Ce chien et cet écureuil sont inséparables


Un chien et un écureuil vivent ensemble. En fait, cet écureuil est arrivé dans la vie du chien quand bébé, il est tombé d’un arbre. Les maitre l,ont récupéré pour le sauver et maintenant, il est bien adapté tout en gardant sa liberté. Imaginer les belles cachettes dans le poil de ce gros toutou.
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Ce chien et cet écureuil sont inséparables

 

Le Saviez-Vous ► Top 10 des expressions culinaires françaises


Des expressions qui ont un lien avec des aliments, il en a juste une que je n’ai jamais entendu, celle du sucre
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Top 10 des expressions culinaires françaises

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Reconnus comme de fins gourmets dans le monde entier, les Français ont même intégré leur goût pour la cuisine dans leurs expressions quotidiennes. Fort de cette découverte, nous avons décidé d’en savoir davantage sur les plus sollicitées. Alors, d’où vient l’idée de pleurer comme une madeleine ? Pourquoi est-ce la fin des haricots quand rien ne va plus ? Pourquoi est-ce dans les pommes que nous tombons lors d’un malaise ?

1) Pleurer comme une madeleine

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Il faut remonter au début de notre ère pour retracer son origine. Cette expression nous vient de la Bible, et plus précisément, de l’histoire de Marie la Magdaléenne (Marie-Madeleine), une ancienne prostituée qui confessa ses péchés à Jésus. Envahie par la tristesse, elle aurait pleuré à chaudes larmes, toutes les larmes de son corps. « Pleurer comme une Madeleine » ne fait donc pas référence à cette pâtisserie moelleuse, mais bien à une personne aux pleurs perçus comme excessifs.

2) Rouge comme une tomate

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Apparue dès 1690, elle fait référence à la couleur rouge qui teinte parfois les jours d’un individu lorsqu’il est en proie à une vive émotion, telle que la colère, la timidité ou encore, le sentiment amoureux. L’évidence du rouge de la tomate, un rouge marquant, en fait l’exemple même de la couleur.

3) Tomber dans les pommes

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L’expression serait apparue en 1889, l’origine reste toutefois incertaine. Elle viendrait de la déformation du terme pâmes (tomber en pâmoison, s’évanouir). Cependant, ce terme n’est plus employé depuis le XVe siècle, alors la déformation reste peu plausible. Une autre explication, plus crédible, viendrait de George Sand. Pour décrire à Madame Dupin qu’elle se trouvait dans un état de fatigue avancée, elle écrivit « être dans les pommes cuites ».

4) Raconter des salades

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Cette expression date du XIXe siècle et se base sur une métaphore. Une salade, soit un assortiment d’ingrédients, est associée à un ensemble de ragots qui, alliés à un peu d’humour, peuvent passer pour vrais. « Raconter des salades » signifie alors raconter des balivernes.

5) Être le dindon de la farce

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Il existe plusieurs explications pour justifier de l’origine de cette expression. La première fait un parallèle avec les « farces » au Moyen-âge, c’est-à-dire, les intermèdes comiques des spectacles. Les pères un peu crédules de certaines pièces étaient, à cette époque, surnommés les « pères dindons ». Un personnage alors dupé par sa progéniture était appelé le « dindon de la farce ».

Une seconde explication, vient d’un spectacle forain Le Ballet des dindons joué à Paris entre 1739 et 1844. Les dindons étaient posés sur une plaque métallique chauffée de manière progressive et la situation faisait alors danser les dindons, qui évitaient ainsi de se brûler les pattes. Il s’agissait d’une farce cruelle mais qui plaisait à l’époque aux spectateurs. Néanmoins, le lien avec le fait de duper n’est pas évident.

La dernière explication, et certainement la meilleure, revient au fait de plumer un dindon. Il se fait duper. Puis, étant souvent servi farci, il n’y a plus qu’un pas à faire pour retrouver l’origine de l’expression.

