Le miracle du présent


Nous voulons toujours plus, toujours mieux, comment nous pourrions mieux apprécier si nous n’arrivons pas a être satisfait des beaux moments si petits soit-ils qui se passe dans notre vie
Nuage

 

Le miracle du présent

 

« Le miracle n’est pas de marcher sur l’eau, il est de marcher sur la Terre verte dans le moment présent et d’apprécier la beauté et la paix qui sont disponibles maintenant. »

Thich Nhat Hanh

Etats-Unis. Naissance d’une tortue… à deux têtes (vidéo)


Ce n’est pas la première fois que des tortues a deux têtes naissent. Voici une autre qui se montre très agile et mignonne comme tout
Nuage

 

Etats-Unis. Naissance d’une tortue… à deux têtes (vidéo)

 

VIDEO — Le 18 juin dernier, une tortue pas comme les autres a vu le jour dans le zoo de San Antonio, au Texas. En effet, cette tortue possède les mêmes caractéristiques que ses homologues : quatre pattes, une carapace… A un détail près : elle a deux têtes !

L’animal, une femelle, a été baptisé Louise et Thelma. Il s’agirait en fait de deux tortues siamoises pour lesquelles la séparation de l’œuf n’aurait pas eu lieu.

Dédoublement de la personnalité

La tortue souffrirait cependant d’un dédoublement de la personnalité selon le responsable des reptiles du Friedrich Aquarium qui a expliqué aux journalistes de France Télévisions que

« la partie droite regardait avec curiosité autour d’elle tandis que la partie gauche essayait de me mordre ».

Ainsi, selon l’expert, la partie gauche dominerait sur la partie droite.

Malgré son jeune âge et sa maladie, la petite bête est capable de marcher, de nager et pourrait même avoir une espérance de vie relativement normale.

http://www.ladepeche.fr

7 BONS INDICES POUR DÉTECTER UN MENTEUR


 

Il y a des menteurs qu’on peut repérer à des kilomètres à la ronde alors que d’autres par contre sont plus difficile a cerné. Un de mes trucs est de reposer la question de différentes manières pour voir les variantes des réponses ou encore si c’est une personne que l’on connait, ils ont tendance a répété le fond de l’histoire mais avec aussi des variantes, … Cependant, il y a d’autres signes qui peuvent donner un indice que la personne ment
Nuage

 

7 BONS INDICES POUR DÉTECTER UN MENTEUR

Qui ne connaît pas le vieux dicton qu’un menteur ne vous regarde jamais dans les yeux? Voici quelques autres indices, fournis par des experts, pour vous permettre de reconnaître un menteur, même s’il vous ment en pleine face.

Par les rédacteurs du Reader’s Digest

1. Son visage le trahit-il?

(Crédit photo : 2009 Jupiterimages Corporation)

Un sourire ne déguise pas si facilement ce qu’on ressent, et les expressions qui passent rapidement sur le visage d’un menteur trahiront ce qu’il pense vraiment, qu’il s’en rende compte ou non. Les experts recommandent de porter attention aux micro-expressions qui sont difficiles à cacher; mais ce sont des indices difficiles à détecter que même les experts peuvent ne pas discerner. Soyez attentif à la rougeur des joues, car l’anxiété peut amener la personne à rougir. D’autres indicateurs du mensonge : narines dilatées, rictus ou tension des lèvres, profondes respirations et clignements des yeux indiquent que le cerveau met les bouchées doubles.

2. Son langage corporel coïncide-t-il avec ses propos?

(Crédit photo : Jupiterimages/Comstock/Thinkstock)

Il est important d’examiner l’ensemble de l’attitude de la personne et pas un seul aspect de celle-ci. L’honnêteté se caractérise par une synchronisation des mouvements et de la communication : donc, regardez la posture, mais aussi la coordination entre le visage, le corps, la voix et le discours. Comme un animal qui ne veut pas être découvert, un menteur peut ramener ses bras et ses jambes sous lui et bouger aussi peu que possible – tout pour paraître plus petit. Souvent les menteurs mettent les mains derrière leur dos pour ne pas être trahis par l’agitation de leurs doigts.

3. Comment sourit-il?

(Crédit photo : George Doyle/Stockbyte/Thinkstock)

Un sourire peut masquer les sentiments profonds. Soyez attentif à la façon dont la personne sourit et à ses mouvements faciaux. Vous serez peut-être capable de détecter les émotions qu’il ou elle cherche à cacher, telles que la peur, la colère et le dégoût. Un sourire franc engagera non seulement les lèvres, mais aussi les yeux de la personne.

