Mettre des points


Je crois que nous avons tous des évènements passé que l’on regrette, seulement, il est impossible de revenir en arrière donc, il ne sert à rien de s’attarder a ce genre de souvenirs qui nous rends triste
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Mettre des points

 

 

J’ai placé trop de virgules là où j’aurais dû mettre des points

Inconnu

Il promène son chien en le trainant depuis sa voiture,


Cela se passe à Puebla au Mexique. Sur la route dans une voie rapide sous la pluie, le passager à côté du conducteur tiens en laisse son chien qui court pour suivre la voiture. On voit bien que le chien a dû mal à suivre. Grâce aux autres automobilistes qui ont réagi et le chauffeur fini par arrêter. Il n’a pas voulu que le chien rentre de sa Toyota alors le maitre et se résoudre de revenir sous la pluie avec le chien.
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Il promène son chien en le trainant depuis sa voiture

 

Truc Express ► Savez-vous vraiment comment choisir votre melon d’eau?


Le melon d’eau est le fruit par excellence durant la saison estivale. Le hic, c’est de choisir le melon de bonne maturation pour avoir ce goût sucré et rafraîchissant. Il y a quelques trucs qui peuvent aider à mieux choisir.
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Savez-vous vraiment comment choisir votre melon d’eau?

 

 

Il se peut que vous n’ayez jamais mis la main sur la parfaite pastèque.

 

  • Par Philippe Lépine

    Si vous pensiez faire un bon coup en choisissant le melon d’eau le plus beau du lot, uniformément vert et brillant, eh bien, vous avez tout faux.

    Quoiqu’il soit difficile de connaître la qualité de la chair d’un melon entier avant de l’ouvrir, il y a certains aspects que vous devez considérer si vous voulez vraiment croquer dans le meilleur.

    Il y a quatre gestes à faire :

  • 1. Vérifiez s’il est ferme, symétrique et exempt de bosses ou entailles. Une forme irrégulière peut indiquer qu’il a manqué d’eau pendant sa croissance. Selon le New York Times, on le préfère aussi non brillant.

  • 2. Cognez-le délicatement pour avoir un aperçu de son contenu. Un son «profond» ou «creux» signifie qu’il est rempli d’une chair bien mûre. Un melon qui n’est pas prêt – trop ferme – fera un son plus «plein».

  • 3. Soulevez-le. Comme la pastèque est faite à 92% d’eau, elle devrait être lourde.

  • 4. Tournez-le de bord. Le dessous du fruit devrait avoir une tache jaune pâle due au moment pendant lequel il a été en contact avec le sol après son mûrissement. Si la tâche est blanchâtre ou non existante, ça signifie qu’il n’a pas assez mûri.

YOUTUBE.COM

Source : watermelon.org

Psst

Vous n’avez pas à réfrigérer le melon d’eau à tout prix. Si vous l’avez acheté à la température ambiante, il peut rester sur le comptoir. Si vous l’avez acheté froid, mettez-le au frigo. Une étude montre toutefois qu’il renferme plus de nutriments lorsqu’il reste au chaud.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Un énorme monstre marin « poilu » retrouvé sur une plage aux Philippines


La mer a rejeté un animal en décomposition qui donnait un air monstrueux à la bête. Elle semblait avoir une longue chevelure blanche. Cet animal marin est une baleine, mais sans savoir de quelle espèce, elle appartenait.
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Un énorme monstre marin « poilu » retrouvé sur une plage aux Philippines

 

Crédits : ViralPress

par  Nicolas Prouillac

 

Le 11 mai au matin, une énorme créature marine a surgi des profondeurs de la mer de Chine pour s’échouer sur une plage du Mindoro oriental, une province des Philippines.

Sur les images tournées par les habitants de l’île, fascinés par ce spectacle aussi rare qu’épouvantable, on peut voir le monstre étalé sur le sable, couvert de ce qui ressemble à de longs cheveux blancs.

