Changement


On a beau se plaindre de ce qui peut nous arriver, mais si on reste les bras croisés, une attitude défaitiste, rien n’arrangera les choses
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Changement

 

 

Les choses ne changent pas, tu changes ta façon de regarder, c’est tout.”

Elizabeth Gilbert

Erreur du boulot


Certaines de ces erreurs dans la construction ont déjà été vue alors que d’autres non. On se demande à quoi ils ont pensé pour faire ces travaux qui n’ont aucun sens pratique. Il y a des architectes, des travailleurs qui ont manquer de jugement
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Erreur du boulot

1. La commodité de ces fenêtres est que n’importe qui peut les ouvrir de l’extérieur.

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2. L’art de couper la poire en deux.

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3. « Attends, bouge pas, j’ai presque fini… »

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4. Je vais à l’étage sup…

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5. Une entrée de garage comment on en rêve tous.

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6. Tirer la chasse avec délicatesse est ici impératif!

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7. Un nouveau plafonnier signé IKEA.

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8. Pratique pour se laver les mains.

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9. Je me lave les mains et je sors!

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10. Ne convient pas aux urgences.

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11. Douche fil-mur.

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12. Fenêtre avec fenêtre double.

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13. Tous ensemble avec passion.

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14. Comment l’utiliser?

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15. Une porte facile d’accès…

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16. Euh, qu’est-ce que ça fait là??

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17. Que quelqu’un règle cette situation.

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18. Pauvres gosses.

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19. Et heureusement que ça devrait être utilisé en cas d’urgence….

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20. Y’a quelque chose qui tourne pas rond…

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21. Balcon habitable.

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22. Bon courage pour la recherche dans le noir.

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23. Il fallait choisir entre la sortie ou l’air frais.

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24. Un retrait d’argent en tout commodité.

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25. Tetris de tiroirs.

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26. « Je n’entrerai jamais dans cette maison »… Pas de doute là dessus!

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Le Saviez-Vous ► Les poissons dorment-ils ?


Le sommeil est important même pour les poissons même s’ils dorment différemment et non pas de paupières pour fermer les yeux. Il leur faut des astuces pour ne pas se faire surprendre par les prédateurs. Heureusement qu’ils ne rêvent pas, imaginez tous les cauchemars qu’ils pourraient faire avec des requins affamés
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Les poissons dorment-ils ?

 

Crédits : Pixabay

par Manon

Vous vous êtes sans doute déjà interrogés sur le sommeil de vos petits poissons rouges, tentant de les surprendre en plein rêve pour finalement les retrouver en train de nager paisiblement, les yeux toujours ouverts, à n’importe quelle heure du jour et de la nuit. Pourtant, rassurez-vous, ils dorment également.

Le sommeil est une action vitale chez tous les animaux, tant pour les insectes que les mammifères, et les poissons ne font pas exception. Chez les êtres humains, une personne en train de dormir est facilement identifiable, cela se caractérise par une certaine immobilité, un corps relâché et des yeux fermés (toutefois gare aux crises de somnambulisme qui peuvent être trompeuses). Le sommeil chez les poissons étonne alors, existe-t-il ? Sous quelle forme ? Des scientifiques ont bel et bien confirmé son existence grâce à des mesures de leur rythme cardiaque et de l’activité électrique de leur cerveau, constatant que leur cœur bat moins vite et qu’ils consomment moins d’énergie pendant une période de quelques heures ; mais cela remet en question notre définition du sommeil.

Étonnés de ne jamais les observer paupières closes ? Si les poissons ne ferment pas les yeux, c’est qu’ils n’ont tout simplement pas de paupières et qu’ils n’en ont pas besoin. Effectivement, puisqu’ils vivent dans l’eau, leurs yeux ne risquent pas de se dessécher.

Plus particulier, les chercheurs ont relevé qu’en plus de ne pas fermer leurs yeux, les poissons ne rêvent pas. Aucun état analogue au sommeil paradoxal, où se produisent les rêves, n’a été repéré chez eux. On ne parlerait pas alors réellement de « sommeil » mais plutôt d’une « période d’inactivité et de repos ».

