Le Saviez-Vous ► Hibou ou chouette : comment les différencier ?


Une chouette et un hibou sont deux espèces différentes, mais ils sont de la même famille. Leur différence est généralement simple sauf pour certains oiseaux comme le afghan des neiges.
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Hibou ou chouette : comment les différencier ?


Hibou ou chouette : comment les différencier ?Une chouette en plein vol© Pixabay

Par Chloé Gurdjian

Ces deux rapaces se ressemblent comme deux gouttes d’eau ! On fait le point pour vous aider à y voir plus clair et faire la différence entre eux.

Deux espèces différentes

Peut-être pensiez-vous que la chouette est la femelle du hibou. Il faut dire que ces deux oiseaux se ressemblent tellement qu’on pourrait croire qu’ils font partie de la même espèce. Et pourtant, il n’en est rien. Hiboux et chouettes sont deux animaux bien différents, mais ils appartiennent en revanche à la même famille, celle des rapaces. A noter que le mâle de la chouette est donc la chouette mâle, et la femelle du hibou est donc le hibou femelle.

Leurs ressemblances

Dur, dur de différencier ces deux volatiles, tant ils se ressemblent physiquement. Ils ont un bec crochu, idéal pour découper leurs proies, une grosse tête ronde, la capacité de tourner leur tête à 270°, et de grands yeux ronds.

Leurs différences

C’est bien simple, il n’y en a qu’une ! Les hiboux ont des aigrettes sur le dessus de la tête, contrairement aux chouettes. Les aigrettes sont deux petites touffes de plumes qui ressemblent à des oreilles. Elles ne servent pourtant pas du tout à entendre. Si on ne sait pas réellement à quoi elles servent, on suppose qu’elles permettent surtout de refléter l’humeur de l’animal. Elles peuvent peuvent par exemple se dresser en cas de stress.

Attention au piège !

Mais comme rien n’est jamais simple, certains hiboux ont des aigrettes… presque inexistantes. C’est notamment le cas du harfand des neiges. L’animal a été rendu célèbre grâce à la saga Harry Potter. Le jeune sorcier avait ce type d’oiseau pour fidèle compagnon, baptisé Hedwige. Décrite dans la version française comme une chouette, Hedwige est en réalité bien un hibou !

La nuance de l’anglais

Cette erreur peut s’expliquer par une petite subtilité de langage. Les Anglais ne font en effet pas de distinction entre les chouettes et les hiboux, désignés tous les deux par le mot « owl ».

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Les autorités américaines veulent déverser 1,5 tonne de mort-aux-rats sur les îles Farallon


Les îles Farallon près de San Francisco aux États-Unis sont interdites au public pour protéger des colonies d’oiseau dont une espèce rare menacé de disparition. Sauf que dans ces îles, il y a aussi les souris qui sont présente à cause de l’homme. On parle ici d’environ 60 000 souris qui ont attiré une espèce de chouette qui les chasse, mais aussi l’océanite cendré. On veut envoyer un raticide. Bon, même si je ne suis pas une experte, je crains comme d’autres que cela va créer de graves conséquences.
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Les autorités américaines veulent déverser 1,5 tonne de mort-aux-rats sur les îles Farallon


Beaucoup plus de souris, c'est beaucoup moins d'océanites cendrés. | Alexas_Foto via Pixabay

Beaucoup plus de souris, c’est beaucoup moins d’océanites cendrés. | Alexas_Foto via Pixabay

Repéré par Robin Lemoine

Repéré sur The Los Angeles Tiles

La prolifération des souris sur l’archipel protégé met en danger une espèce rare d’oiseau de mer.

Au large de San Francisco se trouve un archipel où la faune et la flore prospèrent: les îles Farallon. Classé réserve naturelle en 1909 et interdit au public, l’endroit accueille l’une des plus grandes colonies d’oiseaux de mer au monde, des otaries et des phoques sauvages. On y trouve notamment le très rare océanite cendré.

Mais l’archipel abrite également près de 60.000 souris, une espèce envahissante introduite par l’être humain au XIXe siècle et qui fait des ravages dans l’écosystème du lieu protégé.

