Un boa albinos découvert au milieu de vêtements donnés à une association caritative


J’aimerais bien toucher à un serpent sauf que j’estime que ces bêtes dangereuses, ou pas, ne devraient pas se retrouver dans des appartements. Ils ne sont pas dans leur environnement naturel. De plus, sa fuite aurait pu causer sa perte à cause qu’un humain voulait l’avoir comme animal de compagnie.
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Un boa albinos découvert au milieu de vêtements donnés à une association caritative

 

Capture d'écran YouTube - TODAY’S TMJ4

Capture d’écran YouTube – TODAY’S TMJ4

Repéré par Grégor Brandy

Repéré sur Star-Telegram, NBC, Gizmodo

Surprise!

Ils ne s’attendaient probablement pas à ça. Des employés d’un entrepôt de Goodwill à Fort Worth, dans le Texas, sont tombés sur un boa constricteur albinos au milieu de vêtements donnés, le 1er novembre, raconte Gizmodo.

«J’étais en train de faire basculer la machine, et quand j’ai ramené le panier, le serpent était suspendu au-dessus du vide, explique à NBC l’une des personnes qui s’occupe du traitement des dons. J’étais un peu effrayée et je me disais que ça ne pouvait pas être une illusion. C’était bien réel.»

Heureusement pour tout le monde, il se trouve que l’un de ses supérieurs a déjà possédé des serpents et savait comment gérer la situation. Il a finalement réussi à le récupérer et à le placer en sécurité.

 «Je ne sais pas comment ce serpent est arrivé ici. Je ne sais pas si quelqu’un l’a placé là par malveillance. Peut-être qu’ils voulaient s’en débarrasser et ne savaient pas comment, ou peut-être qu’il voulait juste être au chaud. Il était au milieu d’une pile de vêtements.»

De retour chez lui

Deux jours plus tard, il a obtenu sa réponse, raconte le Star Telegram. Le serpent, répondant au doux nom de Toki, appartient à Austin Pair, un Texan de 22 ans, qui en avait perdu la trace en mai dernier, alors qu’il était parti en vacances à Hawaï, et quand le serpent avait forcé l’entrée du vivarium dans lequel il se trouvait. Avec ses colocotaires, ils ont bien retourné la maison dans laquelle ils vivaient, mais sans succès. Austin Pair s’est finalement résigné: Toki avait disparu.

Alors comment le serpent a-t-il fini dans le panier à vêtements de Goodwill? Le jeune Texan a une théorie. Il y a quelque temps, il a déménagé et s’est débarrassé de deux canapés et de vêtements au passage.

«Il imagine que Toki devait vivre dans le canapé qu’il a récemment amené dans un centre de dons. Il pense que le froid de l’entrepôt a poussé le serpent à sortir du canapé et aller se réchauffer au milieu des vêtements.»

Il se trouve que les serpents de cette taille peuvent «bien se porter avec seulement un repas par semaine, et peuvent survivre pendant plusieurs mois sans nourriture».

Le serpent a en tout cas eu beaucoup de chance, poursuit le Star Telegram, qui détaille les bons choix qu’il a dû faire pour être retrouvé vivant. Mais Toki est probablement le seul à connaître la totalité de cette histoire.

«J’aimerais bien parler Fourchelang, conclut Austin Pair. Il pourrait nous dire beaucoup de choses.»

http://www.slate.fr/

Oseriez-vous ce massage par des boas constricteurs?


Bien que j’aimerais bien voir un serpent de près voir même le touché, je ne voudrais pas un massage de boa constricteur. Bien que l’hote de ce salon prétend qu’il n’a jamais personne qui ont été mordu lors des massages, je considère que les serpents ne sont pas fait pour des salons de massages mais bien dans la nature
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Oseriez-vous ce massage par des boas constricteurs?

 

 

En quête de sensations nouvelles et de détente?

Si vous faites un détour par New York, il y a plus original que les quartiers où fleurissent les manucures et les massages classiques: pour une pause hors du commun, il y a le salon de Serpentessa. Cette maîtresse serpents propose des services qu’elle qualifie de médicaux grâce aux reptiles qu’elle vénère et utilise à des fins thérapeutiques.

Le client peut par exemple s’allonger sur une table de massage tandis que la propriétaire des lieux dépose sur lui des boas constricteurs. Selon elle, les sentir déambuler sur le corps procure une sensation d’apaisement et de force. Sur son site, elle encourage les clients à vivre l’expérience nus pour un meilleur ressenti, plus profond. Elle propose aussi aux femmes d’autres rituels particuliers.

