Ce qui compte


Par la maladie ou une catastrophe quelconque on se rend souvent compte trop tard, le temps qu’on a perdu a des futilités, alors qu’il y avait des gens a parler ainsi que des choses importantes a vivre pleinement.
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Ce qui compte

 

 

On ne devrait jamais attendre d’être forcé par la maladie pour s’arrêter et réfléchir à ce qui compte vraiment dans la vie

Inconnu

Le Saviez-Vous ► En 1974, le pharaon Ramsès II a reçu un passeport pour voyager à Paris


La momie Ramsès II a un parcours impressionnant même après sa mort. Il devait voyager en France pour passer des examens et découvrir plus sur sa santé et son physique. Les Égyptiens n’ont pas de risques, ils ont fait un passeport en bonne et du forme pour être sûr que la momie revienne au bercail.
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En 1974, le pharaon Ramsès II a reçu un passeport pour voyager à Paris

 

par  Laura Boudoux

 

L’un des pharaons les plus puissants de l’Égypte ancienne a reçu un passeport officiel lui permettant de se rendre en France, 3 000 ans après sa mort.

En 1974, les égyptologues avaient constaté que la momie de Ramsès II se détériorait de manière précoce et ils décidèrent donc de l’envoyer à Paris pour une inspection plus poussée. La loi égyptienne voulait alors que les restes humains soient en règles et possèdent donc leurs propres papiers avant de voyager internationalement. Une manière pour le pays d’assurer à la dépouille une protection légale, afin de garantir son retour en Égypte. À l’époque, de nombreux objets et momies avaient en effet été pillés ou volés sans que les musées européens ne respectent les revendications de propriété égyptiennes.

Un passeport fut donc délivré à Ramsès II, précisant notamment sa date de naissance, 1303 avant J.-C., et sa profession : « Roi (décédé) ». La momie du pharaon arriva finalement à l’aéroport du Bourget en septembre 1976, où un défilé militaire fut organisé en hommage à cette collaboration exceptionnelle entre l’Égypte et la France, comme le racontait cette année-là le New York Times. Reçu avec les mêmes honneurs qu’un chef d’État, Ramsès II fut ensuite emporté au Musée de l’Homme de Paris, où pendant huit mois, une cinquantaine de spécialistes étudièrent ses tissus et son sarcophage.

Les analyses montrèrent alors des blessures liées à des combats, de l’arthrite, et même un abcès dentaire. Les chercheurs estimèrent également que le pharaon, décédé entre 80 et 85 ans, mesurait 1,73 m et était roux. Il apparut enfin aux scientifiques que le roi d’Égypte souffrait de spondylarthrite ankylosante, une inflammation des articulations de la colonne vertébrale, qui le contraignait à marcher le dos courbé pendant les dernières années de sa vie. Une fois traitée et restaurée, la momie de Ramsès II fut bel et bien renvoyée en Égypte, où elle est depuis exposée, au Musée Égyptien du Caire.

Source : The New York Times

https://www.ulyces.co/

Ce Russe s’est planté un couteau de 20 cm dans le crâne pour mieux respirer


On sait qu’il n’est pas recommandé de s’auto médicamenté, il n’est pas non plus recommandé de se prescrire nous-même un traitement. Cet homme, a dû être vraiment désespéré pour se planter un couteau dans la tête dans le but de mieux respirer.
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Ce Russe s’est planté un couteau de 20 cm dans le crâne pour mieux respirer

 

par  Laura Boudoux

Sa survie relève du miracle. Début octobre, un homme russe s’est planté dans le crâne un couteau long de plus de 20 cm, afin de creuser un trou pour lui permettre de mieux respirer, relate le Daily Mail.

C’est la police de la ville de Donetsk, au sud de Moscou, qui l’a retrouvé seul, agenouillé au milieu d’un champ, le manche du couteau de cuisine dépassant de sa tête. À 41 ans, Yury Zhokhov a survécu à sa folie uniquement car la lame était plantée exactement entre les deux hémisphères de son cerveau. 

