Le temps qu’il reste


Les projets mit de côté, des rêves oubliés, par nos préoccupations, le stress s’accumule … et puis le temps passe sans que nous ayons pris le temps de vraiment vivre
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Le temps qu’il reste

 

 

« J’ai du temps à rattraper. Ou plutôt, du temps à gagner. Je dois gagner le temps qu’il me reste, simplement en le vivant. »

Cyril Massarotto

La drôle de rencontre entre un chien et un bébé oie


Un danois, ça beau est un grand chien, il arrive qu’un tout petit animal puisse l’impressionné. La curiosité de ce chien est vraiment drôle a voir
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La drôle de rencontre entre un chien et un bébé oie

 

Voici un magnifique Danois de découvrir un étrange petit animal à plumes !

Cette première rencontre entre Hugo le Danois et Darcy, un bébé oie, est vraiment touchante ! Intrigué par ce drôle d’oiseau tout jaune, Hugo semble impressionné.

Le plus effrayé des deux n’est pas celui qu’on pourrait croire ! A la fois curieux et sur ses gardes, le grand chien paraît vouloir jouer tout en s’allongeant à plat-ventre, comme s’il voulait se mettre à la taille de son minuscule interlocuteur !

 

http://wamiz.com

Insolite : les réponses les plus absurdes du bac 2012


Je suis sur que si on recensait ce genre de propos au Canada, nous aurons autant de réponses quelque peu insolites que la France. En tout cas, c’est un peu déconcertant quand on pense que ces gens veulent se qualifier pour recevoir leur bac …
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Insolite : les réponses les plus absurdes du bac 2012

 

Maëlle Boudet

Le bac approchant, les futurs candidats à l’examen buchent sur les épreuves qu’ils auront à passer.

En travaillant dur, ils éviteront peut-être de commettre les bourdes relevées dans les copies de l’année dernière. Sélection des meilleures perles du bac 2012.

Le site internet Perlesdubac.fr recenses les réponses les plus absurdes lues ou entendues dans les salles de classe. Et le bac 2012 n’a pas échappé à son lot de perles… (Les fautes d’orthographe ont été conservées.)

– « Les pays pauvres se sont quasiment tous rassemblés en Afrique. Il aurait plutôt dû se rapprocher des Etats-Unis, comme l’ont fait le Mexique et le Canada ».

– « Au Japon, le manque de place oblige les autorités à construire des aéroports sous-marins. »

– « Les gens vont vers le sud parce qu’il y a de belles femmes ».

– « Les végétaux fixent l’oxygène sur leur feuille grâce aux globules verts ».

– « L’accumulation du capital n’a pas grand intérêt pour la croissance économique. En effet, une capitale par pays suffit largement, et nous coûte déjà assez cher en impôts. »

– « L’inégalité du recul des élèves est aidé mais malgré cette aide pour réussir l’inégalité au vu des autres voyants des élèves aidés est-elle perçue ? ou injuste ? ».

– « La guerre froide laisse encore des frissons aujourd’hui ».

– « La Première Guerre a été la première et dernière des guerres mondiales. La deuxième étant la Seconde ».

– « Une fois mort, Kennedy ne pouvait plus y faire grand-chose ».

– « Les nazis ont commis des crimes humanitaires ».

– « En 1943, année de prononciation du discours, cela fait un an qu’Hitler est arrivé au pouvoir en 1933 ».

– « La meilleure façon de juger l’utilité d’un travail se mesure aux résultats. Ainsi je pourrais juger de l’utilité de mes professeurs en fonction des résultats que j’obtiendrai au baccalauréat ».

– « On constate que tous dans la société ne travaillent pas pour être utiles. Certains travaillent aussi pour leur plaisir. Les prostituées par exemple joignent l’utile à l’agréable… »

– « La vie est ininterrompable ».

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Karl Lagarfeld veut épouser sa chatte


Je ne sais pas si tous les créateurs de mode sont excentriques, mais  Karl Lagarfeld bat vraiment les désirs les plus insolites. Bon, j’ai beaucoup aimé mes chats, mais d’aller a officialisé une union, il y a une marge … Peut-être que Monsieur devrait aller consulter !!!
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Karl Lagarfeld veut épouser sa chatte

 

Le créateur de mode de 77 ans, Karl Lagarfeld, a déclaré dans une interview à CNN vouloir se marier avec… Choupette, sa petite chatte.