Elle se targue également d’avoir débarrassé nombre de participants de leur phobie des serpents, d’avoir permis à certains d’avancer dans leur processus de deuil, de les avoir aidés à se reconnecter avec leur être intérieur et leur sensualité sauvage ou à apprendre à gérer les situations inconfortables ou de stress… entre autres. Car selon Serpentessa, qui travaille avec ces reptiles depuis 25 ans, ils sont la réponse à tous les maux de l’esprit.

Pour qui est tenté par l’expérience, sachez tout de même qu’il vous faudra débourser 255 euros (347 $ cad) par séance de 75 minutes. Serpentessa promet qu’au cours de sa carrière, aucun serpent n’a mordu de client

https://www.7sur7.be/

Attaquée par son boa, elle appelle les pompiers, qui décapitent le serpent


Je peux comprendre que des gens ont des passions pour des animaux exotiques, mais par respect pour eux, pourquoi ne pas laisser ces bêtes dans leur environnement. Que ce soit un lion, un singe, un serpent, il y a eu bien des histoires tristes qui ont mal fini pour les « propriétaires » De plus, les maisons, les cages et autres ne sont pas vraiment adaptés pour les bêtes sauvages, car il manque l’essentiel, l’espace, la liberté de mouvement
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Attaquée par son boa, elle appelle les pompiers, qui décapitent le serpent

 

Une femme a appelé les services d'urgence après... (Photo thinkstock)

Une femme a appelé les services d’urgence après qu’un boa d’environ 1,60 m lui ait mordu le nez.

PHOTO THINKSTOCK

 

Agence France-Presse
New York

«J’ai un boa constricteur collé au visage!» Voilà comment une quadragénaire de l’Ohio a présenté son cas aux pompiers de Sheffield Lake, qui ont dû décapiter l’animal pour décoller sa gueule de sa propriétaire.

Passionnée de serpents, la femme de 45 ans a passé un appel désespéré au 911 jeudi en début d’après-midi, selon plusieurs médias locaux.

 

«Je n’ai jamais entendu un truc comme ça», laisse échapper l’opératrice après que l’amatrice de reptile lui a expliqué la situation, d’une voix affolée, selon l’enregistrement de l’appel d’urgence mis en ligne par le journal local The Chronicle Telegram.

La victime explique que le boa, qui mesure environ 1,60 m, lui mord le nez, qu’elle est à terre et qu’il y a «du sang partout». Elle dit l’avoir «secouru» la veille, ainsi qu’un autre boa, et avoir 11 serpents en tout, dont 9 pythons.

«Ne bougez pas madame», lui suggère l’opératrice. «Je ne peux pas!», répond-elle. «J’ai peur! Il a attrapé mon nez et il est autour de ma taille!»

On entend alors au loin des sirènes de véhicules d’urgence, arrivés sur place en moins de 4 minutes.

Incapables de forcer le serpent à lâcher prise, les services de secours se sont résolus à le décapiter avec un couteau de poche, a expliqué le chef des pompiers de Sheffield Lake, Tim Card, au Chronicle Telegram.

La femme a été hospitalisée mais ses jours n’étaient pas en danger, selon la chaîne locale Fox 8 Cleveland.

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Nicaragua: reptiles, amphibiens et araignées exportés comme animaux domestiques


Qu’un des moyens pour éviter l’extinction d’un animal, soit des fermes d’élevage pour qu’adultes ces reptiles et amphibiens soient remit en liberté est une chose, mais ou je bloque, c’est l’exportation pour des animaux de compagnie exotiques. Combien de personnes ont voulu avoir un serpent, une araignée dangereuse et autres bestioles et ont décidé de s’en débarrasser ou se sont sauvé de leur maitre ? C’est la biodiversité du pays d’accueil qui risque d’en souffrir .. Tout cela pour un petit caprice de faire différent des autres. Je sais que certains sont plus consciencieux que d’autres, cependant le risque est grand …
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Nicaragua: reptiles, amphibiens et araignées exportés comme animaux domestiques

 

Au Nicaragua, pays d'Amérique centrale parmi les plus... (Photo Inti OCON, AFP)

Au Nicaragua, pays d’Amérique centrale parmi les plus pauvres du sous-continent, on compte une dizaine de ces élevages de reptiles, amphibiens ou araignées, placés sous la supervision du ministère de l’Environnement et des ressources naturelles (Marena).

Photo Inti OCON, AFP

Blanca MOREL
Agence France-Presse
MANAGUA

Tous les jours, Yader sort ses boas constrictors imperators de leur cage pour vérifier qu’ils n’aient pas de tiques, les douche, leur faire prendre le soleil et s’assure qu’ils ont mué avant de leur servir un savoureux déjeuner constitué de souris blanches vitaminées.

