Le Saviez-Vous ► Une bombe atomique a failli détruire New York, Washington et Baltimore en 1961


La course à l’armement nucléaire a provoqué une des catastrophes la plus connues de l’histoire, celle d’Hiroshima. Cependant, un incident aurait pu changer la face des États-Unis avec une bombe plus puissante que celle d’Hiroshima. En 1961, New-York, Washington et Baltimore auraient pu être rayés de la carte américaine. Je pense que cela mérite une bonne réflexion quand on pense qu’au moins 700 événements causé avec 1 250 armes ont été répertoriée entre 1950 à 1968. Que ce soit la bombe H, ou encore des armes biologiques, il y a des victimes innocentes pour des guerres qui n’ont pas des raisons d’exister
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Une bombe atomique a failli détruire New York, Washington et Baltimore en 1961


Hiroshima

Hiroshima

Cécile Chalancon

Imaginez une bombe 260 fois plus puissante que celle qui a explosé à Hiroshima. Imaginez que le bombardier qui la transporte se disloque en vol au-dessus de Goldsboro, en Caroline du Nord, aux Etats-Unis. Imaginez que Washington, Baltimore, Philadelphie et même New York, c’est-à-dire des millions d’habitants, seraient touchés.

N’imaginez plus, ce scénario n’est pas celui d’un film catastrophe hollywoodien. Les faits se sont réellement déroulés le 23 janvier 1961. C’est ce que révèle The Guardian grâce au journaliste Eric Schlosser qui a exigé d’avoir accès au rapport rédigé en octobre 1969 par Parker F. Jones, superviseur de l’armement nucléaire aux laboratoires Sandia. Le journaliste a obtenu le déclassement de ce document grâce à la loi sur la liberté d’information, Foia.

Selon le rapport publié par The Guardian, l’accident a lieu quand un bombardier B52 rencontre des problèmes lors d’un vol de routine. Il laisse échapper deux bombes Mark 39 à hydrogène au-dessus de Goldsboro.

La première bombe se comporte «normalement», c’est-à-dire que le dispositif de sécurité fonctionne. Mais pas la seconde. Elle réagit comme si elle avait été larguée intentionnellement. Le parachute s’ouvre et un, puis deux, puis trois systèmes de sécurité ne répondent pas. C’est quand la bombe touche le sol que, finalement, un signal est envoyé et un petit interrupteur fait son travail. La catastrophe est évitée de justesse.

Jusqu’à présent, les autorités américaines avaient toujours nié que des vies avaient été en danger. Pourtant, la conclusion de Parker F. Jones est implacable:

«La bombe MK 39 Mod 2 ne possédait pas les mécanismes de sécurité appropriés pour un usage aéroporté à bord d’un B-52.»

Eric Schlosser a découvert ce document dans le cadre de recherches pour un livre sur la course à l’armement nucléaire. Le résultat de son enquête montre qu’au moins700 accidents «importants» et des incidents impliquant1.250 armes nucléaires ont été enregistrés entre 1950 et 1968.

http://www.slate.fr/

Le Saviez-Vous ► Glaces et sorbets : l’histoire d’une fraîcheur millénaire


Le sorbet date d’au moins 2000 ans, et c’était de la neige mélangé à du miel et des fruits en Chine, Chez les Arabes avait donné le nom de Chorbets, d’ou viens le de sorbet. Les Grecs et les Romains ont aussi fait leurs propres glaces, et c’est en Italie que débuta des nouveauté tel que la crème glacée et transporter en France, pour encore plus de nouveauté. Enfin les desserts glacés on traverser l’océan pour être aussi connu par l’Amérique
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Glaces et sorbets : l’histoire d’une fraîcheur millénaire

 

Glaces et sorbets : l’histoire d’une fraîcheur millénaire

Crédits : nolonely/stock.adobe.comLes sorbets ont vu le jour en Chine grâce à un savant mélange de jus de fruit, de neige et de salpêtre !

