Erreur, peur, amour


Voilà des règles clair qui évite de toujours mettre sur la faute des autres, mais bien prendre position pour surmonter la vie en général
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Erreur, peur, amour

 

 

Les erreurs ne se regrette pas, elle s’assument !

La peur ne se fuit pas, elle se surmonte.

L’amour ne se crie pas, il se prouve

Simone Veil

Deux chiens sur un bateau appellent à l’aide


Quelques personnes se promenaient près d’une rivière, ils ont pu assister à une scène surprenante. Deux chiens ont sauté à bord d’un canoë en train de dériver dans la rivière. Les chiens sentent le danger, avec un courant assez fort. Qui va les aider ? Un autre chien. Étonnement, il réussit à nager à contre-courant jusque vers le canoë, et attrape la corde pour ramener les deux toutous sains et saufs sur la rive.
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Deux chiens sur un bateau appellent à l’aide

 

Le Saviez-Vous ► Pourquoi Libérer Un Poisson Rouge Dans La Nature Peut être Très Dangereux


N’importe quel animaux exotiques ainsi que les plantes venant d’ailleurs ne devraient jamais être relacher dans la nature. Les poissons rouges sont des poissons exotiques qui sont petits dans les aquarium mais lâcher dans la nature ils grossissent et sont une menace pour l’écosystème aquatique. Même s’ils sont morts, les jeter dans les toilettes risquent de contaminer les autres animaux marins par des bactéries qui leur son inconnues.
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Pourquoi Libérer Un Poisson Rouge Dans La Nature Peut être Très Dangereux

 

image: its-interesting

L’une des principales menaces qui pèsent sur l’équilibre fragile d’un écosystème est l’introduction d’espèces exotiques par les humains. Trop souvent, en effet, quand on veut se débarrasser d’un animal ou d’une plante, on les libère dans la nature sans tenir compte des conséquences possibles.

A cet égard, une étude inquiétante a été menée en Australie sur un animal qui nous concerne de très près: le poisson rouge(Carassius auratus) originaire d’Asie de l’Est. En effet, il a été noté que dans ces territoires, comme dans beaucoup d’autres parties du monde, ces animaux sont souvent relâchés dans les rivières ou les lacs lorsque leurs propriétaires en ont assez de les garder avec eux.

Parfois, ils sont même libérés pour « leur offrir une vie meilleure », sans avoir la moindre idée de la menace qu’ils peuvent représenter.

via: murdoch.edu

Si le pauvre petit poisson dans son aquarium boule nous semble inoffensif, dans la nature il se transforme complètement. Avec un régime alimentaire varié et beaucoup d’espace disponible, il peut être aussi grand qu’une truite ou une carpe (plus de 20 cm).

Puisqu’il appartient à une espèce non indigène, les autres habitants des lacs ne sont pas équipés pour l’affronter: les petits poissons affamés dévorent les oeufs de poissons, têtards, alevins et plantes, mettant en péril l’équilibre de la chaîne alimentaire de son habitat.

L’étude a en outre révélé que le poisson rouge dans la nature parcourt jusqu’à 200 km par an!

image: its-interesting

En plus de piller l’environnement, un poisson rouge peut aussi introduire des virus et des bactéries « étrangers » contre lesquels les poissons indigènes n’ont aucune défense immunitaire. Pour cette raison, même lorsqu’il est mort, il ne doit jamais être jeté dans les toilettes!

image: boston.com

En conclusion, si vous avez reçu un cadeau ou acheté un poisson rouge et que vous ne savez pas quoi faire, cherchez peut-être quelqu’un à qui le donner, passez une annonce sur Internet ou tout au plus essayez de demander si le magasin veut le récupérer. Le libérer dans la nature est la chose la moins indiquée!

image: washingtonpost.com

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Un enfant atteint d’une maladie rare de la peau sauvé par la thérapie génique


Quel bonheur pour cet enfant de 7 ans qu’une technique de cellules souches modifiées génétiquement a pu le soulager et mener une vie normale, alors qu’il souffrait d’une épidermolyse bulleuse jonctionnelle, une maladie rare de la peau qui peut être mortelle.
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Un enfant atteint d’une maladie rare de la peau sauvé par la thérapie génique

Un enfant atteint d'une maladie de la peau sauvé par la thérapie génique

Les chercheurs ont prélevé des cellules de peau du patient, ont inséré une forme non mutée du gène LAMB3, puis ont mis en culture in vitro ces cellules génétiquement modifiées.

© DURAND FLORENCE/SIPA

Par Sciences et Avenir avec AFP

Une équipe de médecins italiens est parvenue à sauver un jeune garçon atteint d’une grave maladie héréditaire qui fragilise la peau, en reconstituant son épiderme à partir de cellules souches modifiées génétiquement.

