Un chat politicien se présente aux élections municipales au Mexique


Les gens commencent a ne pas prendre aux sérieux les élections et pour cause, ils ont l’impression que rien ne change, et faire élire un chat c’est je trouve un message clair .. Par contre, pas sur que ce soit la meilleur solution
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Un chat politicien se présente aux élections municipales au Mexique

 

Alors que des élections municipales se préparent au Mexique, la ville de Xapala dans l’Etat de Veracruz est certainement en train de vivre une expérience des plus insolites. Et pour cause : le prochain Maire de la ville sera peut-être… un chat.

Un slogan choc 

Il a quatre pattes, beaucoup de poils blancs et noirs, et un museau tout rose : Il s’appelle Morris, c’est un chat, et, avec son slogan « Xapala sans Rats », il compte bien remporter la victoire aux élections municipales du 7 juillet.

Être un chat Maire : c’est possible ?

Le programme du candidat Morris pour devenir Maire de la ville consiste essentiellement en la chasse aux rats, comme l’indique son slogan. Pour le reste, il promet de faire à peu près les mêmes choses que les autres politiciens, à savoir pas grand-chose…

Si un chat peut se présenter aux élections municipales mexicaines, c’est en effet parce que la fonction de Maire n’est vraisemblablement pas très prenante dans cette région. Parce que sa tâche ne sera pas très compliquée, Morris n’aura pas à renoncer à son faible pour les couettes, oreillers, canapés et autres tissus bien douillets. Ses partisans espèrent seulement qu’il ne deviendra pas qu’un simple gros matou patachon pendant son mandat de trois ans.

Déjà un grand succès

Avec près de 3 000 « j’aime » sur sa page Facebook, Morris aurait déjà plus de fans que trois de ses quatre principaux rivaux sur les réseaux sociaux. Il serait donc plutôt bien parti pour devenir le prochain Maire de Xapala. Réponse en juillet.

Et si jamais Morris a besoin de conseils, il pourra se tourner vers Stubbs, le chat élu maire de la petite ville de Talkeetna, en Alaska, il y a maintenant près d’un an.

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Un chien qui regarde la télé n’aime pas être dérangé


Ce chien semble connecté a la télévisons, très mauvais pour lui… Preuve que les animaux sont capables de prendre les mauvaises habitudes des maitres
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Un chien qui regarde la télé n’aime pas être dérangé

 

Parfois, il arrive que nos compagnons à quatre pattes se montrent quelque peu capricieux… C’est le cas de Luka, un jeune Husky d’un an.

Luka aime beaucoup regarder la télévision, un peu trop peut-être. Comme tout humain qui serait dérangé pendant son émission favorite ou en plein film au moment où le suspens est intenable, Luka, lui non plus, n’aime pas qu’on le perturbe.

Sa maîtresse a beau lui répéter « Luka, viens, descends ! », on voit bien – et on entend bien – que ce chien est en train de lui répondre « mais non, tu vois bien que je suis occupé, laisse-moi tranquille, je ne  veux pas venir ! » On ignore ce qu’il regarde à la télévision, mais il est certain que cela doit être très intéressant !

Mais comme un bon maître est un maître qui ne cède pas aux caprices, et qu’un bon chien est un chien obéissant, Luka finit par descendre de son canapé sans rancune !

 

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5 TRUCS À FAIRE AVEC LES POTS À FLEURS


Quand on aime le jardinage, on accumule des pots à fleurs qu’on empile dans un coin de la remise alors qu’ils pourraient servir a tout autre chose de pratique
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5 TRUCS À FAIRE AVEC LES POTS À FLEURS

Les pots à fleurs peuvent faire plus qu’enjoliver votre environnement… Voici 5 manières différentes de les utiliser toute l’année!

Tiré de Produits ordinaires, usages extraordinaires,

Le saviez-vous?

C’est en 196 avant J.C. que la reine Hatshepsut a envoyé en Somalie des ouvriers chercher des arbres à encens dans des pots.

1. Créer une grotte d’aquarium

Certains poissons adorent se tapir dans les coins sombres de l’aquarium pour se protéger de prédateurs imaginaires. Placez un petit pot à fleurs à l’horizontale au fond de l’aquarium : les poissons iront se réfugier dans cette grotte miraculeuse quand bon leur semblera.

