Parler avec amour


On parle aux animaux, aux plantes avec affection et amour alors qu’entre nous, c’est souvent le contraire, on critique, accuse, néglige, on prend pour acquis. Si nous apprenons a communiquer entre nous, le monde s’en porterais mieux
Nuage

 

Parler avec amour

 

 

 

Si parler aux plantes avec amour leurs permet d’aider à leur croissance, imaginez ce que parler avec amour aux humains peut faire

Inconnu

Duel entre un rapace et un renard à plus de 6 mètres de hauteur


Des Américains ont été témoins d’une scène rare d’un pygargue à tête blanche est souvent un opportuniste, il vole parfois les proies de d’autres. Dans le parc national de l’île San Juan aux États-Unis, un pygargue à tête blanche voulait s’emparer d’un lapin s’est finalement envolé pendant quelques instants avec le renard qui le tenait entre ses crocs. Cela a duré quelques minutes.
Nuage

 

Duel entre un rapace et un renard à plus de 6 mètres de hauteur

 

Le Saviez-Vous ► Voici pourquoi vous ne DEVRIEZ PAS tuer ce mille-pattes


J’ai vu deux fois ce mille-pattes et les deux fois dans une salle de bain. La première fois, il y a une dizaine d’années, ce fut un grand étonnement, j’ai fouillé sur le net pour savoir, c’est quoi cette bibite ? Et bien, malgré son apparence, c’est un insecte des plus utiles que l’on peut retrouver dans une maison et qui agit comme exterminateur de cafards, punaises de lit, araignées et fourmis.
Nuage

 

Voici pourquoi vous ne DEVRIEZ PAS tuer ce mille-pattes

 

De tous les insectes qui envahissent les maisons québécoises, beaucoup d’entre nous trouvent que le mille-pattes de maison — aussi appelé la scutigère véloce — est l’un des plus effrayants.

On pense que cette espèce a été introduite en Amérique du Nord via le Mexique il y a maintenant plusieurs décennies.

Cette espèce est plus petite que la majorité des mille-pattes. Elle possède une trentaine de pattes qu’elle peut détacher si l’une d’elles reste coincée ou en cas de danger.

Malgré son air terrifiant, la scutigère est considérée comme inoffensive. Une de ses morsures, cependant, piquera de manière semblable à celle d’une abeille. 

Les mille-pattes de maison aiment les espaces humides et sombres comme les salles de bains et les sous-sols. 

Si vous en voyez un, retenez votre premier instinct d’en faire une crêpe avec votre soulier : car les mille-pattes adorent manger les fourmis, les araignées, les cafards ou encore les punaises de lit.

Ainsi, si vous voyez un mille-pattes dans votre maison, mais que vous ne voyez aucune autre espèce d’insectes, il y a de fortes chances qu’il ait efficacement endossé son rôle d’exterminateur ! Cependant, si vous considérez toujours ces mille-pattes comme des indésirables dans votre maison, ils peuvent être facilement ramassés et remis dehors pour qu’ils puissent continuer leur travail.

Si vous voulez les empêcher de rentrer chez vous : 

  1. Séchez les zones humides de votre maison;

  2. Éliminez les grandes populations d’insectes d’intérieur (fourmis et autres…);

  3. Scellez les fissures dans les murs de votre maison;

  4. Et rappelez-vous : ils ont plus peur de vous que vous d’eux. Si vous décidez de les laisser rester chez vous, ils feront de leur mieux pour rester à l’abri des regards.

https://www.meteomedia.com/

"Si je meurs dans une fusillade à l’école": le hashtag bouleversant


22 fusillades dans les écoles en 5 mois aux États-Unis. Les étudiants ont fait de grandes manifestions que beaucoup pays en Occident ont appuyé leurs demandes. Maintenant, ils se tournent dans les réseaux sociaux dont Twitter en donnant des exemples s’ils étaient tués dans une fusillade tout ce qu’ils ne pourront pas faire. Est-ce que cela va toucher le lobbying des armes à feu ? Donald Trump va rester à ramper pour la NRA ?
Nuage

 

    « Si je meurs dans une fusillade à l’école »: le hashtag bouleversant

     

    © reuters.