Une équipe de médecins a annoncé le 8 novembre 2017 être parvenue à sauver un jeune garçon atteint d’une grave maladie héréditaire qui fragilise la peau, en reconstituant 80% de son épiderme à partir de cellules souches modifiées génétiquement. En juin 2015, ce jeune patient alors âgé de sept ans avait été admis dans un état critique dans un hôpital allemand. Les médecins le jugeaient condamné, au vu des dégâts provoqués par la maladie dont il était atteint depuis sa naissance, rapporte l’étude de ce cas, publiée dans la revue Nature.

Plus de 40% des malades meurent avant l’adolescence

Appelée épidermolyse bulleuse jonctionnelle (EBJ), cette maladie provoque la formation de cloques entre l’épiderme et le derme, et une désquamation au moindre contact. Très rare, elle est liée à des mutations des gènes LAMA3, LAMB3 ou LAMC2, et plus de 40% des malades meurent avant l’adolescence. 

« Il avait développé une infection qui lui a rapidement fait perdre » son épiderme « sur presque les deux tiers de la surface de son corps », a expliqué Tobias Rothoeft, du service grands brûlés de l’hôpital pour enfants de l’université de la Ruhr, à Bochum (nord-ouest de l’Allemagne), au cours d’une conférence de presse téléphonique.

Après avoir tenté sans succès un puissant traitement antibiotique, puis une greffe de peau de son père, les médecins ont fait appel à Michele de Luca, un spécialiste de l’utilisation des cellules souches dans la reconstruction de la peau et directeur du Centre de médecine régénérative de Modène (Italie).

Michele de Luca et son équipe ont prélevé des cellules de peau sur une partie du corps du patient non abîmée. Ils y ont inséré une forme non mutée du gène LAMB3, qui permet l’adhérence de l’épiderme au derme, puis ont mis en culture in vitro ces cellules génétiquement modifiées (voir schéma ci-dessous). Ils ont ensuite greffé cette peau au jeune garçon lors de deux opérations, en octobre et novembre 2015, après avoir obtenu l’autorisation d’utiliser cette thérapie pour un « usage compassionnel » (donner un traitement encore expérimental à des patients pour lesquels aucune autre solution n’est disponible).

© Sophie RAMIS, Sébastien CASTERAN / AFP

L’enfant a repris une vie normale

Plusieurs opérations ultérieures ont ensuite permis de recouvrir le reste de la surface de son corps. Au total, environ 80% de sa peau a été remplacée. Après huit mois de soins intensifs, le patient et sorti de l’hôpital et, deux ans après ses opérations, il va à l’école, peut jouer au football et n’a plus besoin d’antidouleurs, ont expliqué les médecins. Ce traitement avait déjà été expérimenté sur deux patients par le passé, mais seulement sur une petite surface de peau.

https://www.sciencesetavenir.fr/

Les antibiotiques font dérailler des traitements anticancéreux


En immunothérapie, il est observé que les antibiotiques pouvaient diminuer la réponse aux traitements pour certains cancers. Non pas qu’il faut enrayer les antibiotiques en cas de nécessité, il fallait trouver le pourquoi ! La réponse est que les antibiotiques éliminent certaines bonnes bactéries dont l’une d’elles serait importante pour la réussite du traitement en immunothérapie.
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Les antibiotiques font dérailler des traitements anticancéreux

 

Le docteur Bertrand Routy ouvrira un nouveau laboratoire au Centre de recherche du CHUM afin d’effectuer des tests sur des patients qui reçoivent l’immunothérapie.

PHILIPPE MERCURE
La Presse

L’immunothérapie est la nouvelle arme de prédilection des médecins contre certains cancers. Or, des chercheurs viennent de montrer que son efficacité pouvait être sapée par de simples… antibiotiques.

Et dès janvier, un nouveau laboratoire sera créé au CHUM pour en savoir plus sur cette découverte qui risque de changer les pratiques médicales.

En caractérisant le microbiote intestinal de patients - l'ensemble des... (PHOTO THIERRY MEYLHEUC, FOURNIE PAR L’INRA) - image 1.0

En caractérisant le microbiote intestinal de patients – l’ensemble des microorganismes qui vivent dans nos entrailles -, les chercheurs ont découvert qu’une bactérie en particulier est essentielle au succès de l’immunothérapie.