Tous les jours, Yader sort ses boas constrictors... (Photo Inti OCON, AFP) - image 1.0

Photo Inti OCON, AFP

À 29 ans, Yader Andino est soigneur chez Exotic Fauna, un élevage situé à quelques kilomètres de la capitale du Nicaragua, Managua, dédié à l’exportation d’espèces exotiques.

Il s’assure, entre autres, du bien-être de ces séduisants reptiles de grande taille de couleur vert foncé tachetés de noir vendus comme animaux domestiques au Canada, aux États-Unis, en Europe ou en Asie.

«Quand le boa défèque et change de peau, tous les 15 ou 22 jours, cela signifie qu’il faut le nourrir», explique doctement le jeune homme tout en immobilisant un mâle adulte de 1,5 mètre.

Ils se vendent comme «animaux de compagnie parce qu’ils attirent l’attention, c’est comme avoir un chien ou un chat, la différence est que leur entretien est plus délicat», indique à l’AFP Eduardo Lacayo, propriétaire de l’élevage.

Selon lui, les boas nicaraguayens «plaisent beaucoup» à l’étranger et font concurrence à ceux de Colombie, autre pays latino-américain qui profite de sa riche biodiversité à des fins commerciales.

Au Nicaragua, pays d’Amérique centrale parmi les plus pauvres du sous-continent, on compte une dizaine de ces élevages de reptiles, amphibiens ou araignées, placés sous la supervision du ministère de l’Environnement et des ressources naturelles (Marena).

On estime que le pays exporte chaque année quelque 40 000 animaux de ce type, pour un total de 250 000 dollars, selon le gouvernement.

Tous les jours, Yader sort ses boas constrictors... (Photo Inti OCON, AFP) - image 2.0

Photo Inti OCON, AFP

Préservation d’espèces menacées

M. Lacayo raconte avoir lancé son affaire il y a sept ans «par passion» avec son épouse, Yesenia Talavera, ingénieure agronome, et confie que ce commerce n’est pas très lucratif, mais «dégage des bénéfices».

Pour nourrir leurs serpents, les deux entrepreneurs ont également développé un élevage de souris, préalablement traitées contre les parasites avant d’être «servies» aux boas, vendus actuellement huit dollars pièce.

Les serpents, qui peuvent donner naissance à une cinquantaine de jeunes par an, ont commencé par avoir beaucoup de succès aux États-Unis ainsi qu’à Dubaï.

Toutefois, la demande des États-Unis a chuté en raison d’une surpopulation de pythons dans les mangroves locales et de «croisements avec d’autres espèces de reptiles» sans aucun contrôle, explique M. Talavera.

Comme alternative, il espère que le gouvernement lui accorde rapidement une licence pour produire «des araignées tigres», aux longues pattes fines et au corps rayé de jaune et noir, ainsi que des tarentules, qui «s’alimentent de grillons, de vers et de jeunes souris».

Ces animaux «plaisent partout dans le monde», assure l’éleveur, qui avec les bénéfices dégagés par les ventes de serpents s’est diversifié dans la reproduction de grenouilles à yeux rouges, de lézards – très prisés des Chinois – et de tortues de terre.

Le Nicaragua compte 300 espèces d’amphibiens et de reptiles, dont certaines en voie d’extinction en raison de la chasse et du commerce illégal, situation à laquelle les autorités tentent de remédier grâce à l’élevage en captivité.

Le gouvernement «promeut la reproduction d’espèces menacées d’extinction à des fins commerciales comme moyen d’éviter leur prélèvement dans le milieu naturel», indique ainsi le ministère de l’Environnement.

À ce titre, l’Université autonome du Nicaragua (UNAN, publique), administre une ferme produisant 3000 iguanes verts par an, un animal menacé par la chasse. Une fois adultes, ils sont relâchés dans des réserves naturelles ou vendus à d’autres élevages destinés à l’exportation, explique à l’AFP José Quiroz, de l’UNAN.