La prolifération des rongeurs a eu pour conséquence d’attirer une espèce de chouette, la chevêche des terriers. L’oiseau au plumage gris-brun piqueté de blanc mange certes les souris, mais il s’attaque aussi aux océanites, dont la population diminue dangereusement.

Selon le gouvernement fédéral des États-Unis et plusieurs biologistes, la seule solution serait de se débarrasser purement et simplement des nuisibles en larguant par hélicoptère 1,5 tonne de brodifacoum, une sorte de raticide anticoagulant provoquant une hémorragie interne chez les souris.

Danger de contamination

Si peu de monde conteste l’idée d’éradiquer les souris de l’archipel, les écologistes de la baie de San Francisco craignent que le poison, interdit dans l’Union européenne depuis 2007, ne tue d’autres espèces en s’infiltrant dans la chaîne alimentaire.

«C’est comme utiliser un fusil pour s’attaquer à une fourmi», a déclaré Richard Charter, de l’Ocean Foundation, au Los Angeles Times. Sur Change.org, une pétition s’opposant à la mesure a récolté 34.500 signatures.

De leur côté, le U.S. Fish and Wildlife Service (FWS), le service fédéral qui gère les îles Farallon, et certain·es spécialistes avancent que si des espèces non ciblées seront probablement tuées au cours du processus, les avantages à long terme l’emporteront de loin sur les dommages.

«Si nous ne pensions pas que cette option était particulièrement bénéfique, sûre et efficace pour les îles, nous ne la recommanderions pas», a affirmé Doug Cordell, porte-parole du FWS.

Les inquiétudes sont pourtant légitimes: le brodifacoum a déjà causé de nombreux dégâts. En Californie, des pumas ont récemment été retrouvés morts après avoir mangé de petites proies qui avaient ingéré la substance.

http://www.slate.fr/

Se lever trop tôt peut faire de nous des psychopathes


À croire le titre, je serais une psychopathe, mais non, c’est pas tout à fait cela. A vrai dire, c’est plutôt l’heure du travail qui n’est pas adapté pour tout le monde. Ce qui peut engendrer un manque de productivité. Si nous pouvions avoir des horaires variables, selon notre horloge interne, cela serait bien
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Se lever trop tôt peut faire de nous des psychopathes


Le pic de productivité de 14 heures. | Tonny Tran via Unsplash

Le pic de productivité de 14 heures. | Tonny Tran via Unsplash

Repéré par Ines Clivio

Repéré sur The Guardian

Contraindre son rythme biologique naturel peut porter atteinte à l’équilibre psychologique.

Faire la grasse mat’, c’est moche. Il n’y a qu’à écouter les success stories américaines pour s’en rendre compte: ce n’est pas en se faisant une tartine du Nutella au lit qu’on devient PDG d’Apple. Mais, couche-tard et noctambules, soyez rassuré·es: la fin du règne du réveil a enfin sonné, car se forcer à se lever tôt pourrait entraîner des comportements déviants.

Dictature des alouettes

Qu’on le veuille ou non, nous avons tous une horloge interne. Elle ne fait pas tic-tac, mais nous devrions quand même essayer de l’écouter. C’est elle qui définit notre rythme de sommeil, que l’on appelle scientifiquement le chronotype. Il en existe plusieurs sortes; des tests permettent de découvrir le sien.

Si notre horloge interne dure plus de vingt-quatre heures, nous préférons nous coucher tard; si elle dure moins longtemps, nous sommes des couche-tôt. Ainsi se répartissent les «hiboux» qui vivent la nuit, les «alouettes» qui se réveillent à l’aube et, entre les deux, les «diurnes».

N’est pas alouette qui veut –c’est la biologie qui le dit– et perturber nos cycles naturels pour satisfaire les gourous de la course à pied matinale n’est pas sans conséquences.

Jusqu’à présent, les horaires fixés par l’école ou le monde du travail ont toujours favorisé les alouettes; les autres chronotypes ont dû s’adapter. Forcés de casser leur rythme naturel, ces individus sont moins efficaces et leurs performances générales peuvent être dépréciées par rapport à celles des alouettes.

