En Austra­lie, des crapauds se déplacent à dos de python pour fuir une tempête


En fin décembre en Australie, pendant une pluie, il a été vu des crapauds d’une espèce invasive qui ont décider de prendre le train, non, pardon, un python pour se déplacer. Est-ce à cause d’une pluie trop intense, et non, c’est plutôt pour des raisons très charnelles ?
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En Austra­lie, des crapauds se déplacent à dos de python pour fuir une tempête

 

Crédits : The Guar­dian

par  Ulyces

Anne et Paul Mock étaient chez eux, dimanche 30 décembre 2018, lorsqu’une tempête s’est abat­tue sur leur village de Kunu­nurra, à l’ouest de l’Aus­tra­lie.

Crai­gnant une rupture du système d’éva­cua­tion des eaux, le second s’est aven­turé dans le jardin, martelé par la pluie et blan­chi par les éclairs. Sur le gazon détrempé, il a alors décou­vert une foule de crapauds géants, tout juste expul­sés d’un lac débor­dant. Et au milieu de cette étrange assem­blée amphi­bienne se déhan­chait un python de 3,5 mètres.

« Il se déplaçait à fond sur la pelouse avec les grenouilles atta­chées [à lui] », décrit Paul au quoti­dien britan­nique The Guar­dian.

Après la publi­ca­tion d’une photo de ce curieux ballet nocturne sur Twit­ter par le frère de Paul, Andrew, la biolo­giste austra­lienne Jodi Rowley a expliqué que les crapauds tentaient de s’ac­cou­pler avec le serpent. Ceux-ci ont d’ailleurs déjà été vus en train de se frot­ter contre une mangue moisie. Parti­cu­liè­re­ment inva­sive – ce n’est pas le python qui dira le contraire –, l’es­pèce iden­ti­fiée à Kunu­nurra s’est répan­due de l’est du pays vers l’ouest ces dernières décen­nies, mettant à mal certains écosys­tèmes.

« On oublie presque qu’ils sont là jusqu’à ce qu’ils sortent de leur tanière », a avoué Paul.

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Découverte d’une nouvelle espèce de crapaud miniature au Venezuela


 

Une nouvelle espèce du Venezuela mais elle est aussi en danger, car son habitat est dégradé par la déforestation causé par l’agricoles et d’élevage.
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Découverte d’une nouvelle espèce de crapaud miniature au Venezuela

 

AFP/Musée d’histoire naturelle La Salle

Des chercheurs ont découvert au Venezuela une nouvelle espèce endémique de crapaud miniature, confirmant que le pays possède l’une des plus riches diversités de batraciens au monde.

Ce crapaud, qui mesure au maximum 2,5cm, vit dans des bois de la montagne Aroa (État de Yaracuy) dans le nord du pays.

Il a été baptisé Mannophryne molinai, en hommage à César Molina (1960-2015), un herpétologique vénézuélien.

Ce crapaud se distingue par une bande noire sous la gorge et les femelles sont légèrement plus grandes que les mâles, a expliqué à l’AFP Miguel Matta, de l’Université centrale du Venezuela, qui a co-dirigé le programme de recherches avec des scientifiques vénézuéliens de l’Université des Andes et du Musée d’histoire naturelle La Salle.

Sur le dos, le crapaud arbore des couleurs variant du marron au gris et au vert foncé. Le ventre des mâles est blanc et leur gorge grisâtre. Les femelles présentent une coloration ventrale plus vive, avec une gorge jaune, une bande noire plus marquée sous la gorge, et le ventre blanc partiellement teinté de jaune, décrit Miguel Matta.

Les premiers individus ont été repérés en 2012 dans un ruisseau de la zone. Initialement, les scientifiques ont pensé qu’il s’agissait d’une autre population de Mannophryne herminae, une espèce très présente dans les montagnes de la côte vénézuélienne.

Mais des doutes persistaient. L’analyse de photographies, d’enregistrements de croassements et un minutieux travail de comparaison avec les 19 autres espèces connues du genre Mannophryne ont permis de s’assurer qu’il s’agissait bien d’une nouvelle espèce.

Les résultats des investigations ont été publiés dans la revue scientifique Zootaxa.

La nouvelle espèce est toutefois vulnérable en raison de la déforestation, liée aux activités agricoles et d’élevage, qui augmente la température et diminue l’humidité, souligne Miguel Matta.

Cette découverte porte à 20 le nombre d’espèces identifiées du genre Mannophryn, dont 18 sont endémiques aux régions montagneuses du nord du Venezuela. La moitié d’entre elles sont inscrites sur la liste des espèces menacées d’extinction par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

«Cette mise au jour montre que la faune de batraciens au Venezuela possède encore un champ pour de nouvelles découvertes et confirme la position du Venezuela comme le huitième pays du monde en matière de diversité de batraciens», souligne Miguel Matta.

