Tout est possiblement, possible


L’impossible peut devenir un jour possible. Quelque fois pour mener a bien un projet, un rêve, il faut juste attendre le bon moment
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Tout est possiblement, possible

 

« Toute chose est possible tant qu’elle ne s’est pas avérée impossible – et même en ce cas, elle ne l’est peut-être que pour l’instant. »

Pearl Buck

Aideriez-vous une fillette perdue?


Une expérience sociale qui laisse froid dans le dos. Les enfants qui ont besoin d’aide ne peuvent se fier à n’importe qui, de peur de tomber dans de très mauvaises mains.
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Aideriez-vous une fillette perdue?

Aideriez-vous une fillette perdue?

On connaît la chaîne YouTube DennisCeeTV pour les expériences sociales qui y sont publiées.

Dans cette vidéo, une fillette se promène seule dans les rues et aborde des inconnus en leur demandant de l’aider à retrouver sa mère.

La réaction de certains passants est choquante…

Alors que certains lui proposent de téléphoner à ses parents ou d’appeler les policiers, d’autres ferment plutôt les yeux sur la situation et refusent carrément de l’aider!

Le pire survient toutefois à la toute fin, lorsqu’on découvre qu’un homme qui voulait «aider» la fillette s’avère être reconnu des policiers comme étant un pédophile.

Une vidéo qui ne laisse personne indifférent!

http://www.francoischarron.com/

Le Saviez-Vous ► 7 insectes qu’on mangera dans le futur


Seriez-vous prêt à manger des insectes ? Certains peuvent se manger cru et, où cuit. Quelqu’un ne serait pas ragoutant à préparer. Par contre, tous ont de grands atouts nutritifs
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7 insectes qu’on mangera dans le futur

Les chapulines

Des criquets dont les Mexicains raffolent. Mangés frits, souvent avec du piment, du jus de citron et de l’ail, ils auraient un goût un peu spécial, dû au mélange amer, épicé et salé. On ne les collecte qu’à certaines périodes de l’année, notamment du printemps au début de l’automne.

Attention à bien les cuire, il paraît que si ce n’est pas le cas, des nématodes (vers) peuvent infester le corps humain. Appétissant.

La larve du ténébrion meunier

Cette image vous dit sûrement quelque chose, et pour cause, ces vers sont souvent utilisés dans des émissions de téléréalité, afin de faire souffrir un peu quelques candidats malheureux.

Le ténébrion meunier est un coléoptère, mais on le mange sous sa forme larvaire. Leur apparence peu ragoutante et leur consistance juteuse cacherait une saveur sucrée rappelant celle de la noisette. Mais pour ça, il faut les manger vivantes. Pour les moins téméraires, ces larves peuvent remplacer les lardons lorsqu’on les fait frire.

Le ver mopane

Bouillis puis séchés au soleil, parfois pendant plusieurs mois, ces vers sont une source nutritionnelle de taille: fer, potassium, sodium, calcium… Le ver mopane se trouve dans le sud de l’Afrique. Avant de le faire bouillir, il faut pincer le bout de la queue afin de vider l’insecte de ses intestins et autres matières visqueuses. Il faut également leur enlever la tête. A part ça, il devraient rehausser la saveur de vos sauces.

Les pentatomoidea

C’est une famille de punaise. En anglais, on l’appelle « stink bug » (insecte qui pue), et ce n’est pas pour rien. Les glandes situées dans leur thorax, en cas de danger, produisent un liquide nauséabond. Ça ne donne pas envie? Grillés ou trempés dans de l’eau puis séchés au soleil, ces insectes sont une source importante de nutriments: fer, potassium, phosphore.

Les termites

Pas la peine de présenter les termites, on a tous connu des constructions en bois rongées par ces insectes. On vous sert la solution sur un plateau: mangez-les. Faites-les frire et elles deviendront une excellente source de protéine.