PHOTO THIERRY MEYLHEUC, FOURNIE PAR L’INRA

Imaginez que vous êtes médecin. Votre patient, atteint d’un cancer et affaibli, a contracté une petite infection urinaire. Avant de lui faire subir un traitement anticancéreux éprouvant, hop ! vous lui prescrivez un antibiotique pour qu’il soit dans la meilleure forme possible pour sa thérapie.

Le raisonnement est logique et abondamment appliqué – pas moins d’un patient sur cinq atteint du cancer consomme des antibiotiques. Or, la stratégie est peut-être à revoir. Selon une étude publiée cette semaine dans la prestigieuse revue Science, les antibiotiques peuvent faire dérailler les traitements d’immunothérapie, technique de pointe utilisée depuis quelques années, qui remplace la chimiothérapie contre certains cancers avancés du poumon, du rein et de la vessie.

« L’idée n’est pas d’être contre les antibiotiques – quand un patient souffre d’une infection bactérienne, il a besoin d’antibiotiques. Mais il faut s’assurer de donner les antibiotiques pour les bonnes raisons et de comprendre les conséquences », explique le docteur Bertrand Routy, médecin hématologue au laboratoire « immunologie des tumeurs et immunothérapie » à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, en France, et à l’Université Paris-Sud – Institut Gustave-Roussy.

La recherche vient expliquer, au moins en partie, pourquoi certains patients ne répondent pas à l’immunothérapie, pourtant considérée comme une révolution dans le traitement du cancer.

Elle s’appelait Akkermansia

C’est d’abord en étudiant les souris que les scientifiques ont découvert que celles qui prenaient des antibiotiques répondaient mal à l’immunothérapie. Voyant cela, le Dr Routy a eu l’idée de vérifier si la même chose se produisait chez les patients humains. En examinant les dossiers de 249 personnes traitées par immunothérapie, il a effectivement découvert que la prise d’antibiotiques avait un effet négatif sur la survie.

Comment un antibiotique peut-il faire dérailler un traitement contre le cancer ? En gros, parce qu’il tue de bonnes bactéries se trouvant dans notre système digestif.

Et pour savoir lesquelles, les chercheurs sont allés fouiller, littéralement, dans les selles des patients.

En caractérisant leur microbiote – l’ensemble des microorganismes qui vivent dans nos entrailles -, ils ont découvert qu’une bactérie en particulier est essentielle au succès de l’immunothérapie. Son nom : Akkermansia muciniphila. Pour prouver leur thèse, les chercheurs ont même créé des souris sans microbiote et leur ont greffé celui de patients qui répondaient mal aux traitements d’immunothérapie. Les souris, elles aussi, répondaient mal à la thérapie. Mais si on leur administrait Akkermansia muciniphila, l’immunothérapie reprenait du mordant contre le cancer.

Un labo à Montréal

La suite ? Bertrand Routy rêve déjà à des tests de selles qu’on ferait passer aux patients Hop ! Une pilule qui en contient, et le problème est réglé !avant leur traitement d’immunothérapie. La fameuse Akkermansia muciniphila ne s’y trouve pas ? Avant d’en arriver là, cependant, il faudra faire plus de tests sur les patients. Et c’est à Montréal qu’ils seront faits. Bertrand Routy, Français d’origine qui a grandi au Québec, mais est retourné en France pour y faire un doctorat, sera de retour en janvier pour ouvrir un nouveau laboratoire au Centre de recherche du CHUM à cet effet.

Le Dr Routy vérifiera si d’autres bactéries, outre Akkermansia muciniphila, sont liées au succès de l’immunothérapie. Et il en administrera à des patients atteints de cancer du poumon, du rein, de la vessie et du foie pour documenter leur effet.

« Ce qui est beau avec cette découverte, c’est qu’elle a le potentiel de changer la pratique médicale très rapidement, souligne le Dr Routy. Ce n’est pas qu’un truc de souris qui n’intéresse pas grand monde ! »

***

Immunothérapie

Administrée depuis quelques années seulement sur certains patients, l’immunothérapie est une toute nouvelle approche contre le cancer. Plutôt que d’utiliser des médicaments puissants pour attaquer le cancer, comme le fait la chimiothérapie, l’immunothérapie vise à stimuler ou renforcer le système immunitaire du corps pour qu’il puisse mieux trouver et attaquer les cellules cancéreuses. Le traitement est pour l’instant utilisé contre le mélanome métastatique et certains cancers du poumon, du rein et de la vessie.