Rien de plus banal, maintenant, que de déguster à tout moment une glace ou un sorbet. Une appétence gourmande pour ces produits qui ne date pas d’hier puisqu’elle remonte à des temps ancestraux. Jusqu’à l’apparition de la réfrigération, au XIXème siècle, nos ancêtres ont dû accompli de véritables exploits pour satisfaire ce besoin de fraîcheur…

De la neige comme première sorbetière ?

La première sorbetière a aujourd’hui plus de 2000 ans ! En Chine, on préparait des sorbets en mettant des jus de fruits ou du vin dans des tonneaux sur lesquels on faisait couler un mélange de neige et de salpêtre (qui abaisse le point de congélation de l’eau). A la même époque, dans le monde arabe, on fabriquait, de la même façon, des chorbets (ou sharbet), boissons aux fruits glacées : c’est de là que vient le mot sorbet. La neige des montagnes, compressée dans des sacs, était transportée à dos de chameau et stockée dans des maisons construites pour cela. Dans l’Antiquité, à la cour d’Alexandre le Grand, on préparait des boissons glacées en mélangeant des fruits écrasés avec du miel et de la neige.

Cette technique se perpétua chez les Grecs au cours des siècles suivants. Elle fut ensuite reprise par les Romains qui n’hésitèrent pas à faire transporter, depuis les Alpes ou l’Etna jusqu’à Rome, des tonnes de neige tassée et des blocs de glace protégés par de la paille et des fourrures. A l’arrivée, neige et glace étaient enfouies dans des puits pour être conservées. Néron, empereur romain, régalait aussi ses invités de fruits écrasés avec du miel et de la neige, pratiques que Sénèque trouvait fort coûteuses. Combien de temps ces sorbets et fruits glacés ont-ils été consommés ? Les historiens restent muets sur le sujet. Il semble que ces préparations glacées aient perduré en Orient mais pas en Occident. Au XIIIème siècle, le marchand vénitien Marco Polo (1254 – 1324) aurait pour sa part rapporté en Italie le principe de la sorbetière chinoise. Et c’est ainsi que les Italiens auraient, à leur tour, fabriqué des sorbets… avant la crème glacée !

Des sorbets à la crème glacée italienne

On ignore en revanche le nom du pâtissier qui, au XVème siècle, en Italie, eut un jour l’idée de rajouter de la crème, transformant ainsi les sorbets en crèmes glacées. Ce qui justifie pleinement la primauté des Italiens en matière de gelati ! La gourmande Catherine de Médicis, qui s’en délectait quant à elle à Florence depuis son enfance, les fait mettre à sa table française après ses noces avec le roi Henri II de France, en 1533. Les familles royales européennes s’en entichent mais il faudra attendre le XVIIIème siècle pour que les crèmes glacées gagnent réellement du terrain. En effet, il faut de la glace vive – dépourvue de neige – venue de loin, pour les conserver et les stocks étaient rares et chers. La première glacière n’est créée à Paris qu’au XVIIème siècle : on y stocke la glace des étangs de la Bièvre, gelés pendant l’hiver. On en trouve aussi dans les châteaux comme Versailles ou Chantilly. Ce qui n’empêche en rien le développement de recettes de crèmes glacées. On doit la première trace écrite à Menon, dans sa Science du Maître d’hôtel confiseur (1750). Joseph Gilliers, le pâtissier du Roi Stanislas Leczinski (beau-père de Louis XV, gourmand et pour qui fut créé le Baba au rhum) publie aussi dans Le Cannaméliste Français (1751) plusieurs recettes de « neige », dont une d’artichaut (fonds blanchis, pistaches, orange confite, crème et sucre).

La folie des glaces au siècle des Lumières

Ces soufflés glacés au pain d’épice sont directement inspirés du célébrissime soufflé glacé Rothschild.

