15 photos de petits à l’intérieur du ventre de la mère


Le National Geographic a pris des photos très détaillées possibles dans le ventre de la mère dans le règne animal. Ils ont utilisé des caméras connectées à des scanners à ultrasons 4D et le résultat est très bien réussi
Nuage

 

15 photos de petits à l’intérieur du ventre de la mère

1. Un éléphant

2. Un requin

3. Une vache

4. Un pingouin

5. Un chien

6. Un poulain

7. Un dauphin

8. Une chauve-souris

9. Un chat

10. Un serpent

11. Un lion

12. Un requin

12. Un guépard

14. Ours polaires

15. Bébé chihuahua

via: channel.nationalgeographic.com

http://www.regardecettevideo.fr

Animaux sauvages : les 10 plus drôles photos de 2017


    Voici la 3 ème édition qui choisi les meilleures photos de 2017 du Comedy Wildlife Photography Awards « Récompenses pour la photographie comique d’animaux sauvages », des réseaux sociaux Il faut vraiment être là au bon moment pour réussir de telles photos
    Nuage.

     

    Animaux sauvages : les 10 plus drôles photos de 2017

    Jeune chouette se rattrapant à une branche

    Voici une des quatre photos de la séquence ayant remporté le grand prix toutes catégories de la photo comique d’animaux sauvages de l’année 2017. Une jeune chouette tente de rejoindre son frère et sa sœur sur une branche. Photo prise dans la région de Ópusztaszer, en Hongrie.

    Persévérante, la jeune chouette parvient à se mettre à côté de son frère et de sa sœur. © Tibor Kercz, Comedy Wildlife Photography Awards

    Persévérante, la jeune chouette parvient à se mettre à côté de son frère et de sa sœur. © Tibor Kercz, Comedy Wildlife Photography Awards

    Un loir ivre de joie

    Cette photo a été primée dans la catégorie « On the Land ». La joie de ce loir est très communicative… Mais qu’est-ce qui le fait rire autant ? Sont-ce les effets du pollen de cette fleur ? À moins que ce ne soient le printemps ou l’été qui le rendent à ce point ivre de bonheur.

Un loir italien très heureux. © Andrea Zampatti, Comedy Wildlife Photography Awards

Un loir italien très heureux. © Andrea Zampatti, Comedy Wildlife Photography Awards

Un canard pressé qui vole comme un avion

Cette photo a été primée dans la catégorie « Up in the Air ». Dans le ciel de Preston, au Royaume-Uni, un canard un peu plus pressé que les autres semble voler comme un avion… L’alignement de la traînée avec le volatile est parfait.

Un canard qui met les gaz ! © John Threlfal, Comedy Wildlife Photography Awards

Un canard qui met les gaz ! © John Threlfal, Comedy Wildlife Photography Awards

Une tortue marine giflant un poisson

Cette photo a été primée dans la catégorie « Under the Sea ». Dans les eaux de Bacong, aux Philippines, une tortue marine gifle, ou pousse, un poisson de passage.

Voici une tortue… ninja ! Il peut arriver que certains animaux se sentent un peu à l’étroit dans l’océan. © Troy Mayne, Comedy Wildlife Photography Awards

Voici une tortue… ninja ! Il peut arriver que certains animaux se sentent un peu à l’étroit dans l’océan. © Troy Mayne, Comedy Wildlife Photography Awards

Trois manchots en route vers l’église

Cette photo a été primée dans la catégorie « Highly Commended ». Elle montre trois manchots fringants, sur leur 31, en procession vers l’église. Il n’y a pas grand monde avec eux. Normal, cela se passait en Géorgie du Sud, une île située entre l’Argentine et l’Antarctique, dans l’Atlantique sud.

Trois manchots en route pour l’église de Grytviken. © Carl Henry, Comedy Wildlife Photography Awards

Trois manchots en route pour l’église de Grytviken. © Carl Henry, Comedy Wildlife Photography Awards

Un gnou prend de la hauteur

Cette photo a été primée dans la catégorie « Highly Commended ». Un gnou dans le Masai Mara, au Kenya, prend de la hauteur au cours d’un rassemblement. Quel sera le sujet de son discours ?

Abraracourcix chez les gnous. © Jean-Jacques Alcalay, Comedy Wildlife Photography Awards

Abraracourcix chez les gnous. © Jean-Jacques Alcalay, Comedy Wildlife Photography Awards

Un renard fait ses besoins sur un golf

Cette photo a été primée dans la catégorie « Highly Commended ». Ce renard un peu pressé sur le green de San José, aux États-Unis, a-t-il visé juste ?

Attention en récupérant vos balles de golf ! © Douglas Croft, Comedy Wildlife Photography Awards

Attention en récupérant vos balles de golf ! © Douglas Croft, Comedy Wildlife Photography Awards

Deux singes prêts à prendre la route

Cette photo de deux singes prêts à partir a été primée dans la catégorie « Highly Commended ». Elle a été prise dans le Sulawesi du Nord, en Indonésie.