En sachant que 70 % de nos cellules immunitaires se trouvent dans notre système digestif, on comprend mieux l’importance d’avoir un microbiote en santé pour que l’immunothérapie fonctionne. Les chercheurs croient que la bactérie Akkermansia muciniphila « encourage » certaines cellules immunitaires à quitter le tube digestif pour aller attaquer les tumeurs.

http://www.lapresse.ca/

Cette étoile qui ne veut pas mourir


En science, quand on croit comprendre un phénomène, il arrive qu’un événement vienne tout chambouler les théories qui sont acceptées par les scientifiques. Comme c’est le cas pour cette étoile qui devenu une supernova continue a brillé malgré 2 explosions. On croit que l’explosion finale la transformera en trou noir
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Cette étoile qui ne veut pas mourir

 

Représentation artistique d'une supernova comme iPTF14hls

Représentation artistique d’une supernova comme iPTF14hls   Photo : NASA/ESA/G. BACON

Une étoile arrivée en fin de vie continue malgré tout de briller, affirment des astronomes, qui se demandent maintenant si notre compréhension des étapes de l’évolution stellaire doit être remise en question.

Un texte d’Alain Labelle

Des supernovas sont observées par milliers depuis des centaines d’années, et, dans tous les cas observés, ce type d’explosion marque la dernière étape de la vie des étoiles.

Toutefois, des scientifiques associés à l’Observatoire de Las Cumbres (OLC), aux États-Unis, ont peut-être trouvé une exception à la règle. Le chercheur Peter Nugent et ses collègues ont repéré une étoile qui semble refuser d’arrêter de briller. Elle aurait déjà explosé à plusieurs reprises dans les dernières décennies sans jamais arrêter de luire dans le ciel.

Cette supernova ne ressemble en rien à ce que nous avons observé à ce jour, particulièrement dans les 20 dernières années, où 5000 supernovas ont été découvertes.-Peter Nugent

« Bien que les spectres de lumière ressemblent à ceux des explosions habituelles de supernovas lors de l’effondrement du noyau riche en hydrogène, ils s’éclaircissent et s’atténuent au moins cinq fois plus lentement, ce qui allonge un événement qui dure normalement de 100 jours à plus de deux ans. », ajoute le chercheur.

Cette supernova, joliment nommée iPTF14hls, a d’abord été découverte en septembre 2014. À l’époque, elle ne présentait rien d’anormal et était considérée comme une supernova ordinaire.

Toutefois, après quelques mois, des astronomes ont remarqué que sa luminosité s’était remise à augmenter après avoir pourtant disparu.

Cette particularité a poussé les auteurs de ces travaux publiés dans le magazine Natureà pousser leurs recherches. Ils ont alors constaté avec étonnement qu’une explosion s’était produite au même endroit en 1954.

L’étoile a donc survécu à cette explosion pour exploser à nouveau en 2014.

Cette supernova démolit tout ce que nous pensions savoir sur leur fonctionnement. C’est le plus grand casse-tête que j’ai rencontré dans mon étude des explosions stellaires.

Iair Arcavi, Université de la Californie à Santa Barbara

Selon les informations rassemblées, cette étoile serait au moins 50 fois plus massive que le Soleil. Elle pourrait être l’explosion stellaire la plus importante jamais détectée. D’ailleurs, l’ampleur de cette explosion expliquerait peut-être pourquoi elle ne peut être associée à aucune des théories traditionnelles de la mort des étoiles.

Ainsi, iPTF14hls pourrait être le premier exemple d’une nouvelle catégorie de supernova (Pulsational Pair Instability Supernova).

Selon cette théorie, il est possible que le phénomène naisse lorsqu’une étoile très massive et très chaude génère de l’antimatière dans son noyau. Daniel Kasen, Laboratoire Lawrence Berkeley

« Cela provoquerait une violente instabilité de l’étoile et des éruptions lumineuses répétées pendant des années », explique Daniel Kasen.

Un processus qui pourrait se répéter sur plusieurs décennies avant l’explosion finale et l’effondrement de l’étoile, qui deviendra un trou noir.

Jusqu’à maintenant, les scientifiques pensaient que de telles explosions étaient survenues dans l’univers primitif, mais qu’elles ne pouvaient pas être observées de nos jours.

C’est comme si nous trouvions un dinosaure aujourd’hui. Si c’est le cas, la question serait de savoir si c’est vraiment un dinosaure!

Andy Howell, OLC

En effet, la nouvelle théorie (Instabilité Pulsational Pair Instability) ne peut pas expliquer complètement toutes les données obtenues pour cet événement astronomique. Par exemple, l’énergie libérée par la supernova est supérieure aux prévisions théoriques.

Cette supernova pourrait donc appartenir à un phénomène complètement nouveau pour la science.