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Les Romains utilisaient la magie pour empêcher le retour à la vie d’enfants « vampires »


Dans un cimetière dont les occupants sont des enfants, les scientifiques ont déterré les ossements d’un enfant de 10 ans, qui avait reçu une préparation particulière. Un enterrement de vampire pour probablement éviter qu’ils reviennent en mort-vivant. Dans d’autres excavations, des enfants ont été subis aussi des pratiques étranges d’enterrements qui sont reliés à la sorcellerie.
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Les Romains utilisaient la magie pour empêcher le retour à la vie d’enfants « vampires »

 

Crédits : David Pickel/Université Stanford

par  Laura Boudoux

Le corps retrouvé par les archéologues sur ce site romain est celui d’un enfant de 10 ans, atteint de la malaria, rapporte Forbes. Mais il ne s’agit pas de n’importe quel enfant, puisqu’il a bénéficié d’un « enterrement de vampire », annoncent les scientifiques, qui ont analysé sa dépouille durant l’été 2018. 

« Je n’ai jamais rien vu de pareil. C’est extrêmement étrange et mystérieux », confie l’archéologue David Soren, de l’université d’Arizona.

L’enfant a en effet été enterré avec une pierre dans la bouche, ce que les chercheurs interprètent comme un moyen d’empêcher le corps de revenir à la vie et d’infecter les vivants.

Les ossements ont été découverts dans un cimetière romain réservé aux enfants, dans la commune de Lugnano in Teverina, en Ombrie. Il est connu pour avoir accueilli les corps de nombreux bébés et jeunes Romains, morts de la malaria au Ve siècle.

« L’âge de cet enfant et sa disposition unique, avec la pierre dans la bouche, en font une anomalie au sein d’un cimetière déjà hors du commun. Cela ne fait que souligner à quel point le cimetière pour enfant de Lugnano est unique », estime David Pickel, le directeur des fouilles.

D’autres excavations ont en effet mis en relief des pratiques mystérieuses, liées à la sorcellerie. Les archéologues ont ainsi retrouvé des enfants enterrés avec des serres de corbeaux, des os de crapauds, des cendres placées dans des chaudrons en bronze, ou même des chiots sacrificiels.

Des usages censés éloigner le mal, et éviter que les malades ne reviennent hanter les vivants sous la forme de morts-vivants.

 « Nous savons que les Romains étaient très préoccupés par cela et étaient prêts à utiliser la magie pour empêcher le mal, et tout ce qui contamine le corps, de s’échapper », explique David Soren.

En 2009, une femme atteinte de la peste avait ainsi été retrouvée à Venise avec une brique dans la bouche. Finalement, il suffit de pas grand-chose pour empêcher une attaque zombie.

Sources : The Independent / Forbes

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Les images incroyables d’un crapaud vivant sans tête


Un crapaud sans yeux, nez, mâchoire et langue. Donc sans tête vivant. Tout le reste, il est normal. Probablement, que ce n’est pas une malformation génétique, car il n’aurait pas pu vivre en état d’adulte, mais peut-être lors de la brumation (hibernation) il aurait été mangé par un parasite, ou une bête quelconque .. Ou par la bactérie mangeuse de chair. Quoiqu’il en soit se nourrir et éviter les prédateurs ne doit pas être de tout repos
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Les images incroyables d’un crapaud vivant sans tête

 

Un crapaud vivant sans tête découvert dans le Connecticut - Twitter

Un crapaud vivant sans tête découvert dans le Connecticut Twitter

La découverte dans le Connecticut, aux États-Unis, d’un crapaud vivant dépourvu de tête est une véritable énigme. Les photos et la vidéo de l’amphibien, postés sur le compte Twitter de l’herpétologue américaine Jill Fleming, ont de quoi étonner !

C’est un sacré « casse-tête » pour les scientifiques ! Le mardi 27 février dernier, Jill Fleming a publié sur les réseaux sociaux les images hallucinantes d’un crapaud sans yeux, nez, mâchoire et langue. La tête de l’animal s’apparente à un moignon. Pourtant, l’amphibien de taille normale et doté de quatre pattes semble en parfaite santé. Sur la vidéo, on peut le voir évoluer dans la nature comme si de rien n’était. Découvert dans une forêt du Connecticut en avril 2016 par la scientifique, il possède « un petit trou en guise de bouche », un reste de son ancienne cavité buccale, rapporte le site Mashable.

Voir l'image sur Twitter

Une malformation ou une conséquence de larves mangeuses de chair

Mais comment l’animal a-t-il pu devenir ainsi et survivre ? Pour Jill Flemming, il est possible que la malformation de ce spécimen soit due à sa brumation (nom donné à la période d’hibernation des reptiles). Mais il ne s’agit en aucun cas d’une malformation génétique, car le crapaud est adulte. Il a donc pu se nourrir normalement pendant sa croissance, explique Mashable.

Sur les réseaux sociaux, d’autres hypothèses émergent. La tête du crapaud pourrait avoir été dévorée par des larves de mouches mangeuses de chair, appelées Lucilia bufonivora, lors de sa période de brumation. La face aurait ensuite cicatrisé, suppose la vétérinaire Lydia Franklinos. De même, seule la tête aurait pu être mangée par un prédateur, le reste du corps du crapaud étant mieux caché. Les cas d’animaux sans tête survivant pendant un certain temps sont certes rares, mais existent.