4. Comment s’exprime-t-il?

(Crédit photo : Jupiterimages/Comstock/Thinkstock)

Un changement dans le ton de la voix peut démasquer un menteur, mais les experts recommandent aussi de porter attention au débit du discours et à la respiration de la personne – si vous constatez une accélération ou un ralentissement de l’un de ces deux éléments, c’est peut-être qu’on ne vous dit pas toute la vérité.

5. Que dit-il?

(Crédit photo : iStockphoto/Thinkstock)

Les menteurs ont tendance à ne pas utiliser de mots qui expriment des réserves, comme « mais », « ni », « excepté » ou « tandis que » parce qu’ils ont des difficultés avec les processus mentaux complexes. Par ailleurs, ils auront moins tendance à dire « Je », « moi », « mien ». Pour essayer de se distancer psychologiquement de leurs menteries, les menteurs tendent à ne pas communiquer à la première personne et utilisent moins les pronoms personnels.

6. Drôle de comportement?

(Crédit photo : 2009 Jupiterimages Corporation)

Les experts croient que lorsqu’une personne s’éloigne de son comportement habituel, c’est le moment de devenir attentif. Évaluez la rapidité de l’élocution, le ton de la voix, la posture et la gestuelle des mains, en comparant mentalement à ce que vous connaissez de la personne et tenez compte du contexte de la situation. Si votre mari vous dit « J’ai beaucoup aimé la cravate que tu m’as achetée », en faisant un sourire pincé qui n’englobe pas ses yeux, attendez-vous à le voir en col roulé.

7. Question simple ou embarrassante?

(Crédit photo : 2009 Jupiterimages Corporation)

C’est normal que quelqu’un regarde ailleurs si on lui pose une question difficile. Mais quand quelqu’un évite votre regard quand vous lui posez une question simple, soyez sur vos gardes.

http://selection.readersdigest.ca

Couleurs et couverts influencent notre perception de la nourriture


L’an dernier, les recherches avaient abouti au résultat que la vaisselle rouge agissait comme un frein sur la quantité de nourriture dans nos assiettes .(La vaisselle rouge pour perdre du poids?). et d’autres recherches semblent confirmer que le cerveau a une perçoit la nourriture ou breuvage dépendant du contenant et de sa couleur
Nuage

 

Couleurs et couverts influencent notre perception de la nourriture

 

La couleur et la nature des couverts influent sur la façon dont nous percevons... (PHOTOTHÈQUE LA PRESSE)

PHOTOTHÈQUE LA PRESSE

La couleur et la nature des couverts influent sur la façon dont nous percevons la nourriture, rapporte une étude publiée mercredi, qui déconseille ainsi fortement l’usage du rouge pour stimuler l’appétit.

«La façon dont nous percevons la nourriture est une expérience multisensorielle qui implique non seulement le goût et la texture des aliments, mais aussi l’arôme et la vue», résument les auteurs de l’étude, publiée dans la revue scientifique Flavour.

«Avant même que la nourriture soit dans notre bouche, notre cerveau a déjà formé un jugement sur elle, ce qui affecte l’ensemble de notre expérience alimentaire», affirment les chercheurs de l’Université britannique d’Oxford.

La couleur rouge serait particulièrement dissuasive.

«Le rouge pourrait être utilisé pour présenter de la nourriture aux gens qui doivent rationner leur alimentation, mais certainement pas pour ceux dont le poids est trop faible», affirme l’étude.

Les chercheurs ont procédé à une batterie de tests à l’aide de couverts de différentes couleurs, formes, matières et poids, pour évaluer leur impact gustatif sur des dizaines de volontaires.

Ils en arrivent à la conclusion que de la nourriture piquée sur un couteau a un goût plus salé que si elle est consommée avec une cuiller, une fourchette ou un cure-dents, et qu’elle semble «plus chère» si on la mange dans une cuiller en plastique légère.

Au début de l’année, une autre étude suggérait déjà que le chocolat chaud paraissait meilleur lorsqu’il était servi dans une tasse de couleur orange ou crème, plutôt que blanche ou rouge.

Les spécialistes assurent toutefois qu’il n’existe pas réellement de formule magique et que tout dépend du type d’aliment consommé.