Il est temps pour les chouettes de se rebeller: c’est ce à quoi a invité la journaliste scientifique Linda Geddes dans son discours au Hay Festival. Selon elle, plutôt que d’exiger d’une personne couche-tard qu’elle soit au pic de sa productivité dès le matin, nous devrions lui donner des horaires flexibles pour qu’elle accomplisse au mieux son potentiel.

«Ce serait un moyen d’égaliser les chances, d’améliorer la productivité de tous et l’humeur de chacun. Une telle approche pourrait créer un cadre de travail plus harmonieux et plus moral», souligne-t-elle.

Variations morales

Le déséquilibre engendré par les horaires standards actuels va au-delà du risque de déficit de productivité: il touche à notre moralité, comme l’a révélé une étude américaine intitulée «La morale des alouettes et des chouettes».

D’après l’équipe de recherche, notre comportement éthique varie en fonction du type de relation entre les deux mécanismes constituant notre horloge interne: l’homéostasie, c’est-à-dire la pression qui nous dit de dormir si on est resté·e trop longtemps éveillé·e, et le cycle circadien, qui régule notre temps de sommeil et d’éveil.

Première situation, les mécanismes s’accordent: la période d’éveil survient quand la pression homéostatique est basse; on se sent en pleine forme. Notre comportement social est alors positivement influencé.

Deuxième situation, les mécanismes s’opposent: on reste éveillé·e alors que l’on a envie de dormir. Cette fois, notre système de moralité est influencé négativement:

«Des recherches suggèrent que vous êtes plus enclin à adopter un comportement contraire à l’éthique et déviant, comme être méchant, intimider vos collègues ou falsifier des reçus», précise Linda Geddes.

Pour enfoncer le clou, une autre étude avance que des comportements similaires ont été observés chez des employé·es dormant moins de six heures par nuit, la recherche ayant identifié un lien entre la privation de sommeil et les taux de glucose dans le cortex cérébral, la région du cerveau responsable du contrôle de soi-même.

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Un photographe traite les animaux de la forêt finlandaise comme des mannequins professionnels


Joachim Munter, un artiste d’Irlande s’est intéressé à la photographie, il y a 10 mois (au moment de ces photos ci-dessous), au début, c’était des paysages, puis il s’est tourné vers la faune irlandaise, trouvant cela plus gratifiant. Il faut du temps, beaucoup patience et la vitesse pour capter des moments soudain et naturel des animaux. Cela peut prendre quelques heures à plusieurs semaines pour avoir un magnifique cliché, car les animaux n’ont pas a prendre la pose devant une caméra, il faut capturer un moment précis
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Un photographe traite les animaux de la forêt finlandaise comme des mannequins professionnels

 

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13 câlins entre des animaux d’espèces différentes qui montrent que l’amour est universel.


Des animaux élevé ensemble que ce soit dans la nature ou domestiqués, qui sont souvent des ennemies apprennent a vivre ensemble. N’est-ce pas une leçon que nous pouvons en tirer ?
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13 câlins entre des animaux d’espèces différentes qui montrent que l’amour est universel.

 

N° 1 —Viens ici, toi !!

N° 2 —La vie n’est pas juste, n’est-ce pas mon vieux ?

N° 3 —Laisse-moi essayer cela… non. Que penses-tu de ça ? Toujours pas. Voilà, comme ça, ça marche !

N° 4 —Tu as un nid vraiment très douillet !

N° 5 —Profitons-en et câlinons-nous à l’envi, les humains seront bientôt là.

N° 6 —Coucou !

N° 7 —La vie est bien plus belle avec des câlins !

N° 8 —Peu importe ce qu’ils disent… amis pour la vie !

N° 9 —Câlinons-nous.

N° 10 —La vue est magnifique ici !

N° 11 —Attends, j’ai raté un endroit…

N° 12 —En matière de câlins, nous faisons une équipe du tonnerre !

N° 13 —Rien de mieux pour finir une journée…

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Californie : la légalisation du cannabis n’est pas une bonne chose pour les chouettes


Des chouettes ont la vie dure en Californie, en plus de subir des pertes dû aux changements climatiques, l’état a autorisé le cannabis à des fins récréatives. Beaucoup veulent profiter de cette manne même illégalement et utilisent un produit contre les rongeurs, animaux dont se nourrissent les chouettes, ce qui risque d’être vraiment catastrophique pour elles
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Californie : la légalisation du cannabis n’est pas une bonne chose pour les chouettes

 

Chouette tachetée du Nord

Les chouettes tachetées du Nord sont sensibles aux rodenticides.

