Ce changement de look révolutionne la vie de cet itinérant!


L’itinérance, n’est pas un choix, et peut découler suite à une maladie, de dépression et autre. Quand une personne est dans la rue, les chances de s’en sortir sans aide, est difficile. Surtout que les moyens d’hygiène, de l’apparence n’aident pas à se présenter pour un emploi et moralement, cela peut-être dure à surmonter. En Espagne, un salon de coiffure offre gratuitement un changement look pour redonner confiance à un itinérant et le changement est spectaculaire
Nuage

 

Ce changement de look révolutionne la vie de cet itinérant!

 

 

Cet itinérant de 55 ans a fondu en larmes après qu’un salon de coiffure l’ait transformé gratuitement – une première étape pour un nouveau départ dans la vie.

Le clip montre José Antonio se regardant dans un miroir après que le salon La Salvajería salon ait opéré sur lui une transformation absolument incroyable.

Cet ancien électricien s’est retrouvé à la rue après une grosse dépression nerveuse. De fil en aiguille, il se retrouve à la rue – à Palma de Majorque. Il va ya passer 25 ans de sa vie, gagnant ici et là assez d’argent en travaillant au noir pour une société de stationnement.

Le salon de coiffure La Salvajería a offert à José une métamorphose gratuite, qui incluait une coupe de cheveux, une coloration, et de nouveaux vêtements.

Le salon a filmé l’évolution et immortalisé le moment où José Antonio se (re)découvre.

métamorphose

«Oh mon dieu» – s’est exprimé en se découvrant dans le miroir « je ne me reconnais pas! »

Il a fondu en larmes:

« c’est absolument incroyable! »

Le salon l’a ensuite relooké avec de nouveaux vêtements, un pantalon rouge et une chemise blanche.

métamorphose 2

La vidéo produite par Dr Filmgood pour le troisième anniversaire du salon a été vue plus de 60 000 fois sur facebook. Le film a été shooté en 2015, et a été seulement partagé en ligne.

Selon Salva Garcia, le propriétaire du salon de coiffure, José Antonio aurait reçu des dons financiers d’une compagnie anonyme.

L’homme de 55 ans a déclaré être à la recherche d’un travail à plein temps.

Selon le Mirror : « ce n’était pas seulement un changement de look. Ça a changé ma vie! Ce que je désire désormais ? Un vrai travail. »

métamorphose 4

http://quebec.huffingtonpost.ca

Ce nettoyeur offre les vêtements oubliés à des itinérants


C’est une bonne idée que les nettoyeurs de vêtements pourraient piquer au Français. Après 1 an de non-réclamation d’un vêtement ou autres, ils pourraient le donner aux itinérants
Nuage

 

Ce nettoyeur offre les vêtements oubliés à des itinérants

 

CLOTHING RACK

Le HuffPost  |  Par Annabel Benhaiem

 

Vous n’avez jamais oublié un vêtement au nettoyeur? Et bien, il pourrait un jour être porté par quelqu’un d’autre. Surtout si vous habitez Perpignan, en France. Stéphane Ruel, patron de quatre nettoyeurs, offre les vêtements chauds oubliés aux SDF de sa ville.

«Environ un client sur dix mille ne vient jamais récupérer les affaires qu’il nous a confiées. Il peut s’agir de personnes qui ont tout simplement oublié, ou bien qui ont déménagé, ou encore qui sont décédées. Un sur dix mille, cela peut paraître peu, mais cela finit par représenter beaucoup d’articles que nous conservons dans nos greniers en pure perte», explique-t-il au Parisien.

Il propose également des couvertures et des couettes, utiles en cette saison.

Délai d’un an

Il ajoute avoir déjà distribué 250 pièces, dont une cinquantaine de couvertures. Mais en a-t-il le droit?