6) Ramener sa fraise

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Il s’agit d’une expression argotique émanant du début du XXe siècle. À l’origine elle signifiait « ronchonner », puis son sens a évolué pour qualifier une personne qui intervient de façon inappropriée dans une conversation. La fraise étant utilisée pour représenter la taille d’une personne approchant.

7) La fin des haricots

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Cette expression est une métaphore, datant du Moyen-âge, signifiant que rien ne va plus. Elle ferait écho aux situations précaires de personnes à cette époque, lorsqu’ils n’avaient plus assez d’argent pour se nourrir, payer des fèves ou même des haricots (les aliments les moins onéreux de l’époque).

Par extension, l’expression est utilisée pour parler d’une situation critique, lorsque l’on perd tout espoir.

8) Casser du sucre sur le dos de quelqu’un

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L’expression est apparue au cours de la deuxième moitié du XIXe siècle, pour signifier le fait de raconter des mensonges sur quelqu’un alors qu’il est absent. Pour les brigands, à cette époque, elle signifiait « dénoncer ». Elle ferait également référence au terme « sucrer » soit, maltraiter.

9) La moutarde me monte au nez

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Faisant référence à la sensation de manger de la moutarde un peu trop piquante, elle signifie être particulièrement en colère. Nous avons tous en mémoire l’émotion provoquée par ce condiment, parvenant même à nous tirer quelques larmes.

10) On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre

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Dérivé de l’expression « on prend plus de mouches avec du miel qu’avec du vinaigre » datant du XVIIIe siècle. Elle signifie que pour amadouer quelqu’un, il vaut mieux être doux et sympathique (comme le miel) qu’acide (comme le vinaigre).

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La raison pour laquelle on se réveille au bon arrêt dans les transports en commun


Malgré la fatigue surtout quand je voyageais tous les jours en autobus de la ville, je n’osais pas m’assoupir, mais une dame qui se concentrait à lire racontait que son corps savait quand elle arrivait a destination. Il semble que le cerveau lance un son de cloche pour se réveiller un peu avant la destination
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La raison pour laquelle on se réveille au bon arrêt dans les transports en commun

 

© photo news.

Ce n’est pas une question de chance mais bien un mécanisme scientifique.

Si vous êtes un habitué des transports en commun, alors vous vous êtes déjà sûrement rendus compte que, lorsque vous somnolez, vous vous réveillez toujours quelques minutes avant votre arrêt.

Une question de chance? Pas du tout! Des chercheurs américains ont, en effet, voulu comprendre ce mécanisme. Et selon les résultats publiés dans dans le magazine Science of YS, nos cerveaux sont capables de se repérer dans le temps et dans l’espace et ce même si nous dormons! Lorsque le chauffeur annonce notre arrêt, on va donc se réveiller comme par magie.

Mais il existe également d’autres explications à ce phénomène. Parmi celles-ci, on retrouve notre horloge interne qui fonctionnerait pendant les trajets en transport. Et de la même manière que l’on se réveille quelques minutes avant que notre alarme ne se mette à sonner, on ouvrira les yeux quelques instants avant l’arrivée de notre arrêt.

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Washington réautorise l’importation de trophées d’éléphants


Je suis contre la chasse pour le plaisir et de récolter un trophée de chasse. C’est décevant que l’administration de Trump détruit l’interdiction menée par Barak Obama pour que des éléphants qui sont déjà une espèce menacée risque de disparaître beaucoup plus vite.
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Washington réautorise l’importation de trophées d’éléphants

 

Le U.S. Fish & Wildlife Service «va émettre... (ARCHIVES REUTERS)

Le U.S. Fish & Wildlife Service «va émettre des permis autorisant l’import des trophées d’éléphants chassés par loisir au Zimbabwe à partir du 21 janvier 2016 et jusqu’au 31 décembre 2018».

ARCHIVES REUTERS

SHAHZAD ABDUL
Agence France-Presse
Washington

 

L’administration de Donald Trump faisait face jeudi à une avalanche de critiques de la part des associations de défense des animaux pour avoir réautorisé les chasseurs américains à importer des trophées d’éléphants tués au Zimbabwe.