Cette période prend différentes formes chez les animaux aquatiques, chaque groupe animal a développé ses propres stratégies pour se reposer. Alors que certains continuent de nager pendant cette période de repos, comme quelques requins par exemple, obligés de maintenir un courant d’eau autour de leurs branchies pour récupérer l’oxygène contenu dans l’eau, d’autres sont plus statiques et choisissent de faire une sieste la nuit. Ce choix de sommeil nocturne les met alors directement en confrontation avec les prédateurs qui, à l’inverse, se reposent durant la journée. Pour se protéger de ces derniers, les poissons ont développé plusieurs astuces pour les moins surprenantes : la cachette au fond, sous le sable (comme les girelles ou certaines raies) ; le changement de couleur en guise de camouflage ; le développement de mucus de protection, spécifique au poisson-perroquet, pour un effet « sac de couchage » qui l’avertit en cas d’intrusion et masque un peu son odeur ; la mise en veille d’un hémisphère du cerveau pendant que l’autre dort (la grande astuce des mammifères marins).

Intrigants mais finalement pas si différents de nous, même si les poissons ne connaissent pas le sommeil profond que nous apprécions tant, ils se reposent malgré tout, à leur manière !

Sources : LevaisseauLemonde ; FuturaSciences ; Maxisciences ;

http://lesavaistu.fr/l

Des femmes asiatiques s’insèrent des clous dans le nez pour les rendre pointus


Qu’est qui ont encore inventé pour changer une partie du corps qu’on aime moins. Inséré des clous courbés pour avoir un nez différent à volonté n’est pas sans risques. Il est dommage que des femmes au péril de leur santé s’adonnent à ce genre de pratique
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Des femmes asiatiques s’insèrent des clous dans le nez pour les rendre pointus

Crédits : YouTube

Une drôle de tendance a surgi en Asie de l’Est chez certaines femmes, et commence à être l’objet de sévères inquiétudes : convaincues qu’avoir un nez plus pointu et plus net les rendra plus attirantes, ces femmes asiatiques ont recours à un « élévateur de nez ».

Le dispositif consiste en deux petits clous recourbés en silicone de deux ou trois centimètres de long, explique News.com.au, qu’elles introduisent dans leur narines pour varier à leur guise la forme de leur nez.

Une fois introduits dans la narine, les clous s’ajustent en angle droit. Un moyen pour elles d’éviter une coûteuse opération chirurgicale. Né en Corée du Sud il y a deux ans, le concept a été repris par de célèbres blogueuses beauté dans leurs vidéos YouTube, et s’est depuis propagé dans toute l’Asie de l’Est.

La description du produit vante un résultat en trente secondes et souligne les nombreux défauts de nez auxquels le Nose Lifter peut remédier :

 « Nez plats, nez bulbeux, nez crochus, nez tombants, nez tordus, narines dilatées, nez retroussés, bosses dorsales, bosses latérales, etc. »

Malgré la popularité du dispositif, des voix chez les médecins commencent à s’élever contre les dégâts qu’il pourrait causer au nez :

pour le Pr Richard Harvey, spécialiste en rhinologie, « cela met une pression sur la structure du cartilage nasal. Même si on le tolère un temps, son usage répété peut finir par provoquer un ulcère », prévient-il.

D’autres risques existent, tels que des infections bactériennes ou même l’inhalation des clous. L’an dernier à Taipei, une femme de 25 ans a failli y perdre son nez : le dispositif a brisé sa membrane, lui causant une lourde infection. En somme, sans doute est-il plus prudent de conserver votre cap, votre roc, votre perchoir à oiseaux, si disgracieux soit-il.

Crédits : Nose Lifter

Source : News.com.au

http://www.ulyces.co

Syndrome de glissement : ces vieux se laissent mourir


Syndrome du glissement, est un syndrome qui atteint les personnes âgées qui ont perdu le goût de vivre suite a un décès, secrets de familles, et autres, ils sont souvent en état de dépression. Alors que d’autres non et veulent avoir le droit de mourir sans avoir d’aide médicale pour survivre
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Syndrome de glissement : ces vieux se laissent mourir

 

Une grand-mère ( César.Gutiérrez (Flickr))

A la suite d’un traumatisme, des personnes âgées se laissent glisser vers la mort.

En médecine, les syndromes racontent des histoires. Leurs noms, quand ils ne sont pas ceux de leurs découvreurs, révèlent souvent des métaphores, des tentatives quasi poétiques de dompter une réalité rarement réjouissante.

