Un goéland enlève un chien et l’emporte dans son bec


Je trouve cela étonnant, mais il semble d’après un ornithologue qu’il est possible qu’un goéland puisse d’emporter de petits animaux avec leur bec, car ils n’ont pas de serre. Que des goélands attaquent des animaux, cela ne me surprend pas, mais pour le reste, je suis un peu septique.
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Un goéland enlève un chien et l’emporte dans son bec


Gizmo, 4 ans, le chihuahua enlevé dimanche.

Gizmo, 4 ans, le chihuahua enlevé dimanche. Image: Facebook

Selon le témoignage d’une jeune Anglaise, l’oiseau est reparti avec le chien dans son bec. Le chihuahua est depuis introuvable.

«Je ne sais pas s’il l’a laissé tomber ni où il est», a expliqué Becca Hill à DevonLive. «Il», c’est Gizmo, son chihuahua.

Qui a été emporté dimanche par un goéland. Depuis, la jeune femme de 24 ans de Paignton, dans le Devon, au sud-ouest de l’Angleterre, cherche son chien désespérément.

L’attaque a eu lieu dans son propre jardin.

«Mon compagnon était en train d’étendre le linge quand il a vu le goéland fondre sur mon chien. Il a emporté Gizmo jusqu’à ce qu’on ne puisse plus le voir.»

Un chien de deux kilos

Depuis, plus de nouvelle du chien, un petit chihuahua brun et blanc de 4 ans qui pèse deux kilos.

Possible? Les goélands n’ont pas de serres mais peuvent emporter des proies avec leur bec. Interrogé par la BBC, l’ornithologue Peter Rock a confirmé que ces oiseaux étaient capables d’emporter de petits animaux. Même s’il est évidemment rarissime qu’ils s’en prennent à des chiens.

De son côté, «The Independent» rappelle que d’autres animaux domestiques ont subi par le passé l’agressivité de ces oiseaux, qui peut être importante durant la nidification.

En 2015, dans le village de St Columb Minor, en Cornouaille, des goélands argentés avaient attaqué à coups de bec un yorkshire nommé Roo. Il n’avait pas survécu. La même année, des goélands ou mouettes s’en étaient pris à une tortue prénommée Stieg à Liskeard, toujours en Cornouaille. Elle était également décédée.

https://www.lematin.ch/

Comment la génétique influence la santé de mon chien ?


    La génétique chez les chiens peut jouer un rôle sur la santé, surtout pour les chiens de race. Alors que les croisements de races réduit de beaucoup les risques de maladies génétiques
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    Comment la génétique influence la santé de mon chien ?

    Comment la génétique influence la santé de mon chien ?

    Le choix d’un chien commence souvent par le choix de sa race. En effet, chaque race présente des traits de tempéraments spécifiques, et cela peut aider pour choisir un chien qui correspond à son mode de vie. Mais beaucoup de races sont concernées par des maladies issues de leur patrimoine génétique : cela concerne-t-il toutes les races ? Les chiens issus de croisements sont-ils concernés ?

    Depuis les années 90 et la découverte du code génétique, notre compréhension du vivant a fait un progrès considérable, de même que la connaissance médicale. Dans cet article, nous reviendrons sur ce qu’est une maladie génétique, et comment celles-ci peuvent affecter (ou non) votre animal.

    Qu’est-ce qu’une maladie génétique ?

    On désigne par maladie génétique une affection causée par une  anomalie génétique (comme une mutation) sur un ou plusieurs des chromosomes. La maladie peut se déclarer dès la naissance, mais aussi pendant la vie de l’animal. La maladie est dite héréditaire si elle est transmissible à la descendance.

    On trouve donc une grande variété de maladies génétiques, qui diffèrent en fonction du/des gène(s) touché(s) : malformation congénitale, retard de croissance, dégénérescence de certains tissus, etc… Certaines peuvent être mortelles, d’autres sont juste handicapantes. Toutes ne se déclarent pas à la naissance : par exemple, le Cavalier King Charles est une race où plus de 80% des individus développent une maladie cardiaque entre 8 et 12 ans.

    Pourquoi les chiens de races ont-ils plus de maladies d’origine génétique que les chiens croisées ?