La décision a d’autant plus choqué que les arguments sur lesquels s’appuie ce changement brutal de politique sont jugés fallacieux par ces organisations.

Les autorités américaines ont renversé une précédente interdiction, imposée sous Barack Obama, d’importer notamment les très recherchées défenses d’ivoire de cet animal menacé et dont la population en Afrique décroit rapidement.

Le U.S. Fish & Wildlife Service (USFWS), «va émettre des permis autorisant l’import des trophées d’éléphants chassés par loisir au Zimbabwe à partir du 21 janvier 2016 et jusqu’au 31 décembre 2018», a écrit jeudi sur son site l’agence fédérale américaine chargée des questions de chasse et de pêche.

Elle confirmait ainsi une annonce faite cette semaine lors d’un forum sud-africain pro-chasse, le Safari Club International Foundation, qui a bataillé dur au côté du lobby américain des armes, la NRA, pour obtenir cette victoire.

Plusieurs médias américains affirment que le permis s’appliquera également à la Zambie et qu’une réévaluation sera menée mi-2018 pour envisager une prolongation de l’autorisation.

«Comportement répréhensible de l’administration Trump. 100 éléphants sont déjà tués chaque jour. Cela mènera à davantage de braconnage», a dénoncé The Elephant Project sur Twitter.

Pour sa part, le centre américain pour la biodiversité a déploré qu’en autorisant à faire entrer «des têtes, des pieds et des queues d’éléphants morts aux États-Unis», Donald Trump «légalise le fait du tuer des éléphants menacés».

Selon l’organisation Great Elephant Census, le nombre de pachydermes a chuté de 30% entre 2007 et 2014 en Afrique, avec une baisse de 6% pour le Zimbabwe.

Donald Trump Jr pose avec une queue d'éléphant... (TWITTER) - image 2.0

Donald Trump Jr pose avec une queue d’éléphant dans la main, lors d’un voyage de chasse en Afrique.

TWITTER

Protection ou aberration?

L’administration du président républicain exploite avec cette décision un aspect de la loi américaine sur les espèces en danger (Endangered Species Act), qui stipule que l’importation de tels trophées peut être légale si preuve est apportée que la chasse bénéficie à la conservation plus large des espèces.

«La chasse pour le loisir, légale, bien encadrée, dans le cadre d’un programme, peut bénéficier à la conservation de certaines espèces en incitant les populations locales à conserver les espèces et en injectant l’argent dans la conservation», explique ainsi l’USFWS.

«Pour soutenir la conservation, les chasseurs devraient choisir de chasser seulement dans des pays qui ont une forte gouvernance, un encadrement intelligent et des populations sauvages en bonne santé», ajoute l’agence.

Ce raisonnement, dénonce l’association américaine de défense des animaux PETA, «revient à vendre un enfant sur le marché noir afin de lever de l’argent pour combattre les violences faites aux enfants».

Hasard du calendrier, la diplomatie américaine a rendu jeudi son premier rapport annuel sur le trafic d’espèces sauvages, dans lequel il émet une liste de pays qui font l’objet d’«inquiétudes», mais dont le Zimbabwe et la Zambie sont absents.

«Le trafic d’espèces sauvages reste un grave crime transnational qui menace la sécurité, la prospérité économique, l’état de droit, les efforts de conservation et la santé humaine», écrit le département d’État. «Le gouvernement américain combat ce commerce illégal aux États-Unis et à l’étranger.»

Une semblable décision avait déjà été prise – sans faire de remous – en octobre, lorsque l’USFWS était déjà revenu sur l’interdiction d’importer des trophées de lions venus du Zimbabwe et de Zambie. Le braconnage du lion Cecil au Zimbabwe en 2015 avait pourtant provoqué une polémique mondiale.

De nombreux observateurs se demandaient également si la décision prise sur les éléphants par l’administration américaine a un lien avec la passion des deux fils aînés du président, Don Jr. et Eric, qui se rendent régulièrement à la chasse aux trophées en Afrique.