Une belle équipée sauvage. © Katy Laveck-Foster, Comedy Wildlife Photography Awards

Une belle équipée sauvage. © Katy Laveck-Foster, Comedy Wildlife Photography Awards

Une loutre nageant dans le bonheur

Cette photo a été primée dans la catégorie « Highly Commended ». Elle montre une loutre de merapparemment très heureuse dans les eaux de Californie.

Les joies d'un bon bain d'algues réchauffé par les rayons du soleil. © Penny Palmer, Comedy Wildlife Photography Awards

Les joies d’un bon bain d’algues réchauffé par les rayons du soleil. © Penny Palmer, Comedy Wildlife Photography Awards

Un jeune ours polaire grimpant sur le dos de sa maman

Cette photo attendrissante et joyeuse d’un jeune ours polaire grimpant sur le dos de sa mère a été primée dans la catégorie « Highly Commended ». Elle a été prise dans le Manitoba, au Canada.

Un ourson fait du stop sur le dos de sa mère. © Daisy Gilardini, Comedy Wildlife Photography Awards

Un ourson fait du stop sur le dos de sa mère. © Daisy Gilardini, Comedy Wildlife Photography Awards

Le Comedy Wildlife Photography Awards n’est peut-être pas encore aussi célèbre que les prestigieux prix de photos du monde sauvage, notamment ceux remis chaque année par de grandes institutions comme le Musée d’histoire naturelle de Londres ou le National Geographic, mais cela ne saurait tarder.

https://www.futura-sciences.com

Yéti : l’abominable homme des neiges serait un ours


En 2014, on commençait à y voir plus clairement pour l’animal légendaire qu’on appelle yéti, bigfoot ou encore le Sasquatch on sait que c’est un ours, un ours polaire … et peut-être un ours brun, ce qui est confirmer aujourd’hui, une espèce d’ours qui aurait été séparer par les autres et aurait donc évoluer indépendamment
Nuage

 

Yéti : l’abominable homme des neiges serait un ours

 

Marie-Céline Jacquier
Journaliste

Depuis des siècles, la légende du yéti perdure au Népal et au Tibet, avec des témoignages et des récits transmis de génération en génération. Une nouvelle analyse ADN de huit échantillons provenant de supposés yétis montre qu’il s’agirait en fait d’ours asiatiques.

Le yéti, cette créature qui habiterait dans les hautes montagnes de l’Asie, est-il un mythe ou une réalité ? Une étude de l’université d’État de New York, à Buffalo (États-Unis), apporte de nouvelles informations sur cette légende. Elle se base sur l’analyse de neuf échantillons de musées et collections privées supposés appartenir à des yétis : os, dent, peau, poils, fèces provenant de l’Himalaya et du plateau tibétain. Ces échantillons ont été fournis par la production qui avait réalisé un film sur le yéti en 2016, Yeti or Not.

D’après les résultats de l’étude génétique, un échantillon venait d’un chien et les huit autres d’ours noirs asiatiques, d’ours bruns de l’Himalaya ou d’ours bruns tibétains.

Charlotte Lindqvist, auteur de ces travaux, a expliqué dans un communiqué : « Nos résultats suggèrent fortement que les fondements biologiques de la légende du yéti peuvent être trouvés chez les ours locaux, et notre étude démontre que la génétique devrait être capable de démêler d’autres mystères similaires ».

L’ours brun de l’Himalaya isolé par une glaciation

Cette recherche apporte aussi des informations sur l’histoire évolutive des ours d’Asie, dont certains, comme les ours bruns de l’Himalaya, sont actuellement menacés. Les scientifiques ont séquencé l’ADN mitochondrial de 23 ours asiatiques, y compris celui des supposés yétis, et l’ont comparé à celui d’autres ours dans le monde.

L’analyse a montré que les ours bruns de l’Himalaya appartiennent à une lignée qui a divergé tôt par rapport aux autres ours bruns, il y a 650.000 ans environ, au cours d’une glaciation. La croissance des glaciers a dû séparer les ours de l’Himalaya des autres, ce qui expliquerait qu’ils aient évolué indépendamment.

POUR EN SAVOIR PLUS

Bigfoot : génétiquement, le yéti serait un ours

 

Article d’Andrea Haug paru le 6 juillet 2014

Des chercheurs ont analysé une série d’échantillons de poils d’animaux attribués au yéti en provenance de plusieurs pays où la légende perdure. Résultat : une fois écartés les fibres de verre et les restes de vaches, de ratons laveurs ou même d’êtres humains, il reste deuxgénomes qui ressemblent à celui d’un ours polaire… fossile.

L’abominable homme des neiges, l’autre nom donné au yéti, pourrait être un ours. C’est ce que concluent des chercheurs dans une sérieuse étude parue dans le journal Proceedings of The Royal Society B. Habitant de l’Himalaya, ce mystérieux animal résiderait aussi — ou alors serait-ce des cousins — dans d’autres régions du monde sous le nom de Bigfoot en Amérique du Nord et d’Almasty ou de Kaptar dans le Caucase. Les témoignages abondent un peu partout sur la planète, mais laissent les scientifiques de marbre : ce primate humanoïde énigmatique reste considéré comme un être légendaire devant le manque flagrant de preuve matérielle incontestable.

