Une famille de cafards avait élu domi­cile dans l’oreille de ce Ch


Oh la la la ! Pas de cafards (coquerelle) dans l’oreille ! Le médecin croit que la cause est que le patient laissait trainer de la nourriture sur sa table de chevet ! J’espère qu’il va faire traiter aussi sa maison, ca s’il en avait dans son oreille, il en a sûrement ailleurs.
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Une famille de cafards avait élu domi­cile dans l’oreille de ce Chinois


par  Adrien Gingold

En Chine, un jeune homme de 24 ans s’est rendu en octobre dernier à l’hô­pi­tal Sanhe à cause d’une « douleur aiguë à l’oreille ». Les méde­cins ont rapi­de­ment trouvé une famille de cafards qui avaient éclos près de son tympan et qui vivaient à l’in­té­rieur, écri­vait le New York Post le 6 novembre dernier.

Lorsque M. Lv est arrivé à l’hô­pi­tal, il s’est immé­dia­te­ment plaint de « quelque chose qui grimpe ou qui rampe à l’in­té­rieur ». Et il ne se trom­pait pas :

« J’ai décou­vert plus de 10 bébés cafards à l’in­té­rieur », a déclaré un des méde­cins qui ont pu extraire les petits et leur maman à l’aide d’une pince à épiler.

La cause ? Selon le Dr Jiang Tengxiang, direc­teur adjoint de l’hô­pi­tal Sanhe, M. Lv avait l’ha­bi­tude de lais­ser de la nour­ri­ture sur sa table de chevet pendant son sommeil, ce qui a proba­ble­ment incité les intrus à utili­ser son oreille comme chambre impro­vi­sée. Depuis ce mois d’oc­tobre, M. Lv suit un trai­te­ment à base d’an­ti­bio­tiques et ne laisse plus rien traî­ner près de l’oreiller.

Source : The New York Post

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Il fait acci­den­tel­le­ment explo­ser son jardin en voulant se débar­ras­ser des cafards


Un Brésilien voulait juste se débarrasser des cafards dans son jardin. Il en avait dans la maison et leur nid était dans le jardin. Il décida de mettre du spray, cela n’a pas fait grand chose, sauf de faire fuir les cafards un peu partout. Il a donc opté pour l’essence et le feu. Une bien mauvaise idée. Je doute que cette méthode quoique spectaculaire, soit efficace.
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Il fait acci­den­tel­le­ment explo­ser son jardin en voulant se débar­ras­ser des cafards

Le Saviez-Vous ► 10 phobies animales peu connues, voire même insolites !


On connaît certaines phobies qui peuvent être de vrai cauchemar pour certaines personnes. D’autres phobies qui sont moins connues, et même surprenantes peuvent aussi être invivables pour ces personnes.
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10 phobies animales peu connues, voire même insolites !

 

iStock.com/Scacciamosche

par Clara Zerbib, journaliste animalière

On a tous des peurs plus ou moins irrationnelles, dues à une méconnaissance du sujet ou à un traumatisme de l’enfance. Par exemple, l’arachnophobie (la peur des araignées), l’ophiophobie (la peur des serpents) ou encore la cynophobie (la peur des chiens) sont plutôt courantes et donc rarement jugées. Mais d’autres peurs peuvent être tout aussi terrifiantes et pourtant ne jamais être prises au sérieux.

La preuve ici !

1. L’ailurophobie (la peur des chats)

Si vous êtes un amoureux des chats, vous pourrez avoir du mal à comprendre comment des créatures aussi douces et aussi mignonnes peuvent inspirer la peur. Et pourtant… Les personnes qui souffrent d’ailurophobie ont non seulement peur des chats mais aussi de tout ce qui y est lié. Ainsi, le son d’un ronronnement, la vue de croquettes ou de litière pour chat peut également être source d’angoisse. Imaginez la dure vie que mènent ces personnes à l’heure où les félins sont de plus en plus présents dans nos foyers !

chat

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Crédits : Pxhere

2. L’alektorophobie (peur des poulets)

Lorsqu’ils voient une poule ou un coq, les alektorophobes ont tendance à être pétrifiés de peur, voire même à avoir des palpitations cardiaques. Certains vont même plus loin puisqu’ils ont également peur des poulets morts, voire même des oeufs (on dit alors qu’ils sont ovophobes).