« Au bout d’un an et un jour, la loi française dit que nous ne sommes plus responsables de ces articles non réclamés, continue le patron. Nous allons au-delà de ce délai légal puisque les affaires que nous distribuons sont dans nos stocks depuis au moins deux ans. »

En pratique, les consommateurs ont jusqu’à deux mois pour venir récupérer leurs biens chez les teinturiers et les nettoyeurs. Au-delà, les vêtements doivent être conservés un an minimum. Ensuite, le teinturier peut vendre les biens oubliés aux enchères.

Une initiative qui pourrait inspirer des patrons de nettoyeurs au Québec?

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Une femme lâche criquets et vers dans le métro de New York


Je ne suis vraiment pas certaine que ce soit une bonne idée de faire passer ce genre de message pour les itinérants  de cette manière.Et ce n’est pas la première fois que cette actrice des choses bizarres
Nuage

 

Une femme lâche criquets et vers dans le métro de New York

 

Une femme lâche criquets et vers dans le métro de New York

L’un des voyageurs a tiré le frein d’urgence, immobilisant le métro pendant 30 minutes.Photo Fotolia

NEW-YORK – Une femme a semé la panique mercredi, dans une des lignes du métro de New-York, en lâchant des vers et des criquets. Il s’agissait en fait d’une actrice qui voulait faire passer un message, a rapporté le New York Post.

L’incident a eu lieu dans l’une des voitures de la ligne D du métro de New York. Une femme y proposait 300 vers et 300 criquets à vendre.

Rapidement, les passagers ont ressenti un léger malaise et ont commencé à s’éloigner de la femme. Le ton est monté et l’un d’eux a même donné un coup dans le contenant, envoyant valser les insectes au beau milieu de la voiture.

Prise d’une envie pressante, elle est même allée jusqu’à uriner dans le métro.

Toute la scène a été filmée et est devenue virale sur les réseaux sociaux. La personne qui l’a diffusée n’est autre que la vendeuse elle-même, Zaida Pugh.

Elle aurait expliqué faire cette «farce» depuis quatre ans pour montrer les situations que vivent les itinérants et la manière dont les gens les traitent.

Le passager qui a envoyé les grillons et les vers voler n’est autre qu’un ami à elle.

Sauf que la blague a mal tourné et que l’un des voyageurs a tiré le frein d’urgence, immobilisant le métro pendant 30 minutes.

Elle avait déjà réalisé une autre vidéo dans laquelle une femme prétendait poignarder son bébé à mort pour se venger de son petit ami.

Zaida Pugh a été conduite à l’hôpital pour qu’elle y fasse une évaluation psychiatrique.

http://fr.canoe.ca/

Sandofi: un chariot pour faciliter la vie des itinérants


À défaut de pouvoir sortir les itinérants de la rue, il est quand même possible de les aider a mieux vivre dans la rue. Bon, ce n’est pas la meilleure solution, sauf que c’est peut-être une des moins pires. Ceci dit, espérons que ce chariot qui doit quand même coûter quelque chose puisse être donné gratuitement aux SDF
Nuage

 

Sandofi: un chariot pour faciliter la vie des itinérants

 

Charles Bombardier

Fondateur Imaginactif

Le Concept

Le Sandofi est un chariot conçu pour les itinérants qui vivent de façon temporaire dans les rues des grandes villes. Il est doté de plusieurs fonctionnalités, comme une section transformable en lit de camp, une niche pour un animal de compagnie, des lumières solaires et des crochets pour transporter des effets personnels.

Contexte

Selon le rond-point de l’itinérance, il y aurait, selon les années, entre 150 000 et 300 000 personnes vivant dans la rue au Canada. On les voit souvent poussant un panier d’épicerie rempli de linge et d’articles divers. Le Sandofi a été imaginé pour faciliter la vie des itinérants entre le moment où ils se retrouvent dans la rue et le moment où ils la quittent.

Comment ça fonctionne?

Le Sandofi est monté sur un châssis d’aluminium et de matériaux composites. Il est donc léger et résistant. Il comporte deux roues fixes à l’arrière, que l’on peut bloquer avec le pied, et deux roues directionnelles à l’avant. Il est assez étroit pour passer des portes de 28 pouces ou plus.