 

Partout dans le monde, des légendes décrivent un être mi-homme mi-animal, couvert de poils hirsutes, marchant sur deux jambes et mesurant entre 1,50 et 3,75 m. Son nom varie selon les localités : yéti au Népal et au Tibet, Mande barung en Inde, Bigfoot aux États-Unis, Sasquatch au Canada, Almasty ou Kaptar dans le Caucase, Yowie en Australie, Mapinguari au Brésil, Sajarang gigi en Indonésie ou encore Basajaun au Pays basque. © Wanida.w, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

Partout dans le monde, des légendes décrivent un être mi-homme mi-animal, couvert de poils hirsutes, marchant sur deux jambes et mesurant entre 1,50 et 3,75 m. Son nom varie selon les localités : yéti au Népal et au Tibet, Mande barung en Inde, Bigfoot aux États-Unis, Sasquatch au Canada, Almasty ou Kaptar dans le Caucase, Yowie en Australie, Mapinguari au Brésil, Sajarang gigi en Indonésie ou encore Basajaun au Pays basque. © Wanida.w, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

Depuis 2012, Bryan Sykes, généticien à l’université d’Oxford au Royaume-Uni, et ses collègues se sont lancés dans l’analyse des échantillons de poils et de cheveux en provenance de différents pays du Globe. Les résultats confirment ce que nous avions annoncé en octobre 2013 : le génome du yéti serait celui d’un ours polaire.

Parmi les 57 échantillons issus de musées et de collections privées, deux présentent une séquence génétique qui correspond « à 100 % à l’ADN d’un fossile d’ours polaire (Ursus maritimus) âgé de plus de 40.000 ans, mais pas avec des spécimens modernes de cette espèce », concluent-ils.

Or, l’un de ces deux échantillons proviendrait d’un animal du Ladakh, en Inde, qui se serait montré particulièrement agressif et qui aurait été abattu par un chasseur expérimenté, il y a 40 ans. L’autre spécimen à qui appartiendraient les poils serait originaire d’une forêt de bambous, à 3.500 m d’altitude, dans une région du Bhoutan réputée pour être le nid d’un Migyhur, la version bhoutanaise du yéti.

Le yéti, ours rocheux tibétain, logerait notamment sur l'Everest, montagne située dans la chaîne de l'Himalaya, à la frontière entre le Népal et le Tibet. Le naturaliste britannique B. H. Hodgson est le premier Européen à faire référence explicitement à la créature dans son récit Rencontre avec le yéti, paru en 1832 dans le Journal de la société asiatique du Bengale. © R. Hyland, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

Le yéti, ours rocheux tibétain, logerait notamment sur l’Everest, montagne située dans la chaîne de l’Himalaya, à la frontière entre le Népal et le Tibet. Le naturaliste britannique B. H. Hodgson est le premier Européen à faire référence explicitement à la créature dans son récit Rencontre avec le yéti, paru en 1832 dans le Journal de la société asiatique du Bengale. © R. Hyland, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

Il n’y aurait pas un, mais des yétis

Pour les auteurs de l’article scientifique, les deux échantillons pourraient appartenir à une espèce d’ours inconnue jusqu’alors ou bien à un ours polaire qui aurait un pelage brun, ou encore à une espèce hybride d’ours polaire (Ursus maritimus) et d’ours brun (Ursus arctos).

En prenant cette dernière hypothèse, les deux spécimens, bouthanais et indien, pourraient être les descendants d’une « souche apparue au tout début de la différenciation entre l’ours brun et l’ours polaire », supposent les chercheurs.

Si elle était répandue et que le comportement agressif observé sur l’animal indien était représentatif de l’espèce, ce nouveau mammifère expliquerait la persistance de la légende du yéti. Avant toute conclusion, les chercheurs souhaitent poursuivre leurs investigations.

Qu’en est-il des 55 autres échantillons ? Après avoir écarté ceux qui n’étaient pas de la matière organique animale — l’un d’eux était composé de fibres de verre —, l’équipe en a expertisé 34 autres. Vaches, chevaux, ratons laveurs, humains, cerfs, coyotes et même un tapir de Malaisie : les espèces à qui on a fait jouer le rôle de l’animal mystère étaient variées. Mais aucun des échantillons n’a révélé une nouvelle espèce de primate bipède.

Ce résultat ne découragera pas les « pro-yéti » ou plutôt les « pro-Bigfoot », affirme le psychologue Rhettman Mullis, co-auteur de l’article scientifique… et qui en est un lui-même

Convaincu de la réalité de cet être communément connu sous le nom de ou de Bigfoot aux États-Unis et qu’il dit avoir croisé de nombreuses fois, il est aussi responsable du site Bigfootology consacré au phénomène Bigfoot. Pour lui, certes, le yéti décrit dans l’Himalaya est un ours mais l’étude ne démontre pas que Bigfoot n’existe pas…

http://www.futura-sciences.com/

Dans ce village d’Alaska, les ours polaires trouvent refuge plus longtemps chaque année


Les ours polaires sont une espèce en danger. Malheureusement avec le réchauffement climatique, la fonte des glaces, ils ne peuvent plus aller comme avant sur la banquise pour pêcher, alors en attendant, ils risquent des confrontations dans  une village en Alaska pour la recherche de nourriture
Nuage

 

Dans ce village d’Alaska, les ours polaires trouvent refuge plus longtemps chaque année

 

Des ours polaires à Kaktovik, une île de la mer de Beaufort, en Alaska.  | Arthur T. LaBar
via Flickr CC License by

Des ours polaires à Kaktovik, une île de la mer de Beaufort, en Alaska. | Arthur T. LaBar via Flickr CC License by

Repéré par Camille Jourdan

Repéré sur ABC News, New York Times

Ce phénomène atteste une nouvelle fois de l’impact du réchauffement climatique sur ces animaux.