Ainsi, quand une personne âgée se laisse mourir après un événement qui l’a bouleversée, on parle en psychiatrie et en gériatrie d’un « syndrome de glissement » dépressif ou réactionnel.

« Les vieux ne bougent plus »

Le concept – franco-français – a été décrit pour la première fois en 1956 par le gériatre Jean Carrié et cerné ensuite par plusieurs médecins, les docteurs Graux et Delomier en tête. Le premier insistant particulièrement sur le caractère « brutal et rapidement évolutif » du syndrome.

Le décès de la personne âgée survenant en général dans les quatre semaines qui suivent l’événement traumatique.

Hervé Merveille est psychiatre des personnes âgées à Limoges, au Centre hospitalier Esquirol. Il détaille :

« Le syndrome de glissement touche les personnes de plus de 65 ans. Parmi les facteurs de risque, on trouve en tête la perte du conjoint ou la perte d’un proche, qui se conjugue à une baisse de l’estime de soi. »

Il existe aussi d’autres éléments déclencheurs comme l’annonce d’un diagnostic, la vente d’un bien immobilier précieux pour l’histoire familiale du patient ou encore une intervention chirurgicale dont les suites sont mal vécues. Hervé Merveille poursuit :

« Ces pertes s’accumulent et entraînent divers symptômes parmi lesquels l’apathie, l’anhédonie [l’incapacité à ressentir des émotions positives, NDLR], l’aboulie (perte de l’envie), la baisse de la conation [de la volonté d’agir, NDLR], la clinophilie (le fait de rester au lit), l’anorexie et la bradyphémie (lenteur de l’expression).

C’est un homme paternaliste et autoritaire qui se décharne de ses qualités masculines, une épouse qui perd de son autorité au foyer. »

Comme dans la chanson de Jacques Brel :

« Les vieux ne bougent plus, leurs gestes ont trop de rides, leur monde est trop petit. Du lit à la fenêtre, puis du lit au fauteuil et puis du lit au lit. »

Secrets de famille

Pour ce médecin, qui se rend régulièrement aux domiciles de ses patients ou au sein des Ehpad, c’est un lourd travail de recherche qui commence.

« Pour identifier l’origine du problème et l’élément déclencheur, il faut mener une enquête presque policière sur la biographie du patient. Prendre le temps de créer un lien de confiance, discuter avec sa famille, faire attention aux mots employés. »

Le syndrome de glissement s’installe dans le passé, les secrets de famille, les décès ou les deuils douloureux.

« On fait face parfois à des troubles de déambulation nocturne, des patients qui se lèvent la nuit pour chercher des choses dans des placards. Puis on se rend compte qu’un cousin éloigné de la famille vient de mourir, que personne de l’entourage du patient ne s’y est intéressé, mais que le patient a bien connu ce cousin.

C’est le moment où les gros secrets de famille explosent. Des événements très lourds, éteints ou mis de côté pendant des années, refont surface alors que la chaudière de la maison tombe en panne. »

La prise en charge du syndrome de glissement est aussi bien médicale que cognitive (kiné, aide à domicile), explique Hervé Merveille. La conséquence directe de cette souffrance, c’est le suicide.

« Contrairement aux jeunes, les personnes âgées ne se ratent pas. Il faut être vigilant et évaluer le potentiel suicidaire en se posant des questions : est-ce qu’il y a une arme à portée de main ? L’isolement du patient est-il critique ?, etc. »

La maison de retraite

Pour les personnes âgées hospitalisées ou qui vivent en maison de retraite, Hervé Merveille est plus pessimiste :

« Pour les personnes en Ehpad, le pronostic est très sombre. Le corps et l’esprit ne font qu’un et malheureusement, le corps réagit très mal à la dépression. Souvent, il y a une pathologie qui se déclenche à ce moment-là. Quand on n’a pas envie de vivre, le corps ne suit plus, d’où l’importance de faire venir les psychiatres et les psychologues dans les établissements de soins. »

Dans cet article où nous parlions de la culpabilité liée au placement d’un proche en maison de retraite, Marika évoquait « le glissement » de sa grand-mère Elise, arrivée en Ehpad à l’âge de 96 ans.

Elle était décédée un an et demi plus tard, après s’être rapidement enfermée dans la démence.

