A force de tout vouloir a tout prix, il est plus que probable qu’on néglige ce qui est important
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Superflu
« Si vous achetez ce qui est superflu, vous vendrez bientôt ce qui est nécessaire »
Benjamin Franklin
C’est mignon et triste à la fois. Le canard reconnaît très bien les visage vue la façon qu’il réagit à la vue de l’enfant. Cependant, il est triste de voir que ce canard n’a pas une vie selon sa nature
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Un canard content de revoir son ami après l’école
En 2010, la Suède a reconnu une nouvelle religion, le Kopisme ! Cette religion permet de tout copier et partager sur le web, c’est même pour eux des “gestes sacrés” Je ne suis pas sûr par contre, que légalement, les autres pays suivent ce pas
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Le Kopimisme
par Catherine Segurane
Ce mot vient de l’anglais « copy me » ; l’Eglise kopimiste, fondée en 2010, revendique 3000 membres dans une dizaine de pays. Ce mouvement religieux juge que « l’information est sacrée »et que « la copie est un sacrement ».
Le kopimisme s’inscrit dans le mouvement qui a aussi donné lieu au « parti pirate », qui a recueilli près de 9 % des voix dans une élection locale à Berlin.
Les valeurs du kopimisme, centrées sur l’idée de générosité, feraient honneur à toute religion ou philosophie, et s’expriment ainsi :
« L’information est sacrée »
« Copiez, téléchargez, partagez ».
Le culte consiste à copier et faire circuler ce qui parait sur internet. La copie est un sacrement.
Comme toutes les religions « reconnues » dans la sphère culturelle à laquelle appartient la Suède, l’Eglise kopimiste a le droit de voir ses pratiques respectées. La liberté religieuse, au sens que les Anglo-Saxons donnent à ce mot, interdit de poursuivre devant les tribunaux un kopimiste qui n’a fait qu’exercer son culte.
Depuis la séparation de l’Église et de l’État en 2000, la Suède a reconnu vingt-deux religions, en plus de l’Église de Suède (luthérienne) , parmi lesquelles les Témoins de Jehovah opposés à la transfusion sanguine, l' »Eglise »de Scientologie, les Mormons rêvant de polygamie et le Pentecôtisme s’imaginant « parler en langues ».
Un rapport du département d’État américain publié fin 2010 lui en donne acte. Car bien sur, le peuple supérieur, les Américains, surveillent la Suède, comme les autres pays, pour s’assurer qu’elle applique bien la « liberté religieuse » au sens où les Anglo-Saxons l’entendent.
Donc, la Suède fait les choses comme il faut. Avant, elle avait une Eglise d’Etat (luthérienne) mais maintenant, elle distribue toutes sortes de privilèges à tout un tas de « religions » qui ont la chance d’être « reconnues ».
On estime que 5 % environ de la population est musulmane (450 000 à 500 000 personnes).
On trouve aussi de toute : des Témoins de Jéhovah, des Mormons, des Sikhs reconnaissables à leur poignard à la ceinture, des Hari Krishna, etc …
La plupart de ces groupes ont une pratique faible (d’après le rapport du Département d’Etat précedemment mis en ligne) mais les communautés se regroupent à l’occasion de grandes fêtes quelques fois par an, et elle bénéficient du droit légal de voir leur pratique protégée.
Si une personne pense avoir été discriminée pour sa religion, elle remplit un dossier auprès du Discrimination Ombudsman (DO), et celui-ci, c’est à dire l’Etat, fait avancer son dossier à sa place, au besoin jusqu’au procès. Il a traité 101 plaintes pour discrimination religieuse en 2010. Ah ! mais ! La liberté religieuse est protégée, qu’on vous dit !
Les « discours de haine » contre les religions sont interdits et poursuivis.
(….)
Une technique qui pourrait aider a diminuer les stéréotypes comme le racisme à court terme. Pourrait-on réussir ce genre d’exercices à long terme ? Est-ce possible que ce soit pour tous ? Et l’effet contraire ? Pourrait-t’on faire la même chose pour ce qui est bon par du mauvais ?