L’ours polaire prisonnier de son morceau de banquise qui fond est depuis quelques années un symbole fort du réchauffement climatique. Mais on n’y voit pas d’emblée ce même symbole lorsque des ours se retrouvent coincés dans un petit village d’Alaska, attirant des milliers de touristes chaque année. Pourtant, la présence de dizaines d’ours polaires à Kaktovik en automne montre combien le réchauffement climatique affecte ces animaux du Grand Nord. S’ils trouvent refuge dans ce village de quelques 200 habitants depuis des dizaines d’années, il est inquiétant de constater qu’ils y restent de plus en plus longtemps, raconte ABC News.

«Avant, ils arrivaient début septembre, affirme James Wilder, biologiste du Service des forêts des États-Unis. Maintenant, on les voit dès fin juillet, début août, et ils restent plus longtemps.»

 Dans un article de décembre dernier, le New York Times signalait en effet qu’en 2016, les ours avaient trouvé refuge à Kaktovik durant 56 jours en moyenne, contre une vingtaine seulement vingt ans en arrière.

Ce qui les retient sur cette petite île d’Alaska? L’attente, de plus en plus longue, de la reformation de la banquise, leur habitat naturel. Là où ils trouvent à manger, en chassant les phoques. Or, la glace fond de plus en plus tôt, et réapparaît de plus en plus tard, constatent les scientifiques. La période à laquelle les ours se rendent à Kaktovik «semble correspondre» à ce calendrier, observe James Wilder. Et cette période pourrait être amenée à se prolonger:

dans cette partie du globe, «la banquise perd 9% de sa surface tous les dix ans», s’alarment les scientifiques.

Affamés, les ours trouvent de quoi se nourrir à Kaktovik, d’abord sur les restes d’os de baleines, laissés par les pêcheurs sur la rive. Mais cela ne suffit plus: alors qu’ils allaient très rarement au cœur du village il y a encore quelques années, ces grands ours blancs se rendent maintenant presque chaque nuit dans les rues de Kaktovik, pour voler de la nourriture. Des patrouilles ont été mises en place pour les chasser.

En rejoignant ce village, les ours s’adaptent aux rudes conditions que leur imposent le changement climatique. Mais jusqu’à quand, et avec quelles conséquences? Depuis 2008, ces animaux polaires sont inscrits comme espèces en danger. On estime qu’ils sont encore  20 à 25.000 en liberté, rapporte ABC News. Mais ce chiffre pourrait baisser de 30% d’ici 2050, selon le New York Time

http://www.slate.fr

Le Saviez-Vous ► Des animaux hybrides


Les animaux hybrides ne sont pas toujours créés par l’homme, s’il le fait, c’est souvent dans un but lucratif. Généralement, chez les animaux hybrides, les femelles sont fécondes, alors que les mâles sont souvent stériles
Nuage

 

Des animaux hybrides

 

1. Le zébrâne (hybride du zèbre et de l’âne).

C’est le résultat du croisement entre un zèbre et un âne, alors que certains y voient une relation digne de la belle et la bête, le résultat est à vous couper le souffle ! Cet être rare court majestueusement dans les déserts de l’Afrique subsaharienne dans lesquels il vit.

2. Le chien-loup (hybride du loup gris et du chien).

Voici le résultat de l’accouplement entre un chien et un loup gris, et il est grandiose ! Voici quelques super-créatures que l’on dirait tout droit sorties d’une bande dessinée Marvel ! Les chiens-loups sortent généralement la nuit pour se nourrir…

3. Le requin à pointes noires (hybride du requin à pointes noires australien et du requin à pointes noires commun).

Il est très courant près des côtes de la Floride. En fait, la plupart des attaques de requins qui s’y déroulent proviennent de ce requin qui est particulièrement agressif. Il s’agit du seul hybride de requin connu et son apparence est vraiment cool, si vous voulez notre avis !

4. Le coyloup (hybride du coyote et du loup).

Le coyloup a une incroyable fourrure grise qu’il tire de ses parents prédateurs ! Il est très rare et on estime sa population à quelques centaines au monde ! Il s’agit d’un grand prédateur et se nourrissent de petits mammifères.

5. Le bengal (hybride du chat-léopard et du chat domestique).

Accouplez un chat domestique avec un chat-léopard du Bengale et vous obtiendrez une boule de poils câline à l’allure très exotique ! Il devient de plus en plus populaire comme animal domestique du fait de son étonnante fourrure et de sa nature enjouée !