L’avant du Sandofi peut s’abaisser pour transformer le chariot en lit de camp. Un matelas de mousse, qu’il suffit de rouler dans un coin du panier durant le jour, accompagne le Sandofi. Il serait donc possible de s’étendre au sec sur un matelas au lieu de dormir à même le sol ou sur un banc public. On pourrait aussi recouvrir le chariot de bâches imperméables (fournies avec le Sandofi) pour se protéger des intempéries.

Des crochets, fixés autour du panier, serviraient à accrocher des sacs. Des ampoules de type DEL, se rechargeant avec de petites cellules solaires, permettraient d’éclairer les alentours la nuit. Le Sandofi pourrait être équipé d’un bouton panique (relié à un service de travailleurs sociaux) pour appeler à l’aide, et le panier pourrait se transformer en petite niche pour abriter les animaux de compagnie qui accompagnent souvent les itinérants.

A quoi ça sert?

Évidemment, il ne s’agit pas de garder les itinérants dans la rue, mais de les aider en leur fournissant un outil plus fonctionnel et plus adapté à leurs besoins qu’un panier d’épicerie. Il n’est pas réaliste de croire que l’on pourra sortir 100 % des itinérants de la rue du jour au lendemain, et le Sandofi pourrait être une façon de leur faciliter la vie en attendant mieux. Le tout leur serait bien entendu fourni gratuitement.

L’illustrateur

Je remercie Martin Rico, l’auteur des illustrations du concept Sandofi. Martin vit près de Buenos Aires, en Argentine. Il a fait des études de design à l’Université de Buenos Aires et travaille actuellement comme dessinateur industriel indépendant. Il a également dessiné les images du concept Ecotranzit.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Une clinique mobile pour les itinérants


Je trouve que c’est une très belle initiative que les itinérants puissent avoir accès à des services de santé mobile. Grâce à un camion doté de toute la technologie pour permettre un suivi adéquat à sa clientèle particulière
Nuage

 

Une clinique mobile pour les itinérants

 

QUEBEC HOMELESS

Même s’il fait un froid glacial ces jours-ci à Montréal, des centaines d’itinérants continuent de dormir dans les parcs et ruelles, au péril de leur santé. C’est pour offrir des soins médicaux à cette population vulnérable et marginalisée que la clinique mobile de Médecins du monde sillonne les rues de la ville depuis maintenant un an et demi.

«À ce temps-ci de l’année, on traite énormément de cas d’engelures, car nos patients n’ont pas de bonnes bottes d’hiver et enfilent parfois carrément des sacs en plastique dans leurs pieds», explique Véronique Houle, coordonnatrice du Projet Montréal de Médecins du monde.

Vu de l’extérieur, le camion blanc de Médecins du monde a l’air d’un simple véhicule. Mais à l’intérieur de sa boîte se cache une véritable clinique ambulante à la fine pointe de la technologie grâce au partenaire Telus. Le patient entre par l’arrière du camion, où une infirmière l’accueille pour une consultation. Tout au bout, une table d’examen permet au médecin bénévole (présent une fois par semaine) de s’adonner à un examen complet.

Un lieu «digne»

Chaque jour de la semaine, le camion se déplace à différents endroits de la ville pour offrir des soins de santé aux personnes itinérantes, mais aussi aux migrants à statut précaire, aux toxicomanes et aux travailleuses du sexe.

Il faut savoir que le personnel infirmier de Médecins du monde parcourt les rues de la ville depuis 1999 pour offrir des soins de santé à cette clientèle marginalisée par le système.

«Ce qui a changé avec la clinique mobile, c’est qu’on a enfin un lieu digne où accueillir les patients, explique Véronique Houle. Avant, pour prélever un échantillon d’urine, on envoyait la personne faire ça dans les toilettes d’un restaurant.»

Depuis son ouverture en juin 2014, les médecins et infirmiers de la clinique mobile de Médecins du monde ont effectué quelque 3000 interventions médicales, comme des vaccins, des tests de dépistage et des examens généraux.