2. Moule à pain

Faites tremper 20 minutes dans l’eau un pot en terre cuite neuf puis enduisez généreuse­ment l’intérieur de beurre et déposez-y votre pâte à pain. Enfournez. Vous obtiendrez un pain avec une croûte agréablement craquante et une mie moelleuse

3. Détruire une fourmilière

Si les fourmis envahissent le jardin ou la terrasse, la solution du pot à fleurs, certes un peu barbare, sera peut-être la bonne. Placez le pot à l’envers sur la fourmilière et versez de l’eau bouillante par le trou de drainage afin d’ébouillanter toute la maisonnée.

4. Dérouler une pelote sans faire de nœuds

Pour ne pas mettre une éternité à terminer un ouvrage au tricot parce que vous êtes constamment obligé de démêler la laine, mettez votre pelote dans un pot à fleurs, faites passer l’extrémité du fil par le trou de drainage puis retournez le pot et placez-le à côté de vous.

5. Économiser du terreau de rempotage

Les plantes qui garniront le grand pot décoratif que vous venez d’acheter ont des racines très courtes, et il est donc inutile de remplir le pot de terreau… Posez un pot plus petit à l’envers au fond du grand pot, puis comblez l’espace restant avec du terreau de rempotage avant de mettre vos plantes en terre.

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En vacances, préservez les ressources en eau, préconise l’ONU


Nous devons changer nos habitudes lors des vacances et arrêter de penser que tout est acquis. C’est une responsabilité pour tout le monde et ainsi enseigner aux plus jeunes au respect des lieux visité
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En vacances, préservez les ressources en eau, préconise l’ONU

 

Inutile de remplacer sa serviette tous les jours... (Photo shutterstock.com)

Inutile de remplacer sa serviette tous les jours à l’hôtel.

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À l’approche de la Journée mondiale du tourisme 2013, le 27 septembre, l’Organisation des Nations Unies rappelle aux voyageurs de mettre de la crème solaire résistante à l’eau, moins polluante, ou de préférer les douches aux bains, en vue de réduire leur consommation d’eau en vacances.

Le thème de cette journée mondiale, qui encourage les vacanciers à réajuster leur empreinte hydrique, va de pair avec celui choisi par l’organisation pour 2013, décrétée «Année internationale de la coopération dans le domaine de l’eau». Essentiel lorsque l’on sait quel nombre de touristes à travers le monde a dépassé le milliard en 2012.

En amont de cet évènement, consacré cette année aux Maldives, et à l’approche des grandes vacances, voici quelques conseils de l’ONU aux les voyageurs :

– Préférez les douches aux bains

– À l’hôtel, pendez vos serviettes et mettez la pancarte «Ne pas déranger» afin que le personnel de ménage ne change pas vos draps ni vos serviettes tous les jours.

– Si possible, choisissez des hébergements durables qui utilisent par exemple l’eau de pluie.

– Respectez les sites que vous visitez. Ne ramassez pas les coquillages, par exemple, et optez pour de la crème solaire résistante à l’eau qui réduit la pollution des océans et évite de mettre à mal la faune marine. Des scientifiques ont montré que les composants de la crème solaire pouvaient tuer les coraux.

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Portrait-robot : à quoi ressemblerons-nous dans 100 000 ans ?


 

Il est vrai que l’être humain a changer depuis la préhistoire, notre génétique et l’environnement ont fait ce que nous sommes aujourd’hui,  pour le mieux ou le pire Mais à quoi demain nous ressemblerons ? On nous voit adapté a la vie extraterrestre .. Est-ce que le voyage de colonisation vers Mars y est pour quelque chose ? Mais ce qui est le plus inquiétant c’est qu’on croit que nous allons jouer a créer le visage des bébés en devenir .. Ouf !!!
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Portrait-robot : à quoi ressemblerons-nous dans 100 000 ans ?

L'homme et la femme du futur - © Copie d'écran de la vidéo YouTube

L’homme et la femme du futur

VIDÉO — De grands yeux ronds, une tête allongée, une peau plus foncée… voilà à quoi pourrait ressembler l’être humain dans 100 000 ans. L’illustrateur Nickolay Lamm a fait équipe avec le généticien Alan Kwan pour tenter d’imaginer le physique de l’homme dans les millénaires à venir.

De l’australopithèque à l’Homo sapiens, l’homme a beaucoup changé. Et ce n’est pas fini, la génétique humaine ne cesse d’évoluer avec les années qui passent. Elle s’adapte à son environnement, pour améliorer les conditions de survie de l’espèce. Désireux de savoir à quoi pourrait ressembler l’homme du futur, l’expert américain en génomique Alan Kwan s’est associé à l’artiste Nickolay Lamm. Voici un aperçu de leurs conclusions, pour des humains qui se rendront régulièrement dans l’espace.