« Il n’existe pas encore de mariage entre les humains et les animaux. Je ne pensais jamais que je tomberais amoureux d’un chat » .

Complètement fou de sa chatte, le créateur de mode a déclaré sur CNN qu’il aimerait officialiser son union avec Choupette.

Karl Lagarfeld, connu pour son excentricité, ne lésine pas sur les moyens lorsqu’il s’agit de s’occuper de la chatte, une Sacrée de Birmanie de 22 mois. En effet, l’animal dispose de deux nourrices à son service mais également… d’un compte Facebook et Twitter.

Le créateur n’hésite pas non plus à la faire manger en sa compagnie et à la faire poser avec des mannequins. Elle a régulièrement le droit aussi à des manucures.

Les deux tourtereaux se sont rencontrés alors que Karl Lagarfeld gardait le chat de son protégé Baptiste Giabiconi. Raide dingue de la chatte il n’a jamais réussi à s’en séparer

http://actualite.portail.free.fr/

Notre vécu change l’anatomie du cerveau


Le cerveau humain est un organe des plus complexe et la science découvre des nouveaux éléments très intéressant sur son fonctionnement. Tout au long de notre vie, par ce que nous expérimentons, par nos activités, le cerveau est en constante évolution
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Notre vécu change l’anatomie du cerveau

 

Le cerveau contient environ cent milliards de neurones,...

Le cerveau contient environ cent milliards de neurones, établissant des connexions entre elles tout au long de la vie. Les contacts interpersonnels sont l’une des principales causes de formation de connexions neuronales.

YVES DALPÉ
Le Soleil

(Québec) On croyait dur comme fer jusqu’à récemment que le cerveau était immuable. Même aujourd’hui, selon la croyance populaire, des modifications du cerveau ne sont possibles que par des interventions médicales ou pharmaceutiques. Or, ce n’est pas comme cela que le cerveau fonctionne. Plutôt, le vécu de chaque personne engendre des changements continuels dans l’anatomie de son cerveau tout au long de sa vie, formant ainsi ses habiletés particulières ainsi que son caractère. Le réseau des neurones est en perpétuel réarrangement, autant relativement aux micro changements des neurotransmetteurs qu’aux grandes bases intégratives reliées à l’intelligence.

On découvre de plus en plus de liens entre la souffrance morale et le fonctionnement du cerveau. On sait maintenant que des manifestations purement biologiques au cerveau peuvent être modifiées par des expériences exclusivement humaines comme la psychothérapie, par exemple, sans aucune intervention chimique. Ainsi, la psychothérapie à elle seule peut modifier le fonctionnement du cerveau de façon permanente.

Le psychiatre Kandel (Prix Nobel 1998) a démontré la plasticité du cerveau. Par exemple, des images scannées du cerveau de musiciens témoignent de différences faisant suite à leur pratique d’instruments de musique. Leur cerveau «musical» s’est développé à la suite de leurs répétitions avec leurs instruments de musique et non à cause de gènes précis. Autres exemples : les neurones de rats élevés dans des environnements plus stimulants sont beaucoup plus branchés. Ces environnements rehaussés stimulent les rats au point que leur cerveau s’en trouve amélioré. Chez les humains, le nombre de dendrites neurales du centre du langage dans le cerveau est proportionnel au degré de scolarité d’un individu.

Pour bien comprendre, il faut savoir que le cerveau est constitué de neurones, environ cent milliards, qui établissent entre eux des connexions tout au long de la vie. Chaque neurone a une moyenne de 10 000 connexions qui le relient à d’autres neurones. Ce qui porte à environ un million de milliards de connexions dans le cerveau, faisant ainsi du cerveau la structure la plus complexe de la Terre. La connexion de chaque neurone se fait par l’émission de petites impulsions électriques qui déclenchent une substance chimique appelée neurotransmetteur, laquelle rejoint un autre neurone de cette façon, et il s’enclenche ainsi une série de répercussions sur une multitude d’autres neurones tous interconnectés. Ainsi, un seul neurone peut influencer une moyenne de 10 000 neurones à l’autre bout du processus lors de l’envoi d’un seul message. Le cerveau se forge de cette manière.