    Depuis sa domestication, l’humain sélectionne les chiens dont il a besoin en fonction de leurs critères physiques et comportementaux. Suivant les races et les critères retenus dans le standard, la sélection peut être très rigoureuse : des maladies peuvent apparaître, retenues involontairement dans la génétique de la race.

    C’est le cas pour la coloration « chocolat » du labrador : les labradors chocolats sont plus susceptibles de développer des maladies de peau et d’oreilles, et ont une longévité légèrement inférieure à ceux noirs ou jaunes. Il s’agit d’un cas particulier, où la couleur est ici associée génétiquement à des conditions de santé ou même des maladies.

    Il existe même des races qui sont sélectionnées avec des critères morphologiques impliquant des maladies génétiques :

    • le port du bassin bas chez le Berger Allemand, exigé par son standard de sa race, seraient en cause dans les dysplasies fréquemment observées.

    • les chiens brachycéphales naissent avec un appareil respiratoire réduit et comprimé, dans un but esthétique (le faciès juvénile, c’est-à-dire la face plate, nous attire) : les bruits respiratoires (ronflements) qu’ils expriment toute leur vie sont dus à cet appareil respiratoire écrasé. Ils naissent également avec un squelette fragile au niveau de la colonne, et de gros risques de hernies ou fractures vertébrales.

    • certaines races naines comme le chihuahua ne peuvent plus se reproduire sans assistance humaine : la réduction de la taille n’est pas proportionnée au corps du chien, qui a réduit plus vite que la tête. Si bien que lors de la naissance, la tête des chiots ne peut plus passer le bassin de la mère : les naissances se font donc obligatoirement par césarienne.

      Comment la génétique influence la santé de mon chien ?

      Le standard de la race impose d’avoir un port de bassin bas : il y aurait un lien avec la dysplasie de la hanche fréquente chez les Bergers Allemands.

      Pourquoi les éleveurs n’éliminent pas ces tares génétiques ?

      Il est important de mentionner que le travail de l’éleveur de chiens de race est de maintenir le standard de la race sans sélectionner de maladies génétiques : ce n’est pas un travail facile, à mesure que la connaissance avance.

      Aujourd’hui, de nombreux outils sont à leur disposition pour les aider : des tests génétiques ou des examens de santé précoces permettent de dépister les animaux porteurs, et de les sortir de la reproduction.

      Par exemple, la fameuse mutation MDR1, fréquente chez les colleys (87% en France), et provoquant une intolérance médicamenteuse, est aujourd’hui identifiable par un test génétique abordable : cela permet aux éleveurs de privilégier les chiens non porteurs du gène à la reproduction.

      Cependant, tous les éleveurs ne réalisent pas ce travail consciencieusement : trafic d’animaux, impératifs économiques et coût des analyses, etc… il convient à chaque futur propriétaire de chien de choisir son élevage avec soin, en évitant ceux qui ne présenteraient pas un tel niveau de qualité. Un éleveur passionné par sa race doit la connaître, et il sera à même de vous expliquer les détails sur les maladies génétiques liées à sa race, en toute transparence.

      Comment la génétique influence la santé de mon chien ?

      Les chiens croisés ont-ils moins de maladies que les autres ?

      Le croisement entre deux races permet souvent d’éliminer les maladies génétiques qui étaient présentes chez les deux races, mais cela dépend énormément des croisements et de la maladie surveillée : il peut y avoir des exceptions.

      En effet, le croisement n’empêche pas une maladie génétique de se transmettre. Par contre, il réduit drastiquement la probabilité qu’elle s’exprime : on reconnait les chiens croisés avec moins de problèmes dégénératifs (maladie cardiaque, problème immunitaire,…) ou de naissance, et souvent une longévité supérieure.

      Dr Stéphane Tardif

      Docteur vétérinaire et rédacteur pour Wamiz

      https://wamiz.com/chiens/

      Le chien le plus cloné du monde a 49 copies de lui-même


      Milly est un chihuahua qui est dans le record Guinness par sa petite taille. En effet, elle peut s’installer dans une tasse ce qui fait de ce minuscule petit chien, un animal unique. Enfin, plus maintenant, car elle a été cloner plusieurs fois pour comprendre sa génétique. Personnellement, je n’aurais jamais fait cloner mon animal de compagnie si unique soit-il
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      Le chien le plus cloné du monde a 49 copies de lui-même

      Crédits : World Record Academy

      par  Mehdi Karam

      Miracle Milly est unique. Enfin, façon de parler. Car comme l’écrivait le Telegraph le 8 juillet, ce chihuahua de Porto Rico est le plus petit chien au monde – elle peut carrément tenir debout dans un mug. Un record enregistré en 2012 par le Livre Guinness des records.