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It’s time to sleep | Rachel Calamusa via Flickr CC License by
Repéré par Grégor Brandy
Une étude a permis à des gens d’en finir avec les stéréotypes qui les imprégnaient, et ce, en leur faisant écouter de simples sons pendant qu’ils dormaient.
Aldous Huxley l’avait mentionné dans Le Meilleur des Mondes. Il semble que des chercheurs l’aient pris au mot. Une nouvelle étude publiée dans Science indique que l’on«peut entraîner des gens à remplacer les stéréotypes sociaux négatifs par des positifs dans leur sommeil», résume Quartz.
Pacific Standard détaille sur son site comment s’est déroulée cette étude. Les 40 participants ont d’abord passé deux tests qui ont prouvé qu’ils avaient «des préjugés implicites sur la race et le genre».
Ils ont ensuite participé à une seconde tâche, où ils ont dû observer plusieurs paires de mots et ne réagir que lorsque ces paires allaient à l’encontre des stéréotypes. À chaque fois qu’ils réussissaient, un son était émis, l’un correspondant au manque de préjugé genré et le second à l’absence de stéréotype racial.
Ils ont repassé le premier test. Les chercheurs ont remarqué que leurs préjugés avaient diminué et les ont alors invités à faire une sieste. Lorsque les chercheurs ont constaté qu’ils étaient en sommeil profond, ils leur ont joué un des deux signaux auditifs –lié soit au stéréotype de genre soit au stéréotype racial.
À leur réveil, les participants ont effectué le test numéro 1 une nouvelle fois et les chercheurs ont découvert que
«le type de stéréotype implicite lié au son qu’ils avaient entendu pendant le sommeil avait réduit de façon significative, entre avant et après la sieste. À l’inverse, les niveaux des autres stéréotypes étaient restés les mêmes».
Une semaine plus tard, les participants ont effectué le test une dernière fois:
«Les résultats ont montré que les niveaux du stéréotype associé au son entendu pendant le sommeil étaient restés au même niveau qu’une semaine auparavant. À l’inverse, les niveaux des autres stéréotypes avaient augmenté au cours de la semaine.»
En clair, estime The Guardian, «ces découvertes semblent confirmer l’idée que le sommeil fournit une fenêtre unique pour accéder et altérer les croyances fondamentales –même les préjugés que nous ne pensions pas avoir».
Quartz rappelle cependant qu’il y a quelques problèmes avec cette étude. Tout d’abord, le nombre de participants est très faible:
«Par ailleurs, ils étaient tous blancs et venaient d’un environnement universitaires. Des sujets d’un autre milieu pourraient ne pas répondre de la même façon. Et enfin, Paller [l’un des chercheurs responsables de cette étude] n’a suivi les patients que sur une semaine. La longévité de l’effet n’est donc pas très claire.»
Et le site internet américain met également en garde face à cette découverte si elle devait se confirmer:
«Bien sûr, cette technique pourrait en théorie être également utilisé pour faire l’exact opposé: laver le cerveau des gens pour leur faire croire des choses qui font du mal à la société.»
Ça c’est du courage et de la persévérance. Cette dame, survivante du cancer a fait tout le marathon dans le but de ramasser de l’argent pour la recherche. ET nous, on va au moins prendre une marche ?
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Courir un marathon vous fait peur? Vous devriez prendre exemple sur Harriette Thompson. Dimanche 31 mai, elle est devenue à 92 ans et 65 jours la femme la plus âgée au monde à disputer un marathon, ont annoncé les organisateurs du marathon Rock’n’Roll de San Diego.
La nonagénaire qui participait pour la seizième fois à l’épreuve californienne a mis sept heures 24 minutes 36 secondes pour boucler les 42,195 km. Elle a été accueillie par des dizaines de spectateurs et de journalistes.
« J’ai quelques courbatures, mais tout va bien », a-t-elle expliqué au Charlotte Observer, le journal de la ville de Caroline du Nord où elle vit.