On estime que la clinique a permis de réintégrer plusieurs centaines de personnes marginalisées dans le système de santé public.

«Les itinérants sont nombreux à bouder les hôpitaux parce qu’ils y ont vécu des expériences traumatisantes de rejet, souligne Mme Houle. Le but de la clinique mobile, c’est vraiment de rétablir le lien de confiance avec le système public.»

Entièrement informatisée

Ce qui étonne le plus de cette clinique mobile, c’est qu’elle est entièrement informatisée. Le camion de Médecins du monde est en effet doté d’une connexion Wi-Fi et d’un dossier médical électronique (DME) fourni par Telus Santé.

L’entreprise a équipé gratuitement la clinique mobile de ce système novateur qui ferait rougir les hôpitaux et cliniques du système public. Fini les dossiers papiers qui encombrent l’espace! Grâce à Telus, les médecins et infirmières peuvent ainsi facilement enregistrer les données médicales de tous leurs patients, tout en leur assurant une entière confidentialité.

«Ce qui est extraordinaire, c’est que le médecin qui est de garde peut avoir accès en tout temps aux dossiers médicaux des patients, de chez lui, sur son téléphone intelligent», précise la coordonnatrice.

S’il y a une urgence, le médecin peut consulter les photos prises par l’infirmière en poste et effectuer instantanément une prescription.

«Ça change tout de pouvoir offrir un feedback instantané aux patients, insiste Véronique Houle. Car pour un itinérant, la notion du lendemain n’existe pas. Très souvent, il ne sait pas où il va dormir le soir même.»

Les itinérants au pays visitent une clinique en moyenne dix fois par année, plus de 75 pour cent d’entre eux se sont rendus aux services d’urgence des hôpitaux et 31 pour cent ont été admis à l’hôpital pour une maladie grave. Les dossiers médicaux électroniques de Telus leur permettent maintenant d’être retracés dans le système lorsqu’ils visitent un établissement hospitalier et de recevoir un meilleur suivi qui tient compte de leur historique médical.

Hélène Chartier, vice-présidente, Marketing et stratégie de Telus Santé, croit profondément que chaque personne mérite de recevoir des soins de qualité peu importe sa situation :

«Notre technologie a un impact positif et direct sur la qualité et la continuité des soins offerts pour des personnes qui n’auraient pas pu bénéficier de traitements autrement.»

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Une soupe populaire à New York sert aussi bien les Sans-Abris que leurs animaux


Quelle belle initiative ! Avoir un animal de compagnie n’est pas juste pour les plus fortunés, une bonne partie des SDF ont un animal de compagnie qui partage leur infortune. Cet organisme à New-York accepte les animaux et vont même offrir des soins gratuits pour la santé de leur bête.
Nuage

 

Une soupe populaire à New York sert aussi bien les Sans-Abris que leurs animaux

 

Facebook/Collide NYC

Facebook/Collide NYC

C’est regrettable, mais c’est un défaut évident dans la race humaine quand une personne trouve facile de regarder une autre de haut et de porter un jugement sur elle. Mais pour ceux dont la vie quotidienne signifie des regards du coin de l’œil qui font mal, des silences vides, et le pire de tout, la critique des passants en tant que propriétaires d’animaux, la vie peut vraiment être très frustrante.

Près de 10% des SDF prennent un animal de compagnie pour seule famille, que ce soit un chien, un chat, un rat, et même des cochons d’Inde ou des hamsters.

Si vous partagez la compagnie des animaux, vous savez à quel point il est facile de les aimer de tout votre être, et pour beaucoup d’entre nous cela signifie mettre leur bonheur et leurs besoins avant les nôtres. Pour les sans-abri, cela signifie faire ces chose pratiquement tout le temps sans y réfléchir à deux fois.