Par extension, les alektorophobes peuvent également être ornithophobes, c’est-à-dire avoir peur des oiseaux en général.

poules

Crédits : iStock

3. La lépidophobie (peur des papillons)

Alors que certains en font collection, d’autres ne peuvent pas les approcher, de près ou de loin. En effet, contrairement à ce que l’on pourrait penser, les papillons, avec leurs couleurs multicolores et leur grâce naturelle, ne font pas l’unanimité. Au contraire, ils sont même l’objet d’une peur irraisonnée qui est bien difficile à gérer lorsque les beaux jours arrivent…

À noter que les lépidophobes peuvent aussi être entomophobes, c’est-à-dire avoir peur des insectes en général. L’entomophobie inclut également la myrmécophobie (peur des fourmis), l’apiphobie (peur des abeilles) ou encore la katsaridaphobie (peur des cafards).

battus philenor papillon

Crédits : John Flannery/Wikimedia Commons

4. L’ostraconophobie (peur des fruits de mer)

Si à chaque fois que vous mangez dans un restaurant, vous avez peur d’apercevoir un mollusque ou un crustacé sur la table voisine, c’est que vous êtes ostraconophobe. Et ne parlons même pas de ceux qui sont vivants ! Tomber nez à nez à la mer avec un homard, un crabe ou même une huître peut être d’autant plus angoissant.

À noter que la plupart des personnes atteintes de cette phobie l’ont développé après avoir mangé des fruits de mer et être tombées malades.

crabe de cocotier

Crédits : iStock

5. La batrachophobie (peur des amphibiens)

Cette peur incontrôlée des amphibiens, et plus particulièrement des grenouilles, des crapauds et des salamandres, trouve parfois son origine dans les légendes urbaines. En effet, on dit par exemple que toucher un crapaud donne des verrues… Mais cette phobie pourrait également être liée à un dégoût pour les choses gluantes.

grenouille

Crédits : Pixnio

6. L’ (peur des chevaux)

Les chevaux sont des animaux imposants et il n’est donc pas surprenant qu’ils puissent parfois inspirer une certaine crainte. D’autant plus qu’un seul coup de sabot peut être fatal… Il arrive même que le simple son des sabots sur le sol suffise à déclencher l’anxiété des personnes atteintes de cette phobie.

cheval appaloosa

Crédits : iStock

7. La musophobie (peur des rongeurs)

Vous avez peur de tous les rongeurs ? Ou simplement des souris ou des rats ? Dans tous les cas, vous êtes musophobe ! Malgré le fait qu’elle soit très répandue, cette phobie, qui touche surtout les femmes, a le don de faire rire. Pourtant, la panique qui s’empare des musophobes lorsqu’ils aperçoivent un rongeur est bien réelle…

L’origine de la musophobie est bien souvent la peur de la saleté, cette dernière étant associée aux rats et aux souris.

souris

Crédits : iStock

8. L’ichtyophobie (peur des poissons)

Cette peur maladive des poissons s’exprime par la peur d’être entouré de poissons vivants, la peur de manger des poissons morts ou la peur de toucher des poissons. Certains sont même écoeurés par la vue ou l’odeur des poissons sur les étals de marchés par exemple.

poisson rouge

Crédits : iStock

9. L’arctophobie (peur des ours)

Non seulement les personnes atteintes de cette phobie ont peur des ours (et on peut les comprendre) mais en plus elles ont peur de toutes leurs représentations… Cela signifie que la simple vue d’un ours en peluche peut être source de panique ! Imaginez en période de Noël…

ours

 

Crédits : Pxhere

10. La cuniculophobie (peur des lapins)

Un simple dessin de lapin peut faire bondir d’horreur les cuniculophobes. On imagine alors aisément qu’ils ne crient pas qu’ils sont atteint de cette phobie sur tous les toits, sous peine de subir quelques moqueries…

lapin

 