« Je me suis dit “À ton âge, c’est quand même un peu fou” »
« J’ai du mal à croire que j’ai réussi à finir ce marathon. À un moment donné, j’étais vraiment fatiguée. Il y avait une côte devant moi et j’ai eu l’impression de devoir gravir une montagne. Je me suis dit “À ton âge, c’est quand même un peu fou” », a-t-elle ajouté.
Le précédent record du genre était détenu par une autre Américaine, Gladys Burrill, qui était âgée de 92 ans et 19 jours lorsqu’elle avait disputé le marathon de Honolulu en 2010.
Harriette Thompson s’est mise au marathon pour lever des fonds pour Leukemia & Lymphoa Society, une association de lutte contre le cancer. Un sujet auquel elle est particulièrement sensible puisqu’elle a survécu à deux reprises à la maladie, qui a cependant eu raison de son mari, de ses deux parents et de trois de ses frères.
Cette grand-mère de dix petits-enfants n’a en revanche pas réussi à améliorer le très officieux record du monde du marathon catégorie 90-94 ans dont elle est la détentrice depuis 2014 avec un chrono de 7 h 7 min 42 s Elle avait indiqué avant le début de l’épreuve que son programme d’entraînement s’était limité à 17 kilomètres.
Dans le monde de l’athlétisme, Harriette Thompson fait donc figure d’exemple.
« Elle est une source d’inspiration », proclame la coureuse Amy Douglas dans le Charlotte Observer. « Les jours où je n’ai pas envie de courir, je pense aux personnes comme elle, je sors de chez moi et je continue à avancer. Si elle est capable de se motiver et de courir ces marathons, pourquoi ne pourrions-nous pas? »
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En Russie, on veut éliminer tout ce qui a un rapport de près ou de loin avec le Nazi, mais une organisation semble inquiéter les autorités. Il faut dire que la Russie aussi a perdu beaucoup avec la Deuxième Guerre Mondiale Une chose de sûr, je n’irais jamais écrire quelque chose pour eux, étant donné erreurs de grammaire que je fais probablement trop souvent …
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Repéré par Claire Levenson
«Grammatik macht frei», un des mèmes très utilisés par les «grammar nazis».
En Russie, les «nazis de la grammaire», ces puristes de l’orthographe qui font des dictées de haut niveau pour s’amuser, commencent à inquiéter les autorités.
A Rostov-sur-le-Don, Alexei Pavlovsky, le directeur d’une entreprise qui sponsorise «Dictée Totale», l’équivalent russe de la dictée de Bernard Pivot, a récemment été interrogé par des procureurs locaux, rapporte le Moscow Times.
Les autorités voulaient savoir si Pavlovsky avait des informations sur ce réseau informel des nazis de la grammaire russes. En effet, ces passionnés de la conjugaison se sont amusés à prendre l’expression «nazis de la grammaire» au premier degré: certains de leurs logos ont une lettre G (pour grammaire) qui ressemble à une croix gammée et ils utilisent le slogan «Grammatik Macht Frei» (la grammaire rend libre), en référence à l’inscription d’Auschwitz «Arbeit Macht Frei».
Dans un post sur Facebook, Alexei Pavlovsky a raconté son entretien avec les enquêteurs:
«Ils m’ont demandé ce que je pensais de ces images. Ils ont aussi voulu savoir quelle était mon attitude vis-à-vis des personnes qui font des erreurs[ grammaticales], et si j’avais envie de les éliminer.»
Ceci dit, plus que la peur de meurtres motivés par la défense de l’orthographe, ce sont ces symboles nazis, même utilisés au second degré, qui posent problème aux autorités russes. Alors que cette année, le pays célèbre les 70 ans de la victoire contre les nazis en 1945, le gouvernement a lancé une campagne spéciale pour se débarasser de tous les symboles visuels liés au nazisme. En mars, une blogueuse a notamment dû payer une amende d’environ 17 euros pour avoir posté la blague de mauvais goût «Grammatik Macht Frei». Elle avait aussi écrit qu’elle voulait«défendre la pureté de langue russe.» Or, en Russie, le seul fait de publier de l’imagerie nazie, même détournée, est considéré comme de la propagande pro-nazie.