Or, savez-vous que les contacts interpersonnels sont parmi les principales causes de connexions des neurones? Dans son livre The Developing Mind, le psychiatre Daniel Siegel explique comment l’esprit d’une personne émerge de l’activité de son cerveau, dont la structure biologique est formée par ses relations interpersonnelles dès le début de sa vie et tout au cours de sa vie.

Ce qui fait dire à Siegel que «les connexions humaines forment les connexions des neurones».

En effet, le vécu interpersonnel altère à la fois l’activité et la structure des connexions entre les neurones, formant ainsi les divers circuits responsables des divers processus du cerveau comme la mémoire, les émotions, la conscience de soi, etc.

Je fais le lien avec la dépression. Malheureusement, celle-ci est encore très mal comprise. On est porté à blâmer le cerveau ou les gènes, alors que les réelles explications relèvent de notre vécu et du sens que nous donnons à ce vécu. Il y a des échanges bidirectionnels constants entre notre cerveau, notre organisme et notre vécu. Ainsi, le calme ressenti à la vue d’un beau point de vue du fleuve Saint-Laurent s’accompagne d’un accroissement de l’amplitude des ondes alpha dans le cerveau. Autrement dit, le cerveau réagit en fonction de notre vécu. Nous ne sommes pas à la merci de la «mécanique biologique» de notre cerveau, puisqu’au contraire, nous agissons et notre cerveau se modifie en conséquence.

Les personnes en dépression ne sont pas les esclaves de leur cerveau détraqué qu’il faudrait remettre sur les rails nécessairement de façon chimique. Notre cerveau est en constante adaptation, et ceci en fonction de notre vécu, sans apport chimique externe. Le corps et l’esprit sont intimement liés. Des répercussions physiques se manifestent automatiquement à la suite de nos émotions, mais de façon temporaire, et vice versa. Dans le cas d’une dépression typique, il s’agit de changements normaux, mineurs et temporaires et non de pathologies graves du cerveau.

En résumé, ce que nous vivons au jour le jour change l’anatomie de notre cerveau. Notre personnalité est donc le fruit de l’interaction active entre notre bagage héréditaire et notre expérience concrète de la vie.

http://www.lapresse.ca

Régulation des naissances : déjà dans l’Égypte antique…


Au temps des pharaons, il semble que la crue du Nil auraient été propice pour la fécondité des femmes. S’ils pouvaient préférer les temps chauds, ils pouvaient aussi sans doute, contrôler les naissances avec une potion qui sans doute ne devait pas vraiment fonctionné
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Régulation des naissances : déjà dans l’Égypte antique…

 

Amonchopeshfu, fils de Ramsès III, avec sa mère et Anubis. Fresque du tombeau d'Amonchopeshfu, dans la vallée des Reines.

Amonchopeshfu, fils de Ramsès III, avec sa mère et Anubis. Fresque du tombeau d’Amonchopeshfu, dans la vallée des Reines. © Holton Collectio/SUPERSTOCK/SIPA

VICTORIA GAIRN

Les récentes fouilles des sépultures de Dakhla ont révélé une saison des amours liée à la crue du Nil. Ainsi que l’usage de moyens contraceptifs…

On pensait que la vie quotidienne des Égyptiens n’avait – presque – plus de secrets pour nous. Que les peintures et textes nombreux sur papyrus ou sur terre cuite découverts dans les tombes du village d’artisans et d’ouvrier de Deir el-Médineh, dans la vallée des Rois, nous avaient donné les grandes lignes de leur mode de vie, de leurs habitudes. Las, début avril, à Honolulu, devant les membres de la Society for American Archaeology, l’équipe de Lana Williams, professeur à l’université de Central Florida, révélait une découverte des plus intrigantes.

En s’interrogeant sur les pratiques sexuelles de nos aïeuls égyptiens, l’équipe américaine s’est en effet intéressée au cimetière de l’oasis de Dakhla, à 700 km au sud-ouest du Caire. D’après le site Live Science, qui relate les fouilles, les chercheurs auraient sorti près de 800 sépultures et estimé l’âge des individus au moment de leur mort. Le mois du décès a également pu être évalué en fonction du sens de la tombe, qui devait être orientée en direction du lever du soleil.