En 1689, le sicilien Francesco Procopio del Coltelli ouvre à Paris le premier café, Le Procope. Il y sert non seulement du café mais aussi plus de cent sorbets et glaces différents. Toute la bonne société parisienne s’y précipite, y compris les « dames de qualité », ce qui ne se faisait pas jusqu’alors. Et si elles n’osent quitter leur carrosse, un valet leur en apporte. En 1720, il invente les mousses glacées en ajoutant de la crème fouettée dans ses glaces : ces « glaces à la Chantilly » deviennent tout de suite à la mode. Au XVIIIème siècle, les glaciers se multiplient à Paris et la consommation s’étale désormais tout au long de l’année. Les glaces se servent dans des tasses ou en briques, moulées dans des fruits, des coquetiers, des verres.

Les « fromages glacés » apparaissent : en plus d’y avoir ajouté des jaunes d’œufs et supprimé la crème, ces derniers sont parfumés d’épices, de fruits, de chocolat, de café, de liqueurs.

Et comme le souligna à l’époque Pierre Jean-Baptiste Legrand d’Aussy, auteur de Histoire de la vie privée des Français (1782), « on trouva l’art de faire des fromages avec toutes les matières quelleconques qui s’employaient pour les glaces ; et alors la distinction cessa ».

On s’en fait livrer car les glaces de toutes sortes font désormais partie des desserts, différentes pour chaque type de repas ou de réception. Vers 1798, l’italien Tortoni crée un café à Paris très couru de tout le monde politique et intellectuel friand de ses biscuits et bombes glacés.

Les recettes d’entremets glacés ne cessent de se multiplier partout. Des cuisines de Carême sortent ensuite les premiers parfaits glacés et, vers 1820, le célébrissime soufflé glacé Rothschild. On invente aussi toutes sortes de moules : les plus branchés sont ceux en forme d’asperge avec une glace à la pistache, d’écrevisse (glace à la fraise) etc. La Révolution française ne tuera pas les glaces. Au contraire, elle les démocratise. Glacier devient alors une profession à part entière et les sorbetières envahissent les demeures françaises.

Quid des « Ice-Creams » aux Etats-Unis ?

En 1785, Thomas Jefferson, futur troisième Président des États-Unis (1801), est ambassadeur en France. Pris de passion pour ces glaces tellement à la mode, il rapporte avec lui des moules et une recette de glace à la vanille : six jaunes d’œuf, une demi-livre de sucre, deux bouteilles de crème et une gousse de vanille, cuits ensemble puis placés dans ce qui était alors appelée une « sarbottiere ». Pendant sa présidence, des desserts glacés sont alors systématiquement servis aux repas officiels de la Maison Blanche. En 1806, Frederic Tudor, homme d’affaire originaire de Boston surnommé Ice King (le roi de la glace), entreprend de collecter et de vendre la glace des lacs gelés. Et un peu plus tard, Nathaniel Jarvis Wyeth, entrepreneur ayant également participé au commerce de la glace, invente une une machine à découper la glace. En 1843, Nancy Johnson, de Philadelphie, imagine une sorbetière à manivelle qui est brevetée et commercialisée par William Young. La fabrication de glaces se développe vite : la première usine de crèmes glacées ouvre à Baltimore en 1851. Les Américains succombent aux Ice-creams et le célèbre Sundae voit le jour en 1892. Elles deviennent encore plus populaires avec l’apparition du cornet au début du XXème siècle, dont l’invention reste très controversée. Vient-il de Paris ou d’ailleurs ? Nul ne le sait. Quant à la barre glacée enrobée de chocolat, elle est lancée dans les années 1920.

