La confiance


On ne peut pas faire confiance en tout le monde, et certains abusent de notre confiance. Il faut vraiment des qualités essentielles d’une personne pour donner notre confiance
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La confiance

 

 

La confiance prend racine dans l’honnêteté, la sincérité et la franchise

Mazouz Hacène

États-Unis: les parents d’intimidateurs pourraient aller en prison


Est-ce une bonne idée d’envoyer les parents d’enfants intimidateurs, et ce, à la première offense. Faut dire que des fois, il y a des agressions qui sont graves entre jeunes. Il est vrai que des parents ne prennent pas compte des avertissements, cette loi pourrait changer quelque chose, cependant, il y a des parents qui sont vraiment démunis devant leurs enfants, offrir une aide sérieuse pourrait être mieux pour eux.
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États-Unis: les parents d’intimidateurs pourraient aller en prison

 

Archives TC Media

NORTH TONAWANDA, N.Y. — Le garçon de 13 ans a reçu le premier coup, quand un jeune plus âgé lui a asséné un violent coup de poing à l’extérieur d’un magasin à un dollar.

Sa famille a reçu le deuxième coup quand les policiers ont avoué à ses parents être essentiellement impuissants à punir l’agresseur de 15 ans.

«On nous a essentiellement dit qu’ils ne pouvaient rien faire, puisque c’était un mineur, a dit William Crago, dont le fils s’est ensuite promené avec un oeil au beurre noir. On nous l’a dit plusieurs fois: on ne peut rien faire.»

Tout ça vient de changer.

Une petite ville située au nord de Buffalo, dans l’État de New York, a adopté une nouvelle loi qui permet aux autorités d’envoyer les parents d’intimidateurs en prison pour 15 jours et de leur imposer une amende de 250 $ US.

Le conseil municipal de North Tonawanda a voté à l’unanimité, au début du mois d’octobre, l’amendement d’une loi existante pour ajouter l’intimidation, le harcèlement et la consommation d’alcool par des mineurs aux bris de couvre-feu dont les parents peuvent être tenus responsables.

Les élus ont aussi éliminé la possibilité d’un simple avertissement pour une première infraction, ce qui veut dire que les parents pourraient écoper d’une peine de prison ou d’une amende dès le départ.

Une coalition communautaire assemblée par M. Crago et sa femme Victoria après l’agression dont a été victime leur fils, le 8 mai, a réclamé ces changements, avec l’appui de la police et des écoles de cette ville de 31 000 habitants.

Même quand les jeunes sont reconnus coupables par la justice, dit M. Crago, les conséquences réelles sont rares. Le garçon qui a frappé son fils aurait écopé d’une période de probation, et seulement quand les Crago ont exigé qu’il soit reconnu coupable de voies de fait.

«Ça fera une grosse différence pour les groupes de trouble-fêtes incorrigibles», a dit le procureur de la ville, Luke Brown, qui rappelle que la police était impuissante face à un groupe de 10 ou 12 adolescents qui savaient «comment marcher le long de la ligne sans la traverser» et des parents qui n’en faisaient pas assez pour corriger ces comportements.

Habituellement, les policiers reconduisaient chez eux les jeunes voyous ou demandaient à leurs parents de venir les chercher, et parfois les parents dont l’enfant avait violé le couvre-feu recevaient une contravention, a dit la capitaine Thomas Krantz. La nouvelle loi, explique-t-il, ne vise pas les parents qui collaborent avec la police ou essaient de corriger la situation.

«C’est pour les parents (…) qui ne veulent pas faire ce qui doit être fait pour garder leur jeune dans le droit chemin, dit-il. Ceux qui disent, ‘Ce n’est pas mon problème’».

North Tonawanda s’est inspirée d’une loi similaire adoptée il y a quelques années par une poignée de villes du Wisconsin. Le chef de police de l’une d’elles, Dan Ault, reconnaît que ses policiers n’ont émis que quelques avertissements, et aucune amende, depuis l’adoption de la loi en 2015, mais il croit que la simple menace suffit à attirer l’attention des parents.

«Nous avons certainement découragé ces comportements, a-t-il assuré. (Les parents) font un peu plus attention. Pourquoi? Parce que ‘je ne veux pas atterrir en prison pour 15 jours et je ne veux pas payer une amende de 250 $ US’.»

MM. Crago et Ault rapportent avoir essuyé les propos de ceux qui dénoncent une «ingérence du gouvernement» ou qui croient que la loi ne fera qu’ajouter aux problèmes de foyers déjà troublés.

«Nous ne vous disons pas comment élever vos enfants, réplique M. Ault. Mais on vous demande de les élever. Veuillez faire partie de la vie de vos enfants.»

Une experte prévient toutefois que des recherches sont nécessaires pour déterminer si la responsabilisation des parents lutte efficacement contre l’intimidation.