Crédits : Simona R/Pixnio

Source

https://animalaxy.fr/

Pour la Saint-Valen­tin, on peut donner le prénom de son ex à un cafard


 

Une vengeance ? Peut-être !!! Donner un nom de son ex à un cafard pour aider a financer un zoo est un bien drôle d’idée …
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Pour la Saint-Valen­tin, on peut donner le prénom de son ex à un cafard

 

par  Ulyces

 

En Angle­terre, le Centre de conser­va­tion de Hemsley propose à ses visi­teurs de donner à des cafards le prénom de leur ex, à l’oc­ca­sion de la Saint-Valen­tin le 14 février prochain.

Contre 1,70 euro, les inter­nautes ou les touristes se rendant au zoo reçoivent ainsi un certi­fi­cat, sur lequel le prénom en ques­tion n’ap­pa­raît tout de même pas, afin de « ne pas mettre de l’huile sur le feu », précise le site.

« Pour ceux qui n’ont pas besoin d’une vengeance, voilà un autre moyen de vous sentir mieux vis-à-vis de votre ex pour la Saint-Valen­tin », explique le site, qui propose aussi ce service pour les amis.

 Le prénom donné au cafard appa­raî­tra ensuite dans les fichiers de recen­se­ment du centre.

La campagne « Donne un nom à un cafard » a été lancée le 11 janvier 2019 pour faire connaître le centre, mais aussi pour lever des fonds, qui finan­ce­ront les nouveaux projets du zoo. Sur Insta­gram, plusieurs personnes ont déjà confié avoir succombé à la tenta­tion de prénom­mer un cafard avec le prénom de leur ex.

« C’est fait ! Ça fait un bien fou ! Même si je suis déso­lée d’avoir appelé un cafard aussi mignon comme mon ex », explique ainsi une inter­naute.

Sources : Hemsley Conser­va­tion Center

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Le Saviez-Vous ► Voici pourquoi vous ne DEVRIEZ PAS tuer ce mille-pattes


J’ai vu deux fois ce mille-pattes et les deux fois dans une salle de bain. La première fois, il y a une dizaine d’années, ce fut un grand étonnement, j’ai fouillé sur le net pour savoir, c’est quoi cette bibite ? Et bien, malgré son apparence, c’est un insecte des plus utiles que l’on peut retrouver dans une maison et qui agit comme exterminateur de cafards, punaises de lit, araignées et fourmis.
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Voici pourquoi vous ne DEVRIEZ PAS tuer ce mille-pattes

 

De tous les insectes qui envahissent les maisons québécoises, beaucoup d’entre nous trouvent que le mille-pattes de maison — aussi appelé la scutigère véloce — est l’un des plus effrayants.

On pense que cette espèce a été introduite en Amérique du Nord via le Mexique il y a maintenant plusieurs décennies.

Cette espèce est plus petite que la majorité des mille-pattes. Elle possède une trentaine de pattes qu’elle peut détacher si l’une d’elles reste coincée ou en cas de danger.

Malgré son air terrifiant, la scutigère est considérée comme inoffensive. Une de ses morsures, cependant, piquera de manière semblable à celle d’une abeille. 

Les mille-pattes de maison aiment les espaces humides et sombres comme les salles de bains et les sous-sols. 

Si vous en voyez un, retenez votre premier instinct d’en faire une crêpe avec votre soulier : car les mille-pattes adorent manger les fourmis, les araignées, les cafards ou encore les punaises de lit.

Ainsi, si vous voyez un mille-pattes dans votre maison, mais que vous ne voyez aucune autre espèce d’insectes, il y a de fortes chances qu’il ait efficacement endossé son rôle d’exterminateur ! Cependant, si vous considérez toujours ces mille-pattes comme des indésirables dans votre maison, ils peuvent être facilement ramassés et remis dehors pour qu’ils puissent continuer leur travail.