Une photo, notamment, était très partagée sur les réseaux sociaux. On y voit Donald Trump Jr poser, cartouches de fusil à la ceinture, un canif dans la main droite et une queue d’éléphant dans la main gauche, à côté de l’animal mort.

http://www.lapresse.ca/

Changements climatiques : 7 défis pour l’humanité


Les défis que nous avons à faire face aux changements climatiques sont immenses. Autant par les catastrophes naturelles qui augmenteront, des pays, des villes qui disparaitrons sous les eaux, la famine, les conflits pour des ressources comme la nourriture, l’eau, les maladies transmissent par des insectes et animaux voyagent dans d’autres pays etc …
Il est probablement trop tard, mais ne rien faire, serait probablement pire.
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Changements climatiques : 7 défis pour l’humanité

 

Une centaine de personnes ont perdu la vie au Vietnam, et la vieille ville de Hội An, inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, a été inondée. Photo : Reuters/Nguyen Huy Kham

Au moment où la communauté internationale est réunie à Bonn, en Allemagne, pour la 23e conférence de l’ONU sur le climat (COP23), la planète montre de plus en plus de signes de dérèglement. Et s’il était trop tard pour éviter les pires effets des changements climatiques? À quoi, alors, faudrait-il s’attendre? Voici quelques scénarios.

Un texte d’Alain Labelle

1. Des mégalopoles menacées par les eaux

New York, Mumbai, Tokyo.

D’importantes villes riveraines sont menacées d’être submergées, au cours de ce siècle, en raison de l’augmentation du niveau des océans liée à la fonte des calottes polaires et des glaciers.

Si certaines, parmis les plus riches, adapteront leurs infrastructures, d’autres risquent de disparaitre sous les flots.

Cette image montre en rouge les régions qui disparaissent sous les eaux si le niveau des océans monte de 6 mètres.

Cette image montre en rouge les régions qui disparaissent sous les eaux si le niveau des océans monte de 6 mètres.   Photo : NASA

Outre ces villes, des régions rurales entières de pays comme le Bangladesh, l’Indonésie et la Chine sont au même titre menacées.

Et c’est sans oublier les milliers d’îles, grandes et petites, qui risquent aussi de disparaître, et avec elles leur faune et leur flore.

Ce sont donc les milieux de vie de centaines de millions de personnes qui sont menacés.

2. Météo extrême à l’horizon

Des ouragans comme Irma et Matthew, mais aussi des sécheresses causant des feux de forêt comme ceux qui ont fait rage en Europe et en Californie cette année deviendront la norme dans les prochaines décennies.

La hausse des températures, particulièrement à la surface des océans, est l’un des éléments importants d’un cocktail météo qui favorise les événements météorologiques de cet ordre.

Vue aérienne de Toa Alta à  Porto Rico après le passage de l’ouragan Maria. Scène de désolation, plusieurs maisons détruites.

Vue aérienne de Toa Alta à Porto Rico après le passage de l’ouragan Maria Photo : The Associated Press/Gerald Herbert

Si on ne peut pas dire que ces manifestations extrêmes sont directement causées par les changements climatiques, les experts s’entendent pour affirmer que leur fréquence et leur puissance augmentent avec le réchauffement.

Il faut donc s’attendre à ce que les futures catastrophes naturelles fassent plus de victimes et que les dommages matériels explosent.

3. De l’air chaud et pollué dans vos poumons

Il y aura à l’avenir plus de périodes de canicule comme celles qui ont frappé l’Europe et l’Inde cet été.

Ces épisodes seront plus intenses et contribueront directement à la mortalité par maladies cardiovasculaires ou respiratoires, en particulier chez les personnes âgées et malades.

De plus, la pollution de l’air aggravera la saison des pollens, ce qui favorisera les allergies et l’asthme.

Des jeunes en Indonésie se rendent à pied à l'école malgré un smog épais.

