avant la préparation du repas est également nécessaire.
Evidemment, les personnes malades s’abstiendront de préparer à manger pour le reste de la famille. De toute façon, elles ne devraient a priori pas en avoir envie.

Se laver les mains (oui, encore !) avant de passer à table et en sortant de table. Pas toujours évident lorsque l’on ne mange pas chez soi. Mais il existe aujourd’hui des savons-gels très efficaces qui s’utilisent sans eau et éliminent un maximum de germes indésirables.

Ne pas boire et ne pas manger dans le même verre ou la même assiette que quelqu’un d’autre.

L’hygiène des surfaces est également très importante, notamment dans la cuisine. Le plan de travail, l’évier, la table doivent être désinfectés très régulièrement.

De même, désinfecter les toilettes souvent, surtout si quelqu’un est malade dans la famille.

Attention au frigo ! Ne rien laisser traîner à l’air libre, fermer toutes les boîtes hermétiquement et vérifier régulièrement les dates de péremption. Ne pas laisser moisir indéfiniment un reste de repas pour le consommer plusieurs jours après.

Booster ses défenses immunitaires

 

© Hemera/Thinkstock

Optez pour une alimentation équilibrée, riche en vitamines, histoire de booster vos défenses immunitaires au maximum.

Si le rotavirus sévit essentiellement en hiver, ce n’est pas par hasard : notre organisme est affaibli par le froid, le manque de lumière… Il lutte donc moins bien contre les différents microbes qui tentent de s’introduire. Une manière d’éloigner la gastro comme bien d’autres maladies de l’hiver consiste donc à veiller à rester en forme en tout temps. Cela passe par une alimentation équilibrée, riche en vitamines et autres éléments nécessaires au corps pour fonctionner.
Un check-up de début d’hiver chez son médecin traitant peut permettre de déceler une carence à laquelle il faudra remédier.

Pour les jeunes enfants, deux vaccins sont aujourd’hui disponibles sur le marché, qui permettent de se prémunir contre la forme la plus répandue du rotavirus. Ils sont très efficaces : entre 70 % et 90 % de réussite. Ils peuvent être administrés par voie orale, avant l’âge de six mois. Seul souci : ils coûtent encore très cher.

Attention, le virus de la gastro est particulièrement contagieux et le strict respect de ces mesures ne garantit pas de pouvoir l’éviter. Si jamais il vous assaille, patience : vous devriez être sur pied en une ou deux journées.

Mathilde REGNAULT, Journal des Femmes