Si vous voulez les empêcher de rentrer chez vous : 

  1. Séchez les zones humides de votre maison;

  2. Éliminez les grandes populations d’insectes d’intérieur (fourmis et autres…);

  3. Scellez les fissures dans les murs de votre maison;

  4. Et rappelez-vous : ils ont plus peur de vous que vous d’eux. Si vous décidez de les laisser rester chez vous, ils feront de leur mieux pour rester à l’abri des regards.

https://www.meteomedia.com/

Cette femme avait un cafard coincé dans son oreille, il a fallu 9 jours pour le déloger


Il parait que les cafards et les fourmis sont friand de la cérumen, il ne serait pas rare que ce genre d’insecte se retrouve dans l’oreille. Il n’est pas facile de les déloger, cela peut prendre un ou deux traitements pour les déloger.J’ai comme des frissons tout d’un coup !
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Cette femme avait un cafard coincé dans son oreille, il a fallu 9 jours pour le déloger

 

par Brice Louvet

Katie Holley, une habitante de Floride, a récemment partagé l’une des expériences les plus traumatisantes de toute sa vie. Elle a en effet détaillé comment, un jour, elle s’est réveillée avec un cafard dans l’oreille. Selon ses dires, il aura fallu neuf jours pour que les derniers morceaux lui soient enlevés.

«Le mois dernier, au milieu de la nuit, je me suis réveillée en sursaut», écrit-elle dans un article détaillé le site web SELF. «J’avais l’impression que quelqu’un avait placé un morceau de glace dans le trou de mon oreille gauche – mais c’était quelque chose de bien pire».

Curieuse, elle a donc inséré un coton-tige dans son oreille et repéré deux pattes. Son mari a ensuite jeté un coup d’œil et confirmé qu’il s’agissait définitivement d’un cafard (aussi appelé punaise Palmetto).

Le mari de Katie entreprit alors de déloger l’insecte, mais ne put arracher que deux pattes. Ils se rendirent donc aux urgences où ils furent aussitôt pris en charge. Le médecin a alors donné à Katie de la lidocaïne pour engourdir la région et tuer l’insecte, puis commencé à retirer plusieurs morceaux. Mais un cafard ne se laisse pas faire aussi facilement.

«Quand le docteur a administré la lidocaïne, le cafard a commencé à … réagir», explique-t-elle. «Sentir un cafard dans les affres de la mort, logé dans une partie très sensible de votre corps, est une sensation difficile à décrire».

Katie rentra finalement chez elle, pensant comme le médecin des urgences que tous les morceaux de l’insecte avaient été retirés. Toujours avec une sensation étrange à l’oreille, elle se rendit pourtant neuf jours plus tard chez son médecin traitant, qui retira six autres morceaux de la carcasse du cafard.

«Il restait toute la tête, le haut du torse, les membres supérieurs et les antennes».

Elle avait donc porté l’insecte mort pendant plus d’une semaine dans son oreille .

Aussi étonnant que cela puisse paraître, «ce n’est pas un phénomène rare d’avoir un cafard dans l’oreille», explique l’entomologiste américain Coby Schal, de l’Université d’État de Caroline du Nord. «Le nez est plus inhabituel», dit-il.

Les insectes – comme les cafards et les fourmis – visitent en effet régulièrement les oreilles à la recherche de nourriture – ils sont friands de cérumen. Sur cette information, vous pouvez lire toute l’histoire de Katie sur le site SELF

http://sciencepost.fr/

Le Saviez-Vous ► Top 5 des animaux zombies


Les zombies existent vraiment, on peut quand même oublier les films de science-fiction avec des morts-vivants humains. Alors reste le monde animal dont les insectes et les arachnides, et même des grenouilles qui contaminé par des champignons ou un parasite, ils perdent le contrôle d’eux même pour finir d’une triste mort
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Top 5 des animaux zombies

 

Nathalie Mayer
Journaliste

Des animaux transformés en zombies le temps d’un film, au cinéma, d’accord, mais dans la réalité, est-ce possible ? La réponse est oui : la nature peut parfois nous offrir quelques spécimens d’animaux zombies des plus inquiétants. En voici cinq exemples.