Le Daily Telegraph rapporte que des gérants de boutiques ont reçu un avertissement parce qu’ils vendaient des petits soldats nazis et que la bande dessinée sur la Shoah Maus d’Art Spiegelman, qui a une croix gammée sur la couverture, a été retirée d’une librairie.
Au-delà de la religion, le pardon est nécessaire pour apprendre a guérir nos blessures. Bien sur que pardonner ne veut pas dire qu’on efface tout, qu’on cautionne quelque chose … C’est plus un approche tout à fait personnel
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© istock
Parfois méprisé, souvent galvaudé, le pardon est un terme mal compris et associé à bon nombre d’idées reçues. Olivier Clerc, fondateur des Journées du pardon, suggère de redéfinir le sens du pardon pour le considérer comme un chemin vers la guérison intérieure.
On a tous plus ou moins connu une expérience douloureuse qui a laissé en nous un tatouage d’amertume, de haine ou de souffrance qu’on croit indélébile. Il nous parait impossible de pardonner à l’auteur de ces blessures et de tourner la page. Ce serait bien trop facile, pense-t-on. Et puis à quoi bon pardonner ? Pardonner c’est oublier, c’est céder, c’est cautionner son agresseur. Et si paradoxalement, le pardon était la voie vers la guérison et vers une liberté retrouvée ? Olivier Clerc anime des ateliers du pardon. Dans son nouveau livre, « Peut-on tout pardonner » (Eyrolles), il ouvre la réflexion pour, peut-être, nous inviter à penser autrement.
Vous invitez à repenser le terme de pardon, qui est selon vous, mal compris et mal interprété. Quelle est la vraie définition du pardon ?
Le mot pardon est entouré d’un flou considérable. Si vous interrogez les gens autour de vous, chacun aura une définition et une compréhension différente selon qu’il a eu une éducation religieuse, des parents athées ou psys. En fait il faut redéfinir ce qu’on entend par le pardon. Pardonner c’est le chemin vers la guérison des blessures du cœur. Un cœur blessé a besoin d’un baume pour guérir et cicatriser les plaies dont suppure du poison émotionnel fait de haines et de ressentiment. On utilise le pardon comme un baume qui va nous aider à nous libérer de ces émotions négatives. Cette libération s’apparente à ce que j’appelle « une douche du cœur« .
Le pardon serait une question d’hygiène du cœur ?
Absolument. Le pardon lave notre cœur du « cholestérol émotionnel » qui encombre nos artères. Avec cette hygiène émotionnelle, on évite que notre cœur se dessèche. On réapprend à s’ouvrir aux autres sans être dans une position de vulnérabilité ni de victime. Au final, on parvient peu à peu à retrouver la capacité d’aimer.
Le pardon serait donc une démarche personnelle, indépendante du fait de pardonner à la personne qui a pu nous blesser ?
Entrer dans la démarche de pardon nécessite d’inverser notre rapport à celui-ci. Autrement dit on ne pardonne pas à quelqu’un mais on demande pardon. Cette inversion du processus du pardon correspond à l’approche que j’enseigne dans mon livre et que j’appelle « Don du pardon« . Pourquoi demander pardon et non pas pardonner me direz-vous ? La nuance est importante. Elle insiste sur le fait qu’on doit se libérer de l’illusion que l’autre a le pouvoir de nous guérir. En fait la cicatrisation de nos blessures ne dépend que de nous. Pour prendre un exemple, on ne va pas demander à celui qui nous a blessé le bras avec un cutter de venir nous soigner. Demander pardon, c’est un processus personnel qui vise à se libérer de l’intérieur, du jugement et de la prétention de vouloir pardonner.
Est-ce un processus forcément long ?