Le charançon rouge des palmiers

Ce coléoptère se propage sur les palmiers. A côté de ça, il est considéré comme un met délicat en Asie. Cru, il serait crémeux. Cuit, il ressemblerait à du bacon.

Les vers blancs (d’Australie)

Le nom de ce vers nous vient tout droit d’Australie. Chez les aborigènes, il était un aliment de base. Leur goût varierait selon leurs habitudes culinaires (ces larves mangent du bois). Certains disent qu’elles ont un goût d’amande, d’autres de poulet ou d’œuf. Il ne nous reste plus qu’à nous faire notre propre avis.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Toutes les calories sont-elles égales?


Quand on fait des mauvais choix alimentaires, il se peut qu’on se dise qu’on mangerait moins à l’autre repas. Sauf que, même si les calories peuvent être équivalant d’un aliment à un autre, les mauvais aliments eux, sont plus difficiles à éliminer et s’accumulent dans notre corps.
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Toutes les calories sont-elles égales?

 

Photo: iStock

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Une barre tendre ou un bol de potage aux légumes? Si les deux repas contiennent à peu près le même nombre de calories, ils ne se valent pas pour autant…

On nous le répète depuis 50 ans : une calorie est une calorie. Si on prend du poids, c’est que l’on consomme plus de calories qu’on n’en dépense. Conclusion : on peut manger un peu de tout, tant qu’on limite ses portions

« Faux ! s’exclame le Dr Martin Juneau, de l’Institut de cardiologie de Montréal. Ce concept désuet est de plus en plus contesté. Certaines calories ont plus d’impact sur le poids que d’autres. Nous le constatons auprès de nos patients obèses. »

En fait, la calorie qui vient d’une frite et celle qui vient d’un haricot ne sont pas égales. C’est une étude du pédo–endocrinologue américain David Ludwig, parue dans le Journal of the American Medical Association en juin 2012, qui a allumé la mèche. En suivant des groupes de patients en surpoids, le chercheur de Harvard a découvert que les aliments à indice glycémique élevé – pâtes, pain et riz blancs, boissons sucrées, biscuits et gâteaux – font réellement grossir. Pourquoi ? Les glucides présents dans les céréales raffinées et les jus augmentent de façon abrupte le taux d’insuline. Or, cette hormone stimule la formation de cellules adipeuses, fait observer Michel Lucas, épidémiologiste, nutritionniste et chercheur à l’Université Laval.

« Alors, non seulement nous accumulons des graisses, mais, comme cette énergie est stockée dans les cellules, le corps ne peut l’utiliser complètement, explique-t-il. Nous éprouvons donc une sensation de faim et de fatigue qui nous pousse à manger encore et encore. »

Mais il y a plus. Les céréales raffinées seraient nocives pour le cœur des femmes, d’après une étude milanaise menée auprès de 47 000 adultes et publiée dans Archives of Internal Medicine en 2010. Les grandes consommatrices de glucides à index glycémique élevé – eh oui, encore eux ! – y étaient en effet deux fois plus à risque de souffrir de maladie cardiovasculaire. On croit que les hormones mâles ralentissent la transformation des glucides en sucre dans le sang, alors que les œstrogènes pourraient l’accélérer.

« Il ne s’agit pas de bannir les glucides, mais plutôt de choisir les plus sains », ajoute Michel Lucas.

Les fruits, les légumes, les grains entiers, les légumineuses, le riz brun et le quinoa constituent d’excellents choix.

À limiter : les jus sucrés, le pain blanc, les pâtes, le riz blanc, les frites, les biscuits et les gâteaux.

http://fr.chatelaine.com/

Un itinérant rapporte à la police les 2000$ qu’il avait trouvés dans la rue


Que feriez-vous si vous trouviez 2 000 dollars quelque part en ville et qu’il n’y a aucun indice à qui appartient une telle somme d’argent ? Et si vous étiez dans une situation précaire le garderiez-vous ?
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Un itinérant rapporte à la police les 2000$ qu’il avait trouvés dans la rue

 

La personne qui voudra réclamer la somme devra... (Photo archives Bloomberg)

La personne qui voudra réclamer la somme devra fournir certains détails – le montant exact, les coupures des billets, et l’endroit où ils auraient pu être perdus.