Dans la littérature ou au cinéma, c’est généralement un dangereux virus qui est responsable de la transformation de toute une population en zombies. Et, dans le règne animal, il arrive effectivement parfois que des champignons, virus ou bactéries s’en prennent au cerveau de leurs hôtes. Les pauvres victimes perdent alors toute volonté propre, ressemblant à s’y méprendre aux zombies de certaines fictions.

1. Des fourmis transformées en zombies par un champignon

Dans Body Snatchers, un film d’épouvante des années 1990, des extraterrestres transforment les humains en zombies en pénétrant leurs corps par tous les orifices imaginables. Eh bien, quelque part dans la jungle du Brésil, des chercheurs pensent avoir découvert un champignon démoniaque qui procède un peu de même avec des fourmis charpentières.

Le champignon, en effet, aime se frayer un chemin dans leurs corps, les dévorant littéralement de l’intérieur, mais laissant toujours le cerveau intact. En une semaine, ce champignon contraint les fourmis à quitter leur nid et à s’agripper aux feuilles des plantes environnantes. Une fois que mort s’en suit, les spores toxiques du champignon s’échappent du corps des fourmis, n’espérant qu’une chose : croiser le chemin d’un autre candidat. Et, comme la première victime succombe généralement non loin des sentiers de recherche de nourriture de ses congénères, cela crée vite de nombreuses fourmis zombies.

Le champignon qui infecte les fourmis charpentières du Brésil opère en prenant le contrôle des muscles de celles-ci. © David Hughes, Penn State University

Le champignon qui infecte les fourmis charpentières du Brésil opère en prenant le contrôle des muscles de celles-ci. © David Hughes, Penn State University

2. Des grenouilles zombies folles de sexe

En Corée du Sud, des chercheurs ont découvert qu’un champignon pathogène pouvait prendre le contrôle de certaines grenouilles arboricoles d’une manière bien étrange. Les victimes, en effet, semblent devenir de véritables zombies fous de sexe. Les appels à l’accouplement émis les rendent plus attrayantes à de potentiels compagnons. De quoi assurer la survie du champignon en question.

Cette grenouille arboricole que l’on trouve en Corée du Sud semble se transformer en bête de sexe sous l’action d’un champignon pathogène. © masaki ikeda, Wikipédia, DP

Cette grenouille arboricole que l’on trouve en Corée du Sud semble se transformer en bête de sexe sous l’action d’un champignon pathogène. © masaki ikeda, Wikipédia, DP

3. Une araignée « zombifiée » par une guêpe

Leucauge argyra vit, entre autres, au Costa Rica et, comme toutes les araignées, elle tisse des toiles pour attraper de quoi se nourrir. Jusqu’à ce qu’une guêpe parasite décide de planter ses larves en elle. Alors, l’araignée passe une nuit à construire un cocon de soie qui fera office de nid douillet à ces squatteuses. Une fois la tâche achevée par l’araignée zombie, les larves, sans pitié, achèvent la petite bête.

Leucauge argyra est l’une de ces araignées qui vivent en société. © AlaskaDave25, Wikipédia, CC by-sa 3.0

Leucauge argyra est l’une de ces araignées qui vivent en société. © AlaskaDave25, Wikipédia, CC by-sa 3.0

4. Une abeille détournée de ses tâches

Apocephalus borealis est une mouche ayant la fâcheuse tendance à pondre ses œufs dans le corps d’abeilles qui se transforment alors en zombies. En effet, une fois infectées, celles-ci cessent leurs activités classiques et abandonnent leur colonie. Elles se comportent alors comme des papillons de nuit et finissent par s’échouer au pied de sources de lumière. Elles meurent lorsque les larves de mouches éclatent dans leur tête.

Si trop d'abeilles sont transformées en zombies par les mouches, c'est toute la colonie qui peut se trouver déstabilisée. © Oldiefan, Pixabay, CC0

Si trop d’abeilles sont transformées en zombies par les mouches, c’est toute la colonie qui peut se trouver déstabilisée. © Oldiefan, Pixabay, CC0

5. Des cafards zombies

Les cafards ne sont pas les plus appréciés des insectes et il leur arrive d’être « zombifiés », par des guêpes sans pitié. Comment ? Celles-ci les piquent et le venin qu’elles injectent alors paralyse les cafards.