Des glaces artisanales aux glaces industrielles

En France, au XIXème siècle, les glaces artisanales sont aussi devenues populaires mais surtout dans les classes sociales aisées : il faut de la glace vive, matière première chère, pour les fabriquer et les conserver. Ainsi, à l’époque, 40 glacières approvisionnent Paris : si l’on en manque pour cause d’hiver doux, on la fait venir de Norvège. En 1860, la première machine frigorifique est créée par l’ingénieur français Charles Tellier, la pasteurisation est découverte en 1865, et l’homogénéisation à haute pression par Auguste Gaulin, en 1899. Une série de découvertes et d’inventions qui ont participé à l’élaboration des glaces telles que nous les connaissons et consommons aujourd’hui. La première usine de crèmes glacées, inspirée du modèle américain, voit quant à elle le jour en 1924. Sorbets, glaces et desserts glacés se démocratisent. Les marques se multiplient alors et depuis, les artisans-glaciers ont pignon sur rue. Un savoir-faire qui se poursuit encore aujourd’hui avec des associations de parfums toujours plus étonnantes.

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Un chien se sacrifie pour sauver un bébé d’un incendie


Il y a des chiens qui ont le sens du courage inné. Comme ce chien qui n’a pas fui devant le danger pour protéger un bébé. Ce qui me questionne quand même, c’est l’ampleur du feu alors que la mère n’était pas loin, espérons que l’enfant n’aura pas de séquelles
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Un chien se sacrifie pour sauver un bébé d’un incendie

 

Par Elisa Gorins

Crédits photo : Capture écran WBaltv

Il s’appelle Polo et c’est un héros. Ce petit chien noir au poil bouclé n’a pas hésité à faire passer la vie de Viviana, un bébé de 8 mois, avant la sienne lors d’un incendie.

Le drame s’est produit à Baltimore, aux Etats-Unis. Erika Poremski avait quitté sa maison quelques minutes, le temps d’aller à sa voiture, laissant sa fille de huit mois seule avec le chien de la famille, Polo. Lorsqu’Erika a voulu rentrer chez elle, la maison était en flammes.

Face aux flammes, le chien devient un bouclier

Erika et ses voisins ont alors tenté de braver le feu pour sauver Viviana et Polo. En vain. Les flammes étaient déjà trop puissantes. Fort heureusement, les pompiers n’ont pas tardé à arriver, et c’est alors qu’ils ont découvert le chien de 6 ans protégeant la fillette tel un véritable bouclier.

« Elle a été seulement brûlée sur les côtés de son corps grâce à cela. Il est resté avec elle dans la chambre sans bouger et n’est même pas descendu pour s’enfuir », a témoigné Erika.

Grâce à l’héroïsme de son chien, Viviana a pu être sauvée, bien qu’elle se trouve toujours dans un état préoccupant en raison de ses nombreuses brûlures. MaisPolo, lui, n’a pas survécu. 

« Il était mon premier bébé et maintenant je l’ai perdu. Je prie à présent pour ne pas perdre ma fille. Elle est tout ce qui me reste, tout est arrivé si vite, je ne comprends pas », a déclaré Erika à la chaîne de télévision locale WBaltv. 

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La mamie culturiste la plus musclée du monde vient de fêter son 80e anniversaire.


C’est toute une leçon qu’Ernestine Shepherd donne a ceux qui ont plus de 50 ans. Il n’est jamais trop tard pour changer. Aujourd’hui, cette culturiste est octogénaire de Baltimore aux États-Unis. Elle a commencé à s’entrainer à 56 ans, et au cours des années Ernestine a remporté deux prix, soit en 2010 et 2011 et d’après le Livre Guinness a déclaré qu’Ernestine Sheperd était la culturiste active en compétition la plus âgée du monde
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La mamie culturiste la plus musclée du monde vient de fêter son 80e anniversaire.

États-Unis ► Un calendrier perpétuel pour figer le temps


Vouloir tout réformer il me semble que cela amènera a des années de routines. Est-ce faisable partout au monde, je ne crois pas, étant donné certains aspects justement religieux, et ou tradition, car certains se fit au calendrier lunaire, Qu’on veuille une heure universelle non plus je ne pense pas que cela soit possible, cependant qu’on élimine une fois pour toute le changement d’heure me semble possible
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États-Unis ► Un calendrier perpétuel pour figer le temps

Noël et le jour de l’An tomberaient toujours la même journée, ainsi que les dates d’anniversaire et les jours fériés.