6. Le grolar (hybride de l’ours polaire et du grizzli).

L’habitat de l’ours polaire est de plus en plus compromis du fait des effets du réchauffement climatique. La part élevée d’ours polaires mourants les a poussés à s’accoupler avec des grizzlis, et voici l’étonnant résultat ! Regardez juste cette incroyable fourrure !

7. Le cama (hybride du chameau et du lama).

Ce n’est probablement pas l’animal le plus beau, mais regardez ces dents ! Cette créature semble tout droit sortie d’un film de Walt Disney, mais nous vous assurons qu’elle est totalement réelle ! Voici le terrible résultat de l’accouplement d’un chameau et d’un lama.

8. Le wholphin (hybride du grand dauphin et de la fausse orque).

Cette extraordinaire créature marine est si rare que de nombreuses personnes ne l’ont, et ne la verront, jamais en personne. Le wholphin est le résultat unique d’un accouplement de différents cétacés et c’est un être extrêmement intelligent, parmi les plus intelligentes créatures marines.

9. Motty (hybride de l’éléphant d’Afrique et l’éléphant d’Asie).

Cet éléphant s’appelle Motty et c’est actuellement le seul hybride connu entre les éléphants d’Afrique et d’Asie ! Il est aujourd’hui très âgé et reste unique, car il est bien plus adaptable en matière d’habitat que les éléphants non métissés !

10. Le tigron (hybride du tigre et du lion).

Les tigrons sont le résultat de l’accouplement entre des lionnes et des tigres. Ils sont extrêmement forts, rapides et disposent d’excellentes capacités athlétiques ! Cerise sur le gâteau, ils sont particulièrement rusés.

11. Le beefalo (hybride de bison et de vache domestique).

Faisant suite à une rencontre que personne n’attendait, cette créature est le petit d’un bison et d’une vache domestique, et le résultat est plutôt décevant ! Le beefalo a constamment l’air confus et/ou triste !

12. Le chabin (hybride de la chèvre et du mouton).

Les éleveurs adorent leur bétail. Parmi ce dernier, les chèvres et les moutons génèrent la majorité des profits, donc une créature hybride entre ces deux espèces doit constituer un rêve pour un éleveur ! On estime que cet hybride est bien plus intelligent que ses deux parents.

13. Le zébrule (hybride du zèbre et du cheval).

Les zèbres adorent s’accoupler avec d’autres espèces ! Voici un autre hybride impliquant le zèbre, cette fois-ci avec un cheval ! C’est une créature très paisible que l’on peut trouvé en Afrique du Sud, et il est particulièrement friand du climat chaud !

14. Le jaglion (hybride du jaguar et du lion).

Le jaglion est le résultat de l’accouplement d’un jaguar et d’un lion. Il est incroyablement fort et on pense qu’il a l’un des corps les plus puissants du règne animal ! Il s’agit d’un prédateur dangereux et il utilise sa force pour harceler sa proie !

15. Le ligre (hybride du lion et du tigre).

Le ligre est le résultat de l’accouplement d’un lion et d’une tigresse. Cela crée un super félin qui est plus imposant que les deux espèces dont il est issu et qui dispose d’une attitude plus furtive. Le ligre est connu pour briser la nuque de sa proie en un seul coup de mâchoire !

16. Le cochonglier (hybride du sanglier et du cochon domestique).

Ce super cochon est le résultat de l’accouplement d’un sanglier et d’un cochon domestique et il s’agit d’une version moins grossière que les deux espèces dont il est issu ! Il dispose d’une intelligence et de capacités physiques accrues, et est un excellent prédateur.

17. Le dzo (hybride de la vache et du yak).

Une bien étrange combinaison si vous voulez notre avis ! C’est le résultat de l’accouplement d’une vache et d’un yak, et on la croise souvent en Mongolie et au Tibet. Cette créature est prisée dans ces deux pays, car elle produit plus de lait et de viande qu’une vache ordinaire. Ce qui peut s’avérer utile…

18. Le léopon (hybride du léopard et du lion).

Cette magnifique créature est le résultat de l’accouplement d’un léopard et d’un lion ! Il est extrêmement rare et est une merveille de la jungle ! Cette créature hybride est une sorte de super félin, il est extrêmement fort, rapide et est un excellent prédateur ! Faites attention…

19. L’australian kelpie (hybride du dingo et du chien de berger).

Ces chiens sont comme résultant de l’hybridation des dingos avec des chiens de berger anglais. Ils sont excellents pour rassembler le bétail à l’aide de très peu d’indications, et sont donc souvent utilisés comme chiens de ferme.

20. L’hybride du pinson des arbres et du pinson du Nord.

Cet hybride est souvent utilisé comme oiseaux domestiques, en particulier au Royaume-Uni. Il est sage et bien élevé, et présente une longue durée de vie.

21. Le cichlidé Blood Parrot (hybride de l’amphilophus citrinellus et du cichlidé à tête rouge).

Le premier blood parrot a été découvert en 1986 et il est connu pour ses nombreuses malformations physiques ! Cette créature connaît des difficultés à manger et respirer du fait de ses muscles de la gorge étroits, et sa bouche ne peut pas se fermer complètement !