Facebook/Collide NYC

Facebook/Collide NYC

L’affection véridique des SDF envers leurs animaux de compagnie – ce qui signifie souvent sacrifier nourriture, fournitures, et abri pour eux – est précisément la raison pour laquelle l’organisation à but non lucratif Collide existe. Située sur le Lower East Side de New York, la mission de Collide, d’après leur site web, dit:

« Collide est une institution qui fournit de l’aide à la jeunesse et les voyageurs sans-abri de l’East Village offrant de la nourriture et des soins médicaux à leurs animaux de compagnie. […] A Collide, nous reconnaissons le rôle critique que les animaux de compagnie jouent dans le bien-être global de leurs propriétaires, car ils offrent un soutien affectif, une stabilité, et un amour inconditionnel. Nous croyons que toutes les créatures sont précieuses, et pour nous, cela signifie que la compassion s’étend du bout de la laisse jusqu’à la main qui la tient « .

Tout le monde peut témoigner de l’amour et du support inébranlables que les animaux fournissent, mais le nombre (c-à-d, la quasi-totalité) des refuges pour sans abri qui n’acceptent pas les animaux est tout simplement scandaleux. Cela signifie que les gens doivent choisir soit d’abandonner leurs animaux pour de la nourriture et un abri soit de rester avec eux dans les rues. Pouvez-vous deviner quelle décision est prise le plus souvent?

Facebook/Collide NYC

Facebook/Collide NYC

Un bénévole à Collide, Jeff Latzer a déclaré à The Huffington Post:

« C’est une population incroyablement marginalisée dont les vies sont plus dures que ce que vous ou moi puissions imaginer, en particulier en ce qui concerne les questions de santé et de sécurité auxquelles les femmes sans-abri font face. Et pourtant, la priorité numéro un est toujours le bien-être de leurs animaux de compagnie. »

Bien que leur budget soit limité, Collide travaille sans relâche pour fournir des services vétérinaires pour animaux de compagnie avec l’aide de vétérinaires bénévoles, y compris les vaccins et les procédures de stérilisation / castration. Ils aident aussi avec les bons papiers des animaux de compagnie, une mesure de protection qui relie un animal à son propriétaire dans le cas (malheureusement commun) où les forces de l’ordre exigent de voir une preuve de propriété.

Facebook/Collide NYC

Facebook/Collide NYC

Malheureusement, ce n’est pas rare pour les gens de croire que les personnes sans-abri ne sont pas aptes à prendre soin des animaux de compagnie. Latzer a parlé à This Dog’s Life d’une expérience particulièrement difficile au travail :

« Nous avons reçu un appel d’un client triste qui nous a dit que quand ils s’est réveillé ce matin, la laisse du chien le reliant à son compagnon avait été coupée, avec seulement une lettre grossièrement écrite laissé ‘Nous avons donné à votre chien une vie meilleure’. Rien ne pourrait être plus traumatisant [du point de vue d’un chien ou d’un humain] que de voir la relation de co-dépendance fièrement détruite pendant que vous dormiez ensemble sur un banc de parc ».

Pour une personne sans abri, son animal de compagnie peut signifier la protection, la chaleur, et surtout, une compagnie. Les animaux ne jugent pas et ne se plaignent pas, et ils ont souvent désespérément besoin de leur humain. Collide comprend que la relation est à deux sens.

Facebook/Collide NYC

Facebook/Collide NYC

En plus de fournir des services de soins médicaux, l’organisation propose également des repas communautaires deux fois par semaine, de style pique-nique.

« Ces repas hebdomadaires, » explique Collide sur son site Web, « nous permettent de communiquer avec nos clients tout en leur fournissant tout ce qui est nécessaire pour eux-mêmes et pour leurs animaux. »

Facebook/Collide NYC

Facebook/Collide NYC

C’est très rare pour ces personnes et leurs animaux de compagnie d’être traités d’égal à égal en termes de besoins. C’est l’espoir de Collide, ainsi que le nôtre, que nous, en tant qu’humains puissions aider à éliminer la perception des personnes sans-abri comme étant des propriétaires d’animaux incompétents, en offrant de l’aide quand cela est nécessaire et en montrant que ces relations ne sont pas insignifiantes.