© Shutterstock / Agence QMI

BALTIMORE, Maryland – Des chercheurs américains ont mis au point un calendrier perpétuel grâce auquel Noël et jour de l’An tomberaient toujours la même journée, ainsi que les dates d’anniversaire et les jours fériés.

Deux scientifiques de l’Université Johns Hopkins à Baltimore, au Maryland, ont trouvé une façon de «figer le temps» en créant un calendrier où chaque période de 12 mois est strictement identique à la précédente.

Cette idée peut paraître saugrenue, mais selon l’astrophysicien Richard Conn Henry et l’économiste Steve H. Hanke, les avantages pratiques et même économiques d’un calendrier perpétuel seraient immédiats.

«Pensez seulement au temps et aux efforts nécessaires pour revoir le calendrier de chaque organisation à travers le monde. Un calendrier perpétuel serait considérablement plus simple et plus facile à gérer», explique Richard Conn Henry.

Leur système repose sur une période de 12 mois où le 1er janvier tombe toujours un dimanche et le 31 décembre un samedi. À cela, on ajoute une semaine complète tous les cinq ou six ans, à la fin de l’année, ce qui permet de resynchroniser le calendrier avec les saisons.

D’autres essais avaient déjà été tentés par le passé, notamment par George Eastman, vers la fin du 19e siècle. Celui-ci proposait un calendrier de 13 mois identiques de 28 jours chacun. Le projet était toutefois tombé à l’eau, car il ne respectait pas les dates du shabbat.

La nouvelle proposition est irréprochable sur le plan religieux, et facilite également la vie des entreprises, qui n’auraient par exemple pas à subir une fermeture en milieu de semaine à cause d’un jour férié.

Sur le plan économique, les avantages seraient également palpables, notamment en simplifiant les calculs de taux d’intérêt, qui doivent tenir compte des anomalies de notre calendrier grégorien. Celui-ci compte en effet une journée supplémentaire tous les quatre ans, chaque année bissextile.

Les chercheurs sont également favorables à la mise en place d’une «heure universelle».

«On en finirait avec les différents fuseaux horaires, avec le passage à l’heure d’été et à l’heure d’hiver et aux incessantes fluctuations de dates, année après année», disent-ils.

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Une technique chirurgicale qui ne laisse pas de cicatrice


Une belle avancer en chirurgie du cerveau. Déjà que se faire jouer dans le crane n’est pas rassurant mais si le médecin peut opéré sans  laisser cicatrice visible et autres séquelles les risques sont moins grand et l’hospitalisation moins longue
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Une technique chirurgicale qui ne laisse pas de cicatrice


© Agence QMI / Archives


BALTIMORE, Maryland — Des chercheurs américains ont développé une technique chirurgicale qui permet d’ôter des tumeurs à la base du crâne sans laisser de cicatrice visible.

La technique consiste tout simplement à passer par la bouche du patient. Selon les spécialistes du Johns Hopkins Hospital, à Baltimore, il existerait un orifice naturel derrière les molaires, au-dessus de la mâchoire et juste sous la pommette.

À l’heure actuelle, pour retirer une tumeur à la base du crâne, les chirurgiens doivent pratiquer une incision dans le visage du patient et retirer l’os. Cela peut endommager les nerfs, en plus de défigurer le patient et parfois créer une paralysie faciale.

Le Dr Kofi Boahene a réalisé cette chirurgie l’an dernier pour la première fois. Au départ, on évaluait la durée de l’opération à six heures, mais deux heures ont suffi, et le patient avait pu quitter l’hôpital le jour suivant l’intervention, alors que l’autre technique requiert une hospitalisation de plusieurs jours, voire de plusieurs semaines.

Cette approche moins invasive pourrait donc constituer une avenue prometteuse pour les personnes souffrant d’un cancer du cerveau nécessitant une intervention chirurgicale.

Les résultats de cette recherche ont été publiés dans la revue scientifique Laryngoscope.

http://sante.canoe.com