22. Le lépjag (hybride du léopard et du jaguar).

Cette étonnante créature est le résultat de l’accouplement d’un léopard et d’un jaguar ! Ce super-félin est extrêmement puissant, plus que ses parents, et est particulièrement doué pour attraper des prédateurs !

23. Le mulard (hybride du canard domestique et du canard colvert).

Le mulard est un canard qui a connu une rapide évolution au cours des années ! Cette espèce hybride est le meilleur canard de chasse, et on a remarqué que ses dents devenaient de plus en plus effilées avec le temps, alors prenez garde…

http://bridoz.com

La vidéo d’un ours caressant un chien est devenue virale… mais à quel prix ?


C’est grave cette situation et j’estime qu’on ne devrait jamais apprivoiser un animal sauvage peut importe qu’ils soit un prédateur ou non. Ici, cet ours blanc est nourri et apprivoisé pour le tourisme. Et si le propriétaire des lieux ne nourrit pas l’ours une seule journée, l’ami qui est un chien devient une proie
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La vidéo d’un ours caressant un chien est devenue virale… mais à quel prix ?

 

Depuis quelques jours, la vidéo improbable d’un ours polaire caressant un chien fait le tour du Web. Et il y a de quoi : comment une telle situation est-elle possible ? La réponse est largement moins mignonne que ne le paraît cette vidéo.

Le 14 novembre, un certain David de Meulles, habitant d’une petite ville nord-canadienne, a posté une vidéo sur sa page Facebook. Dans celle-ci, on voit une situation aussi étonnante que touchante : un ours blanc en train… de caresser un chien. Comme s’ils étaient amis ! Cette vidéo, vue plus de 2 millions de fois sur YouTube en quelques jours, est largement devenue virale. Pourtant, il se pourrait bien qu’elle ne soit pas l’une des innombrables vidéos d’amitié inter-espèces que l’on trouve sur le Net…

Si l’on regarde au-delà du côté « mignon » de cette vidéo, on s’aperçoit en effet que le chien n’est pas libre. Il est enchaîné. S’il n’a pas franchement l’air dérangé ou stressé par la présence de l’ours blanc, il est pourtant permis de se demander ce que fait ce chien attaché à proximité d’un prédateur… Servirait-il donc d’appât ?

Des ours apprivoisés pour le tourisme ?

La réalité n’est pas très éloignée : le propriétaire du terrain où la scène se passe organiserait en fait des visites de son domaine à faible coût en mettant un atout marketing en avant : chez lui, on peut voir des ours blancs. Sauf que pour être certain de pouvoir les montrer à ses clients, l’homme prend soin de nourrir les ursidés afin de les attirer… Or, au Canada, il est strictement interdit de nourrir les prédateurs polaires.

Non seulement cette situation est interdite, mais elle est également très dangereuse. La preuve en est : début novembre, l’homme n’a pas nourri pendant un jour les ours blancs… et l’un de ses chiens s’est fait dévorer. Si, dans cette vidéo, il ne semble pas y avoir de danger à première vue, il se pourrait bien que l’ours, presque apprivoisé, s’en prenne au chien à la première occasion…

http://wamiz.com/

Braconnage: Ottawa veut éviter que l’Arctique ne devienne comme l’Afrique


Quand on parle de braconnage, on pense aux éléphants, girafe, rhinocéros et bien d’autres, mais maintenant, on parle aussi des risques potentiels pour des animaux vivant dans le nord du Canada tel que l’ours polaire, narval, les faucons etc … C’est vraiment épouvantable de voir l’avidité de ces gens qui se foutent bien que ces animaux sont en péril
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Braconnage: Ottawa veut éviter que l’Arctique ne devienne comme l’Afrique

 

« Le prix des peaux d'ours polaires a quadruplé... (Photo Archives Associated Press)

« Le prix des peaux d’ours polaires a quadruplé en quatre ans » sur le marché noir, passant de 5000 à 20 000 $, dit Sheldon Jordan, directeur général de la division de l’application de la Loi sur la faune à Environnement Canada.

PHOTO ARCHIVES ASSOCIATED PRESS

 

JEAN-THOMAS LÉVEILLÉ
La Presse

Le monde vit une « crise du braconnage », et les espèces canadiennes ne sont pas épargnées. C’est pourquoi le Canada a convoqué une rencontre des pays nordiques dans le cadre de la rencontre annuelle des pays adhérant à la Convention internationale contre le commerce des espèces menacées d’extinction, qui s’est ouverte en Afrique du Sud. Explications en quatre points.

En quoi l’Arctique est-il visé par le braconnage ?

« Le prix des peaux d’ours polaires a quadruplé en quatre ans » sur le marché noir, passant de 5000 à 20 000 $, lance Sheldon Jordan, directeur général de la division de l’application de la Loi sur la faune à Environnement Canada. « Les défenses de narval valent maintenant la même chose que l’ivoire d’éléphant », soit 3000 $ le kilogramme, ajoute celui qui préside aussi le groupe de travail d’Interpol sur les espèces sauvages. Le Canada est moins touché que d’autres pays par la « crise du braconnage » qui sévit dans le monde, car les espèces nordiques ne sont « pas très accessibles », explique M. Jordan, mais la disparition des espèces traditionnellement prisées, comme l’éléphant et le rhinocéros, et l’augmentation des prix qui en résulte créent une pression sur les espèces nordiques. Le problème n’est pas tant le braconnage, pour l’instant, que le commerce illégal.