      Cependant, Milly possède 49 copies d’elles-mêmes. Car, intrigués par ce mystère génétique, des scientifiques de la firme sud-coréenne Sooam Biotech ont décidé d’en créer des clones, génétiquement identiques, avec l’accord de Vanessa Semler, sa propriétaire.

      Crédits : World Records Academy

      La technologie utilisée pour cloner Milly est la même qui avait été utilisée pour copier le mouton Dolly, en 1996. Il s’agit du transfert nucléaire, passage du noyau d’une cellule à une autre cellule, préalablement vidée du sien. La première portée des nouvelles Milly est née en août 2017. Elle contenait 12 petits cabots, nommés Molly, Mally, Melly, Molly, Mumu, Mila, Marie, Mimi, Moni, Mini, Mela et Mulan. Selon Vanessa Semler, ces clones ont exactement la même personnalité et l’apparence de Milly. Inspirés par cette réussite, les chercheurs ont par la suite créé 37 de plus.

      « Initialement, l’idée était de créer 10 clones. 9 pour la recherche scientifique, et un pour moi. Mais ils ont décidé d’en faire plus », explique Semler.

      Avec 48 spécimens en leur possession, puisque l’un d’entre eux a été remis à la propriétaire, les chercheurs de Sooam prévoient maintenant de faire équipe avec des spécialistes du Beijing Genomics Institute pour comprendre les facteurs génétiques qui caractérisent Milly – et ses clones.

      Crédits : World Record Academy

      Source : Telegraph

      http://www.ulyces.co/

      En colonisant l’Amérique, les Européens auraient fait disparaître d’anciens chiens


      Les premiers chiens sont venus par le détroit de Béring pour s’installer dans les deux Amérique (Nord et Sud), il y a environ 9 900 ans. Ils ont vécu comme tout bon chien domestique au côté de leur maitre. Puis l’arrivé des Européens, ces chiens ont disparus laissant place à des chiens d’outremer.
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      En colonisant l’Amérique, les Européens auraient fait disparaître d’anciens chiens

       

      En

      Photo Archives / AFP

      Les Européens qui ont colonisé l’Amérique à partir du 15e siècle ont décimé non seulement les populations indigènes, mais sans doute aussi les chiens alors domestiqués sur le continent, affirment des chercheurs à l’issue d’un grand travail de recherche archéologique et génétique.

      Les plus anciens chiens retrouvés dans les deux Amériques, dits «pré-contact», datent d’il y a environ 9900 ans, environ 6500 ans après l’arrivée des premiers humains.

      Une équipe de 50 chercheurs a analysé des échantillons d’ADN retrouvés sur 71 anciens chiens retrouvés en Amérique du Nord et en Sibérie, qu’ils ont comparés génétiquement à des chiens modernes.

      Leur résultat, publié jeudi dans la prestigieuse revue Science, confirme avec un degré de certitude inédit que les chiens d’Amérique sont arrivés par le détroit de Bering, par le même chemin que les humains. Ces chiens ont ensuite vécu pendant des millénaires avec leurs maîtres… avant d’être éradiqués en quelques siècles après l’arrivée des Européens.

      Les ADN des chiens américains modernes n’ont en effet rien en commun avec les anciens, qui descendent d’anciens chiens de Sibérie orientale.

      « Il est fascinant de voir qu’une population de chiens ayant vécu dans de nombreuses régions des Amériques pendant des milliers d’années, et qui faisaient partie intégrante des cultures amérindiennes, ait pu disparaître aussi vite », dit l’auteur principal de l’étude, Laurent Frantz, un expert en ADN ancien à l’Université Queen Mary de Londres.

      Parmi les raisons possibles: des maladies, des persécutions culturelles, ou le désir des Européens d’élever leurs propres chiens. Mais la rapidité de la disparition laisse les chercheurs circonspects.