Facebook/Collide NYC

Facebook/Collide NYC

Nous aimons nos animaux – notre famille- et nous faisons pour eux probablement plus que ce que nous ferons pour nous-mêmes. Ce fait ne change pas quel que soit notre compte en banque. C’est en quelque sorte merveilleux, je pense, que l’amour défie les circonstances de cette façon.

Nous sommes reconnaissants envers nos animaux de compagnie pour beaucoup de choses, et une personne sans-abri avec son chien, chat, cochon d’inde ou hamster vit cet échange dans les deux sens.

Facebook/Collide NYC

Facebook/Collide NYC

Nous sommes extrêmement reconnaissants pour les efforts que fait Collide et son équipe de volontaires – vous êtes en train de faire quelque chose de vraiment bien.

Pour aider les sans-abri de New York et leurs animaux , vous pouvez faire une donation sur le site web de Collide.

http://bridoz.com/

Un itinérant rapporte à la police les 2000$ qu’il avait trouvés dans la rue


Que feriez-vous si vous trouviez 2 000 dollars quelque part en ville et qu’il n’y a aucun indice à qui appartient une telle somme d’argent ? Et si vous étiez dans une situation précaire le garderiez-vous ?
Nuage

Un itinérant rapporte à la police les 2000$ qu’il avait trouvés dans la rue

 

La personne qui voudra réclamer la somme devra... (Photo archives Bloomberg)

La personne qui voudra réclamer la somme devra fournir certains détails – le montant exact, les coupures des billets, et l’endroit où ils auraient pu être perdus.

PHOTO ARCHIVES BLOOMBERG

La Presse Canadienne
LANGFORD

Un itinérant de Colombie-Britannique est venu rapporter à la police plus de 2000$ qu’il avait trouvés dans la rue, et son geste a suscité la sympathie de la population, mais aussi la cupidité de certains.

Le sexagénaire a trouvé l’argent récemment quelque part à Langford, en banlieue de Victoria, et est allé le remettre au poste de police du détachement local de la Gendarmerie royale du Canada. Selon les policiers, le sans-abri aurait estimé qu’il s’agissait de «la bonne chose à faire» dans les circonstances.

Les policiers confient qu’il est déjà rare que des citoyens ramènent une telle somme, mais que ce citoyen soit un itinérant démuni confère au geste un caractère singulier.

L’agent Alex Bérubé a indiqué que si la somme n’est pas réclamée d’ici 90 jours, elle sera remise à cet honnête citoyen. En attendant, la personne qui voudra réclamer la somme devra fournir certains détails – le montant exact, les coupures des billets, et l’endroit où ils auraient pu être perdus. Plusieurs ont déjà essayé de toucher le pactole à la place de l’itinérant, sans succès.

Mais des citoyens qui ont appris le geste du bon samaritain ont lancé une campagne de financement pour l’aider, de toute façon. Mardi matin, le site «Victoria Buzz» avait recueilli 1400$ pour l’honnête homme.

La police tente maintenant de retrouver le sans-abri, bien connu de la communauté, pour lui annoncer l’initiative citoyenne, et même lui offrir de participer à une conférence de presse, s’il le veut bien.

http://www.lapresse.ca/

Le mot exemplaire d’une restauratrice lorsqu’elle a découvert qu’un itinérant se nourrissait dans ses poubelles


Oui, il y a encore du monde qui ont le coeur sur la main, et plus remarquable, c’est qu’un geste peut amener d’autres a améliorer le sort des personnes moins nantis.
Nuage

Le mot exemplaire d’une restauratrice lorsqu’elle a découvert qu’un itinérant se nourrissait dans ses poubelles

 

 

Même s’ils ne sont pas parfaits, les êtres humains ont tout de même du cœur. Cette restauratrice de l’Oklahoma en est la preuve.