    Par: Deborah Laurent

    Il y a eu 22 fusillades en milieu scolaire aux Etats-Unis depuis le début de l’année. La dernière en date a eu lieu à la Santa Fe High School au Texas. Les étudiants ont déjà manifesté contre le port d’armes à feu mais rien ne bouge. Aujourd’hui, c’est sur Twitter qu’ils prennent la parole pour exprimer leurs peurs et leur frustration.

    Sous le hashtag #IfIDieInASchoolShooting (comprenez: « Si je meurs dans une fusillade à l’école »), ils listent les choses qu’ils n’auront pas l’occasion de vivre. Voici quelques exemples de messages. Tous sont bouleversants et tous appellent à un changement.

    Si je meurs dans une fusillade à l’école, je deviendrai une statistique. Je ne pourrai jamais aller à l’université. Mon chien se demandera toujours où je suis. Je deviendrai un hashtag. Je ne pourrai plus jamais me battre pour ma vie. S’il vous plaît, ne laissez pas la violence continuer.

    Si je meurs dans une fusillade à l’école, alors mes parents survivront à leur seul enfant.

    Si je meurs dans une fusillade à l’école, le pays fera son deuil pendant quelques semaines et puis oubliera. S’il vous plaît. Je ne veux pas être oubliée.

    Si je meurs dans une fusillade à l’école, mes talents et les choses sur lesquelles j’ai travaillé si dur seront perdus. Je ne pourrai plus sourire ou rire encore. Je ne tomberai pas amoureuse ou je ne lirai pas tous les livres que je veux lire. Si je meurs comme ça, je ne reposerai pas en paix jusqu’à ce que ça change.

    Si je meurs dans une fusillade à l’école, je ne rentrerai plus jamais à la maison avec mon père et il conduira pendant une heure comme un fou depuis son travail parce que je suis sa fille. Il ne me verra plus jamais sourire. Nous n’irons plus jamais luncher. Vous direz à mon père que je l’aime. Vous lui direz de se battre pour moi. Vous lui direz que je suis désolée.

    Les professeurs aussi ont participé à la discussion. Ainsi, Jo écrit:

    « Si je meurs à l’école dans une fusillade, j’espère que j’épargnerai autant d’enfants que possible. #prof #çafaitpartiedujob »

    http://www.7sur7.be/

Plus de 2.000 langues sont en train de disparaître


Bien qu’une langue universelle permettrait communiquer avec tout le monde à travers la planète, il est dommage que des langues puissent disparaître. Car une langue maternelle est l’histoire de son peuple, sa science, son identité, sa culture. Il est certes important d’apprendre la langue du pays, mais de garder et de continuer d’enseigner sa langue de maternelle.pour garder l’héritage de la famille
Nuage

 

Plus de 2.000 langues sont en train de disparaître

 

Selon l'UNESCO, 2.464 langues sont «ménacées» | Andrew Butler via Unsplash License by

Selon l’UNESCO, 2.464 langues sont «ménacées» | Andrew Butler via Unsplash License by

Repéré par Aurélie Rodrigues

Repéré sur Quartz

L’identité d’une communauté ou d’un pays passe aussi par sa langue.

 

La Société internationale de linguistique (SIL) estime qu’il y a environ 7.000 langues dans le monde –dont 141 langues officielles. Un rapport de l’UNESCO classe 2.464 langues comme «menacées» de disparition: en moyenne, tous les quinze jours une langue disparaît.

L’identité d’une communauté ou d’un pays passe notamment par une histoire, une culture et une langue commune. Dans certains cas, comme celui de la Catalogne, le langage est un moyen d’affirmer ses convictions politiques ou de manifester du patriotisme.

«Aujourd’hui il n’y a plus que le foot et la langue pour défendre son identité», souligne Mathieu Avanzi, linguiste.