Cette ancienne infirmière, qui a régulièrement côtoyé des situations de fin de vie, analyse :

« Le glissement, c’est le moment où la personne lâche la vie. C’est une forme de résilience absolue et d’acceptation de la mort. »

« C’est leur moment »

Et dans le meilleur des cas, le « glissement » arrive sans événement traumatique, au moment où le sujet semble s’être résigné à la mort.

Natacha Ledjam, psychologue clinicienne qui a travaillé dix ans en Ehpad, explique :

« Il y a des gens qui, à un instant T, se disent que c’est leur moment. Qu’ils sont fatigués. Qu’ils ont fait ce qu’ils avaient à faire. Que ça n’a pas de sens pour eux de continuer à faire des activités, suivre des comportements normatifs soutenus par les institutions. Ils disent qu’ils ont fait leur temps, sans pour autant traverser une dépression. »

Dans « Nous voulons tous mourir dans la dignité », paru en mars 2013, la psychologue Marie de Hennezel cite l’écrivain Michel Landa :

« Le droit de mourir dignement dans la lucidité, la tendresse, sans autres affres que celles inhérentes à la séparation et au glissement hors de cette forme de vie, ce droit devient un impératif évident dès lors que la vie peut être prolongée jusqu’au dernier délabrement – et même au-delà. »

En 2014, lors d’un colloque sur la maladie d’Alzheimer, elle appelait à « respecter le syndrome de glissement chez la personne âgée », tout en expliquant que son propos ne concernait pas le glissement réactionnel :

Natacha Ledjam résume le malaise que les proches, certains soignants et une partie de la société ressentent alors face à cette résignation :

« Voir quelqu’un lâcher, ce n’est pas normal. Et même si les équipes soignantes sont de plus en plus formées aux soins palliatifs, elles ne réagissent pas de la même manière. Il y a des soignants qui – pour des raisons culturelles, religieuses ou de sensibilité – vont être pris d’une forme de panique à vouloir sortir la personne de son état.

D’autres qui vont mettre en place une relation d’écoute, presque tendre. Qui vont instinctivement se positionner dans les soins de confort. L’équipe adapte alors son approche au besoin premier de la personne, à savoir un environnement bienveillant. »

Le rôle de l’équipe médicale consiste alors à « faire la différence entre un syndrome de glissement dépressif et la position de la personne qui demande sereinement à ce qu’on ne la force pas à s’alimenter », comme le prône Marie de Hennezel. Elle cite alors le gériatre François Blanchard :

« Chez les uns, une tristesse affreuse, un désespoir, une souffrance morale. Chez les autres, le sentiment tranquille d’avoir fait son temps. La lampe n’a plus d’huile, on est au bout du rouleau. […] Le vieillard se laisse aller paisiblement. »

Qui conclut :

« Qui sommes-nous pour vouloir absolument trouver des raisons de vivre à la place des autres ? »

Henri Rouillier

https://tempsreel.nouvelobs.com

Trophées d’éléphants: face au tollé, Trump recule


Alors que l’administration avait autorisé l’entrée aux États-Unis des trophées de la chasse de loisir des éléphants provenant du Zimbabwe et de la Zambie, ce fut un raz-de-marée de protestation envers une espèce menacée de disparition. Cela a suffit pour faire marche arrière sur cette décision et c’est une victoire de l’opinion public pour les éléphants Dommage par contre qu’on ne peut pas faire la même chose pour les injustices flagrantes envers les êtres humains
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Trophées d’éléphants: face au tollé, Trump recule

 

Les associations de défense des animaux et de... (AFP)

Les associations de défense des animaux et de l’environnement aux États-Unis et à travers le monde étaient vent debout depuis jeudi contre la décision, qui revenait sur une interdiction imposée par la précédente administration de Barack Obama.

Agence France-Presse

Donald Trump a gelé vendredi soir l’autorisation d’importer des trophées d’éléphants tués au Zimbabwe et en Zambie, vingt-quatre heures seulement après l’annonce très controversée par son administration de réinstaurer ces permis.

Les associations de défense des animaux et de l’environnement aux États-Unis et à travers le monde étaient vent debout depuis jeudi contre la décision, qui revenait sur une interdiction imposée par la précédente administration de Barack Obama.