Par exemple, des boîtes jaunes permettent d’améliorer la saveur du citron dans les sodas, alors que des couleurs froides, comme le bleu, donnent l’impression d’une boisson plus désaltérante. Une boisson dans un contenant rose sera à l’inverse perçue comme étant plus sucrée.

http://www.lapresse.ca

Le génôme d’un cheval vieux de 700 000 ans décodé


La science vient encore faire un grand pas avec un os de la préhistoire d’un cheval. Le domaine de la génétique a pu mettre ses talents a l’oeuvre pour aller chercher des informations aussi vieux que 700 000 ans, Une ouverture vers d’autres découvertes pourraient encore nous surprendre
Nuage

 

Le génome d’un cheval vieux de 700 000 ans décodé

 

Au passage, les généticiens démontrent que l'ancêtre commun... (Photo Photos.com)

Au passage, les généticiens démontrent que l’ancêtre commun à tous les équidés modernes (chevaux, ânes, zèbres, etc.) est apparu voici environ quatre millions d’années, deux fois plus tôt que ce que l’on pensait jusqu’alors.

PHOTO PHOTOS.COM

LAURENT BANGUET
Agence France-Presse
Paris

Des chercheurs sont parvenus à décrypter le génome d’un cheval vieux de 700 000 ans, de loin le plus ancien génome jamais analysé à ce jour. Un exploit qui permet d’envisager de lire dans l’ADN de fossiles qu’on croyait jusqu’alors bien trop endommagé pour livrer des informations exploitables.

Tout a commencé en 2003 avec la découverte d’un morceau d’os fossilisé dans une couche de terre gelée («permafrost») dans le Yukon canadien.

«Il s’agit d’un bout de métapode, un élément d’un os long de la jambe; il est partiel, environ 15 cm de long sur 8 cm de large», explique à l’AFP Ludovic Orlando, chercheur français du Centre de géogénétique du Muséum d’Histoire naturelle du Danemark.

Un os de cheval, révèle la comparaison morphologique avec d’autres chevaux préhistoriques ou non. Mieux encore: c’est un os conservé au froid et âgé d’environ 735 000 ans si l’on en croit la strate du permafrost d’où il a été exhumé.

Même si le plus ancien génome jamais séquencé jusqu’alors, celui de l’homme de Denisova, est dix fois plus jeune (70 000 à 80 000 ans), l’équipe danoise décide de relever le défi et de l’analyser.

«C’était une occasion unique pour pousser nos technologies à la limite (…) Moi-même, pour être honnête, quand on a commencé le sujet, je pensais que ce n’était pas possible!», souligne M. Orlando, auteur principal de l’étude publiée mercredi dans la revue Nature.

Les chercheurs vérifient d’abord si les molécules de l’os ont bien été préservées par le gel durant tout ce temps. Non seulement ils y trouvent les constituants du collagène, protéine principale des os, mais ils parviennent à le séquencer. Surprise, ils voient aussi d’autres molécules, comme les marqueurs de vaisseaux sanguins qui irriguaient cet os.

Tout semble réuni pour y chercher de l’ADN avec la technologie dite de «deuxième génération», la seule disponible à l’époque.

«Effectivement, on a pu identifier en moyenne une séquence sur 200 qui est d’origine chevaline», raconte-t-il.

Puzzle avec des milliards de pièces

Cela reste malgré tout insuffisant d’un point de vue scientifique. Les chercheurs de Copenhague tentent alors une première technologique, mettant à profit les progrès récents de la recherche médicale. Ils utilisent cette génomique de «troisième génération» qui permet de séquencer les molécules d’ADN sans les manipuler, sans les amplifier, préservant ainsi au maximum des molécules déjà fortement dégradées par le passage du temps.

Le résultat est trois à quatre fois meilleur que précédemment. «On a essayé de l’améliorer encore en changeant certains paramètres, comme la température, la méthode d’extraction, etc. D’une séquence équine sur 200, on est passé quasiment à dix fois plus», indique M. Orlando.

«On a des tout petits bouts mais comme on en a beaucoup, on est capable de réassembler ça sur un génome de référence. Comme un vase qui serait brisé en mille morceaux, c’est un puzzle mais avec des milliards de pièces!».

Verdict:

«C’est clairement un membre de l’espèce cheval», lointain cousin situé «à l’extérieur du groupe de tous les chevaux modernes» comme le prouve la comparaison avec le génome de cinq variétés domestiques, du cheval de Przewalski (équidé sauvage très proche du cheval) et d’un équidé vieux de 43 000 ans.