      Les Labradors et Chihuahas modernes descendent de races eurasiennes introduites en Amérique entre le 15e et le 20e siècle, écrit l’archéologue Angela Perri, de l’université de Durham en Angleterre.

      En fait, il reste une trace génétique des anciens chiens américains, mais celle-ci est particulière: elle se trouve dans une tumeur cancéreuse, du nom de CTVT, qui survit aujourd’hui et se transmet par contact sexuel entre chiens.

      « Bien que cet ADN de cancer ait muté au fil des années, il est quasiment semblable à l’ADN de ce premier chien fondateur d’il y a plusieurs milliers d’années », explique Maire Ní Leathlobhair, du département de médecine vétérinaire de l’Université de Cambridge.

      Cette étude est un pas important, mais pas final, dans la compréhension de l’évolution canine.

      « L’histoire des chiens américains pré-contact commence seulement à être écrite », estiment Linda Goodman, de Stanford, et Elinor Karlsson, de l’Université du Massachusetts, dans un article séparé publié dans Science.

      Cette histoire ne pourra être écrite qu’avec de futures découvertes, et notamment l’exploitation de génomes plus entiers que ceux exploités jusqu’à présent.

      http://fr.canoe.ca/

      Ces chiens qui vivent bien malgré leur handicap


      On sait que les produits ménagers vendus dans les magasins ne sont pas inoffensifs. Il semblerait qu’en fait, ils sont plus dangereux pour la santé pulmonaire et les victimes sont surtout des femmes. Pourquoi ? Majoritairement, ce sont les femmes qui font le ménage. Il y a moyen de minimiser les risques, en fabriquant nous-même les produits de nettoyage

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      Ces chiens qui vivent bien malgré leur handicap

       

      © Facebook – Roo & Penny chicken

      Roo est un petit chihuahua handicapé de naissance. Mais grâce à son chariot à roulette et à Penny la poulette, il vit comme n’importe quel autre toutou !

      Le handicap n’est pas une fin en soi. Si cela vaut pour les humains, c’est aussi vrai pour nos animaux de compagnie : un chien qui a perdu l’usage d’un ou de plusieurs membres n’est plus forcément promis à l’euthanasie et peut très bien s’en sortir… avec un fauteuil roulant !

      Certains maîtres mettent un point d’honneur à ce que leur animal, affaibli mais pas mourant, puisse profiter des années qu’il lui reste à vivre comme n’importe quel autre être humain.

      Alors ils n’hésitent pas à investir des sommes considérables dans un appareillage sur mesure permettant à leur chien de se déplacer même s’il est partiellement invalide.

      En France, il existe de tels appareillages, des « charriots pour chien » créés sur mesure pour rééduquer votre chien à la marche malgré son handicap. C’est le cas du chariot Kerdog.

      Malheureusement, il faut compter plusieurs centaines, voire miliers d’euros pour s’offrir ce petit bijou, et la plupart des maîtres n’en ont pas les moyens.

      Rendons hommage à ces chiens handicapés qui se battent pour vivre comme les autres :

      Buddy le Boxer a perdu l’usage de ses pattes arrières à cause de l’arthrose, une maladie courante chez les grands chiens. Pour son 10ème anniversaire, ses maîtres lui ont offert un chariot pour qu’il profite de la vie à nouveau.

      © handicappedpets.com

      Little Bit est un chien hors du commun. Sauvé par une bonne âme alors qu’il était né d’une portée abandonnée, l’animal n’avait plus de pattes arrières car elles avaient probablement été rongées par un rat. Plus tard, l’animal a sauvé sa maîtresse qui faisait une grave crise d’asthme en prenant le téléphone et en lui mettant dans la main. Il vit aujourd’hui une vie des plus (extra)ordinaires grâce à son chariot.

      chien berger allemand handicap

      Photo suivante© handicappedpets.com

      Kiya la chienne Berger allemand senior a immédiatement adopté le chariot que son maître attentionné lui a offert. On pouvait sentir l’excitation dans ses yeux.

      chien basset handicap

      Photo suivante© handicappedpets.com

      Quand Kirby le chien Basset voit sa maîtresse arriver avec son charriot sur mesure, il se penche d’avant en arrière d’excitation. Il s’en sort très bien et n’a aucun problème pour se déplacer avec

      chien handicap dysplasie

      Photo suivante© handicappedpets.com

      Buster le chien a partiellement perdu la mobilité de ses jambes arrières. Grâce à son appareillage, il peut à nouveau chasser les écureuils et oublie presque qu’il a des roulettes.