© J. MARK HIGLEY/HOOPA TRIBAL FORESTRY

Par Anne-Sophie Tassart

Les rodenticides, utilisés dans les plantations illégales de cannabis en Californie, menacent les chouettes tachetées du Nord et les chouettes rayées.

La légalisation de l’usage récréatif du cannabis en Californie (Etats-Unis) depuis le 1er janvier 2018 ne fait pas que des heureux. En effet, cette légalisation devrait voir fleurir le nombre de plantations illégales. Or dans une étude publiée dans la revue Avian Conservation & Ecology, seulement quelques jours après l’autorisation, des chercheurs américains révèlent que des traces de rodenticides (produits utilisés contre les rongeurs), utilisés dans les plantations illégales de cannabis de cet Etat, se retrouvent dans l’organisme des chouettes tachetées du Nord (Strix occidentalis caurina), une sous-espèce menacée selon l’Endangered Species Act et quasi-menacée selon l’UICN.

70% des chouettes tachetées du Nord ont été au contact de biocides

En faisant des analyses sur des cadavres de chouettes trouvés à proximité de ces plantations, les scientifiques ont découvert que 7 chouettes sur 10 avaient été en contact avec des rodenticides. En analysant des échantillons provenant de 84 chouettes rayées (Strix varia), là encore les chercheurs ont trouvé des traces de biocides sur 40% d’entre elles. Les anticoagulants contenus dans ces produits empêchent l’organisme des mammifères et des oiseaux de renouveler la vitamine K, composé chimique nécessaire à la coagulation. Ces derniers sont alors susceptibles de mourir d’une hémorragie interne. Les auteurs de l’étude pensent que les chouettes tachetées du Nord et les chouettes rayées sont exposées à ces produits de part les proies qu’elles consomment.

Les menaces se multiplient à l’encontre des chouettes tachetées du Nord

Avec la légalisation du cannabis récréatif, les spécialistes craignent que la conversion de surfaces boisées privées en plantations de cannabis n’augmente et qu’ainsi, l’utilisation des rodenticides s’accentue. A terme, l’impact sur les chouettes tachetées du Nord pourrait être catastrophique alors qu’une étude révélait en 2015 que leur nombre avait baissé de 55% en Californie depuis 2009. Cette chute est d’ailleurs grandement liée à l’autre espèce étudiée : la chouette rayée. Cette dernière vivait autrefois dans les forêts de l’est de l’Amérique du Nord. Elle colonise aujourd’hui peu à peu le territoire des chouettes tachetées du Nord. Cette cohabitation conflictuelle entraîne une compétition pour les ressources et l’habitat. Mais le combat est inégal : la chouette tachetée du Nord est bien plus petite que la chouette rayée. Elle fuit donc les zones qu’elle occupait auparavant même si celles-ci se montrent moins propices à la reproduction.

Cette autre espèce de chouette et les plantations de cannabis ne sont pas les seules menaces qui pèsent sur Strix occidentalis caurina. Les chercheurs ont observé que les changements climatiques ont aussi un rôle dans leur disparition. D’abord par le truchement des nombreux feux de forêt causés par des températures plus élevées : ils détruisent l’habitat des chouettes tachetées du Nord. Ensuite ce sont les hivers, plus humides et plus froids, qui entraînent une diminution des naissances.

https://www.sciencesetavenir.fr/

Animaux sauvages : les 10 plus drôles photos de 2017


    Voici la 3 ème édition qui choisi les meilleures photos de 2017 du Comedy Wildlife Photography Awards « Récompenses pour la photographie comique d’animaux sauvages », des réseaux sociaux Il faut vraiment être là au bon moment pour réussir de telles photos
    Nuage.