Propriétaire du restaurant PB Jams, Ashley Jiron a récemment découvert qu’un sans-abri venait fouiller dans ses poubelles pour se nourrir. Touchée, elle a décidé de lui laisser une note. Un passant qui a vu le mot l’a publié sur Instagram:

« À la personne qui fouille dans nos ordures à la recherche de son prochain repas, tu es un être humain et tu mérites mieux qu’un repas provenant d’une poubelle. SVP entre dans le resto lors de nos heures d’ouverture, tu auras un sandwich, des légumes frais et de l’eau sans aucun frais. Aucune question ne sera posée. – Ton amie, la propriétaire. »

Un message lu dans le monde entier

Dans une interview accordée à la BBC, la restauratrice a confié que lorsqu’elle a découvert qu’on se nourrissait dans ses poubelles, « son cœur s’est serré ». Mais elle n’aurait jamais imaginé que sa réponse prendrait une telle ampleur.

La photo publiée sur Facebook et Instagram a attiré l’attention d’internautes et a été partagée des milliers de fois.

« Je pensais que ma lettre allait nourrir juste cette personne, mais maintenant j’espère que je vais pouvoir en aider davantage », affirme Ashley Jiron.

Le succès de son initiative a donné une idée à la jeune patronne. Permettre aux clients de payer un repas pour une personne dans le besoin, comme pour les cafés suspendus, ou de faire une donation sur le site internet GoFundMe reversée ensuite à des refuges locaux. Cette opération a déjà permis de nourrir plus d’une centaine de personnes, détaille la BBC.

« Je pense que nous avons tous déjà été dans cette position, où nous avons besoin que quelqu’un nous aide et nous tende la main. Et si je peux être la personne à tendre cette main à un autre être humain, alors je n’hésiterais pas un instant », ajoute-t-elle.

Ashley Jiron a également expliqué qu’elle-même a déjà connu des problèmes financiers par le passé.

« Des amis ont eu la gentillesse de nous laisser rester chez eux jusqu’à ce que j’aie payé la facture », a confié la restauratrice. « Parfois, nous n’avions plus assez de côté à la fin du mois et nous avons dû acheter une miche de pain et du beurre d’arachide dans un magasin à un dollar ».

Mais heureusement pour la jeune femme et sa famille, cette époque est désormais derrière eux et elle en a tiré de bonnes leçons.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

L’hiver glacial des sans-abri


Un sans-abri n’est drôle pour personne, mais quand en plus, la température extrême s’en mêlent en hiver, il y a des risques plus grands et c’est important qu’ils puissent avoir des refuges pour eux Un portrait de l’itinérance et des refuges à Montréal
Nuage

 

L’hiver glacial des sans-abri

 

Un texte de Anyck Béraud

Comme plusieurs villes de l’est du pays, Montréal connaît cet hiver plusieurs épisodes de froid extrême, une réalité qui préoccupe notamment les organismes qui viennent en aide aux sans-abri.

Le nombre d’itinérants est difficile à évaluer, mais il y en aurait plusieurs milliers dans la métropole québécoise. Trop pour les quelques centaines de lits d’urgence disponibles en ville.

« Je vais vous donner un chiffre très approximatif, mais pour les hommes, c’est environ 500 lits et pour les femmes, ça tourne autour de 90 lits. En termes de refuges ponctuels, d’urgence. Pas du moyen et long terme, mais du refuge d’urgence. »— Francine Côté, adjointe à la Direction des services généraux et des programmes spécifiques, au C3S Jeanne-Mance

Les refuges sont rapidement débordés, comme l’indiquait lundi soir, par un froid sibérien, une affiche à la Maison du Père sur laquelle on pouvait lire « complet ».

À l’intérieur, l’une des responsables était en train d’expliquer que le refuge avait dû refuser une vingtaine de personnes, quand une de ses collègues est arrivée avec une bonne nouvelle : la direction venait d’approuver l’organisation de quatre places supplémentaires, à cause du grand froid.

À températures exceptionnelles, mesures exceptionnelles : ce centre de jour, la Mission St-Michael, est transformé en « Halte chaleur », une nouveauté pour accueillir ceux et celles qui sont réfractaires aux refuges pour diverses raisons.