      chien teckel handicap

      Photo suivante© handicappedpets.com

      Jule la chienne Teckel, de nature énergique, a connu une phase de dépression après sa paralysie. Depuis qu’elle a un petit charriot à sa taille, elle a retrouvé la joie de vivre et court comme une folle dans la nature.

      chien teckel paralysé

      Photo suivante© handicappedpets.com

      Ru Ru le Teckel a accidentellement été paralysé quand un Rottweiler avec qui il jouait lui a marché sur le dos. Il a retrouvé toutes ses capacités grâce à son chariot.

      chien corgi paralysie handicap

      Photo suivante© handicappedpets.com

      Sandy, la chienne Corgi de 14 ans, a perdu la mobilité à cause d’une myélopathie dégénérative. Avec son petit charriot, elle peut à nouveau marcher et jouer à la balle.

      chien paralysie handicap chariot

      Photo suivante© handicappedpets.com

      Cody a subitement été paralysé de la taille vers le bassin à l’âge de 8 ans, sans que les médecins ne puissent expliquer pourquoi. Refusant l’euthanasie, ses maîtres ont pris toutes les dispositions pour que le Border collie puisse marcher à nouveau. Aujourd’hui, Cody court comme un lapin !

      chien k9 handicap chariot

      Photo suivante© handicappedpets.com

      Shadow a travaillé dans la police (k-9) 8 ans durant avec son maître. Avec la vieillesse, il a perdu l’usage de ses pattes arrières, mais son maître n’a pas voulu se résoudre à le voir diminué ainsi. Il ne regrette pas une seconde son investissement.

      chienne handicap chariot

      Photo suivante© handicappedpets.com

      Alors qu’elle était poursuivie par un ours brun, Mandy la chienne a fait une chute qui l’a paralysée de l’arrière-train. Passée proche de l’euthanasie, ses maîtres ont fait tout ce qu’ils ont pu pour lui offrir une nouvelle vie. Elle adore son charriot !

      chien handicap chariot

      Première photo© eddogphotography.com

      La maîtresse de Max, 13 ans, aimerait que son chien soit un modèle d’inspiration pour ceux dont l’animal est vieillissant et perd sa mobilité. Senior, certes, mais Max est comme un jeune chiot quand il est dans son charriot !

      https://wamiz.com

      15 photos de petits à l’intérieur du ventre de la mère


      Le National Geographic a pris des photos très détaillées possibles dans le ventre de la mère dans le règne animal. Ils ont utilisé des caméras connectées à des scanners à ultrasons 4D et le résultat est très bien réussi
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      15 photos de petits à l’intérieur du ventre de la mère

      1. Un éléphant

      2. Un requin

      3. Une vache

      4. Un pingouin

      5. Un chien

      6. Un poulain

      7. Un dauphin

      8. Une chauve-souris

      9. Un chat

      10. Un serpent

      11. Un lion

      12. Un requin

      12. Un guépard

      14. Ours polaires

      15. Bébé chihuahua

      via: channel.nationalgeographic.com

      http://www.regardecettevideo.fr

      Chiens de l’extrême


       

      Pour plaire à tout le monde, des personnes ont joué avec la génétique des animaux pour avoir une diversité de race que nous connaissons aujourd’hui. Mais cela implique aussi des maux et des coûts qu’il est important de prendre en considération avant d’adopter un chien
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      Chiens de l’extrême

       

      Si les chiens de races miniatures font face... (Photo Thinkstock)

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      Si les chiens de races miniatures font face à des anomalies de développement des membres, les gros chiens sont prédisposés à des affections liées à leur grande taille.

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      La Presse

      Ils pèsent plus de 50 kg ou moins de 2 kg. Au-delà de leur originalité, qu’ils soient géants ou miniatures, les chiens dont la taille flirte avec les extrêmes font face à de nombreux problèmes de santé qui peuvent s’avérer très coûteux pour leurs propriétaires. Le docteur Sébastien Kfoury, président du Centre vétérinaire Laval et du Centre vétérinaire Rive-Sud, a accepté d’éclairer La Presse au sujet de ces chiens dont la taille pourrait être la source de gros soucis.