     

    Animaux sauvages : les 10 plus drôles photos de 2017

    Jeune chouette se rattrapant à une branche

    Voici une des quatre photos de la séquence ayant remporté le grand prix toutes catégories de la photo comique d’animaux sauvages de l’année 2017. Une jeune chouette tente de rejoindre son frère et sa sœur sur une branche. Photo prise dans la région de Ópusztaszer, en Hongrie.

    Persévérante, la jeune chouette parvient à se mettre à côté de son frère et de sa sœur. © Tibor Kercz, Comedy Wildlife Photography Awards

    Persévérante, la jeune chouette parvient à se mettre à côté de son frère et de sa sœur. © Tibor Kercz, Comedy Wildlife Photography Awards

    Un loir ivre de joie

    Cette photo a été primée dans la catégorie « On the Land ». La joie de ce loir est très communicative… Mais qu’est-ce qui le fait rire autant ? Sont-ce les effets du pollen de cette fleur ? À moins que ce ne soient le printemps ou l’été qui le rendent à ce point ivre de bonheur.

Un loir italien très heureux. © Andrea Zampatti, Comedy Wildlife Photography Awards

Un loir italien très heureux. © Andrea Zampatti, Comedy Wildlife Photography Awards

Un canard pressé qui vole comme un avion

Cette photo a été primée dans la catégorie « Up in the Air ». Dans le ciel de Preston, au Royaume-Uni, un canard un peu plus pressé que les autres semble voler comme un avion… L’alignement de la traînée avec le volatile est parfait.

Un canard qui met les gaz ! © John Threlfal, Comedy Wildlife Photography Awards

Un canard qui met les gaz ! © John Threlfal, Comedy Wildlife Photography Awards

Une tortue marine giflant un poisson

Cette photo a été primée dans la catégorie « Under the Sea ». Dans les eaux de Bacong, aux Philippines, une tortue marine gifle, ou pousse, un poisson de passage.

Voici une tortue… ninja ! Il peut arriver que certains animaux se sentent un peu à l’étroit dans l’océan. © Troy Mayne, Comedy Wildlife Photography Awards

Voici une tortue… ninja ! Il peut arriver que certains animaux se sentent un peu à l’étroit dans l’océan. © Troy Mayne, Comedy Wildlife Photography Awards

Trois manchots en route vers l’église

Cette photo a été primée dans la catégorie « Highly Commended ». Elle montre trois manchots fringants, sur leur 31, en procession vers l’église. Il n’y a pas grand monde avec eux. Normal, cela se passait en Géorgie du Sud, une île située entre l’Argentine et l’Antarctique, dans l’Atlantique sud.

Trois manchots en route pour l’église de Grytviken. © Carl Henry, Comedy Wildlife Photography Awards

Trois manchots en route pour l’église de Grytviken. © Carl Henry, Comedy Wildlife Photography Awards

Un gnou prend de la hauteur

Cette photo a été primée dans la catégorie « Highly Commended ». Un gnou dans le Masai Mara, au Kenya, prend de la hauteur au cours d’un rassemblement. Quel sera le sujet de son discours ?

Abraracourcix chez les gnous. © Jean-Jacques Alcalay, Comedy Wildlife Photography Awards

Abraracourcix chez les gnous. © Jean-Jacques Alcalay, Comedy Wildlife Photography Awards

Un renard fait ses besoins sur un golf

Cette photo a été primée dans la catégorie « Highly Commended ». Ce renard un peu pressé sur le green de San José, aux États-Unis, a-t-il visé juste ?

Attention en récupérant vos balles de golf ! © Douglas Croft, Comedy Wildlife Photography Awards

Attention en récupérant vos balles de golf ! © Douglas Croft, Comedy Wildlife Photography Awards

Deux singes prêts à prendre la route

Cette photo de deux singes prêts à partir a été primée dans la catégorie « Highly Commended ». Elle a été prise dans le Sulawesi du Nord, en Indonésie.

Une belle équipée sauvage. © Katy Laveck-Foster, Comedy Wildlife Photography Awards

Une belle équipée sauvage. © Katy Laveck-Foster, Comedy Wildlife Photography Awards

Une loutre nageant dans le bonheur

Cette photo a été primée dans la catégorie « Highly Commended ». Elle montre une loutre de merapparemment très heureuse dans les eaux de Californie.