Il arrive que des cafards soient transformés en zombies par des guêpes qui pondent en eux. © cherokee4, Fotolia

Il arrive que des cafards soient transformés en zombies par des guêpes qui pondent en eux. © cherokee4, Fotolia

Elles peuvent ensuite les traîner jusque dans leur repaire pour y implanter leurs œufs. Lorsque les larves éclosent, elles mangent les cafards de l’intérieur. Et c’est à ce moment-là seulement que ces petites bêtes finissent par mourir.

https://www.futura-sciences.com/

De l’animal-machine à la machine animale


On peut faire des robots-animaux, et maintenant, on fait de plus en plus des animaux-robots, ainsi être connecté ou bien les diriger. Je ne suis pas sûr que tout soit positif dans la technologie animale
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De l’animal-machine à la machine animale

 

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Face aux robots, la nature a-t-elle toujours le dernier mot?

Geoffrey Da Costa Docteur en communication sur les relations humaines et animales

 

STEPHANE ARMÉDE

Les prédictions d’il y a vingt ans, nous promettaient des machines échappant aux lois de la biologie, imposant ainsi leurs suprématies sur le monde du vivant. Et effectivement, comme promis, discrètement, mais sûrement, elles commencent déjà à s’imposer sur les animaux domestiques. Face aux robots, la nature a-t-elle toujours le dernier mot?

Il y a longtemps que la nature inspire les experts en robotique. Les ingénieurs empruntent à la biologie pour concevoir des machines de toutes sortes. Après la copie de l’animal par les robots, voici venu le temps de l’incursion des robots dans les groupes d’animaux. Des bêtes synthétiques s’infiltrent, influencent et dirigent des animaux. Cela ne vous fait-il pas penser au GPS?

Des chercheurs ont construit un robot poule qui exploite le phénomène naturel de « l’empreinte filiale ». Rapidement après leur naissance, les poussins se lient au premier objet mouvant rencontré. Ainsi, les poussins ont tendance à suivre naturellement le Poulbot, le prenant pour leur mère. Certains voudront sans doute, à cause de cela, interdire l’accès des fermes à R2D2!

Les robots prennent le leadership animal, maximisant la production des élevages. En copiant artificiellement les canaux de communication des animaux, nous pourrons bientôt utiliser des robots pour gérer de façon plus « naturelle » le bétail. Plus besoin de clôtures, les bêtes suivront le robot devenu l’alpha du groupe jusqu’à l’abattoir.

Une autre application de la robotique est de créer des « Abeilbots ». Ils sont faits pour manipuler les abeilles directement dans les ruches pour prendre soin de la couvée de larves. Cette technologie pourrait contribuer à augmenter la population d’abeilles, considérée en déclin. Après tout, les abeilles sont des pollinisateurs essentiels aux cultures arboricoles.

Les scientifiques se sont aussi attaqués à une espèce d’insecte jugé bien moins sociable que les abeilles, mais vivant tout de même en groupe : Ceux-là avec qui nous cohabitons parfois sans le vouloir les cafards. Les cafards identifient leurs camarades par l’odeur. Il suffit alors de construire des robots imprégnés des phéromones de cafard. Puis, on les mêle aux cafards vivants. Une fois bien installés dans le groupe, les robots prennent le contrôle. Et on peut alors facilement déplacer les cafards dans l’immeuble d’à côté.

Cependant, le robot cafard a bien des défauts. Il ne peut grimper correctement aux murs et il n’est pas capable de fuir un prédateur. Et si plutôt que de construire des robots cafards, on transformait des cafards en robots? Les scientifiques ont introduit du matériel électronique dans cet insecte, puis ils l’ont stimulé à distance par l’intermédiaire d’un signal de téléphone intelligent. Et voilà un cafard qui répond au doigt et à l’œil. Un petit « cyborg », parfait pour l’espionnage et l’exploration.