 

Il s’agirait selon les autorités locales, dont les propos ont été rapportés par The Independent, du cadavre d’une énorme baleine dont l’espèce n’a pas encore été identifiée. Et l’épaisse « chevelure » qui la recouvre pourrait être en réalité des fibres musculaires en décomposition. La carcasse mesure six mètres de long et dégage une odeur pestilentielle.

Ce n’est pas la première fois qu’un événement troublant de la sorte se produit dans cette région du monde. En février 2017, c’était en Indonésie que les habitants de l’île de Seram découvrait le cadavre terrorisant d’une créature non-identifiée… qui s’est révélée être une baleine là aussi. Mais sans poils.

Sources : The Independent/National Geographic

http://www.ulyces.co/

De lourds dinosaures savaient s’occuper de leurs oeufs sans faire d’omelette


Imaginer des oviraptorosaures comme le Tyrannosaures rex ou le Gitantoraptor qui lui pouvait mesurer 8 mètres et pesait dans les 1400 kilos s’occupait de ses oeufs, mais ne pouvaient les couver. Pourtant, ces dinosaures protégeaient leur nid
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De lourds dinosaures savaient s’occuper de leurs oeufs sans faire d’omelette

 

Chez les oviraptorosaures, la disposition des oeufs se... (Masato HATTORI, Université de Nagoya via AFP)

Chez les oviraptorosaures, la disposition des oeufs se faisait toujours en anneau, mais la physionomie du centre du nid variait, souligne l’étude.

MASATO HATTORI, UNIVERSITÉ DE NAGOYA VIA AFP

Agence France-Presse
Paris

 

Mais comment s’y prenaient certains gros dinosaures pour prendre soin de leurs oeufs sans les écraser ? Ils les disposaient tout autour d’eux et s’installaient dans l’espace au centre resté libre, selon une étude publiée mercredi.

Si la plupart des dinosaures se contentaient vraisemblablement d’enterrer leurs oeufs après la ponte – comme le font les crocodiles de nos jours -, certains théropodes non aviaires confectionnaient des nids et s’occupaient de leurs oeufs.

« Certaines espèces d’oviraptorosaures et de troodontidés couvaient vraisemblablement leurs oeufs comme le font les oiseaux modernes », déclare à l’AFP Kohei Tanaka, chercheur à l’Université de Nagoya (Japon) et auteur principal de l’étude publiée dans Biology Letters(Royal Society).

Une équipe de chercheurs a étudié des couvées fossiles d’oviraptorosaures de différentes sortes, retrouvées en Chine, pour comprendre l’impact de la taille sur le comportement d’incubation des dinosaures.

Chez les oviraptorosaures, la disposition des oeufs se faisait toujours en anneau, mais la physionomie du centre du nid variait, souligne l’étude.

L’espace central était petit ou absent pour les plus petites espèces d’oviraptorosaures puis il s’agrandissait avec la taille de ces dinosaures et allait jusqu’à occuper la plus grande partie du nid pour les espèces géantes, ajoute l’étude.

« Les grandes espèces d’oviraptorosaures ne devaient pas s’asseoir directement sur les oeufs. Elles devaient vraisemblablement se poser au milieu du nid, afin de ne pas écraser les oeufs », souligne Kohei Tanaka.

Ces grands oviraptorosaures pondaient des oeufs de forme allongée qui pouvaient mesurer 50 centimètres de long et peser jusqu’à 7 kilos, précise le chercheur.

Dans la mesure où ils ne s’asseyaient pas directement sur leurs oeufs, ils n’étaient pas à même de leur procurer une vraie chaleur, mais leur attitude devait les protéger des prédateurs et des intempéries, ajoute-t-il.

Les théropodes forment un vaste groupe incluant la plupart des grands dinosaures carnassiers – dont le redoutable Tyrannosaure Rex -, mais aussi les ancêtres des oiseaux modernes.