 

 

https://www.ladepeche.fr/

Comment se sortir vivant de la bouche d’un crapaud


Pour les insectes rencontrer un crapaud ou une grenouille, c’est le risque de mourir a tous coup. Sauf pour le scarabée bombardier. Sa technique de défense est assez spectaculaire .. Un coup attrapé et mit en bouche, il lance un jet toxique et de vapeur d’eau qui peut atteindre 100 C. 43 % des crapauds vomissent cet insecte qui lui en ressorte gluant, mais vivant
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Comment se sortir vivant de la bouche d’un crapaud

 

Un crapaud et un coléoptère bombardier

Un crapaud et un coléoptère bombardier   Photo : Université de Kobe

Les coléoptères bombardiers forcent les crapauds à les vomir en dégageant des produits corrosifs et brûlants dans leur tube digestif, ont découvert deux chercheurs japonais.

AGENCE FRANCE-PRESSE

« Nous avons montré que le scarabée bombardier (Pheropsophus jessoensis) rejetait des produits chimiques chauds à l’intérieur du crapaud, le forçant ainsi à vomir », explique Shinji Sugiura de l’Université de Kobe.

Pour arriver à ces conclusions, deux chercheurs japonais ont étudié en laboratoire deux espèces de crapauds (Bufo japonicus et B. torrenticola) friands de coléoptères bombardiers.

Résultat : 43 % des crapauds ont vomi les coléoptères, le tout dans un laps de temps allant de 12 à 107 minutes. De plus, tous les insectes vomis étaient vivants et actifs.

Dans la vidéo qui suit, il est possible de voir un crapaud, comme pris de haut-le-coeur, recracher un insecte. Couvert de mucus, le coléoptère s’échappe alors rapidement.

 

Selon les chercheurs, le jet toxique, composé de benzoquinone, de méthyle et de vapeur d’eau, atteint en moyenne 100 °C. Il est éjecté à partir de la pointe de l’abdomen de l’animal.

Après que les amphibiens ont avalé leurs proies, « on peut entendre une explosion à l’intérieur de chaque crapaud, signe que le jet chimique a été éjecté », expliquent les chercheurs.

Une technique de survie qui semble efficace plus le coléoptère est gros et plus le crapaud est petit.

Mais si les chercheurs ont découvert comment les coléoptères bombardiers parviennent à s’échapper des tubes digestifs, une autre question reste ouverte : comment peuvent-ils survivre aux acides qui y sont produits le temps d’être vomis?

Le taux de survie de P. jessoensis à l’intérieur des crapauds était plus élevé que celui des autres coléoptères, ce qui laisse à penser qu’il a peut-être développé une tolérance élevée aux sucs digestifs des prédateurs.

Shinji Sugiura

Le détail de ces travaux est publié dans la revue Biology Letters de la Royal Society.

http://ici.radio-canada.ca/

Il veut prendre l’avion avec 247 serpents dans sa valise


Un avantage des personnes égoïste, qui veulent faire de la contrebande et essaie de passer le plus d’animaux possible c’est qu’il est plus facile de les prendre sur le fait dans un aéroport.
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Il veut prendre l’avion avec 247 serpents dans sa valise

On ne rigole pas avec la contrebande d’animaux en Argentine. Surtout quand il s’agit de 247 animaux enfermés dans des boites transparentes ou des sacs en toile, sans oxygène.

Un ressortissant tchèque a été arrêté à l’aéroport international d’Ezeiza, de Buenos Aires, alors qu’il tentait de faire passer une valise remplie de reptiles et d’amphibiens. Enfermés dans des boîtes et des sacs sans air, au fond d’une valise, les animaux étaient tous vivants, excepté deux serpents qui n’ont malheureusement pas survécu.

Selon l’AFP, les animaux n’auraient jamais survécu au vol. Parmi eux, des couleuvres, des jeunes boas, 15 spécimens de vipères venimeuses – dont deux yararas qui peuvent atteindre 1,50 mètre- et des crapauds, escargots, lézards, tortues. Tous étaient destinés au marché noir, mais surtout à une mort certaine. Ce sont les employés de la compagnie Iberia qui ont découvert les bestioles mal en point, alors que l’homme de 51 ans, Karel Abelovsky, s’apprêtait à embarquer pour Madrid.

L’AFP affirme que les éventuelles victimes de ces reptiles auraient eu peu de chance de s’en sortir… puisque la République Tchèque n’a pas les moyens nécessaires en antidote pour guérir ce genre de morsures. L’homme risque une peine allant de quatre à dix ans de prison, après avoir été inculpé puis libéré sous caution, le 7 décembre dernier. L’inculpation de contrebande est aggravée par le fait que certains des serpents sont sur la liste des animaux rares et protégés par la CITES (Convention de Washington sur le commerce international des espèces sauvages menacées d’extinction).

http://www.gentside.com