PHOTO ARCHIVES BLOOMBERG

La Presse Canadienne
LANGFORD

Un itinérant de Colombie-Britannique est venu rapporter à la police plus de 2000$ qu’il avait trouvés dans la rue, et son geste a suscité la sympathie de la population, mais aussi la cupidité de certains.

Le sexagénaire a trouvé l’argent récemment quelque part à Langford, en banlieue de Victoria, et est allé le remettre au poste de police du détachement local de la Gendarmerie royale du Canada. Selon les policiers, le sans-abri aurait estimé qu’il s’agissait de «la bonne chose à faire» dans les circonstances.

Les policiers confient qu’il est déjà rare que des citoyens ramènent une telle somme, mais que ce citoyen soit un itinérant démuni confère au geste un caractère singulier.

L’agent Alex Bérubé a indiqué que si la somme n’est pas réclamée d’ici 90 jours, elle sera remise à cet honnête citoyen. En attendant, la personne qui voudra réclamer la somme devra fournir certains détails – le montant exact, les coupures des billets, et l’endroit où ils auraient pu être perdus. Plusieurs ont déjà essayé de toucher le pactole à la place de l’itinérant, sans succès.

Mais des citoyens qui ont appris le geste du bon samaritain ont lancé une campagne de financement pour l’aider, de toute façon. Mardi matin, le site «Victoria Buzz» avait recueilli 1400$ pour l’honnête homme.

La police tente maintenant de retrouver le sans-abri, bien connu de la communauté, pour lui annoncer l’initiative citoyenne, et même lui offrir de participer à une conférence de presse, s’il le veut bien.

http://www.lapresse.ca/

Elle se fait greffer une oreille dans son avant-bras


On cultive des parties du corps pour les greffer par la suite, on a déjà fait cultiver un nez sur le front (Chirurgie du nez : ils lui ont fait pousser le sien sur le front), maintenant, c’est l’oreille sur le bras. La technique belge a besoin d’être améliorée, mais cela ne prendra pas longtemps avant que ce soit une routine médicale
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Elle se fait greffer une oreille dans son avant-bras

 

Elle se fait greffer une oreille dans son avant-bras

La patiente a attendu six semaines avant qu’on ne prélève l’organe.Capture d’écran Gentside

Si la greffe d’organes et de tissus humains a connu de nombreuses avancées au cours des dernières années, c’est une prouesse impressionnante que vient de réaliser une équipe médicale belge. Dirigés par Afshin Yousefpour au sein de la clinique de Saint-Anne Saint-Rémi d’Anderlecht, ces médecins ont réussi à greffer une nouvelle oreille à une jeune patiente.

Âgée de 19 ans, celle-ci s’était vu amputer de son oreille des suites d’un mélanome. Mais la véritable prouesse réside dans la technique employée par l’équipe médicale pour concevoir le nouvel organe: l’oreille a été «cultivée» à l’intérieur de l’avant-bras de la patiente.

L’opération aurait pu pourtant ne jamais voir le jour. Lorsque la jeune femme avait demandé au Dr Yousefpour de lui construire son propre organe, ce dernier avait répondu que c’était impossible. En creusant un peu, le chirurgien a découvert qu’il serait tout à fait envisageable de cultiver une prothèse sous la peau du bras de sa patiente.

UNE PROTHÈSE PERSONNALISÉE

Parti de là, le Dr Yousefpour a ainsi imaginé tout un protocole visant à réaliser un prélèvement au niveau du vaisseau radial (situé dans l’avant-bras) puis de greffer une prothèse d’oreille fabriquée en polyéthylène poreux. La peau de l’avant-bras est naturellement élastique et idéalement vascularisée, ce qui en fait un composant de choix pour la reconstruction d’organes. Le spécialiste a ainsi joué sur l’élasticité de la peau au moyen d’un ballonnet gonflé, introduit sous cette dernière.