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C.-B. : près de 50 pythons euthanasiés dans une maison de Mission


Encore des pythons sur la sellette et e plus comme si cela n’était pas suffisant, on rajoute un boa, un varan … Euh !!! Il ne serait pas plus simple d’interdire complètement des reptiles et point c’est tout, au lieu d’émettre un permis pour telle catégorie ou avoir sans permis certains d’entre eux .. Ces animaux ne sont pas faits pour rester dans des endroits restreint .. Lueur nature est de parcourir leur territoire à la recherche de bouffe ou de se reproduire .. Pas de se faire ami-ami avec l’être humain, car en cas de problème c’est eux qui finissent euthanasié pas le con qui en possède
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C.-B. : près de 50 pythons euthanasiés dans une maison de Mission

 

Le propriétaire de serpents Justin Clark déplace le reste de ses animaux, le samedi 17 août 2013 à Mission, en Colombie-Britannique. 46 pythons illégaux ont été euthanasiés sur place le jeudi précédent.

Le propriétaire de serpents Justin Clark (à gauche) déplace le reste de ses animaux, le samedi 17 août 2013 à Mission, en Colombie-Britannique. 46 pythons illégaux ont été euthanasiés sur place, chez lui, le jeudi précédent. Photo :  Salimah Shivji

 

La Colombie-Britannique est la dernière province à être le théâtre d’une histoire de grands serpents. Les agents de la conservation ont découvert et euthanasié près de 50 pythons illégaux dans une maison de la vallée du Fraser, qui accueillait en tout près d’une centaine de serpents.

Les agents ont été appelés jeudi à une résidence de Mission, dont le locataire, qui possédait les serpents, se faisait évincer, a expliqué l’inspecteur Chris Doyle, du service provincial de conservation.

Les agents ont découvert 46 pythons réticulés, dont la possession sans permis est interdite en vertu de la Loi provinciale sur la faune. Le serpent le plus long mesurait un peu plus de quatre mètres.

Selon l’inspecteur Doyle, personne ne possédait de permis dans la demeure, située dans un secteur résidentiel à quelques pâtés de maison d’une école.

Python

Python Photo :  iStock

« Ces serpents représentent un risque pour la sécurité publique », a estimé l’inspecteur Doyle.

Le propriétaire peut garder 50 reptiles

Si 46 pythons ont été euthanasiés sur place, environ 50 autres en bonne santé peuvent rester entre les mains de leur propriétaire, Justin Clark.

Interviewé samedi alors qu’il déménageait toujours ses effets personnels, l’homme a exprimé sa difficulté à accepter l’euthanasie massive.

« Ce qu’ils ont fait était cruel. Ils auraient pu les mettre ailleurs, ils n’avaient pas à les tuer sur place. Si cela avait été un chat ou un chien, ils n’auraient pas fait ça », a estimé M. Clark.

Celui-ci clame qu’il avait un permis pour certains des pythons et envisage des actions en justice, après avoir perdu des milliers de dollars dans l’euthanasie de ses animaux.

Les autorités affirment qu’il est trop tôt pour savoir s’il y aura des accusations.

Un des plus gros types de lézard

L’inspecteur Doyle ajoute que les agents de la conservation ont aussi retrouvé de nombreux autres serpents, ainsi qu’un varan, l’une des plus grosses espèces de lézard au monde. Ces animaux ne sont pas visés par la réglementation provinciale sur les espèces animales étrangères contrôlées.

Toutefois, les agents ont aussi trouvé d’autres espèces dont la possession est restreinte, comme des boas et d’autres types de pythons.

Les espèces à possession restreinte deviennent carrément interdites une fois qu’elles atteignent une certaine longueur. Toutefois, certaines espèces de pythons ne sont ni à possession restreinte ni interdites parce qu’elles ne deviennent pas très longues, explique M. Doyle.

Certaines espèces de varan sont interdites, mais celui trouvé dans la résidence de Mission n’était pas illégal, a aussi indiqué l’inspecteur provincial.

Les pythons font la manchette

L’intervention des agents britanno-colombiens est survenue le même jour que la saisie de 40 pythons dans une chambre de motel de Brantford, en Ontario.

Plus tôt ce mois-ci,deux jeunes frères ont été tués pendant qu’ils dormaient chez un ami à Campbellton, au Nouveau-Brunswick,par un python africain qui s’était échappé d’un commerce d’animaux exotiques.

http://www.radio-canada.ca

VIDÉO. Steve Backshall se fait étrangler par un boa constrictor pour son émission


Tout pour être une vedette de la télévision, mais au contraire des films, c’est une réalité. Des expériences hors du commun avec les animaux dangereux de la planète. Est-ce que cela vaut vraiment la peine ? S’il arrive que l’animateur perde le contrôle est-ce que les assistants vont tué l’animal,  pour sauver l’aventurier ?
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VIDÉO. Steve Backshall se fait étrangler par un boa constrictor pour son émission

 

NATURE À quoi ça ressemble de se faire étrangler par un boa constrictor? Vous pourrez poser la question à Steve Backshall, l’aventurier et présentateur britannique de « Deadly 60 ».