Les astronomes continuent de suivre son évolution et espèrent réussir à l’expliquer dans les prochaines années.

http://ici.radio-canada.ca/

Migraine : tenir un agenda des crises, c’est utile


Pour aider un médecin a donner un meilleur traitement pour ceux qui souffre de migraine, un agenda est tout indiqué pour mieux cerner les causes et la fréquence et l’intensité. Remarquer que ce genre d’agenda pourrait servir aussi pour d’autres maux
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Migraine : tenir un agenda des crises, c’est utile

 

wavebreakmedia/shutterstock.com

Il n’existe aucun traitement capable de faire disparaître un terrain migraineux. Mais quand les crises reviennent régulièrement, un traitement de fond peut être prescrit pour limiter leur fréquence. Pour permettre au médecin de déterminer la meilleure prise en charge possible, il est essentiel d’établir un calendrier de la survenue de ces épisodes douloureux.

Comme le rappelle la Société française d’Etudes des Migraines et Céphalées, consigner les crises migraineuses a plusieurs fonctions. Ce calendrier permet au médecin de préciser la fréquence et la sévérité des épisodes, de déterminer les meilleurs traitements, d’évaluer la consommation médicamenteuse… Pour les patients, même si tenir ce type de journal de bord peut paraître fastidieux, surtout les premières fois, cela les aide à reprendre la main sur la maladie, à se sentir moins démunis.

Peu importe l’outil choisi, l’essentiel est d’être à l’aise avec et surtout de pouvoir présenter au médecin un document facile à lire le jour de la consultation. Il peut s’agir d’une application spécifique type Migraine Buddy (gratuite et disponible sous iOS et Android), d’un tableau sur ordinateur, d’un agenda papier… Il faut y noter toutes les crises quelque soit leur intensité, même celles ressenties comme légères à modérées. De même, il est important de noter à la fois les céphalées migraineuses et non migraineuses. Enfin, il est essentiel de le faire pendant au moins 2 ou 3 mois afin d’avoir une bonne vision d’ensemble.

Les éléments indispensables à consigner

La date et le jour de survenue de la crise de migraine. Cet élément permet de voir si les crises surviennent de manière régulière, par exemple plutôt le week-end ;
L’horaire de survenue. C’est intéressant car il peut être récurrent, par exemple s’il s’agit de crises nocturnes ;
L’intensité de la crise. Elle peut être légère, moyenne ou sévère ;
Les facteurs déclencheurs. Il peut s’agir des règles mais aussi de l’activité sexuelle, des efforts physiques, des stress importants, certains aliments… ;
La durée de la crise, en heures ;
La prise de médicaments, en précisant quel type, combien et à quelle heure.

https://destinationsante.com/

À 13 ans, ce petit génie est déjà consultant chez IBM


Ce jeune torontois, a grâce à son père appris l’abc de la programmation a 5 ans, a 9 ans, il a sa première application de calcul mental et fut même publier. Il s’est fait repérer par IBM en détectant un bug dans un logiciel A 13 ans, il est consultant pour cette même compagnie. S’il est heureux, il aura sûrement un bel avenir
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À 13 ans, ce petit génie est déjà consultant chez IBM

 

© Capture d’écran.

Tanmay Bakshi, 13 ans, a connu une ascension pour le moins précoce et dieu sait où elle s’arrêtera…

Son père, informaticien, lui a enseigné les rudiments de la programmation à l’âge de 5 ans. Aujourd’hui, Tanmay Bakshi partage ses connaissances avec ses 125.000 abonnés sur sa propre chaîne YouTube et donne des conférences dans le monde entier (voir ci-dessous, en anglais).

Ce jeune Canadien de Toronto a créé sa première application de calcul mental à 9 ans et est parvenu à la faire publier sur l’AppStore d’Apple. Depuis deux ans, il s’intéresse désormais à l’intelligence artificielle et, plus particulièrement, à Watson, le célèbre logiciel d’IBM qui a remporté un jeu de culture générale aux Etats-Unis, relate BFMTV

C’est par ce biais qu’il se fait d’ailleurs repérer par l’entreprise informatique en leur… signalant un bug oublié au coeur du logiciel. Depuis, il a rejoint l’équipe, collabore avec ses chercheurs et joue les ambassadeurs de poche à travers le monde, notamment lors des fameuses conférences TEDx Talks.

Fasciné par l’intelligence artificielle, Tanmay la considère comme « l’une des plus grandes révolutions de l’histoire de l’humanité »: « Une fois que les gens commenceront à s’adapter et à adopter cette technologie à bras ouverts, son impact n’en sera que plus grand. L’IA (« intelligence artificielle ») va amplifier les capacités humaines », prophétise-t-il. 

Tanmay Bakshi, un nom à retenir…

http://www.7sur7.be/