Les oviraptorosaures étaient de tailles diverses. Le Caudipteryx avait la taille d’un dindon alors que le Gigantoraptor mesurait 8 mètres et pesait dans les 1400 kilos.

http://www.lapresse.ca/

Que faut-il penser des cures « détox »


À chaque saison ou évènements importants, on parle toutes sortes de régimes ou de détoxication pour se remettre soi-disant en santé. Les régimes détox sont des régimes ne réponds pas du tout au bien-être du corps, car il manque trop d’éléments essentiels pour le bon fonctionnement surtout si ce régime est pris à long terme.
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Que faut-il penser des cures « détox »

 

Par la rédaction de Futura

 

Purifier son corps et perdre du poids, c’est le principe du régime « détox ». En théorie donc, que du bonheur…

Pourtant, selon Florence Rossi, de l’Association française des diététiciens et nutritionnistes (AFDN), ce régime qui vise à chasser les toxines de notre organisme « ne respecte pas les règles d’une alimentation équilibrée ».

Régime détox : un régime restrictif

« Le régime détox repose souvent sur l’ingestion de fruits, de légumes, en règle générale sans protéines, sans beaucoup de glucides et sans matières grasses. Nous sommes donc face à un régime restrictif, c’est-à-dire qu’il ne correspond pas à l’équilibre alimentaire. »

Voilà pourquoi ce régime ne doit pas être mené sur le long terme, mais seulement sur quelques jours.

« L’essentiel dans tout régime, c’est de pouvoir conserver sa perte de poids. Or pour y parvenir, il ne faut pas que les restrictions soient trop importantes, pour que l’organisme s’habitue. »

 Mais le véritable danger avec la technique « détox », c’est le risque de carences.

« Manger, c’est un acte vital. Ce n’est pas un jeu. Tous les nutriments sont nécessaires à l’organisme. Le cerveau fonctionne avec des glucides, apportons-lui des glucides. Nos muscles ont besoin de protéines, et ainsi de suite… »

Source : Interview de Florence Rossi, Association française des diététiciens et nutritionnistes, décembre 2010

https://www.futura-sciences.com/

Le sexisme tue 239 000 petites Indiennes par an, estiment des chercheurs


Le sexisme peut tuer ! En Inde, en plus du manque de protection des femmes et adolescentes, les petites filles subissent des injustices en rapport aux jeunes garçons. Elles souffrent plus de malnutrition, de soins et sont victimes de négligences surtout dans les zones les plus pauvres.
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Le sexisme tue 239 000 petites Indiennes par an, estiment des chercheurs

 

L'Inde est connue pour la fréquence des avortements... (PHOTO DOMINIQUE FAGET, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE)

L’Inde est connue pour la fréquence des avortements dus au sexe du bébé. Mais leur nombre est inférieur à celui de ces morts de filles de moins de cinq ans.

PHOTO DOMINIQUE FAGET, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE

Agence France-Presse
Paris

 

Quelque 239 000 petites Indiennes meurent chaque année en raison de négligences dont souffrent moins les garçons dans une société sexiste, ont affirmé des chercheurs mardi.

«La discrimination fondée sur le sexe ne les empêche pas seulement de naître, elle peut aussi précipiter la mort de celles qui sont nées», a écrit l’un des auteurs de cette étude publiée dans The Lancet, le démographe Christophe Guilmoto, de l’université Paris Descartes.

L’Inde est connue pour la fréquence des avortements dus au sexe du bébé. Mais leur nombre est inférieur à celui de ces morts de filles de moins de cinq ans.

Les formes de cette négligence sont multiples: malnutrition, manque de soins, absence de vaccination.

Elle aboutit à une «surmortalité» chez les filles, la plus marquée dans les régions les plus pauvres, à la plus forte natalité, et au plus fort illettrisme, surtout dans le nord du pays.