Des jeunes en Indonésie se rendent à pied à l’école malgré un smog épais. Photo : Reuters/Antara Foto/Wahdi Setiawan

4. Des humains démunis devant la catastrophe

Qui dit sécheresse dit famine.

Les experts affirment que la faim est l’une des conséquences majeures des changements climatiques et que ce sont surtout les habitants des pays pauvres d’Afrique et d’Asie qui seront frappés par la situation.

Des milliers de personnes devront également migrer pour fuir des situations intenables et deviendront des réfugiés climatiques.

Selon l’ONU, environ 250 millions de personnes seront, d’ici 2050, forcées de s’exiler à cause des bouleversements du climat.

Au printemps dernier, des habitants de l’Afrique de l’Est se trouvaient au cœur d’une sécheresse dont certains experts attribuent l’importance historique aux changements climatiques.

Au printemps dernier, des habitants de l’Afrique de l’Est se trouvaient au cœur d’une sécheresse dont certains experts attribuent l’importance historique aux changements climatiques. Photo : Reuters/Feisal Omar

5. Des maladies qui voyagent

Les changements climatiques allongent la saison de transmission de certaines maladies et leur répartition géographique.

C’est le cas de la maladie de Lyme au Canada, qui progresse vers le nord à la vitesse de l’invasion d’une petite souris porteuse de la tique à l’origine de la maladie.

Le climat exerce aussi une forte influence sur le paludisme et la dengue, qui se propagent avec l’augmentation de l’humidité et de la chaleur.

Selon des études, pas moins de 2 milliards de personnes de plus pourraient être exposées au risque de transmission de la dengue d’ici les années 2080.

6. Des milieux océaniques et terrestres métamorphosés

Les changements climatiques menacent la biodiversité des écosystèmes terrestres et marins.

La répartition des espèces océaniques se réorganise complètement avec l’augmentation des températures et l’acidification de l’eau, et transforme radicalement le paysage planétaire.

Des espèces dangereuses comme certains crabes et méduses apparaîtront par ailleurs sous de nouvelles latitudes. Le système économique lié à la pêche s’en trouvera grandement déséquilibré.

De plus, les poissons des océans risquent de rapetisser de 30 % au cours des 30 prochaines années, en réponse au réchauffement des océans.

Un ours polaire assis sur une masse de glace dans le détroit de Lancaster, près de l'île de Baffin.

Selon des scientifiques, les températures dans l’Arctique montent deux fois plus vite qu’ailleurs sur la planète, mettant les animaux qui dépendent de la glace encore plus en danger. Photo : Radio-Canada/Jimmy Thomson

Des espèces changent leurs habitudes sur la terre ferme aussi.

Les cycles de vie de la faune et de la flore (les périodes de migrations, de reproduction, de floraisons, de pontes, etc.) changent, certains s’allongent et d’autres se raccourcissent. Certaines espèces n’arriveront pas à s’adapter au changement et disparaîtront.

Certains vignobles européens, par exemple, souffriront de la chaleur et de la sécheresse.

7. Des conflits liés au climat apparaissent

Les mouvements des populations dans les États, mais aussi entre les États, mettront de la pression sur des relations entre pays voisins parfois déjà difficiles.

Que ce soit pour fuir les éléments ou pour avoir accès à de l’eau potable ou à de la nourriture, les migrants du climat représenteront un enjeu humanitaire et géopolitique important dans les prochaines décennies.

L’accès à certaines ressources comme les poissons mène aussi à des conflits.

http://ici.radio-canada.ca

Automédication : attention certains médicaments sont dangereux !


C’est la saison du rhume et de la toux et beaucoup vont s’auto-médicamenter pour essayer d’atténuer les symptômes alors que le corps doit combattre naturellement ces maux.
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Automédication : attention certains médicaments sont dangereux !

 

Automédication : attention certains médicaments sont dangereux !

Le 14 novembre 2017.

Le magazine 60 millions de consommateurs a dévoilé mardi 14 novembre, dans un hors-série, une « liste noire » de médicaments que l’on peut se procurer sans ordonnance.