Le président Donald Trump a annoncé sur Twitter le «gel de la décision sur les trophées le temps qu'(il) vérifie les faits sur la conservation», promettant de donner «rapidement» des nouvelles sur la question en compagnie de son ministre des Ressources naturelles, Ryan Zinke.

Le milliardaire républicain semble avoir tenu compte du tollé quasi-unanime de la décision, qui rouvrait la possibilité pour les chasseurs américains de revenir aux États-Unis par exemple avec des pieds, des têtes, ou encore de très recherchées défenses d’ivoire d’éléphants.

L’U.S. Fish & Wildlife Service (USFWS), l’agence fédérale américaine chargée des questions de chasse et de pêche, a en effet annoncé jeudi qu’elle allait «émettre des permis autorisant l’importation des trophées d’éléphants chassés par loisir au Zimbabwe à partir du 21 janvier 2016 et jusqu’au 31 décembre 2018».

Cela était également valable pour la Zambie, selon son site internet.

L’administration du président républicain exploitait pour ce faire un aspect de la loi américaine sur les espèces en danger, qui stipule que l’importation de tels trophées peut être légale si preuve est apportée que la chasse bénéficie à la conservation plus large des espèces.

Brigitte Bardot contre Donald Trump

«La chasse pour le loisir, légale, bien encadrée, dans le cadre d’un programme, peut bénéficier à la conservation de certaines espèces en incitant les populations locales à conserver les espèces et en injectant l’argent dans la conservation», expliquait ainsi l’USFWS jeudi.

Dans une lettre adressée vendredi avant l’annonce du gel par le président républicain, dont les deux fils aînés Eric et Donald Jr sont connus pour être des amateurs de chasse en Afrique, Brigitte Bardot a dénoncé la décision.

«Aucun despote au monde ne peut prendre la responsabilité de faire disparaitre une espèce millénaire faisant partie du patrimoine mondial de l’humanité», a écrit l’ancienne actrice française qui a créé la Fondation Brigitte Bardot pour la protection des animaux.

«L’éléphant est un animal sacré, magique, unique, respecté, et protégé. En agissant de manière aussi indigne vous confirmez les rumeurs qui doutent de vos capacités présidentielles», a écrit la star de 83 ans, dénonçant «la décadente autorité mortifère à laquelle vous soumettez le règne animal et végétal dans son ensemble».

Selon l’organisation Great Elephant Census, le nombre de pachydermes a chuté de 30% entre 2007 et 2014 en Afrique, avec une baisse de 6% pour le Zimbabwe.

De nombreuses associations américaines avaient, à l’instar de The Elephant Project, déploré un «comportement répréhensible de l’administration Trump». «100 éléphants sont déjà tués chaque jour. Cela mènera à davantage de braconnage», avait souligné l’organisation.

Pour sa part, le centre américain pour la biodiversité avait déploré qu’en autorisant à faire entrer «des têtes, des pieds et des queues d’éléphants morts aux États-Unis», Donald Trump «légalise le fait de tuer des éléphants menacés».

http://www.lapresse.ca

Une adolescente décède après avoir été électrocutée par son fil de recharge de cellulaire


Les cellulaires ne se branchent pas sur le lit et encore moins avec un fil endommagé. Un décès par électrocution qui aurait pu être évité
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Une adolescente décède après avoir été électrocutée par son fil de recharge de cellulaire

 

Christian Labarre-Dufresne

 

On y pensera deux fois avant de dormir avec notre cellulaire dans le lit!

Une adolescente est tragiquement décédée à la suite d’une électrocution causée par son fil de recharge d’iPhone défectueux, selon ce que rapporte Yahoo News UK ainsi que d’autres médias.

La jeune fille, qui se nomme Le Thi Xoan selon le rapport de police, a été retrouvée sans connaissance dans son lit par ses parents. Ces derniers l’ont conduite d’urgence à l’hôpital.

La police du district de Hoan Kiem de la ville d’Hanoi au Vietnam a indiqué avoir trouvé le fil blanc brûlé sur le lit de l’adolescente de 14 ans. Selon eux, une légère déchirure dans le caoutchouc recouvrant le câble pourrait avoir exposé des fils.

La police est encore à déterminer s’il s’agissait du fil de recharge d’origine du iPhone, mais il semble sur une photo qu’il soit plus court que le câble de 20 pouces qui vient avec l’appareil.