La prothèse a ensuite été placée sous la peau de l’avant-bras dans le but que celle-ci recouvre la structure en polyéthylène et s’y attache. Au total, la patiente a dû attendre six semaines avant que les chirurgiens ne prélèvent l’organe et ne lui greffe au bon endroit. 

«Si vous touchez votre oreille, vous vous rendrez compte que c’est une peau très fine, attachée au cartilage», explique Afshin Yousefpour à RTL Info. «Je pense qu’à  ce niveau-là, la peau de l’avant-bras est idéale pour faire cette reconstruction.»

L’opération s’est très bien déroulée et la nouvelle oreille a pu remplacer la prothèse en silicone que la patiente utilisait jusque là. Seul couac dans cette prouesse, l’oreille greffée s’est avérée plus grande que l’autre.

La prothèse n’a en effet pas été réalisée sur mesure, pour le docteur Yousefpour, «c’est donc loin d’être parfait».

Néanmoins, c’est «une étape assez importante pour développer d’autres techniques pour l’affiner», a-t-il jugé, précisant qu’il aimerait désormais travailler avec de vrais cartilages pour limiter les effets secondaires, tels que les risques d’infection.

La prochaine étape pour ce spécialiste: faire pousser un nez dans le bras de ses patients.

Si cette prouesse est une première en Belgique, une équipe a déjà  tenté une opération similaire en 2012 aux États-Unis. Elle a été réalisée sur une patiente de 42 ans qui s’était vu amputer d’une partie de son oreille après un cancer.

Pour lui construire un nouvel organe, les médecins lui ont ainsi greffé du cartilage dans l’avant-bras avant de récupérer une oreille pleinement formée quatre mois plus tard.

http://fr.canoe.ca/

Selon le futurologue Ray Kurzweil, nos cerveaux seront connectés à Internet d’ici 2030


Ah bien là, j’espère que non ! L’homme aime bien dépasser les limites, mais cela ne veut pas dire plonger dans la folie. Non, mais imaginez que tout se pirate aujourd’hui, tout ce qui est connecté, auto, frigo, pompe à perfusion, stimulateur cardiaque, ordinateur et la liste est longue, peu représenter un danger d’être hacker, alors pourquoi pas le cerveau ? En plus quand un réseau plante, comment le cerveau va réagir ? Ce ne serait probablement pas un bien pour l’humanité
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Selon le futurologue Ray Kurzweil, nos cerveaux seront connectés à Internet d’ici 2030

 

<a href="https://www.flickr.com/photos/circasassy/8204342398/">A treatise on anatomy, physiology, and hygiene .. (1849)</a> | CircaSassy via Flickr CC <a href="https://creativecommons.org/licenses/by/2.0/">License By</a>

A treatise on anatomy, physiology, and hygiene .. (1849) | CircaSassy via Flickr CC License By

Repéré par Jean-Laurent Cassely

Dans un futur pas si lointain, le cerveau humain pourrait bien se prolonger dans le cloud.

C’est un classique de la science-fiction qui pourrait devenir réalité si l’on en croit Ray Kurzweil, pionnier de l’intelligence artificielle et chef de l’ingénierie chez Google. Lors d’une série de conférences début juin, le futurologue a affirmé que le cerveau se prolongerait dans le flux d’informations des objets connectés, ce qu’on appelle désormais le cloud (informatique en nuage, dans laquelle les serveurs fonctionnent en réseau sur internet). En d’autre terme que notre cerveau sera lui aussi connecté au réseau.