«C’est très attirant de dire qu’on prend l’intimidation au sérieux et que les parents doivent être responsables, explique Amanda Nickerson, de l’Université de Buffalo. Mais si on veut vraiment que les jeunes adoptent un comportement plus positif et plus prosocial, j’ai de la difficulté à croire que punir un parent ou menacer de punir un parent (puisse aider).»

http://journalmetro.com

Il boit de l’eau de Javel par défi et se retrouve à l’hôpital


Les vidéos du défi de boire de l’eau de javel « The Bleach Challenge » sont souvent truquées. Des gens font croire qu’ils boivent de l’eau de Javel, sauf qu’il arrive que certains le font pour vraiment. Je ne sais pas comment des gens peuvent être aussi idiots. Le logo mortel est facile à comprendre, même des enfants de moins de 5 ans savent que c’est poisson
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Il boit de l’eau de Javel par défi et se retrouve à l’hôpital

 

Ce jeune américain boit de l’eau de Javel par défi. La photo n’est pas celle de l’adolescent belge actuellement hospitalisé. © Capture d’écran YouTube.

Par: Deborah Laurent

Un jeune Belge de 17 ans a été emmené d’urgence à l’hôpital cette semaine après avoir bu de l’eau de Javel. The Bleach Challenge est un challenge à la mode sur les réseaux sociaux. Il fait rage aux Etats-Unis. L’adolescent de Leeuw-Saint-Pierre en a fait les frais.

Il souffre de brûlures à l’oesophage. Selon VTM Nieuws, il a eu de la chance, les conséquences auraient pu être bien plus graves.

L’hôpital Don Bosco à Halle a expliqué que la victime avait bu de la Javel « plusieurs fois ». « Apparemment, c’était un pari reçu par SMS. Il devait le faire et en retour, il recevait 10 euros. »

Les vidéos qui inondent YouTube sont souvent fausses: les protagonistes font croire qu’ils boivent de l’eau de Javel alors qu’il ne s’agit que d’eau.

En Belgique, il s’agit de la première victime du Bleach Challenge.

« Généralement, quand on parle de gens ayant ingéré de l’eau de javel, ce sont des accidents. »

En cas d’ingestion d’eau de Javel, buvez de l’eau et rendez-vous à l’hôpital dès que possible.

http://www.7sur7.be/

L’erreur de l’US Air Force qui aurait peut-être pu empêcher le pire au Texas


La tuerie dans une église au Texas aux États-Unis était déjà connue pour violences conjugales par l’armée Américaine. Cependant, l’armée n’avait pas informé le FBI. Pourtant, Devin Patrick Kelley avait été condamné pour plusieurs chefs d’accusation et l’interdiction de posséder une arme. S’il aurait été inscrit au registre du Centre national d’information criminelle, avec la facilité d’avoir des armes aux États-Unis, ce massacre aurait-il pu vraiment être évité
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L’erreur de l’US Air Force qui aurait peut-être pu empêcher le pire au Texas

 

Source: Belga

L’US Air Force n’avait pas informé le FBI de la condamnation pour violences conjugales de Devin Patrick Kelley, ce qui aurait dû empêcher l’homme qui a tué 26 personnes dans une église du Texas dimanche d’acquérir une arme, a reconnu lundi le Pentagone.

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© afp.

« Les informations préliminaires montrent que le délit de violence conjugale de Kelley n’a pas été inscrit au registre du Centre national d’information criminelle (NCIC) », a indiqué Ann Stefanek, une porte-parole de l’armée de l’air américaine, précisant qu’une enquête a été ouverte pour voir si d’autres condamnations avaient pu passer au travers du système d’inscription au registre des criminels.

Une directive du Pentagone ordonne pourtant au personnel du ministère de communiquer au FBI toute condamnation par une cour martiale pour son inclusion dans les registres du NCIC.

L’ex-caporal de l’armée de l’air avait été jugé dans une cour martiale en 2012 pour violences contre son épouse et l’enfant de cette dernière.

Il a été condamné à 12 mois de détention à la prison militaire de Miramar, en Californie, et libéré en 2014. Il avait été chassé des rangs de l’armée pour mauvaise conduite et rétrogradé au rang de simple soldat.

Selon la loi fédérale, il n’avait donc pas le droit d’acheter ou de posséder une arme à feu après cette condamnation, a précisé la porte-parole.

L’US Air Force a également publié un document de janvier 2013 détaillant les motifs de condamnation de Devin Patrick Kelley: il a été jugé coupable d’avoir frappé sa femme à plusieurs reprises entre juin 2011 et avril 2012, lui donnant des gifles, des coups de pied et tentant de l’étrangler.

Il a aussi été jugé coupable d’avoir violemment frappé son beau-fils entre avril et juin 2012, d’une force telle qu’elle aurait pu « causer sa mort ou le blesser gravement ». Il avait plaidé coupable de ces deux accusations.

En revanche, il avait plaidé non coupable d’avoir pointé des armes à feu chargées en direction de sa femme et de l’enfant à deux reprises, en janvier et avril 2012.

Devin Patrick Kelley s’est suicidé après avoir tenté de fuir les lieux du massacre. Il était entièrement habillé de noir et portait un gilet pare-balles quand il a ouvert le feu vers 11H20 (17H20 GMT), avec un fusil semi-automatique sur la First Baptist Church de Sutherland Springs, un hameau rural du Texas de 400 habitants.