« C‘était horrible. Même nos infirmières les plus expérimentées, qui en ont vu plus d’une, ne s’en sont pas remises », a confié un porte-parole du ministère des Situations d’urgence russe – avec ce genre de zozos, il leur faut bien un ministère comme celui-ci.

« Les rayons X montraient que la lame était enfoncée très profondément. Les médecins locaux n’ont pas osé la retirer, ils ont préféré appeler l’hôpital régional, et demandé à ce que des spécialistes soient envoyés », a-t-il détaillé. Parfaitement conscient lorsqu’il a été retrouvé par les autorités, ce technicien travaillant dans une usine du coin a expliqué que son « nez ne respirait plus », mais que le couteau était resté coincé dans son crâne, ne permettant « pas non plus à sa tête de respirer ».

Pris en charge et ne souffrant d’aucune séquelle, Youri Zhokhov est toujours placé sous surveillance. Les chirurgiens ont en effet expliqué qu’il existait un grand risque d’infection suite à cette incursion crânienne hasardeuse. Quant aux problèmes d’inhalation par le nez de Zhokhov, aucun commentaire n’a été fait. On espère que son appendice a repris du service.

Sources : The Mirror / The Daily Mail

https://www.ulyces.co

Un gardien de zoo tué par un tigre blanc au Japon


Je trouve que la famille a fait le bon choix malgré l’horrible façon qu’est mort un membre de leur famille qui était gardien de zoo et qui s’occupait du tigre qui l’a attaqué. Le tigre vivra malgré tout, il ne fait que suivre son instinct et il ne sera donc pas pénalisé pour sa nature. Sauf qu’il sera encore enfermer dans un zoo.
Nature

 

Un gardien de zoo tué par un tigre blanc au Japon

 

Photo d'archives

OLGA_GL VIA GETTY IMAGES

À la demande de la famille de la victime, le tigre ne sera pas abattu.

Un tigre blanc a attaqué et tué un gardien dans son enclos, dans un zoo du sud du Japon, qui laissera l’animal en vie à la demande de la famille de la victime, ont indiqué mardi la police et le zoo.

Akira Furusho, âgé de 40 ans, « a été retrouvé à terre dans la cage, en sang », a expliqué un représentant des forces de l’ordre à l’AFP.

Il a été transporté à l’hôpital, mais les médecins n’ont pu que constater son décès.

L’attaque est survenue lundi soir au parc zoologique de Hirakawa, à Kagoshima, où se trouvent quatre tigres blancs, une espèce menacée.

Les secouristes sont rapidement arrivés sur les lieux et ont neutralisé l’animal, un mâle âgé de cinq ans et prénommé Riku, à l’aide d’un fusil hypodermique permettant d’injecter des tranquillisants à distance, a précisé le zoo.

Nous n’avons pas l’intention d’abattre Riku et comptons le garder car c’est ce que nous a demandé la famille de la victime.

« Nous n’avons pas l’intention d’abattre Riku et comptons le garder car c’est ce que nous a demandé la famille de la victime », a déclaré à l’AFP Takuro Nagasako, un des responsables du zoo.

Le parc zoologique est resté ouvert mardi mais le secteur des tigres a été isolé car « la police continuait d’enquêter », a précisé M. Nagasako.

Riku, d’environ 1,8 mètre de longueur et qui pèse 170 kg, est né dans ce zoo, de même que deux autres tigres blancs.

Les attaques de tigres sont extrêmement rares au Japon, la dernière datant de 2008, lorsqu’un tigre de Sibérie avait tué un employé de zoo qui essayait de l’encourager à s’accoupler.