Ce n’est que l’un des nombreux mélanges animaux-technologies qui nous entourent. Le domaine le plus spectaculaire reste celui des « prothèses de hautes-technologies », qui profitent à la fois aux animaux et aux humains. Il n’y a pas si longtemps, les animaux lourdement blessés ou handicapés étaient euthanasiés. Grâce aux prothèses pour animaux, ce n’est plus le cas. Ces technologies leur donnent une deuxième vie. Il en est question dans la série télévisée « My bionic pet », que je vous recommande chaudement. Vétérinaires et ingénieurs travaillent ensemble pour faire des reproductions quasi identiques d’articulation de l’animal. Les handicaps n’étant pas uniquement moteurs, il y a des prothèses « implants » reliées directement au cerveau, essentiellement pour l’ouïe et la vue, mais pas que. Et le tout sans fil, en plus!

La fabrication d’implants neuronaux ouvre la voie à des perspectives intéressantes dans les milieux thérapeutiques vétérinaires.

Le cas le plus surprenant est celui d’un macaque paralysé qui a pu remarcher grâce aux neuroprothèses. Elles sont des puces électroniques implantées dans le cerveau et la colonne vertébrale qui répare certaines déficiences nerveuses du singe. La communication des signaux électriques est ainsi rétablie entre le cortex et les nerfs. Il peut utiliser ses membres inférieurs sans entraînement. La fabrication d’implants neuronaux ouvre la voie à des perspectives intéressantes dans les milieux thérapeutiques vétérinaires.

On ne sera pas étonné d’apprendre que ces animaux domestiques ont une présence non négligeable de technologies dans le corps. C’est pourquoi on pensera immédiatement que ce sont des chiens et chats cyborgs. Phénomène d’autant plus prévisible que, dans une société de consommation comme la nôtre, la barrière entre le thérapeutique et le ludique est bien mince. Ajouter des gadgets à nos toutous, nous le faisons déjà très bien. Qu’en sera-t-il lorsqu’il ne s’agira plus de remplacer les membres, mais de gadgétiser son chat ou son chien en bonne santé? On parle alors du concept de chiens et de chats « augmentés ». C’est l’avènement de nouvelles races chiens cyborgs, plus puissants, plus performants, avec une force de mâchoire accrue, lesquels sont « utilisés » en contexte de guerre ou dans le cadre de combats de chiens.

Mais, plus que les augmentations physiologiques animales, ce sont les technologies de communication qui vont recevoir le plus d’attention. Imaginez comme il serait pratique de connecter son iPhone avec son chat! Et de pouvoir texter son matou toute la journée! Ou bien de « Skyper » son chien pour ne pas qu’il s’ennuie! Et surtout, de le « poker » quand nous nous ennuyons. Assez étrangement, je suis sûr qu’il sera l’un de vos seuls amis Facebook à vous répondre instantanément : il n’aurait pas le choix.

Générant à la fois espoirs et inquiétudes, l’animal cyborg semble destiné à devenir l’un des piliers de notre société. Des technologies implantées dans l’animal sont déjà monnaie courante. Il suffit de penser aux puces électroniques d’identification. Mais aujourd’hui, nous pouvons aller plus loin en ce sens. Les avancées technologiques nous donnent maintenant de nouvelles occasions de modifier les trajectoires évolutives des animaux domestiques, les plus proches de nous. À nous d’y mettre une limite… ou pas. Dans tous les cas, nos animaux de compagnies seront inlassablement liés aux technologies. En espérant qu’ils ne deviennent pas aussi dépendants que nous de la moindre notification reçue alors que nous sommes en pleine activité… humaine.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Elle sentait "quelque chose qui rampait" dans son crâne


 

Quelque chose de très désagréable que personne n’aimerait vivre. Avoir un cafard qui se faufile dans une narine pouvant atteindre le cerveau. Brrrr
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Elle sentait « quelque chose qui rampait » dans son crâne

Une douleur si vive que Sevli a été obligée de se rendre immédiatement à l’hôpital. Après avoir procédé à une endoscopie nasale, les médecins ont pu localiser le cafard logé entre ses deux yeux, tout près du cerveau. Ils ont ensuite procédé à son extraction. Ils n’avaient jamais vu ça. (illustration)© thinkstock.