Bilan: 26 morts, dont un bébé de 18 mois, et 21 blessés, dont un garçonnet de 5 ans touché à quatre reprises.

http://www.7sur7.be

Et si vos aliments se conservaient 3x plus longtemps


Un procédé utilisé dans une ville du Québec pour le moment permet de conserver les aliments frais beaucoup plus longtemps. Cette technique détruit toutes les bactéries comme la listeria, E. Coli … Ce qui permet de réduire ou même éliminer l’emploi des additifs et des agents de conservation chimiques.
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Et si vos aliments se conservaient 3x plus longtemps

 

GETTY IMAGES

  • Philippe Lépine  Journaliste Bien-Être, HuffPost Québec

Un procédé désormais approuvé par Santé Canada permet de rallonger jusqu’à trois fois la durée de conservation des aliments frais, réduisant par le fait même le gaspillage alimentaire au pays.

Les dates de péremption vous feront moins paniquer.

La technologie HPP (Hydro Procédé de protection) développée en collaboration avec le Centre développement bioalimentaire du Québec (CDBQ) consiste à insérer un aliment emballé dans une enceinte remplie d’eau dans laquelle on fera subir une haute pression pour neutraliser les bactéries (telles que listeria, E. coli, et salmonella) autant à la surface qu’au coeur des aliments.

Le procédé – que seule une entreprise de Saint-Hyacinthe offre au Canada pour l’instant – permet donc de prolonger substantiellement la date de péremption des produits désormais exempts de bactéries, sans toutefois altérer leur fraîcheur, les valeurs nutritives ou leur goût. Il permet également de réduire, voire éliminer, l’emploi d’additifs et agents de conservations chimiques.

La durée de conservation des terrines, mousses et rillettes peut par exemple passer de 45 jours (en temps normal) à 150 jours avec le HPP. Au lieu de 7 jours, les oeufs cuits durs demeureront bons à la consommation jusqu’à 30 jours.

    Quelques données sur le gaspillage :

40% de la nourriture produite est jeté.

Chaque Canadien jette en moyenne 1000 $ de nourriture annuellement.

Dans le monde, environ 1,3 milliard de tonnes d’aliments sont jetées chaque année, une quantité qui pourrait nourrir 7 fois la population qui ne mange pas à sa faim

En 2050, la Terre comptera 9 milliards de bouches à nourrir (d’où le nom Projet 9)

Pour savoir si les aliments ont été traités, vous trouverez le logo ci-dessous sur l’emballage.

COURTOISIE

Plus d’une dizaine d’entreprises alimentaires dont Les Cuisines gaspésiennes, Les Viandes du Breton, ou Produits Alimentaires Viau qui font la pancetta Fantino & Mondello utilisent désormais le procédé.

COURTOISIE

D’autres entreprises sont invitées par le CDBQ et Recyc-Québec à suivre le mouvement dans le cadre du Projet 9 visant à sensibiliser consommateurs et producteurs au gaspillage alimentaire.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

 

D’après la science, les mammouths mâles mouraient souvent de manière idiote


Ah les mâles ! Si les scientifiques peuvent avoir autant d’ossements de mammouths mâles, c’est par ce qu’ils sont moins prudents que les femelles. Probablement, que le troupeau est mené comme aujourd’hui par des femelles plus âgées et plus d’expériences, les plus jeunes mâles qui quittent le troupeau sont donc plus tête en l’air
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D’après la science, les mammouths mâles mouraient souvent de manière idiote

Crédits : Hendrik Schmidt/Picture-Alliance/DPA, via Associated Press

« Chez beaucoup d’espèces, les mâles ont tendance à faire des choses idiotes qui finissent par les tuer de manière stupide », explique Love Dalén, une biologiste du Musée d’histoire naturelle de Suède.

C‘est la science qui l’affirme, dans une étude publiée jeudi 2 novembre dans Current Biology et relayée par le New York Times. Après avoir étudié les restes de 98 mammouths, des scientifiques de la Stockholm University ont conclu que les mâles étaient plus susceptibles de tomber dans des pièges naturels et de mourir bêtement.

C’est en constatant que la plupart des restes de mammouths retrouvés appartenaient à des mâles que les scientifiques ont tiré cette conclusion : sur 98 spécimens étudiés sur 40 ans en Sibérie, 66 étaient des mâles. Or, selon ces chercheurs, les pièges naturels sont plus susceptibles de préserver les ossements des animaux qu’une mort classique de vieillesse. Les femelles âgées étant plus prudentes que les jeunes mâles encore tout fous, il arrivait probablement plus souvent que ces derniers tombent dans la glace, avant d’être emportés par des coulées de boue dans lesquelles ils se noyaient.

Un phénomène comparable à la structure sociale chez les éléphants modernes : les troupeaux sont dirigés par une femelle plus âgée, mais les jeunes mâles, à la puberté, quittent la matriarche pour aller batifoler seuls ou entre copains.

Quitte à tomber dans des trous, et à permettre ainsi quelques milliers d’années plus tard à des scientifiques de spéculer sur leur maladresse.

Sources : New York Times/Current Biology

http://www.ulyces.co/