En 1997, un couple de Japonais avait été attaqué et tué par des tigres dans un parc de safari du centre du Japon.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Des arbres en fleurs gigantesques peuplaient l’Amérique du Nord il y a 90 millions d’années


Qui aurait cru qu’un rondin fossilisé pourrait raconter sa propre histoire après plus de 90 millions d’années. Un rondin qui autrefois était un arbre à fleur d’au moins 50 mètres de haut et qu’il était loin de sa forêt d’origine transporter par les vagues de l’océan jusqu’au terre d’Amérique à cette époque
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Des arbres en fleurs gigantesques peuplaient l’Amérique du Nord il y a 90 millions d’années

 

découverte arbre fleurs utah

Un morceau de la bûche pétrifiée, appartenant autrefois à un gigantesque arbre en fleurs. Crédits : D. D’EMIC

par Brice Louvet

La découverte d’un morceau de bois fossilisé dans l’Utah, aux États-Unis, suggère que de grands arbres en fleurs tapissaient déjà l’Amérique du Nord à l’âge du Turonien, il y a environ 90 millions d’années.

La découverte est rare, et donc exceptionnelle. Une équipe de chercheurs de l’Université d’Adelphi et du musée d’histoire naturelle de Burpee, aux États-Unis, rapporte en effet l’analyse d’un ancien rondin, sorte d’énorme bûche pétrifiée, qui soutenait jadis un gigantesque arbre en fleurs. La découverte a été faite dans les schistes de Mancos, dans l’Utah. Celle-ci suggère alors que d’énormes angiospermes recouvraient la canopée nord-américaine au Crétacé, au moins 15 millions d’années plus tôt que prévu.

« Ces découvertes ajoutent beaucoup plus de détails à notre image du paysage au cours de la période turonienne, explique Michael D’Emic, de l’Université d’Adelphi et principal auteur de l’étude publiée dans la revue Science Advances. Depuis Darwin, l’évolution des plantes à fleurs a été un sujet de débat pour les paléontologues en raison du manque d’archives fossiles. Un seul spécimen peut aujourd’hui changer ce que nous savons de l’évolution précoce de ces arbres. Comprendre le passé est la clé de la gestion du futur, dit-il. Apprendre comment les environnements ont évolué et changé dans le passé nous apprend comment mieux se préparer aux futurs changements environnementaux ».

Cet arbre était grand, très grand. Le morceau fossile retrouvé présente en effet un diamètre de près 1,8 mètre pour 11 mètres de long. L’arbre, lui, devait probablement mesurer au moins 50 mètres de haut, estiment les chercheurs. L’analyse de la grume suggère par ailleurs que cet arbre évoluait il y a entre 90 et 94 millions d’années. Il fut également retrouvé dans ce qui était autrefois l’ancien delta d’une rivière empruntant la voie maritime qui séparait à l’époque les deux Amériques.

« Il a été transporté loin de sa forêt d’origine », explique le chercheur.

On imagine alors une grosse tempête soufflant sur cet immense arbre en fleurs, l’arrachant de son pied pour le laisser dériver dans une rivière. Un rondin s’est alors détaché pour finalement se retrouver minéralisé par les sédiments. Il ne fut retrouvé que 94 millions d’années plus tard par des chercheurs. Ces derniers notent également au passage les découvertes annexes, aux côtés de l’arbre, de fossiles de tortues et d’anciens crocodiles datant de la même époque.

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https://sciencepost.fr

La canicule n’a pas fait fondre toute la neige du dernier hiver


Avec la chaleur qu’il y a eue cet été au sud du Québec et ce pendant de longues périodes et plusieurs fois, il est surprenant que la neige de l’an dernier n’a pas tout fondu que la ville a entassé pendant l’hiver lors des déneigements des rues. Bon, on s’entend que la neige est grise, et qu’il y a plusieurs cochonneries au travers, ce qui n’aide pas non plus à la forte des neiges.
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La canicule n’a pas fait fondre toute la neige du dernier hiver

 

« Imaginez si on n’avait pas eu cette canicule ! Il y en aurait encore plus. »

Evens François, qui travaille à ce dépôt à neige depuis 23 ans, n’en revient pas de la quantité de neige qui reste du dernier hiver. Et à quelques semaines du début de la prochaine saison froide, l’amoncellement sera toujours là au moment d’y jeter de la nouvelle neige.