Dans le monde, les mouvements séparatistes ou indépendantistes défendent des idéaux politiques mais aussi identitaires. Le langage y joue un rôle important: il réunit autant qu’il exclut. L’Espagne fait partie des pays scindés par plusieurs communautés: une schizophrénie identitaire qui cohabite à l’intérieur même des frontières.

«Pour moi, être Espagnol c’est un partage des langues et d’identités régionales. Mes parents enseignent le castillan mais à la maison on parle galicien et ma grand-mère chante en catalan. Le langage ce n’est pas simplement de la communication. Quand on parle, on partage des codes», raconte Rosalia Martinez.

 

Des efforts réalisés par les gouvernements pour sauver les langues locales

De nombreux gouvernements comme l’Allemagne, le Royaume-Uni ou les Pays-Bas investissent dans des programmes de formations linguistiques pour encourager les migrants ou les réfugiés à «mieux s’intégrer». Jusqu’à 2020, le gouvernement allemand compte dépenser près de 5,7 milliards d’euros pour mettre ces politiques en action.

A contrario, des pays comme le Pays de Galles investissent 170 millions d’euros par an dans des politiques linguistiques: programmes de tutorat dans les écoles galloises et subventions de médias en gallois. Ce genre d’investissement a permis d’endiguer la baisse de la pratique de la langue.

De l’autre côté du globe, les politiques mises en place dans les années 1990 par le gouvernement néo-zélandais ont permis une revitalisation de la langue maori.

«De plus en plus d’enfants apprennent cette langue. Grâce à ça, la culture et l’identité maori gagne en visibilité dans le reste du pays», rapporte Minority Rights, une organisation qui défend les droits individuels et collectifs des minorités.

Comme l’explique Collette Grinwald dans une interview pour France Info, «dans la majorité des cas, il sera difficile, voire impossible d’enrayer la disparition des langues».

Alors pourquoi ne pas prendre les devants et commencer à apprendre l’espéranto: cette langue, qui se veut universelle, est déjà parlée par plus de deux millions de personnes à travers le monde.

 

http://www.slate.fr/

Terre-Neuve a reçu 35 cm de neige à un mois de l’été


Alors qu’il fait beau et chaud chez moi dans mon coin du Québec, les fleurs ont fait leur apparition et les arbres de son habillé de leurs feuilles. Plus à l’est dans la province de Terre-Neuve, ils ont eu une bonne bordée de neige jusqu’à 35 cm de neige. Cela doit être décourageant cette blancheur a la fin du printemps.
Nuage

 

Terre-Neuve a reçu 35 cm de neige à un mois de l’été

 

La température oscillait autour de -2°C à Gander,... (PHOTO PC)

La température oscillait autour de -2°C à Gander, jeudi matin – un 24 mai, à quatre semaines du début officiel de l’été.

PHOTO PC

La Presse Canadienne
Gander

 

Une tempête de fin de printemps qui a enseveli des voitures dans la neige et forcé la fermeture de plusieurs écoles à Terre-Neuve-et-Labrador a causé la consternation – et l’incrédulité – chez bien des résidants de la côte nord-est de l’île, jeudi matin.

Des photos publiées sur les médias sociaux montrent un barbecue enseveli et des bancs de neige qui atteignaient la moitié d’une porte d’entrée. Des dizaines d’écoles ont retardé leur ouverture ou ont été fermées, jeudi matin.

La météorologue Linda Libby, d’Environnement Canada, a indiqué que plus de 35 centimètres de neige étaient tombés à l’aéroport international de Gander mercredi soir et durant la nuit de jeudi, alors que plus de 36 centimètres ont été enregistrés dans le parc national Terra-Nova.

Environnement Canada s’attendait à ce que la neige s’amenuise jeudi après-midi, mais de forts vents du nord-est, soufflant à 80 kilomètres/heure, devaient persister tout au long de la journée, selon Mme Libby. Les automobilistes étaient donc prévenus que la visibilité pouvait être réduite en raison de la poudrerie.

La température oscillait autour de -2°C à Gander, jeudi matin – un 24 mai, à quatre semaines du début officiel de l’été. Pendant ce temps, à l’autre bout du pays, certaines régions de l’Alberta et de la Saskatchewan étaient toujours visées par un avertissement de chaleur, jeudi; les températures devaient atteindre 29°C.