Comment l’Afrique peut-elle inspirer l’Arctique ?

« Il y a eu beaucoup d’attention portée au trafic des espèces sauvages au cours des 10 dernières années », constate Sheldon Jordan, mais l’action de la communauté internationale s’est concentrée sur les animaux emblématiques de la savane africaine, comme l’éléphant et le rhinocéros, particulièrement vulnérables. Or, l’Arctique « n’a pas été scruté à la loupe », alors que les espèces qu’il abrite sont elles aussi menacées ; le Canada veut donc « mieux comprendre » les problèmes propres aux espèces nordiques afin de « prévenir des crises qu’on voit avec d’autres espèces », explique M. Jordan.

Autrement dit, éviter que l’Arctique devienne un jour la boucherie qu’est l’Afrique. La démarche vise aussi une gestion durable des ressources de la faune, dont vivent de nombreuses communautés du Nord.

« Quand il y a du braconnage, quand il y a du trafic, ce sont les petites communautés qui [écopent]. On veut protéger le commerce légal et protéger l’environnement », affirme Sheldon Jordan.

Comment les micropuces pourraient-elles aider les ours ?

Environnement Canada mène un projet-pilote avec des communautés autochtones du Grand Nord pour tester des mesures de contrôle visant à contrer le commerce illégal d’espèces sauvages.

« On va [dissimuler] une micropuce électronique dans chaque peau d’ours polaire qui est tué », explique Sheldon Jordan.

Fait intéressant : cette micropuce résiste au tannage de la peau. Ainsi, la traçabilité des peaux d’ours polaires sera grandement accrue, ce qui facilitera le contrôle du commerce.

Mais au cas où la micropuce disparaîtrait ou serait endommagée, Environnement Canada a prévu deux autres mesures de contrôle : une « analyse des isotopes » des dents et des os, qui permettent d’établir la provenance de l’animal, ainsi qu’un prélèvement systématique de l’ADN de chaque ours abattu, qui ira dans une banque de données.

Et « les scientifiques ont trouvé une façon de pouvoir extraire de l’ADN même après que la peau a été tannée », souligne Sheldon Jordan.

Quels sont les autres pays concernés ?

Le Canada a convoqué d’autres pays de la zone arctique à une rencontre portant spécialement sur les espèces nordiques, samedi matin, en marge de la 17e séance de la Conférence des parties à la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES, selon son acronyme anglais), qui s’est ouverte hier à Johannesburg, en Afrique du Sud. Les États-Unis, le Danemark, la Norvège et la Russie, des pays avec lesquels Ottawa travaille déjà sur la question des ours polaires, y assisteront, de même qu’Interpol et le secrétariat de la CITES. L’objectif est de mieux comprendre les enjeux propres aux espèces que chacun de ces pays ont en commun : caribous ou rennes, poissons, narvals, morses, ours, faucons. Sheldon Jordan souhaite que cette rencontre soit le début d’une « collaboration accrue dans une zone où [il y en a eu peu jusqu’à maintenant] », qu’elle débouche sur un plus grand partage de renseignements, voire sur un groupe de travail commun.

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DE KUUJJUAQ AUX ÉMIRATS ARABES UNIS

Les braconniers n’en ont pas que pour l’ivoire ou les peaux d’ours :

les faucons du Grand Nord sont très prisés, notamment par les « pays du Golfe où on pratique la fauconnerie », souligne Sheldon Jordan.

Deux « braconniers professionnels » britannique et irlandais vivant en Afrique ont d’ailleurs été arrêtés à Kuujjuaq, dans le nord du Québec, « il y a une dizaine d’années », se souvient-il.

Prétendant être des photographes de National Geographic, « ils avaient loué un hélicoptère pour trouver des oeufs dans les nids » et avaient même un incubateur à piles pour les garder au chaud afin de les apporter aux Émirats arabes unis, raconte Sheldon Jordan. Arrêtés par des agents de la faune, ils ont écopé d’une amende.

« C’EST VRAIMENT COMME UNE GUERRE »

Le Canada s’implique également dans la lutte contre le braconnage en Afrique, notamment par l’entremise de formations destinées aux rangers qui doivent protéger les animaux menacés, formations qui ont été offertes au Botswana, au Kenya et en Côte d’Ivoire. Arrivé au début de la semaine en Afrique du Sud, Sheldon Jordan, qui préside le groupe de travail d’Interpol sur les espèces sauvages, a assisté à des entraînements de rangers et constaté que leur travail se compare davantage à celui de soldats que d’agents de la faune tels qu’on les connaît au Canada.

« J’ai vu des exercices où ils utilisent des tactiques militaires », raconte-t-il, précisant que beaucoup de rangers meurent chaque année en se battant contre des braconniers et que d’autres voient leur famille menacée. « C’est vraiment comme une guerre ! », s’exclame-t-il.