«Il est beaucoup plus grand que les poneys actuels, plus grand que les chevaux Fjord. Il a la taille des chevaux islandais», précise le chercheur.

Au passage, les généticiens démontrent que l’ancêtre commun à tous les équidés modernes (chevaux, ânes, zèbres, etc.) est apparu voici environ quatre millions d’années, deux fois plus tôt que ce que l’on pensait jusqu’alors.

Et ils suggèrent également que le cheval de Przewalski, dernier survivant de la population de chevaux sauvages, est génétiquement viable malgré les croisements réalisés pour sauver cette espèce de l’extinction.

Surtout, l’exploit de ces experts du passé ouvre des perspectives inenvisageables jusqu’alors, permettant de rêver un jour d’analyser l’ADN d’animaux préhistoriques, voire d’ancêtres de l’Homme qu’on croyait hors d’atteinte.

«À peu près 10% des molécules de très petite taille vont survivre au-delà d’un million d’années dans ces conditions-là. Et la bonne nouvelle, c’est que ces molécules ont suffisamment d’information pour permettre de les détecter», résume le chercheur.

«On ouvre une porte qu’on pensait fermée à jamais! Tout va dépendre de l’avancée des technologies, mais on a des tonnes d’arguments pour penser que ça va mener à un coffre-fort plutôt qu’à une impasse», assure Ludovic Orlando.

http://www.lapresse.ca

La dépendance aux réseaux sociaux, ça se soigne


Sommes nous dépendant de la technologie. Avons-nous des moments où nous faisons autre chose que se connecter sur les réseaux sociaux. Il y a un marché qui se commence a offrir des solutions pour se déconnecté que certaines entreprises ou même des écoles seront surement intéressé
Nuage

La dépendance aux réseaux sociaux, ça se soigne

 

Marianne BARRIAUX

Vous n’en pouvez plus de vérifier votre téléphone intelligent toutes les trois minutes dans l’attente fébrile d’un courrier électronique ou d’un SMS? Le surmenage numérique vous menace?

Les thérapies contre la dépendance aux nouvelles technologies se développent, du papier peint anti-wifi aux vacances 100% hors ligne.

«Les gens se connectent sans arrêt, partout, dans toutes les positions – au lit, au restaurant, dans les salles d’attente», constate Remy Oudghiri, directeur de l’institut de sondage français Ipsos et auteur d’un livre sur la cyberdépendance.

Les écrans ont colonisé les années 2010. Aux États-Unis, près de la moitié des adultes disposent d’un téléphone intelligent, et plus d’un tiers arborent une tablette numérique.

«Ce surgissement soudain des possibilités infinies de connexion, après une période initiale d’enthousiasme, conduit chaque utilisateur à réfléchir sur la façon de savourer l’existence tout en profitant de leur connexion. La question se pose de savoir comment éviter la dépendance», ajoute M. Oudghiri.

Des chercheurs français ont créé un papier peint spécial qui bloque la transmission des ondes wi-fi. Un fabricant, Ahlstrom, envisage de lancer ce produit sur le marché l’année prochaine.

L’intérêt est grand, en particulier dans les écoles pour empêcher les élèves et les étudiants de passer trop de temps pendus à leur téléphone pendant les cours, d’après un porte-parole de cette société.

D’après une enquête d’Ipsos, près d’un tiers des Français éprouvent le besoin de déconnecter, et des tendances comparables se dégagent dans d’autres pays.

En 2006 déjà, Ipsos avait mis en avant que 54% des Français avaient le sentiment de passer moins de temps ensemble en raison des avancées des nouvelles technologies. Et le chiffre est passé à 71% l’année dernière.

«Désintoxication numérique»

Dans le secteur du tourisme, des hôtels se sont engouffrés dans le créneau de la «désintoxication numérique».

La chaîne hôtelière Westin à Dublin par exemple propose à ses clients de remettre leurs téléphones intelligents et leurs tablettes à la réception. L’hôtel leur offre aussi un kit pour planter un arbre et un jeu de société. Le prix: 175 euros la nuit.

D’autres sociétés ont élaboré d’autres formules. L’Américain Digital Detox organise ainsi des retraites sans internet dans des coins isolés des États-Unis ou des pays comme le Cambodge.