«Une fertilité élevée est ce qui prédit le mieux la discrimination postnatale contre les filles, laissant penser que les morts supplémentaires de filles sont en partie la conséquence de grossesses non désirées et par la suite d’une négligence», ont souligné les auteurs.

En comparant l’Inde à 46 autres pays, ils ont évalué cette mortalité à 18,5 % chez les filles nées entre 2000 et 2005.

«Environ 22 % de la surmortalité chez les filles est donc due à une forme de sexisme», a déploré dans un communiqué l’Institut international pour l’analyse des systèmes appliqués (IIASA), centre de recherche autrichien.

«Comme le démontre les estimations par régions des morts en excès chez les filles, toute intervention pour réduire la discrimination dans la répartition de la nourriture ou les soins médicaux devrait par conséquent en cibler certaines en priorité (…) où persistent la pauvreté, un faible développement social et des institutions patriarcales», a commenté une démographe indienne de l’IIASA, Nandita Saikia.

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Cet ancêtre des baleines vous aurait déchiré en lambeaux


Les baleines à fanons sont très différentes de leurs ancêtres. Ils étaient de grands prédateurs avec une grande dentition très aiguisée qui pouvait mordre de grosses proies.
Ils devaient être des terreurs dans les mers, alors que nos grosses baleines semblent toutes douces.
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Cet ancêtre des baleines vous aurait déchiré en lambeaux

 

 

Crédits : Carl Buell

par Brice Louvet

Les baleines à fanons modernes utilisent des structures en forme de peigne pour filtrer de grands volumes de micro-organismes. Mais comme de nouvelles recherches le révèlent, leurs ancêtres étaient très différents, avec des dents remarquablement pointues.

Les résultats de cette nouvelle étude ont été publiés dans Current Biology.

Les baleines à fanons, un groupe qui comprend les baleines à bosse et les rorquals bleus, sont les plus gros animaux de la Terre, émergeant à l’époque de l’Éocène tardif il y a environ 35 millions d’années. L’origine de ces animaux, qui se nourrissent « en vrac », et comment ils ont acquis leurs filtres à fanons uniques, reste un mystère en raison du manque de preuves fossiles. Une analyse d’un crâne de baleine vieux de 34 millions d’années découvert sur l’île Seymour, en Antarctique, fournit aujourd’hui de nouveaux indices.

Comme le montrent ces nouveaux travaux, les ancêtres des baleines à fanons (Llanocetus denticrenatus) mesuraient jusqu’à 8 mètres de long, et présentaient des dents pointues et largement espacées. D’après les apparences, cette créature était probablement un formidable prédateur – une sorte de version extra-large de l’orque contemporaine. Ces baleines anciennes ne présentaient aucun signe de fanons. Ceux-ci seraient apparus plus tard dans l’histoire, et au cours d’une évolution différente de celle que certains scientifiques avaient suspectée.

Auparavant, les biologistes pensaient en effet que les fanons et la pratique de l’alimentation par filtration avaient émergé quand les baleines avaient encore des dents. Cependant, l’analyse de la bouche de Llanocetus suggère que ce n’était pas le cas, et que les baleines ont perdu leurs dents avant l’apparition des fanons. Un style d’alimentation intermédiaire, probablement une alimentation par aspiration, fut probablement prise en sandwich entre les deux modes d’alimentation. Les chercheurs notent également que ces dents aiguisées étaient destinées à mordre de grandes proies. Llanocetus devait donc être l’un des plus imposants prédateurs de son époque.

« Les géants de nos océans modernes peuvent être doux, leurs ancêtres étaient tout le contraire », note Felix Marx, paléontologue à l’Institut royal des Sciences naturelles de Belgique et principal auteur de l’étude. « Llanocetus était à la fois grand, un prédateur féroce, et avait probablement peu en commun avec le comportement des baleines modernes ».

Source

http://sciencepost.fr/