Sheldon Jordan a également visité un établissement géré par des vétérinaires bénévoles, dans le parc national de Pilanesberg, où sont soignés des rhinocéros blessés par des braconniers. Lors de son passage, un animal « tiré il y a cinq ou six jours » avec une arme de fort calibre était soigné, après qu’une balle s’était logée à « 20 cm » de profondeur dans son épaule.

« C’était épouvantable. »

http://www.lapresse.ca/

Des ours polaires assiègent des chercheurs russes sur une île de l’Arctique


Être scientifique au milieu des ours polaires s’est risqué. Heureusement, que les scientifiques encerclés par des ours affamés, on pue se protéger dans leur bâtiment en attendant les secours
Nuage

 

Des ours polaires assiègent des chercheurs russes sur une île de l’Arctique

 

MOSCOU – Une bataille s’est engagée entre des ours polaires et des scientifiques russes sur une île isolée de l’Arctique.

Pendant cinq jours, un groupe de sept ours polaires a assiégé une station météorologique abritant cinq chercheurs. Heureusement pour ces derniers, un navire qui était de passage dans les environs leur a fourni des fusées éclairantes et des chiens afin de les aider à repousser les bêtes.

Selon l’agence de presse Tass, Vadim Plotnikov, le chef de la station située sur l’île de Troynoy, dans la mer de Kara, a indiqué que le vaisseau russe avait aussi dépêché un hélicoptère mercredi afin de chasser les ours.

Les animaux étaient devenus encore plus agressifs au cours des derniers jours, tuant l’un des deux chiens de la station et fracassant les vitres de son dépôt. Ayant épuisé leur réserve de fusées éclairantes, les scientifiques, désespérés, étaient coincés à l’intérieur.

D’après M. Plotnikov, l’une des bêtes, une femelle, était particulièrement tenace, passant toutes ses nuits sous les fenêtres de la station depuis le week-end.

Le ministre russe des Ressources naturelles, Sergueï Donskoi, a ordonné que des moyens soient immédiatement pris pour porter secours aux chercheurs, et un bateau de recherche se trouvant dans le secteur a livré les objets qui faisaient cruellement défaut aux scientifiques piégés. M. Donskoi a toutefois insisté pour que la vie des ours polaires soit épargnée.

Les ours polaires, dont l’habitat est menacé par les changements climatiques, sont considérés comme une espèce protégée, ce qui explique pourquoi les chercheurs ont eu recours à des fusées éclairantes pour les forcer à s’enfuir.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Voici Pizza, l’ours polaire «le plus triste du monde»


Qu’est qu’un ours polaire fait dans un centre commercial !?! Et en plus son décor est artificiel sauf pour l’eau et est victime du bruit et des flashs d’appareil photo. Il n’est pas le seul qui est dans cette situation, une situation vraiment grotesque
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Voici Pizza, l’ours polaire «le plus triste du monde»

 

L'ours Pizza, le 12 mars 2016. | Animals Asia via Flickr CC License by

L’ours Pizza, le 12 mars 2016. | Animals Asia via Flickr CC License by

Repéré par Robin Panfili

La captivité de cet ours polaire dans un centre commercial chinois vire au cauchemar.

Pizza, c’est son nom, est décrit comme l’ours polaire «le plus triste du monde». Depuis le début de l’année 2016, l’animal est confiné dans un parc à thèmes marin flambant neuf, installé dans un grand centre commercial de la ville de Guangzhou, en Chine. Dans son petit enclos éclairé par des néons bleus, rien n’est prévu pour qu’il puisse échapper aux flashs des appareils photos ni aux cris des visiteurs. Pire, aucune tentative de reproduire un environnement naturel et adapté aux besoins cette espèce n’a été envisagée par les créateurs de l’aquarium, souligne Animals Asia, une fondation de protection des animauxvivant en milieu sauvage ou urbain.

Pour lui venir en aide, une pétition en ligne a été lancée pour exiger la fermeture du parc et une meilleure prise en charge des animaux. Même si les responsables de la fondation semblent bien conscients qu’il sera difficile d’obtenir gain de cause à court terme, ils ne perdent pas espoir, note le Guardian. 

Face à la pression de l’opinion publique, la direction du parc à thèmes a promis «une meilleure vie pour ses animaux» et des «améliorations»,a confié Dave Neale, directeur d’Animals Asia, au Guardian.

L’ours polaire Pizza n’est pas le seul à avoir été embarqué dans cette galère. Ce parc à thèmes dédié à la découverte de la vie océanique –où il n’est pas rare d’apercevoir des poissons morts flotter à la surface de l’eau– abrite également six jeunes belugas, deux loups arctiques ou encore cinq morses. Lors de son ouverture au début de l’année 2016, Animals Asia avait déjà décrit ce parc comme une «prison pour animaux».

L’industrie des parc à thèmes dédiés à la vie océanique est en pleine expansion en Chine. Ce sont des attractions notamment prisées par les classes moyennes à la recherche de nouvelles formes de divertissement, explique le Guardian. Le quotidien britannique ajoute que le pays compte déjà trente-neuf parcs du même genre et qu’une douzaine d’autres devraient ouvrir leurs portes dans les deux années qui arrivent. 

http://www.slate.fr/