Méfiez-vous des médicaments contre le rhume

L’automédication est de plus en plus répandue. Si elle n’est pas un problème en soi, elle doit supposer tout de même de la part des patients une certaine responsabilité. Un médicament n’est pas un produit anodin, il faut donc savoir lesquels on peut acheter et lesquels il vaut mieux éviter. Pour nous aider à y voir clair, le magazine 60 millions de consommateurs a établi une liste noire des médicaments dangereux.

Les médicaments qu’il faut absolument éviter sont les « anti-rhume ». Actifed Rhume, DoliRhume et Nurofen Rhume notamment sont composés de vasoconstricteurs, pour déboucher le nez, d’un antihistaminique et de paracétamol ou d’ibuprofène, pour lutter contre le mal de tête. Or, selon 60 millions de consommateurs, un surdosage de ces produits peut entraîner des effets indésirables très graves, comme des accidents cardiovasculaires et neurologiques ou encore des vertiges.

60 % des médicaments contre la toux sont dangereux

On rappelle que le rhume est dû à un virus et donc qu’aucun médicament ne peut le guérir. Il faut juste prendre son mal en patience, laver son nez avec du sérum physiologique et prendre du paracétamol en cas de douleur trop violente à la tête. Les médicaments contre la toux doivent également être utilisés avec une grande prudence, selon 60 millions de consommateurs. 60 % d’entre eux seraient en effet à proscrire.

Selon ce dossier, qui a été réalisé sous le contrôle du professeur Jean-Paul Giroud, pharmacologue clinicien et membre de l’Académie de médecine, et Hélène Berthelot, pharmacienne, seuls 21 % des médicaments disponibles sans ordonnance sont « à privilégier ». Parmi eux on trouve Vicks Vaporub, l’Imodiumcaps, le Gaviscon menthe, le Forlax 10 G ou encore le Maalox sans sucre. Pour plus d’informations, courez acheter ce numéro très instructif !

http://www.passeportsante.net

Tokyo: les Japonais s’arrachent le «Trump Burger»


Personnellement, allé au Japon, je voudrais goûter aux spécialités du pays, pas un hamburger. Je trouve que c’est un manque de respect. Des hamburgers, il y en a partout
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Tokyo: les Japonais s’arrachent le «Trump Burger»

 

TOKYO — Le petit restaurant «Munch’s Burger Shack», à Tokyo, est pris d’assaut depuis que son chef propriétaire a été appelé à cuisiner pour le président américain Donald Trump lors de sa récente tournée asiatique.

Yutaka Yanagasiwa a servi au président et au premier ministre Shinzo Abe un burger fait à 100 pour cent de boeuf Angus, le Colby Jack Cheeseburger.

M. Yanagasiwa a dit que M. Trump avait demandé un burger «bien cuit». Il a donc fait cuire les deux burgers de cette façon, pour éviter une «catastrophe» en cas de confusion au moment du service.

Le président Trump lui a ensuite serré la main en lui disant que le burger avait été «très bon».

En réponse à sa soudaine popularité, M. Yanagasiwa a ajouté au menu le «President Trump Set» — un burger garni de laitue fraîche, de fromage fondu et de tomates, accompagné d’une salade de chou et de frites, le tout pour l’équivalent de 16 $ CAN.

M. Yanagasiwa dit n’avoir aucune idée pourquoi il a été choisi. Un de ses deux restaurants se trouve près de l’ambassade américaine, mais c’est plutôt le ministère japonais des Affaires étrangères qui a communiqué avec lui. On lui a simplement demandé de se rendre au club où MM. Trump et Abe prendraient leur repas et d’amener avec lui tout ce dont il avait besoin pour nourrir une vingtaine de personnes.

M. Yanagasiwa rêve d’ouvrir un restaurant à New York, où il espère que la sensibilité japonaise et l’attention au détail lui vaudront du succès.

«Il faut que ce soit fait à la main, dit-il. Plus que tout, ce sont les sentiments qu’on met dans chaque burger, pour chaque client.»

http://journalmetro.com