Surprise : en identifiant 124 dépouilles de bébés, dont le décès serait survenu entre 18 et 45 semaines après leur conception, les archéologues déduisent un pic de naissance autour des mois de mars et d’avril. Soit une conception en juillet-août, des mois souvent caniculaires en Égypte, où la température pouvait grimper au-delà de 40 °C.

Bouse de crocodile

Pourquoi donc les Égyptiens profitaient-ils des mois les plus chauds pour se reproduire, alors même que, parmi les autres cultures européennes, on constate au cours de ces mois estivaux une baisse de la libido et surtout du nombre de spermatozoïdes ? Pour Lana Williams, qui ne s’interdit cependant pas d’autres hypothèses, la raison est simple : les habitants de l’oasis de Dakhla, qui pensaient que la crue du Nil avait lieu tous les étés, était la clé de la fertilité de leurs terres, transposaient cette croyance sur les femmes et la fécondité.

« C’est la première fois que l’on se penche sur les individus eux-mêmes, que l’on fait parler la biologie », se réjouit Lana Williams.

Des chercheurs avaient, certes, déjà travaillé à partir de recensements, mais jamais une fouille de cimetière n’avait permis de comprendre un cycle de naissances.

Plus étonnantes encore, les conséquences de cette découverte. Si une hausse de la natalité avait bien lieu en mars-avril, comment les Égyptiens parvenaient-ils à contrôler les naissances le reste de l’année ?

« Si le calendrier des naissances était si bien planifié, analyse l’archéologue, il semble inévitable que les Égyptiens aient utilisé un moyen de contraception. »

Dans les papyri d’el-Lahoun, qui auraient été rédigés il y a près de 3 800 ans, un traité de gynécologie fait état d’une recette à base de bouse de crocodile et de miel. Sans toutefois préciser comment utiliser la mixture… Était-ce simplement un dissuasif introduit dans le corps de la femme et destiné à repousser l’homme ? Ou les vertus chimiques du mélange permettaient-elles d’agir comme un spermicide ? Si Lana Williams n’apporte pas de réponse pour l’instant, elle tient cependant à préciser que la bouse de crocodile n’était certainement pas aussi efficace que le préservatif. Nous voilà rassurés.

http://www.lepoint.fr/

États-Unis. Il se réveille sans nez suite à une opération de chirurgie ratée


Il est clair que la chirurgie esthétique, et ce, comme toute chirurgie comporte des risques … Me semble qu’après la première voir la deuxième, j’aurais arrêté, mais non, le patient s’est rendu à la 22e opération et avec un résultat pire de ce qu’il s’attendait
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États-Unis. Il se réveille sans nez suite à une opération de chirurgie ratée

Vishal Thakkar a eu la mauvaise surprise de se réveiller avec son nez en moins après une énième opération de chirurgie esthétique ratée. Il poursuit en justice le médecin plastique réputé afin qu’il lui rende son visage.

Tout a commencé en 2006, lorsque Vishal Thakkar, un citoyen américain résidant à Tulsa, décide de se refaire le nez. C’est chez le Dr Angelo Cuzalina, l’un des chirurgiens les plus réputés de la région  qu’il a pris rendez-vous, bien loin de s’imaginer ce qui allait suivre.

22 opérations à son actif

La première opération ne s’est pas bien déroulée en causant des troubles respiratoires mineurs mais très embêtants pour le patient. La suivante fut, également, un échec mais il persista.

6 années et 22 opérations plus tard, Vishal Thakkar a subi une dernière chirurgie, une intervention qui a tourné au drame. En effet, à son réveil, il n’avait plus de nez ! Vu que le patient était sous anesthésie générale, le docteur a été contraint de prendre, seul, la décision radicale de le lui retirer suite à une infection grave.

«Je ne peux pas vivre comme ça, c’est pire que d’être mort» lance Vishal Thakkar lors de son interview à Fox 23. 