      «Les extrêmes sont souvent le problème», lance d’entrée de jeu le Dr Kfoury.

      Poméranien, chihuahua, yorkshire, bichon maltais, boston terrier et bouledogue français. Les races de petits chiens sont également commercialisées en version miniature de moins de 2 kg, aussi appelées «teacup», en référence au fait qu’ils tiennent dans une tasse!

      Avec ses 7 cm de haut et 12 cm de long, Meysi, une petite terrier microscopique, est probablement la plus petite chienne du monde. Elle ne pèse que 250 g, soit l’équivalent du poids d’un hamster.

      Pour arriver à de tels résultats, les éleveurs doivent sélectionner les plus petits spécimens d’une lignée pour ensuite les faire se reproduire ensemble. Un procédé qui entraîne divers problèmes génétiques.

      «Chez les chiens microscopiques, on sélectionne des tares génétiques associées à l’arrêt de croissance: on choisit des races chondrodystrophiques, c’est-à-dire dont le cartilage n’a pas une croissance normale. Ces animaux vont avoir des déformations angulaires des membres. Les yorkshire « teacup » ont un très grand pourcentage de luxation de la rotule. Il va aussi y avoir des problèmes d’hydrocéphalie, notamment chez le chihuahua», explique le Dr Sébastien Kfoury.

      «Ces petites races vont également avoir de sévères problèmes orthodontiques: mâchoire trop courte ou trop longue, double dentition et une capacité hallucinante à produire du tartre!», ajoute le vétérinaire.

      Avec ses 7 cm de haut et 12 cm de long, Meysi, une petite terrier microscopique, est probablement la plus petite chienne du monde.

      PHOTO TIRÉE DE FACEBOOK

      Les races miniatures font également face à des anomalies de développement des membres. Seule note réjouissante à ce sombre tableau: les tout petits chiens ont une très bonne espérance de vie.

      «De manière générale, les petits chiens vieillissent moins rapidement que les races géantes: de 12 à 14 ans en moyenne contre 7 à 10 ans chez les grands.»

      Les chiens miniatures sont-ils conscients de leur taille?

      «Les « teacup » sont élevés comme des invalides, toujours dans les bras de leurs maîtres. Ce qui fait souvent d’eux des mésadaptés par rapport aux autres chiens, dont ils ont peur. Ils devraient être au sol tout le temps! Ils n’ont absolument pas conscience de leur taille», rappelle le vétérinaire.

      Grand chien, grands soucis

      Mastiff, saint-bernard, dogue allemand, lévrier irlandais, danois. Les races géantes viennent elles aussi avec leur lot de contrariétés.

       

      Tandis que les races miniatures font face à des anomalies de développement des membres, les gros chiens sont prédisposés à des affections liées à leur grande taille.

      PHOTO THINKSTOCK

      «Les principaux problèmes sont liés à des anomalies de croissance des articulations comme la dysplasie de la hanche. Alors que chez les miniatures l’os se déforme, chez les grands, l’articulation elle-même est touchée et ne s’emboîte plus correctement, ce qui apporte avec le temps de gros problèmes d’arthrose, par exemple», précise Sébastien Kfoury.

      Les gros chiens sont assez robustes, mais prédisposés à des affections liées à leur grande taille: torsion-dilatation de l’estomac, dysplasie de la hanche, cardiomyopathie…

      De plus, les frais vétérinaires qui leur sont administrés sont beaucoup plus chers que pour les petites races.

      «Tout est plus cher: les anesthésies vont du simple à quatre fois le prix, tout comme les antibiotiques, etc.», met en garde le Dr Kfoury.

      Alors, si à l’achat, les gros chiens ne sont pas forcément plus chers que les miniatures, le coût est toutefois beaucoup plus élevé au quotidien: nourriture, laisse, gamelle, collier, tout devra être acheté en format XXL.

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      Le Dr Sébastien Kfoury animera la 7e saison d’Animo qui sera diffusée à partir d’avril 2017. On peut également le voir tous les samedis dès 9h dans Brigade Animo sur les ondes d’ICI Radio-Canada.

      http://www.lapresse.ca/