Mais ces tempêtes de neige de fin de printemps ne sont pas rares à Terre-Neuve-et-Labrador. Mme Libby rappelle qu’il y a cinq ans, les 18 et 19 mai 2013, plus de 69 centimètres étaient tombés sur Gander.

En fait, certains Terre-Neuviens accordent même des vertus thérapeutiques à ces tempêtes de mai. Larry Dohey raconte que ses ancêtres irlandais de la région de Cape Shore suggéraient d’appliquer cette neige fondue sur le visage pour faire disparaître les taches de rousseur…

Selon une autre tradition, la neige de mai constituerait un excellent remède pour les yeux endoloris des chasseurs de phoques qui rentrent de longs séjours sur les aveuglantes glaces de mer.

http://www.lapresse.ca

Un Américain blessé par son arme cachée dans le four de sa cuisine


Vouloir caché une arme à feu en présence d’enfant est une bonne chose, mais le cacher dans un four, c’est carrément irresponsable. En plus, des armes à la maison ne sont pas nécessairement plus sécuritaire, car il est prouvé qu’il y a 3 fois plus d’homicides avec des armes que sans armes .. C’est logique !
Nuage

 

Un Américain blessé par son arme cachée dans le four de sa cuisine

 

Un Américain a été gravement blessé par balle après avoir caché son arme à feu dans le four de sa cuisine, que sa compagne a allumé en ignorant la présence de l’engin, a rapporté un journal de l’Ohio.

Robin Garlock, habitant la ville de Warren, a eu l’idée de dissimuler son revolver dans l’appareil à cuisson car il attendait la visite d’enfants, a expliqué lundi le policier Wayne Mackey au quotidien The Vindicator.

Plus tard, sa compagne a décidé de cuisiner, et a actionné le thermostat du four, a relaté le journal.

Sous l’effet de la chaleur, l’arme à détoné une première fois. M. Garlock s’est alors précipité pour récupérer l’arme brûlante, dont les munitions ont explosé.

L’homme de 44 ans a été blessé aux épaules par deux balles ou deux éclats de balle.

« C’était trop chaud. L’arme a fait une rotation en explosant », a expliqué l’agent Mackey.

Contrairement à l’idée souvent avancée aux Etats-Unis qu’une arme servirait à défendre la vie de son détenteur, il est prouvé que le risque d’homicide est trois fois plus élevé dans les foyers avec une arme que dans les foyers sans.

     Washington (AFP) –          © 2018 AFP

http://www.lepoint.fr/

Marqués par la sorcellerie, des malades d’Ebola refusent des soins


Il y a des croyances qui sont difficiles à comprendre. Celle de la sorcellerie, superstitions, mauvais sort quand une épidémie fait rage. Il est difficile de contenir et de soigner ces personnes. C’est ce qui se passe au Congo actuellement avec la maladie d’Ébola. Ils croient que c’est une maladie mystique et qui doit être soigné par des moyens spirituels. La prière n’a jamais fait de tort, mais il faut aussi se faire soigner avec les connaissances médicales actuelles
Nuage

 

Marqués par la sorcellerie, des malades d’Ebola refusent des soins

 

© afp.

 

Maladie mystique, mauvais sort, sorcellerie et superstition justifient pour la majorité des habitants de Mbandaka (nord-ouest de la RDCongo) le refus par certains malades de recevoir des soins dans les hôpitaux.

Mercredi, un pasteur d’une église évangélique est décédé quelques jours après avoir « prié » pour un malade d’Ebola, selon un médecin.

« Croyant que l’épidémie d’Ebola relève de la sorcellerie, certains malades refusent de se faire soigner, préférant la prière », témoigne Julie Lobali, une infirmière en première ligne contre la neuvième épidémie de la maladie d’Ebola en RDC.