Le dernier hiver a été particulièrement rigoureux. Montréal a reçu pas moins de 238 cm de neige, nettement plus que la moyenne des 30 dernières années, soit 190 cm. Et si une bonne partie de la neige a tendance à fondre avant même d’arriver au dépôt à neige, ça n’a pas été le cas l’an dernier, alors que le taux de fonte a été plus faible. La métropole a ainsi dû ramasser 12 millions de mètres cubes de neige dans ses rues, dont 4,4 millions ont abouti au dépôt à neige de l’ancienne carrière Francon, dans Saint-Michel.

Sept mois plus tard, il en reste encore environ 200 000 m3.

Mais pas question d’organiser une bataille de boules de neige : on est loin d’un beau manteau blanc. La neige est plutôt grisâtre, remplie de sable, de cailloux, de sel et de tonnes de résidus. En fondant, la neige forme un lac au pied de la falaise, libérant d’importantes quantités de déchets – que la Ville appelle poétiquement des « résidus flottants ». On trouve de tout : de vieux pneus, des souliers, des brosses à dents, des briquets, du plastique – beaucoup de plastique. Et même des cônes.

De temps à autre, les cols bleus retirent les détritus avec une pelle mécanique. Cette eau étant contaminée, elle doit être pompée afin d’être acheminée aux égouts pour être ensuite traitée à l’usine d’épuration des eaux.

Le site de l’ancienne carrière Francon peut accueillir jusqu’à 5 millions de mètres cubes de neige. L’hiver, des centaines de camions se relaient dans un ballet incessant sur un quai de 350 mètres de largeur pour larguer leur contenu de neige dans un trou d’une soixantaine de mètres de profondeur. C’est au pied de cette falaise que se trouve le banc de neige, cru 2018.

Souvenirs de 2008

Ce n’est pas la première fois qu’un banc de neige de ce dépôt « survit » à l’été. C’est arrivé en 2008, alors que la métropole avait reçu un record de 300 cm de neige durant l’hiver. Evens François s’en souvient bien, encore impressionné par la quantité de neige qui restait au début de l’hiver suivant.

Les importantes précipitations du dernier hiver coûteront cher. Montréal anticipe que la facture du déneigement pourrait atteindre 209 millions. C’est 45 millions de plus que prévu dans le budget. Mais si la neige se fait attendre cette année, la Ville évalue que la facture pourrait être légèrement inférieure, soit d’environ 200 millions. Il ne s’agit pas d’un record, l’hiver 2008 restant un cas à part, alors que la facture du déneigement avait atteint les 220 millions.

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http://lejournalcanadien.com/

Les traces de plus de 60 000 structures édifiées par les Mayas révélées


LiDar est un radar qui peut passer à travers la végétation reflétée par le sol et les structures rocheuses. Grâce à cette technologie, il a été possible de trouver des structures de la civilisation Maya. Des découvertes qui auraient pris plusieurs dizaines d’années à trouvées. Cependant, il faut maintenant que les archéologues confirment en temps réel ces découvertes … Imaginez, ils ne sont qu’à 8 % de la surface étudiée.
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Les traces de plus de 60 000 structures édifiées par les Mayas révélées

 

On voit en trois dimensions des traces de constructions (maisons, forts, temples) de différentes formes.

Vestiges de constructions mayas au Guatemala révélés par la technologie LiDAR.  Photo : Francisco Estrada-Belli/PACUNAM

 

Des images sans précédent ont permis à une équipe de chercheurs étrangers de révéler des détails inconnus de l’empire maya. Leurs résultats, récemment publiés, pourraient changer notre façon de voir cette civilisation mystérieuse.