Pour son émission diffusée sur la BBC, Steve Backshall a joué la proie, disposant le boa constrictor autour de son cou et le laissant l’étouffer. Le présentateur a également commenté la pression exercée par le reptile, face caméra, pendant plus de deux minutes:

Pour ceux qui découvrent Steve Backshall, il fait partie de ces aventuriers devenus stars du petit écran. Comme Bear Grylls -l’animateur emblématique du programme « Man vs. Wild » (« Seul face à la nature » en France) diffusé par Discovery Channel depuis 2006- Steve Backshall parcourt le monde avec une attention toute particulière pour les contrées les plus inhospitalières. Mais la spécialité de Steve Backshall, c’est surtout de se retrouver face à face avec les animaux les plus dangereux.

Dans « Deadly 60 », l’aventurier britannique a plongé avec des requins, été chargé par un taureau, fait face à un cobra ou un mamba noir, nagé avec un hippopotame, été mordu par un caïman ou encore recherché un anaconda dans un marécage.

Sa confrontation avec le boa constrictor fait partie de la seconde saison de « Deadly 60 » et l’extrait a été partagé sur le compte YouTube de la BBC dimanche 7 avril.

http://actualite.portail.free.fr/

Des serpents de toutes les couleurs


Qu’on aime ou pas les serpents, ils sont des créatures impressionnantes et c’est par leur physionomie que beaucoup ont peur qu’ils soient dangereux ou non. Cependant, le photographe nous montre un côté moins connu .. leur beauté dans toute sa splendeur
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Des serpents de toutes les couleurs

 Le photographe américain Mark Laita s’est lancé un défi : parvenir à rendre hommage aux serpents les plus beaux, les plus dangereux et les plus colorés de la planète.

Voici de magnifiques photos issues de ses expositions et de son livre à paraître en octobre 2012.
 

Vipère à fossettes de Vogel.
 

© Mark Laita


La queue rouge du boa constrictor

 

© Mark Laita

 

Serpent-corail bleu et rouge

 

©  Mark Laita


Dangereuse vipère à fossettes

© Mark Laita


La famille boa émeraude

© Mark Laita


Le cobra royal, roi des serpents

© Mark Laita


Serpent noir à collier rouge

© Mark Laita


Un serpent-liane pour se cacher dans la forêt

© Mark Laita


Inquiétant taipan du désert

© Mark Laita


Serpent noir sur fond noir

© Mark Laita


http://www.linternaute.com

Il veut prendre l’avion avec 247 serpents dans sa valise


Un avantage des personnes égoïste, qui veulent faire de la contrebande et essaie de passer le plus d’animaux possible c’est qu’il est plus facile de les prendre sur le fait dans un aéroport.
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Il veut prendre l’avion avec 247 serpents dans sa valise

On ne rigole pas avec la contrebande d’animaux en Argentine. Surtout quand il s’agit de 247 animaux enfermés dans des boites transparentes ou des sacs en toile, sans oxygène.

Un ressortissant tchèque a été arrêté à l’aéroport international d’Ezeiza, de Buenos Aires, alors qu’il tentait de faire passer une valise remplie de reptiles et d’amphibiens. Enfermés dans des boîtes et des sacs sans air, au fond d’une valise, les animaux étaient tous vivants, excepté deux serpents qui n’ont malheureusement pas survécu.

Selon l’AFP, les animaux n’auraient jamais survécu au vol. Parmi eux, des couleuvres, des jeunes boas, 15 spécimens de vipères venimeuses – dont deux yararas qui peuvent atteindre 1,50 mètre- et des crapauds, escargots, lézards, tortues. Tous étaient destinés au marché noir, mais surtout à une mort certaine. Ce sont les employés de la compagnie Iberia qui ont découvert les bestioles mal en point, alors que l’homme de 51 ans, Karel Abelovsky, s’apprêtait à embarquer pour Madrid.

L’AFP affirme que les éventuelles victimes de ces reptiles auraient eu peu de chance de s’en sortir… puisque la République Tchèque n’a pas les moyens nécessaires en antidote pour guérir ce genre de morsures. L’homme risque une peine allant de quatre à dix ans de prison, après avoir été inculpé puis libéré sous caution, le 7 décembre dernier. L’inculpation de contrebande est aggravée par le fait que certains des serpents sont sur la liste des animaux rares et protégés par la CITES (Convention de Washington sur le commerce international des espèces sauvages menacées d’extinction).

http://www.gentside.com