Les joies d'un bon bain d'algues réchauffé par les rayons du soleil. © Penny Palmer, Comedy Wildlife Photography Awards

Les joies d’un bon bain d’algues réchauffé par les rayons du soleil. © Penny Palmer, Comedy Wildlife Photography Awards

Un jeune ours polaire grimpant sur le dos de sa maman

Cette photo attendrissante et joyeuse d’un jeune ours polaire grimpant sur le dos de sa mère a été primée dans la catégorie « Highly Commended ». Elle a été prise dans le Manitoba, au Canada.

Un ourson fait du stop sur le dos de sa mère. © Daisy Gilardini, Comedy Wildlife Photography Awards

Un ourson fait du stop sur le dos de sa mère. © Daisy Gilardini, Comedy Wildlife Photography Awards

Le Comedy Wildlife Photography Awards n’est peut-être pas encore aussi célèbre que les prestigieux prix de photos du monde sauvage, notamment ceux remis chaque année par de grandes institutions comme le Musée d’histoire naturelle de Londres ou le National Geographic, mais cela ne saurait tarder.

https://www.futura-sciences.com

28 occasions lors desquelles la nature nous fait dire « NON »


La nature est magnifique, parfois, elle peut être assez glauque. Elle fait ses propres scènes d’horreur.
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28 occasions lors desquelles la nature nous fait dire « NON »

Dans la nature, tout n’est pas nécessairement aussi beau ou hilarant que ce à quoi nous sommes habitués. Elle a un côté obscur.

D’une mère mille-pattes protégeant ses petits en passant par une colonie de guêpes en construisant un nid autour d’une poupée désarticulée, ces images montrent les choses les plus effrayantes que mère nature a à offrir. Faites défiler la page pour mettre votre courage à l’épreuve et votez pour vos préférées.

N° 1 – Ce cratère de lave semble aspirer les âmes des damnés en enfer.

N° 2 – Un bernard-l’hermite utilisant la tête d’une poupée en guise de coquille.

3 – Des guêpes ayant construit un nid autour d’une poupée désarticulée.

N° 4 – Cette grenouille a été trouvée un matin toute sèche et flétrie à l’extérieur d’un magasin. Le gérant s’est dit : « essayons de la mettre dans de l’eau », et mince, elle est revenue à la vie.

N° 5 – Un nid de frelons abandonné que mon père a trouvé dans son abri de jardin alors qu’il n’y était pas entré pendant quelques années. La tête appartient à une statue en bois avec laquelle le nid abandonné a fusionné.

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N° 6 – Une mère mille-pattes protégeant ses petits.

N° 7 – Une personne en charge du lac a trouvé le renard (qui s’est noyé) dans la glace, a extrait le bloc et l’a posé sur la glace afin d’éloigner les gens de celle-ci.

N° 8 – Le cymothoa exigua est un type de parasite qui pénètre par les branchies des poissons, dévore leur langue, et la remplace.

N° 9 – Des enveloppes de fleurs mortes dans mon jardin. Elles ressemblent à des masques de mort.

N° 10 – Le champignon les doigts du diable.

N° 11 – Quelle tête !

N° 12 – Il y a tellement d’abeilles dans le mur que leur miel dégouline d’une prise

N° 13 – Un ver originaire d’Antarctique appelé Eulagisca gigantea.

N° 14 – Une chenille à tête de serpent.

N° 15 – Cette chouette occupée a tué plus de 70 lemmings et a entouré son nid de leurs dépouilles fraîches.

N° 16 – Un mille-pattes dévoré par une vipère a trouvé le chemin de la sortie.

N° 17 – Cet arbre dans le Nebraska a été frappé par la foudre la veille.

N° 18 – Une nouvelle patte pousse sur la queue de ce lézard ?

N° 19 – Des fourmis rouges ont créé une île flottante avec leurs corps pour échapper à l’inondation de Houston.

N° 20 – J’étais sur le point de montrer à mes enfants que les carapaces de cigales ne sont ni dégoutantes ni effrayantes, lorsque…

N° 21 – Ces pythons réticulés se sont séparés d’eux-mêmes selon leur couleur juste après l’éclosion.