Dévasté, il a porté plainte contre le Dr Cuzalina pour «faute grave» et «incompétence». Il espère pouvoir repasser sur le billard pour retrouver un visage normal.

http://www.ladepeche.fr/

Thanatologue aux pratiques contestées Corps laissé sur le «bord du chemin»


On est vraiment peu de chose quand nous mourons, et je trouve que le comportement du thanatologue est répréhensible et vraiment inadéquat,. Cependant, j’avais déjà eu connaissance que les salons funéraires est une affaire de gros sous. Il est donc difficile pour des gens d’avoir une entreprise et de se lancer dans ce genre d’activité sans que les coopératives mettent des bâtons dans les roues ..
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Thanatologue aux pratiques contestées

Corps laissé sur le «bord du chemin»

 

Corps laissé sur le «bord du chemin»

Crédit photo : archives AFP

Deux sœurs ont eu toute une surprise en apprenant que le corps de leur mère avait été abandonné sur le «bord du chemin» lors de son transfert d’une maison funéraire à une autre, à Rimouski.

Adrienne Jean est décédée en décembre dernier à Rimouski. Ses filles, Suzanne et Nathalie Élément, qui n’habitent pas la région, se sont tournées vers le salon Le Parcours pour assurer les arrangements de leur mère. Dès leur arrivée, les deux femmes se sont montrées plutôt surprises en constatant que le corps de leur mère était resté dans le corbillard.

Ne faisant ni une ni deux, le propriétaire, Martin Marquis, leur a avoué qu’il était en «conflit» avec les «autres salons funéraires» parce que ses prix étaient moins élevés que la concurrence.

Il leur a aussi confié qu’il était impossible pour lui d’incinérer le corps à Rimouski, puisqu’il n’avait plus accès au four crématoire de la région et qu’il faudrait transporter la dépouille à Rivière-du-Loup.

Plus la rencontre avançait, moins les sœurs Élément se sentaient à l’aise, surtout que M. Marquis insistait beaucoup à savoir si leur mère «avait de l’argent».

«Ce qui a fait déborder le vase, c’est quand il nous a amenées dans la pièce où il embaumait pour nous montrer ses urnes, a dit Suzanne Élément. Il y avait la table, les produits, un appareil, l’urne était dans le fond sur une tablette, toute poussiéreuse. C’était trop. Il n’était pas question que le corps de maman reste là.»

Bord du chemin

Les deux femmes se sont donc tournées vers la Coopérative funéraire du Bas-Saint-Laurent, située à quelques pas du Parcours. La nouvelle maison funéraire s’est proposée pour aller chercher la dépouille, ce que M. Marquis a refusé.

«Il ne voulait pas que personne mette un pied sur son terrain. Il a dit qu’il irait porter le corps», a dit Mme Élément.

Lorsqu’elles sont parties, Martin Marquis est monté à bord de son corbillard et a abandonné la dépouille dans son contenant en carton, sur un chariot, devant la coopérative, sur le bord du chemin. Le propriétaire du Parcours est ensuite retourné chez lui, avant de revenir à pied avec une facture pour le transport.

Ce sont des clients qui passaient par là qui ont dû avertir des employés de la maison funéraire de la situation.

«Imaginez la réaction des clients qui voient ça! Elle n’est pas restée longtemps. Mais si personne ne l’avait vu faire, maman serait restée là», a déploré Mme Élément.

Faits saillants

La version des faits de Suzanne Élément a été confirmée par la directrice de la Coopérative funéraire du Bas-Saint-Laurent. Cette dernière n’a pas voulu commenter davantage puisqu’elle a récemment porté plainte au criminel contre Martin Marquis.

À la suite de ces événements, la Coopérative funéraire du Bas-Saint-Laurent a déposé une plainte au ministère de la Santé. Le ministère a fait enquête, mais aucune sanction n’a été donnée, puisqu’il n’a noté aucune infraction à la Loi sur les laboratoires médicaux. Le dossier est clos.

«Tout est légal»

Sans nier les faits relatés par les sœurs Élément, le propriétaire du salon funéraire Le Parcours dit n’avoir rien à se reprocher dans le transfert du corps de leur mère.