Un corps adapté à la vie extraterrestre

Dans 100 000 ans, l’homme aura tout d’abord une plus grande tête car celle-ci accueillera un plus grand cerveau. Nous porterons également des lentilles de contact de communication informatisées qui travailleront avec des os miniatures implantés dans l’oreille ainsi qu’avec des yeux plus grands et plus ronds.

 Ceux-ci ressembleront à ceux des personnages de manga. Ces yeux plus grands serviront « à voir au-delà du soleil et de la terre », explique Nickolay Lamm. Ils permettront également de mieux voir la nuit.

La pigmentation de la peau sera plus prononcée, pour permettre d’atténuer les effets néfastes des rayons UV, plus nocifs hors de la couche d’ozone. Les paupières seront plus épaisses et l’arcade sourcilière plus prononcée pour atténuer les effets de la gravité. Les narines également plus épaisses offriront une meilleure respiration, plus adaptée aux milieux extraterrestres. Et les cheveux, eux aussi plus épais, seront imperméables au froid astral.

Grâce à la manipulation génétique, on pourra choisir le visage de son enfant.

Nous privilégierons « des lignes fortes et majestueuses, un nez droit, de grands yeux intenses, et globalement, un visage harmonieux respectant les règles de symétrie gauche/droite ».

Entrez la légende de la vidéo ici

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L’astronaute canadien Chris Hadfield a annoncé sa retraite


Un chapitre s’est écrit dans l’histoire spatiale au Canada avec Chris Hadfield. Bientôt a la retraite, il continuera a captivé des adultes et des plus jeunes a l’exploration spatiale grâce a des conférences qu’il effectuera a travers le pays
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L’astronaute canadien Chris Hadfield a annoncé sa retraite

 

 

L’astronaute canadien Chris Hadfield a annoncé sa retraite lors d’une conférence de presse, lundi, à Longueuil. 

M. Hadfield quittera donc l’Agence spatiale canadienne à partir du 3 juillet.

Cette année, il est devenu le premier Canadien à commander la Station spatiale internationale ISS. Il s’agissait de sa troisième mission dans l’espace. Il a été le seul Canadien à avoir séjourné au sein de la station spatiale russe Mir, en 1995, et le premier au pays à effectuer une sortie dans l’espace quand il a installé le deuxième bras canadien sur la Station spatiale internationale en 2001.

«Je suis extrêmement fier d’avoir partagé mon expérience, a affirmé Chris Hadfield par communiqué. Je continuerai à promouvoir l’importance de l’exploration spatiale auprès du public dans ma nouvelle carrière de conférencier et à visiter des écoles canadiennes par l’entremise de l’Agence spatiale canadienne.»

Le ministre de l’Industrie et ministre responsable de l’Agence spatiale canadienne, Christian Paradis, lui a rendu hommage.

« Ses efforts ont raffermi la renommée mondiale de l’expertise spatiale de notre pays. Je voudrais remercier Chris personnellement pour l’engagement avec lequel il a partagé son esprit de la découverte non seulement avec les Canadiens, mais aussi avec le monde entier», a-t-il dit par communiqué. 

Profil personnel : Né le 29 août 1959 ˆ Sarnia et élevé ˆ Milton en Ontario. Marié avec Helene Hadfield (née Walter). Le couple a trois enfants. Chris aime le ski, l’équitation, le jogging, le volley-ball et le squash. Il aime également jouer de guitare, chanter et écrire. Ses parents, Roger et Eleanor Hadfield, habitent près de Milton. La mère d’Helene, Gwendoline Walter, réside ˆ Victoria en Colombie-Britannique. Son père, Erhard Walter, est décédé

Chris Hadfield 14 mai 2013

Chris Hadfield 13 mai 2013

Chris Hadfield répond à la question: que se passe-t-il quand on pleure dans l’espace?

Chris Hadfield, alias Major Tom, photographie la Terre de l’ISS.

Chris Hadfield de retour sur Terre.

Arborant un chandail et un nœud papillon vert, l’astronaute canadien Chris Hadfield a célébré à sa façon la Saint-Patrick le dimanche 17 mars 2013.

Chris Hadfield

Chris Hadfield lors de sa conférence de presse abord de la station spatiale le 10 janvier 2013.