«Cela fleure bon le marketing» pour Thierry Crouzet, un blogueur qui a volontairement déconnecté pendant six mois. «Il y a des tas d’endroits qui sont tranquilles. Vous n’avez pas besoin de réserver un voyagiste pour le Pôle Nord».

Ce journaliste de 49 ans a écrit un livre sur son expérience intitulé «J’ai débranché», après avoir subi ce qu’il appelle un «surmenage numérique» à force de vérifier la nuit ses courriers électroniques, blogues et comptes Twitter.

«Je vois beaucoup d’amis blogueurs qui lèvent le pied. Presque tout le monde s’arrête un peu. Nous prenons conscience que la technologie ne nous nourrit pas», ajoute-t-il.

Dans le monde du travail, des entreprises prennent aussi les devants pour que leurs salariés ne soient pas reliés à la toile 24 heures sur 24.

Le fabricant automobile allemand Volkswagen, par exemple, a décidé de ne plus envoyer de courriers électroniques à ses salariés de 18h15 à 07h00.

Et pour ceux qui ne peuvent décidément pas résister à l’appel des réseaux sociaux, le site anti-social.cc propose un logiciel qui bloque l’accès aux sites qui vous déconcentrent et vous empêchent d’être efficace au travail, moyennant 15 dollars.

Les cures de désintoxication d’internet commencent à fleurir aux États-Unis, par exemple avec reSTART, qui se présente comme la première offre d’un programme de retraite anti-internet aux États-Unis.

D’après son site, la plupart des cas traités ont entre 18 et 28 ans, et éprouvent des difficultés pour finir leurs études en raison d’une utilisation intensive d’internet. D’autres ont du mal à établir ou maintenir des relations sociales normales dans la vie réelle.

«Je n’utiliserais pas le mot dépendance», conclut M. Oudghiri, le spécialiste d’Ipsos. «Ce n’est pas la même dépendance qu’à la drogue: vous pouvez vous en libérer plus facilement»

http://techno.lapresse.ca

Surveillance : Le père du Web dénonce l’hypocrisie de l’Ouest sur l’espionnage


Que les jeunes n’utilisent moins le web pour parler de leur vie intime, a cause des révélations que les États-Unis fait de l’espionnage des internautes, me surprendrait … Pour les plus vieux, probablement qu’ils feront peut-être plus attention, mais quoiqu’il en soit il est vrai que si l’Occident montre du doigt des pays qui ont des politiques plus dures et espionnent le peuple .. l’Occident n’a vraiment pas de leçon a donné
Nuage

 

Surveillance : Le père du Web dénonce l’hypocrisie de l’Ouest sur l’espionnage

 

Surveillance - Le père du Web dénonce l'hypocrisie de l'Ouest sur l'espionnage

Tim Berners-Lee, le père du web

Photo Vincent West / Reuters

LONDRES – Tim Berners-Lee, crédité d’être à l’origine du World Wide Web (WWW) en 1989, dénonce l’«hypocrisie» des gouvernements occidentaux qui espionnent le monde tout en faisant la leçon aux régimes autoritaires qui font exactement la même chose.

«Au Moyen-Orient, les citoyens se sont vus octroyer l’accès à la Toile pour être aussitôt espionnés, puis emprisonnés», relève ce savant de 58 ans, inventeur du célèbre système de liens hypertexte en réseau, dans les colonnes du Times de Londres.

«Il est facile pour les Occidentaux de dire ‘il ne faudrait pas que ces méchants gouvernements puissent se livrer à de l’espionnage’. Mais il est évident que les pays développés font de même eux-aussi à grande échelle sur internet», dit-il.

Il redoute aussi que les récentes révélations sur l’ampleur des programmes américain et britannique de cybersurveillance ne modifient la manière de faire des internautes, notamment chez les jeunes générations très friandes de réseaux sociaux pour exposer et partager leur univers intime.

Il évoque ainsi «les adolescents incertains de leur sexualité et qui sont désireux de communiquer avec leurs semblables, (…) les personnes qui ont été victimes d’abus et sont en quête d’aide».

«(…) Les gens vont maintenant hésiter à se livrer sur la Toile sachant qu’il y a quelqu’un qui les regardent derrière leur épaule», explique ce diplômé d’Oxford anobli en 2004 par la reine d’Angleterre.

Ce dernier s’interroge enfin sur la capacité des gouvernements à protéger le caractère confidentiel de données «sensibles» une fois celles-ci recueillies.

http://fr.canoe.ca