Cela varie d’une personne à l’autre. Pour certains, ce peut être instantané, pour d’autres cela prendra des mois ou des années. Ce travail de pardon est personnel mais peut se faire seul ou à plusieurs dans des groupes de pardon à travers les cercles de pardon que j’ai initiés par exemple. Une certitude, le processus sera d’autant plus long si on a une mauvaise conception du pardon et si on n’identifie pas les obstacles au pardon.
Quels sont ces principaux obstacles ?
il en existe plusieurs. Par exemple on a tendance à penser que le pardon est religieux. Or on peut panser ses blessures quelles que soient ses croyances et sa philosophie. Le pardon ce n’est pas prier et espérer que la grâce spirituelle nous tombe dessus !
Un autre obstacle classique est de croire que le pardon est un cadeau fait à l’autre. Ou encore que pardonner revient à cautionner ou oublier ce que nous a fait l’autre. Or on peut tout à fait pardonner et entamer ce travail de guérison émotionnelle sans que cela conduise à accepter, cautionner ou excuser des actes qu’on juge intolérables.
Le pardon s’assimile à un yoga du cœur dont la pratique régulière apporte une grande force et beaucoup de courage.
Avez-vous un conseil simple à utiliser au quotidien pour pratiquer ce yoga du cœur ?
Chaque jour on peut faire ce travail de pardon en y consacrant un moment chaque soir avant de s’endormir. Pour cela, on récapitule mentalement ce qui s’est passé dans la journée pour évacuer tous les non-dits, les tensions, émotions négatives ou problèmes non résolus dans notre sommeil et s’endormir léger.
Retrouvez plus de conseils sur les méthodes du pardon dans « Peut-on tout pardonner », d’Olivier Clerc, éditions Eyrolles.
Un bong, qu’on peut dire aussi bang est simplement une pipe à eau. L’utilisation de la drogue ne date pas d’hier et le National Geographic a trouvé un site ayant beaucoup d’or, en bijoux et vaisselles et l’utilisation de bong
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Repéré par Jean-Marie Pottier
Des objets précieux vieux de 2.400 ans et pouvant donner lieu à une utilisation proche de celle des bongs ont été découverts à l’été 2013 dans les montagnes du Caucase, au sud de la Russie. Cette découverte, gardée secrète jusqu’à présent pour protéger le site des pillards, se compose, selon le National Geographic, de plus de trois kilos d’or, à raison de deux récipients, trois coupes et des bijoux.
«C’est le genre de découverte qu’on fait une fois par siècle», a expliqué au National Geographic Anton Gass, de la Prussian Cultural Heritage Foundation à Berlin.
Une analyse de résidus noirs laissés dans les récipients a permis de prouver la présence de traces d’opium et de cannabis, montrant que les récipients étaient a priori utilisés pour boire une concoction d’opium pendant que du cannabis brûlait à proximité.
«Le fait que les deux drogues aient été utilisées simultanément ne fait aucun doute», explique Anton Gass.
Le site Ancient Origins, dans une histoire du cannabis, soulignait récemment son usage par les Scythes, un peuple nomade présent dans la région:
«La marijuana a été introduite au Moyen-Orient entre 2.000 avant J.C. et 1.400 avant J.C., où elle était probablement utilisée par les Scythes, un groupe nomade indo-européen. […] Les Scythes ont introduit le cannabis en Europe par les monts de l’Altaï jusqu’en Allemagne il y a environ 2.800 ans.»
On trouve des traces de leurs rites chez Hérodote :
«Les Scythes plaçaient alors les graines sur des pierres rougeoyantes; cela produisait une fumée telle qu’aucun bain grec ne pouvait la surpasser. Les Scythes, transportés par cette vapeur, criaient.»
Il y a déjà vingt ans, le site Cannabis Culture consacrait un long article à l’usage du cannabis chez les Scythes, qui soulignait notamment que l’épisode rapporté chez Hérodote avait été prouvé par la découverte, en 1929, d’une tombe scythe à Pazyryk, dans les monts de l’Altaï, par l’archéologue S. I. Rudenko. Cette découverte avait été suivie de l’excavation d’autres tombes en 1949, donnant lieu notamment à la popularisation du terme kurgan pour désigner ces sépultures.