 

Martin Marquis se souvient «très bien» de l’histoire entourant la dépouille d’Adrienne Jean. Le thanatologue, détenteur des permis de directeur de funérailles et d’embaumeur, tous deux délivrés par le ministère de la Santé, confirme bel et bien être allé porter le corps de la défunte chez son concurrent, de l’autre côté de la rue.

«J’ai préféré aller le porter. Je ne veux pas voir ces gens-là chez nous, a laissé tomber d’entrée de jeu M. Marquis. J’ai laissé la dépouille dans son contenant de crémation à l’entrée de la coopérative, à côté de l’entrée du garage, pour qu’ils puissent la prendre. Le contenant de carton était sur un chariot.»

À la différence des versions de Suzanne Élément, M. Marquis aurait attendu qu’un employé de la coopérative prenne possession du corps avant de quitter les lieux.

«J’ai attendu en bordure, avec mon corbillard, a-t-il affirmé. Je ne vois pas en quoi il y a problème là-dedans. Il faisait beau. Il n’y avait pas de tempête. Il a pris le chariot.»

Concurrence

À ses yeux, la «concurrence» entre son organisation et la coopérative pousserait cette dernière à «amplifier tous les phénomènes».

«La coopérative dit que c’est illégal ce que je fais, mais tout est légal, a-t-il précisé. Mes affaires sont bien effectuées.»

Selon lui, l’industrie locale de Rimouski ferait d’ailleurs «tout» pour le bloquer depuis son ouverture, en 2010. De son propre aveu, Martin Marquis affirme qu’il n’a plus accès au four crématoire de la région, ne peut plus publier dans les avis de décès du journal du quartier et n’est plus en mesure de commander ses urnes et cercueils au Québec. Il n’est pas non plus membre de la Corporation des thanatologues, qui ne cherche qu’à «faire des profits».

«Le Parcours, c’est un projet pour venir en aide aux démunis dans le rituel funéraire, mais l’industrie n’accepte pas mes prix», a maintenu Martin Marquis.

Resserrer les règles

La famille de Suzanne Élément a porté plainte à la Corporation des thanatologues du Québec pour dénoncer les manières de faire de Martin Marquis. Bien au courant des événements, la directrice générale de l’association, Nathalie Samson, ne peut que dénoncer la situation, le thanatologue n’étant pas membre de son association.

http://tvanouvelles.ca

Le cancer existait déjà à l’époque de l’homme de Néandertal


Le cancer, mot qu’à notre époque est une maladie malheureusement très courante. On penserait sûrement que le cancer serait une maladie du XXe siècle, mais en réalité, nos premiers ancêtres pouvaient eux aussi en souffrir
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Le cancer existait déjà à l’époque de l’homme de Néandertal

 

Les crânes d'un homme de Néandertal (g) et d'un Homo Sapiens (d) exposés au Smithsonian National Museum d'Histoire naturelle de Washington le 17 mars 2010

Les crânes d’un homme de Néandertal (g) et d’un Homo Sapiens (d) exposés au Smithsonian National Museum d’Histoire naturelle de Washington le 17 mars 2010 MANDEL NGAN AFP/ARCHIVES

SCIENCES – Des chercheurs ont identifié la plus vieille tumeur du monde, âgée de 120.000 ans…

 

La disparition de l’homme de Néandertal reste toujours un mystère. En revanche, il semble bien que notre cousin ait déjà souffert du cancer, alors que les scientifiques estimaient que l’apparition de cette anomalie cellulaire était bien plus tardive.

L’analyse d’une côte d’un homme de Néandertal vivant dans la région de Krapina, en Croatie, il y a 120.000 ans, a révélé la présence d’une tumeur osseuse, écrivent des chercheurs de l’université du Kansas dans la revue PLOS One.

Jusqu’à présent, les premières traces de cancers avaient été détectées dans des momies égyptiennes au maximum âgées de 4.000 ans, expliquent les scientifiques à la BBC.

Parce que le squelette n’est que partiel, les chercheurs n’ont pas pu mesurer l’impact de la tumeur sur la santé de cet individu. Mais selon eux, cela prouve que le cancer n’est pas apparu récemment, comme d’autres experts l’affirmaient.

http://www.20minutes.fr