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N° 22 – Un renne (Rangifer Tarandus) présentant des bois qui perdent leur velours, en Amérique du Nord.

N° 23 – Une ruche construite autour de carillons éoliens chez un ami.

N° 24 – Le rondeau mouton a des dents ressemblant à celles des humains.

N° 25 – La mouche sans ailes Penicillidia se fixe à la tête d’une chauve-souris et ne la quitte jamais.

N° 26 – Ce gecko à trois queues.

N° 27 – Une souris sur mon porche qui porte la tête de son ennemie vaincue.

N° 28 – Un éboulement à Taïwan.

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Le Saviez-Vous ► Que font les animaux quand il pleut?


Quand il pleut, on se protège avec un parapluie ou on rentre quelque part pour s’abriter. Les animaux eux ? Chacun à sa méthode
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Que font les animaux quand il pleut?

 

Sous la pluie | Micolo J via Flickr CC License by

Sous la pluie | Micolo J via Flickr CC License by

1.Les chèvres paniquent

Les chèvres font partie des animaux domestiques les plus sensibles à la pluie. Dès les premières gouttes, elles paniquent et cherchent à s’abriter le plus vite possible. La boue et les flaques d’eau leur sont aussi particulièrement désagréables et stressantes. La raison serait à chercher du côté d’une couche de graisse sous-cutanée trop mince –par rapport, par exemple, aux moutons– rendant la régulation de la température corporelle plus difficile en cas d’humidité trop importante, surtout si elle est couplée à une baisse rapide du mercure.

2.Les abeilles s’activent

À la fin du XIXe siècle, des naturalistes avaient remarqué combien les abeilles semblaient décupler d’énergie avant l’arrivée de la pluie. Une observation confirmée en décembre dernier par quatre chercheurs de l’Académie des Sciences de Chine grâce à des puces RFID collées sur 300 insectes. Avant les jours de pluie, les abeilles butinent davantage et rentrent plus tard à la ruche qu’avant une journée ensoleillée. Une manière pour les hyménoptères de faire des réserves et d’assurer leur survie en cas de mauvaise météo. Leur secret pour la prévoir? Les scientifiques n’ont pas encore de réponse définitive, maispointent vers un «mécanisme interne» sensible aux variations du CO2, de l’humidité, de la température et de la pression atmosphérique.

3.La chouette se tait

Quand il pleut, la chouette hulotte (Strix aluco) a tendance à faire vœu de silence, car le bruit des gouttes tombant sur le sol ou la végétation perturbe en effet considérablement sacommunication acoustique, élémentaire pour sa survie. Si le rapace a non seulement besoin de ses oreilles pour détecter ses proies, c’est aussi par ses hululements qu’il s’assure le contrôle de territoires de chasse pouvant s’étendre jusqu’à 22 hectares. Des messages qui passent près de 70 fois mieux par temps sec. D’où le fait que plus un épisode pluvieux dure, plus la chouette risque la famine.

4.Les chevaux stressent

Même s’il y a des différences entre les races, les chevaux détestent globalement la combinaison froid (< 10°C) + pluie + vent. Quand le climat est aussi pourri, ils attendent que ça passe en restant debout, dos au vent et la queue collée entre les jambes. Le fait qu’ils arrêtent de brouter et évitent de se coucher serait un signe de stress.

5.Les vaches à lait s’affament

Pourquoi les éleveurs devraient rentrer leurs vaches laitières quand ça drache? Parce que ces animaux ont tendance à diminuer leur prise calorique sous l’effet de l’humidité ambiante – jusqu’à 62% en moins quand il pleut et qu’il vente. Pour essayer de réguler leur température interne au mieux –la pluie diminue en moyenne de 26% leur température cutanée–, elles restent aussi plus longtemps debout

6.Le moineau poireaute

La tête rentrée, le bec en l’air, le corps droit et les ailes plaquées, c’est la posture typiquedu piaf sous la pluie. De cette manière, les petits oiseaux conservent un maximum de chaleur corporelle et évacuent un maximum d’humidité. Et s’ils peuvent se serrer les uns aux autres, comme le font beaucoup de petits limicoles, c’est encore mieux. 

Peggy Sastre

http://www.slate.fr/