On peut aussi apercevoir du ruban transparent sur le fil, ce qui laisse suggérer que la victime savait que son fil était déchiré à un endroit.

Le fil qui aurait causé la mort de la jeune adolescente.

Les médecins, qui n’ont pas été en mesure de la réanimer, ont confirmé que la cause du décès était l’électrocution.

Le rapport d’enquête révèle que les policiers croient que la jeune fille a branché son cellulaire pour le charger et a posé le iPhone sur son lit comme elle le faisait chaque nuit.

Ils émettent l’hypothèse que l’adolescente s’est probablement déplacée sur le fil de recharge qui avait une déchirure et s’est électrocutée avec le courant.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Les réseaux sociaux sont-ils en train de pousser les ados au suicide?


À l’adolescence, on a besoin de trouver sa place, son appartenance, un sens sa vie, une période souvent difficile. Mais voilà avec Internet, les réseaux sociaux, n’aide en rien et les tentatives de suicide augmentent surtout chez les adolescentes d’après des études aux études
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Les réseaux sociaux sont-ils en train de pousser les ados au suicide?

 

Jeune femme à l'iPhone | efradera via Flickr CC License by

Jeune femme à l’iPhone | efradera via Flickr CC License by

Repéré par Peggy Sastre

Repéré sur Clinical Psychological Science

Aux États-Unis, l’inversion de la courbe du suicide chez les jeunes inquiète de plus en plus les chercheurs. Un phénomène particulièrement saillant chez les filles.

Après des décennies de baisse constante, les suicides et les symptômes dépressifs chez les jeunes âgés de 13 à 18 ans sont repartis à la hausse aux États-Unis depuis 2010. Et pas qu’un peu. Une tendance d’autant plus préoccupante chez les adolescentes. Chez les jeunes filles, le taux de suicide a augmenté de 65% entre 2010 et 2015 et a été multiplié par deux depuis la fin des années 1990.

Tels sont les résultats d’une grande étude menée par une équipe de psychologues affiliés aux universités de San Diego et de Floride, sur la base de deux enquêtes rassemblant 506.820 individus. Un travail montrant que la prévalence des symptômes dépressifs est indépendante de la classe sociale et que le Nord-Est des États-Unis semble relativement épargné par cette nouvelle vague suicidaire.

Comment expliquer ce phénomène? Jean M. Twenge, Thomas E. Joiner, Megan L. Rogers et Gabrielle N. Martin n’établissent aucun lien de causalité directe, mais pointent du doigt de probables coupables: l’usage des écrans en général et des réseaux sociaux en particulier. Ainsi, selon leurs calculs, les adolescents branchés sur leurs smartphones plus de cinq heures par jour ont 66% de risque supplémentaire de souffrir de symptômes suicidaires que ceux qui ne consacrent qu’une heure quotidienne aux écrans.

En outre, la hausse spectaculaire du taux de suicide et des symptômes dépressifs chez les adolescents coïncide avec le boom des appareils connectés et de la fréquentation des réseaux sociaux. En 2015, 92% des adolescents américains possédaient un smartphone.

Manque d’appartenance et pesanteur

Des données cohérentes avec la théorie interpersonnelle du suicide, selon laquelle les envies et le passage à l’acte suicidaires relèvent de deux facteurs de risque combinés: le manque d’appartenance (le fait de se sentir exclu, isolé, coupé du monde) et la perception de pesanteur (l’impression d’être un poids pour son entourage). Ce que la consommation excessive de réseaux sociaux pourrait favoriser.

Une consommation qui semble particulièrement délétère à la santé mentale des adolescentes, qui voient sur la période une hausse significative des symptômes et des passages à l’acte suicidaires. Les auteurs soulignent que les garçons américains se sont aussi davantage suicidés entre 2010 et 2015, sans que leurs symptômes dépressifs aient connu une évolution correspondante. Ce qui atteste de facteurs de risque suicidaire sexos pécifiques, comme l’observent des études antérieures. Par exemple, si les pensées suicidaires et les tentatives de suicide sont à peu près quatre fois plus nombreuses chez les femmes, les hommes «réussissent» quatre fois plus souvent leur suicide que les femmes.

http://www.slate.fr/