C’est un scénario digne d’un film d’horreur. Selvi, une habitante de Chennai (Inde), s’est réveillée au milieu de la nuit avec une drôle de sensation au niveau du nez.

Un vrai cauchemar. Alors qu’elle dormait paisiblement, Selvi s’est brutalement réveillée au milieu de la nuit. Cette citoyenne de Chennai (Inde) avait senti une étrange sensation entre le nez et les yeux. Et pour cause: un cafard s’était faufilé en douce dans sa narine. Quand elle a réalisé ce qui se passait, l’insecte avait déjà élu domicile dans son crâne.

« Cela me brûlait les yeux »

« C’est une sensation difficile à expliquer, mais j’étais sûre que c’était un insecte. J’ai ressenti à la fois des picotements et quelque chose qui rampait. Chaque fois qu’il se déplaçait, cela me brûlait les yeux », témoigne la femme de 42 ans à l’Indian Express.

Une douleur si vive que Sevli a été obligée de se rendre immédiatement à l’hôpital. Après avoir procédé à une endoscopie nasale, les médecins ont pu localiser le cafard logé entre ses deux yeux, tout près du cerveau. Ils ont ensuite procédé à son extraction. Ils n’avaient jamais vu ça.

De la chance dans son malheur

« Si Selvi avait attendu quelques heures de plus, l’insecte aurait fini par succomber. De quoi provoquer une infection et probablement la mort de la patiente », a indiqué le docteur Shankar.

Question: comment un cafard a pu s’introduire dans un si petit orifice? D’après des chercheurs de l’Université de Berkeley (Californie) cités par The Atlantic, une blatte, malgré sa petite taille de 12 millimètres de hauteur, peut se faufiler dans des espaces de trois millimètres en compressant la taille de son corps de moitié.

Entrez la légende de la vidéo ici

http://www.7sur7.be/

Avec la canicule, les cafards de New-York se mettent à voler


Les cafards peuvent voler ! Mais ils sont plus efficaces quand ils courent. Alors pourquoi voler et quand ils décident de voler ?
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Avec la canicule, les cafards de New-York se mettent à voler

 

Cafard | Dotpolka via Flickr CC License by

Cafard | Dotpolka via Flickr CC License by

Repéré par Claire Levenson

Quand les températures et l’humidité explosent, les cafards de la côte-Est américaine deviennent volants

Lorsque les températures dépassent 35 degrés et que l’humidité est extrême, les cafards se mettent à voler. C’est ce qu’ont remarqué plusieurs résidents de la côte Est des États-Unis, actuellement en pleine canicule.

Comme cet acteur qui sortait du métro et a failli foncer dans ce qu’il croyait être un papillon de nuit, mais s’est avéré être un cafard volant:

Je monte les marches du métro et je vois un gros papillon qui vole vers moi pour m’accueillir..NON. CAFARD GEANT.

Interrogé par la radio WNYC, un biologiste spécialiste des cafards a expliqué qu’ils avaient tendance à être plus actifs quand il fait très chaud, mais aussi qu’ils volent probablement pour rechercher des zones plus fraîches.

Les scientifiques s’accordent pour dire que les cafards planent de haut en bas plutôt qu’ils ne volent avec des trajectoires précises. Ils sont plus efficaces lorsqu’ils «courent» mais peuvent voler quand ils doivent rapidement éviter quelque chose. Ils ont en fait deux paires d’ailes, une paire pour la protection et une autre en-dessous, pour voler. 

«Dans les tunnels de chaleur, il y a quelque chose avec la température et l’humidité qui les encourage à voler», explique un entomologiste interviewé par le site DNAInfo.

Les cafards américains volent habituellement plutôt dans le Sud du pays, où il fait plus chaud. Dans des États comme la Floride et le Texas, ils sont surnommés «insectes des palmiers» car ils ont tendance à voler dans les palmiers. Mais l’été quand il fait chaud, on retrouve ce même comportement dans le Nord-Est du pays.

Pour ceux qui douteraient de la réalité du phénomène, le site Jezebel a publié une effroyable vidéo de 14 secondes d’un cafard qui se met soudainement à voler. 

 

http://www.slate.fr/