Un texte de Renaud Manuguerra-Gagné

Pendant longtemps, partir à la recherche d’une civilisation perdue impliquait la réunion de spécialistes prêts à s’aventurer au cœur de territoires inconnus pendant de longues périodes. De nos jours, bien que le travail sur le terrain demeure irremplaçable, l’observation radar peut révéler l’étendue d’une civilisation avec une précision et une rapidité jamais obtenues auparavant.

Ce type d’observation a mené à une découverte révolutionnaire au mois de février dernier. Une équipe de chercheurs américains et guatémaltèques a révélé au monde des images préliminaires saisissantes de l’ampleur de la civilisation maya, qui a prospéré pendant 2500 ans à travers la péninsule du Yucatan, qui couvre le sud du Mexique ainsi que plusieurs pays d’Amérique centrale.

Lever le voile sur le passé

Les œuvres et les connaissances du peuple maya ont piqué la curiosité des archéologues et du public pendant des décennies. Malheureusement, tout ce qui nous reste d’eux sont des ruines ensevelies sous la jungle et difficilement accessibles.

Utilisant la technologie du LiDAR (Light Detection And Ranging), dont le principe est similaire à celui du radar, mais qui utilise des rayons laser au lieu d’ondes radio, les scientifiques ont pu voir à travers la végétation qui recouvre une bonne partie du territoire anciennement contrôlé par cet empire. Des mois d’analyses plus tard, le fruit de leurs recherches a été publié dans un article de la revue Science.

Ces impulsions laser ont la propriété de passer à travers la végétation, mais d’être reflétées par le sol et les structures rocheuses.

La façon dont les ondes sont altérées au contact du sol permet de révéler les changements topographiques et les structures artificielles, créant ainsi des images 3D de la surface, comme si la forêt y avait été coupée à blanc.

Animation montrant l’utilisation de la technologie LiDAR sur le site de Tikal, au Guatemala

Un empire complexe et interconnecté

Au total, les chercheurs ont survolé et cartographié plus de 2144 kilomètres carrés de la péninsule, ce qui leur a permis de repérer le chiffre impressionnant de 61 480 structures inconnues à ce jour. Parmi ces dernières, on retrouve des maisons, petites et grandes, des temples et des pyramides, mais aussi des territoires agricoles, des canaux d’irrigation et même des fortifications et autres structures défensives.

Bien que la densité moyenne des bâtiments soit estimée à 29 structures par kilomètre carré, ces derniers n’étaient pas uniformément répartis et étaient divisés en centres urbains de toutes tailles, de la région rurale jusqu’aux grandes villes, le tout entrecoupé de plus petits centres urbains. Plus de 106 kilomètres de routes reliaient entre elles les différentes régions découvertes.

Les chercheurs estiment que si la configuration des structures observées dans leur échantillonnage aérien était représentative des 95 000 kilomètres carrés qui formaient l’empire maya à son zénith, cette civilisation aurait pu abriter 7 à 11 millions de personnes entre les années 650 et 800 de notre ère.

Les relevés effectués ont aussi montré que les Mayas étaient capables de travailler en profondeur leur environnement et la géographie de la région, ce qui leur permettait de produire l’agriculture intensive qui aurait été nécessaire à la survie d’une telle population. Parmi les observations, on a même constaté l’utilisation d’agriculture en terrasses, un mode de culture en paliers permettant d’exploiter les flancs de montagnes.

Ces observations aériennes ont permis aux archéologues de gagner des années de recherches , mais devront quand même être confirmées par une observation directe sur le terrain, ce que les scientifiques ont pu faire jusqu’à maintenant avec 8 % de la surface étudiée.

L’utilisation du LiDAR pourrait permettre d’accélérer les découvertes dans un grand nombre de régions archéologiquement importantes à travers le monde.

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