« C’est la première fois en 88 ans qu’on ouvre le soir parce qu’il fait très froid. […] Quand le métro est fermé, il va y avoir une cinquantaine ici. C’est très important pour nous, qu’il y ait une place pour les gens qui n’aiment pas une mission comme telle. Regarde Philippe ici, il vit sous le pont Victoria, il n’aime pas les missions, donc il vient ici. Monsieur le maire nous a demandé d’aider la Ville avec les missions qui sont prises avec trop de monde. » George Green, directeur de la Mission St-Michael

Dans la rue, une équipe mobile de référence et d’intervention en itinérance, EMRII, tente de convaincre des sans-abri d’aller dans des refuges ou à la « Halte chaleur », en cette nuit polaire.

Leur patrouille circule partout à Montréal et fouille même des abris de fortune comme celui-ci.

« On a des endroits stratégiques que Rudy et moi on a déjà déterminés lors de nos patrouilles régulières. On sait qu’il y a des gens vulnérables qui sont dans ces endroits-là. »— Laurent Dyke

« Ces personnes-là, elles sont connues déjà des services d’itinérance du C3S Jeanne-Mance et du SPVM. Donc nous, on va juste compléter notre vigilance qu’on maintient toute la journée, toute l’année, pour ces personnes qui sont vulnérables et dont la vulnérabilité vraiment s’accroît avec le froid. » — Rudy Escoffier


Intinerance Montréal

http://ici.radio-canada.ca/

Médecins du Monde lance une clinique mobile à Montréal


Ce genre d’action est concret, et nécessaire pour venir en aide aux itinérants .. Nous avons des difficultés de voir un médecin, ou d’avoir un rendez-vous pour des examens alors imaginez ceux qui vivent dans la rue
Nuage

Médecins du Monde lance une clinique mobile à Montréal

 

Pierre Saint-Arnaud
La Presse Canadienne
Montréal

À défaut d’aller chercher des services médicaux, les itinérants et autres clientèles vulnérables verront ces services se déplacer jusqu’à eux.

L’organisme Médecins du Monde Canada mettra en service la semaine prochaine sa toute nouvelle clinique médicale mobile.

Il s’agit d’un véhicule muni de tout l’équipement pour des consultations médicales à bord duquel prendront place un médecin bénévole, une infirmière – ou un infirmier, selon le cas – et d’autres bénévoles, notamment des travailleurs sociaux.

«Ce sont des médecins qui nous donnent des heures de travail gratuitement, après leurs heures régulières», a tenu à souligner le directeur général de Médecins du Monde Canada, Roch Harvey.

Le véhicule sillonnera les rues de Montréal pour aller à la rencontre de personnes marginalisées.

«Avec la clinique mobile, on va se déplacer vers les lieux où on retrouve les besoins, dans les parcs, dans les ruelles», a expliqué M. Harvey.

L’intervention mobile offre le double avantage de donner un accès facile aux personnes vulnérables et de faciliter leur intégration au réseau de la santé.

«Ça s’adresse à des personnes qui sont dans la rue, qui vivent en itinérance, qui ne fréquentent pas les cliniques ou les CLSC parce qu’elles n’ont pas de carte d’assurance-maladie. Elles sont désorganisées, souvent ce sont des utilisateurs de drogue, certains ont des problèmes de santé mentale», a indiqué M. Harvey.

Cette clientèle se retrouve trop souvent marginalisée et pas nécessairement par choix, souligne-t-il.

«Ce sont des gens qui, pour différentes raisons, ne vont pas se faire soigner. Parfois, ils sont mal reçus quand ils vont dans les cliniques, ou ils n’ont pas de carte d’assurance-maladie, ils l’ont perdue. Nous, on apporte les soins à ces personnes», a-t-il dit.

Le projet est financé en partie par les pouvoirs publics, mais surtout par l’Oeuvre Léger et des donateurs privés.

Médecins du Monde a obtenu des succès considérables avec des projets similaires ailleurs, notamment en France et en Grèce.

http://www.lapresse.ca/