La maladie considérée comme « un mauvais sort »

A Mbandaka, ville de 1,2 million d’habitants située à 700 km de Kinshasa, touchée par l’épidémie, de nombreuses personnes croient que l’épidémie actuelle est « un mauvais sort jeté sur ceux qui ont mangé une viande volée » en brousse, explique Mme Lobali. Cette infirmière de l’hôpital général de Mbandaka, est elle-même considérée comme un « cas suspect ».

Une « maladie mystique puissante »

L’épidémie d’Ebola a été déclaré le 8 mai à Bikoro (à 100 km de Mbandaka et 600 km de Kinshasa), à la frontière avec le Congo-Brazzaville.

La nouvelle épidémie n’est pas une maladie normale mais le « résultat d’un mauvais sort jeté sur ce village par un chasseur qui s’était fait voler un gros gibier. C’est une maladie mystique », croit Blandine Mboyo, habitante du quartier de Bongondjo à Mbandaka. « Ce mauvais sort est trop puissant parce qu’il frappe ceux qui ont mangé cette viande, entendu parlé de ce vol ou encore vu l’animal volé », estime vérité Nicole Batoa, vendeuse.

« Cette maladie est incurable. Ils le disent eux-mêmes à la radio, c’est parce qu’il s’agit de sorcellerie », déclare Guy Ingila, vendeur clandestin de carburant.

Le décès n’est jamais naturel en Afrique

En RDC, comme un peu partout en Afrique, la maladie ou le décès n’est jamais un phénomène naturel. L’OMS et les autorités ont déjà enregistré une cinquantaine de cas dont 27 décès.

 Du point de vue culturel, « autant de morts est la manifestation d’un mauvais sort et ne peut être provoqué que par un mauvais génie », explique Zacharie Bababaswe, spécialiste congolais de l’histoire des mentalités.

Avant l’expansion des églises évangéliques en RDC, des Congolais allaient voir le féticheur ou le guérisseur du village pour se soigner, explique M. Bababaswe. Cette croyance à la superstition a simplement changé de forme.

« Avant les années 1980, n’importe quelle maladie avait une origine mystique », se rappelle-t-il et le féticheur proposait toujours une solution mystique.

Des charlatans pour guérir Ebola

Après la décennie 1980, « des charlatans se sont transformés en pasteurs pour prendre le relai des guérisseurs et des féticheurs » et proposer des solutions mystiques aux problèmes de santé, rappelle M. Bababaswe : « A un problème spirituel, la solution n’est pas médicale », pense-t-on.

Il y a quelques semaines, deux malades d’Ebola venus de Bikoro, l’épicentre de l’actuelle épidémie, s’étaient rendus en urgence dans des églises au lieu d’aller dans un centre de santé pour suivre des soins, selon des témoignages. Un autre malade, interné à l’hôpital général de Mbandaka le 1er mai, a préféré quitter l’hôpital pour se faire soigner par un guérisseur. Cette attitude inquiète le personnel médical et autres leaders communautaires.

L’église comme solution

Les fétiches n’étant plus à la mode actuellement, c’est à l’église que la solution à la maladie peut-être trouvée grâce aux miracles que « le pasteur peut obtenir de Dieu ». Par conséquent, la sensibilisation des masses à l’existence de la maladie devient prioritaire.

« Il faut une communication adaptée », conseille M. Bababaswe parce que les gens ne changeront pas en un jour « leurs habitudes séculières ».

Pour enrayer la propagation de l’épidémie, il faut « expurger de la tête des villageois que la maladie à virus Ebola est un mauvais sort jeté sur les villages », estime le député Bavon N’Sa Mputu, un élu de Bikoro.

Couplée à la misère, les églises qui offrent aussi la solidarité, sont par la force des choses propulsées au devant de la scène pour des solutions appropriées à un problème de santé publique qui peut mettre en péril l’humanité entière.

Une épidémie qui revient pour la neuvième fois

C’est la neuvième fois que la maladie à virus Ebola sévit sur le sol congolais depuis 1976. La dernière épidémie en RDC remonte à 2017. Rapidement circonscrite, elle avait fait officiellement quatre morts.

http://www.7sur7.be/