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Toujours plus de pesticides à cause du réchauffement climatique


Quand j’étais petite, on me disait que plus tard, le Québec deviendrait la petite Floride. Il semble que ce pronostique va s’avérer être vrai. Ce qui me turlupine c’est que les chercheurs cherchent toujours dans les pesticides, fongicides et continus a promouvoir l’OMG sachant pourtant des conséquences néfastes
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Toujours plus de pesticides à cause du réchauffement climatique

 

Le réchauffement climatique augmentera la présence d'insectes nuisibles... (Photo: Olivier Pontbriand, La Presse)

Le réchauffement climatique augmentera la présence d’insectes nuisibles d’ici 2050 au Québec.

PHOTO: OLIVIER PONTBRIAND, LA PRESSE

MARIE ALLARD
La Presse

Vers 2050, les températures auront grimpé de 1,9 °C à 3 °C l’été, dans le sud du Québec. La Montérégie aura le climat actuel de l’Illinois. La Capitale-Nationale, celui de l’État de New York. Et Lanaudière, celui du Wisconsin.

Ce réchauffement climatique augmentera la présence d’insectes nuisibles dans les cultures du Québec, selon la première étude qui s’intéresse au problème. L’arrivée de la pyrale – ennemi numéro un du maïs sucré – et du doryphore – capable de détruire complètement un champ de pommes de terre – sera plus hâtive. Des générations plus nombreuses d’insectes verront le jour au cours du même été. Quant à l’efficacité des méthodes de lutte contre ces ravageurs, elle diminuera, selon le rapport du consortium sur la climatologie Ouranos.

«On peut s’attendre à une augmentation de l’utilisation des insecticides et même des fongicides, prévoit la biologiste-entomologiste Annie-Ève Gagnon, l’une des auteures de l’étude. C’est notre grande préoccupation.»

Exemple: en Montérégie, région où l’on cultive le plus de maïs sucré au Québec, les champs sont traités aux insecticides tous les sept à huit jours. Vers 2050, il faudra plutôt le faire tous les trois à cinq jours. La pression sera forte pour que les agriculteurs adoptent des variétés de maïs sucré génétiquement modifiées pour résister à la pyrale, si ce n’est déjà largement fait – elles sont offertes au Québec depuis l’an dernier.

Plus de champignons dans le blé

L’impact des changements climatiques sur les agents pathogènes – surtout des champignons, au Québec – est moins clair.

«Le principal facteur climatique qui va les affecter, ce sont les précipitations, pour lesquelles il est plus complexe de faire des prévisions fiables», explique Mme Gagnon.

La fusariose de l’épi, champignon qui affecte le blé, risque tout de même d’être «plus performante et dommageable», prédit l’étude. Les conditions nécessaires à son développement seront optimisées durant la période de floraison, et sa survie sera plus grande l’hiver. Ce n’est pas banal: la Pennsylvanie – à laquelle le Bas-Saint-Laurent ressemblera en 2050, côté climat – a connu des épidémies sévères de fusariose de 2009 à 2011. De 50% à 60% du blé en a été si affecté qu’il n’aurait pu être commercialisé selon les normes canadiennes.

Mais comment se fier à ces prévisions pour 2050, alors qu’on ne sait pas quel temps il fera le mois prochain?

«Vous ne savez pas quand vous allez mourir, mais vous savez que l’espérance de vie augmente, fait valoir Mme Gagnon. Ce sont des données fiables, des moyennes. C’est la même chose pour la météo. On connaît la moyenne climatique et on sait qu’elle augmente.»

Cultiver du maïs au Lac-Saint-Jean

Ce réchauffement ne sera pas que dommageable. «Nos régions sont avantagées, si on se compare à d’autres plus au sud, qui auront des sécheresses, convient la biologiste. Peut-être qu’on pourra cultiver du maïs au Lac-Saint-Jean. Mais est-ce que ça va être positif dans la balance, en prenant en compte les impacts sur les ennemis des cultures? On ne le sait pas.»

Il faut maintenant élaborer une «stratégie d’adaptation» aux effets des changements climatiques sur les ennemis des cultures du Québec, selon le rapport. Un meilleur dépistage des insectes, la rotation des insecticides et une promotion accrue des outils de lutte biologique sont notamment recommandés.

«On dit souvent que l’agriculture a toujours su s’adapter, souligne Mme Gagnon. Mais maintenant, tout se passe à vitesse grand V. Notre pouvoir d’adaptation est moins grand qu’avant. Il va falloir davantage prévoir qu’éteindre des feux.»

Une conférence sur les changements climatiques et leurs conséquences pour l’agroalimentaire aura lieu demain à Montréal, à l’occasion du 19e Forum économique international des Amériques.

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