Selon Kurzweil, qui est célèbre pour avoir popularisé la notion de singularité, qui désigne un futur proche dans lequel l’humanité sera augmentée au point que le règne humain et les machines seront devenus un même ensemble dont les parties seront indiscernables, «notre pensée sera un hybride de pensées biologiques et non biologiques. Nous allons graduellement fusionner et nous améliorer. Selon [lui], c’est la nature de l’être humain –de transcender ses limites», relate l’International Business Times. Dans les années 2030, l’origine de nos pensées serait alors majoritairement non biologique, affirme-t-il.

Réalité augmentée

Nous construirons donc des passages entre le cerveau humain et l’extérieur connecté, le fameux cloud, en conséquence de quoi nous baignerons en permanence dans un univers de réalité augmentée. Et, comme dans les pires scénarios de fiction du genre, nous pourront effacer sélectivement des parties de notre mémoire et en retenir à l’inverse d’autres, précise le site Computer World.

Kurzweil a bien alerté par le passé sur l’ambivalence des inventions technologiques, qui recèlent des promesses de progrès mais aussi des dangers nouveaux. Mais on se demande combien il faudra payer pour disposer d’une cybersécurité suffisamment résistante pour ne pas être victime d’un hacker souhaitant implanter de faux souvenirs dans notre cerveau-cloud. Et on ne sait pas encore ce qu’il adviendra de notre cerveau lorsque les serveurs à distance planteront, ce qui, n’en doutons pas, continuera de se produire dans le futur…

http://www.slate.fr/

KittenTV : Une chaîne sans acteur et sans dialogue consacrée aux chats


Un projet d’une chaîne télé qui serait uniquement fait d’un animal particulier. En France, ce sont les chiens, alors qu’ici au Canada, on veut faire des émissions de chats sans paroles, ni acteurs, que de la musique et des chats. Il semble qu’il y a un public pour ce genre de choses. Pourtant, voir 1 a 3 minutes des chats sur vidéo, c’est drôle, mais pendant une quarantaine de minutes, je ne suis pas certaine que cela serait intéressant
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KittenTV : Une chaîne sans acteur et sans dialogue consacrée aux chats

 

Le Huffington Post Québec  |  Par Julien Lamoureux

 

Il y a quelques mois a été créée en France une chaîne de télé destinée aux chiens. De notre côté de l’Atlantique, c’est un poste sur les chats, mais à l’attention des humains cette fois, qui pourrait être lancé.

« Pas de dialogue, pas d’acteurs… juste des chats. »

C’est ainsi que les créateurs de KittenTV décrivent leur projet au Banff World Media Festival, qui se termine aujourd’hui en Alberta, rapporte CBC News.

On peut déjà voir, gratuitement et sur YouTube, un des épisodes de « Kitten Town », une série qui est disponible sur demande sur le service de télé Optik de Telus — service limité à certaines régions de l’Alberta.

Oui, c’est juste ça : des chats qui s’amusent dans un village à leur taille pendant une quarantaine de minutes.

Et selon Frederick Kroetsch, un des créateurs du projet, ça marche. Le public cible, ce sont les mères de famille.

« Nous nous sommes aperçus que les parents adoraient regarder l’émission. Ils la mettent pour leurs enfants puis se retrouvent rapidement à la regarder avec eux », a-t-il indiqué, rapporte RCI.

Un autre idéateur du projet, Kurt Spenrath, a expliqué à la blague au Edmonton Journal que « les chatons sont les nouveaux bitcoins ». En d’autres termes, il y a de l’argent à faire là-dedans.

« Si n’importe qui peut filmer son chat avec son cellulaire et obtenir un million de clics sur YouTube, certainement qu’une équipe de pros équipés de caméras 4K peut capter des images de chat parfaitement et en faire quelque chose qui intéressera les gens », ajoute Spenrath, toujours selon l’Edmonton Journal.

Plus qu’une simple émission, les deux hommes veulent vraiment une chaîne à part entière. L’idée n’a pas attiré grand intérêt chez les producteurs nord-américains, mais à voir l’engouenement en Europe pour la « slow television », explique RCI, il faut garder espoir.

http://quebec.huffingtonpost.ca/