Conscience


Il se peut que nos rêves soient inaccessibles, mais si on n’y croit pas non plus, c’est qu’on manque d’audace, d’imagination.
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Conscience

 

 

 

Ce n’est pas ce que nous sommes qui nous empêche de réaliser nos rêves; c’est ce que nous croyons que nous ne sommes pas.

Paul-Émile Victor

Le Saviez-Vous ► Cette erreur que l’on fait souvent au repas de midi


    Je ne suis jamais tomber malade avec le riz réchauffé au micro-ondes, mais bon. S’il y a danger d’intoxication mieux être prudent surtout avec des personnes fragiles
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Cette erreur que l’on fait souvent au repas de midi

 

© getty.

Jeanne Poma.

 

Réchauffer un plat qui contient du riz peut vous exposer à une intoxication alimentaire.

Une étude britannique démontre que le riz qui a été conservé au frigo doit être consommé au maximum dans les 24h, en particulier si on veut le réchauffer au micro-ondes. Et il est déconseillé de le réchauffer plus d’une fois.

Le danger réside dans la bactérie Bacillus cereus, très souvent présente dans le riz. Lorsque l’on cuisine du riz et qu’il refroidit à température ambiante, cette toxine se multiplie et devient nocive pour celui qui la consomme. Elle est malheureusement indétectable au goût ou à l’odeur. Cuisinez donc des petites quantités et conservez vos restes au frigo, avec le couvercle à moitié ouvert

Les plats à emporter

Parce que vous manquerez d’informations sur la traçabilité, ne réchauffez pas du riz si celui-ci a été livré ou pris à emporter dans un restaurant.

Intoxication

Si vous avez la malchance de tomber malade, les symptômes de l’intoxication alimentaire se manifestent après une période de une à cinq heures. Ils se traduisent par des nausées, des vomissements et des diarrhées. Ils durent généralement une journée. Dans ce cas, contactez votre médecin.

https://www.7sur7.be/7s

Le premier musée de la nourriture dégoûtante va bientôt voir le jour


Connaissez-vous l’émission « Bizarre appétit » avec Andrew Zimmern qui goûte vraiment n’importe quoi, certains mets de ce futur musée à été expérimenter par lui, comme par exemple, le hareng fermenté : surströmming, le durian qui est un fruit qui a une odeur affreuse, le Casu Marzu, ce fromage blanc avec des vers vivants dedans etc .. Moi, je ne suis vraiment pas sûr que j’oserais y goûter
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Le premier musée de la nourriture dégoûtante va bientôt voir le jour

 

Un Khach, met traditionel du caucase à la tête d'agneau | Anja Barte Telin https://www.anjabartetelin.com

Un Khach, met traditionel du caucase à la tête d’agneau | Anja Barte Telin https://www.anjabartetelin.com

Repéré par Barthélemy Dont

Repéré sur The Independant

Il vise à nous interroger sur l’idée que l’on se fait du dégoût

La ville de Malmö, en Suède, va accueillir un musée unique en son genre: le «Disgusting food museum», ou Musée de la nourriture dégoûtante. Il ouvrira le 31 octobre mais pour trois mois seulement, jusqu’à la fin du mois de janvier 2019. Le nom du musée ne laisse que peu de suspens sur ce qui s’y trouvera. Au menu, quatre-vingts spécialités culinaires que le monde n’envie pas.

Parmi les plats exposés, du Hákarl, le doux nom d’une friandise islandaise qui consiste en une assiette de requin fermenté (moisi). Du Durian, un fruit du sud-est de l’Asie connu pour son odeur pestilentielle. L’Italie est représentée par le Casu Marzu, un fromage dans lequel on peut trouver des petits asticots vivants. On s’arrêterait bien là dans la description, mais difficile de ne pas parler du pénis de taureau cru et de la bouteille d’alcool pleine de cadavres de souriceaux.

La nourriture sera changée tous les jours et conservée dans des bocaux spéciaux qui évitent aux odeurs nauséabondes de trop se répandre. Le surströmming, un plat suédois à base de harengs fermentés, a apparemment présenté un challenge particulièrement difficile. On veut bien le croire vu la tête que font les dizaines d’imprudents qui se filment en train d’en déguster sur YouTube.

Spécialiste des musées originaux

Le conservateur de ce musée hors norme est Samuel West, un psychologue américain qui avait déjà su faire parler de lui lorsqu’il avait ouvert le Museum of failure, dédié aux inventions ratées. Situé lui-aussi en Suède, cet établissement avait vite fait des émules et ouvert des franchises à Toronto, Los Angeles et bientôt à Shanghai.

«Les deux concepts sont fun mais on peut plus facilement s’identifier au musée de la nourriture. Et puis c’est compliqué de renifler les échecs, alors que quand vous avez un requin moisi devant vous, vous désirez ne jamais être venu au monde», a déclaré West à The Local, un journal suédois.

Le musée n’est pas uniquement pensé pour être divertissant. L’idée est aussi d’interroger le concept de dégoût. Pierre Breteau prédisait sur Slate que d’ici 2050, nous mangerons tous et toutes des insectes. Et pour nous faire à l’idée de consommer cette source de protéines plus écologique, il faudra outrepasser le blocage psychologique qui veut que «les insectes, c’est dégoûtant».

 

http://www.slate.fr

À Londres, quatre écoles primaires ferment après une invasion d’araignées venimeuses


Chez-moi, les écoles ferment quand il y a tempête de neige, ou un froid intense, mais sûrement pas pour des araignées.
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À Londres, quatre écoles primaires ferment après une invasion d’araignées venimeuses

 

À Londres, quatre écoles ont dû fermer leurs portes mercredi 3 octobre, suite à une invasion d’araignées surnommées « fausses veuves noires », fait savoir la BBC.

 Ces arachnides, de la taille d’une pièce de monnaie, représentent l’espèce la plus dangereuse du Royaume-Uni et ont conduit les responsables de l’Ellen Wilkinson Primary School, la Star Primary School, la Lister Community School et la Rokeby School à évacuer les lieux. Ces écoles se situent toutes dans un rayon de 3 km, dans le quartier d’East London et sont actuellement « traitées et fumigées », rapportent les autorités locales. Elles pourraient être fermées pendant tout un mois.

« Les araignées piquent uniquement si elles ne sont pas manipulées correctement, ou provoquées. Leur venin n’est pas particulièrement puissant. Souvent, les symptômes sont équivalents à la douleur ressentie suite à une piqûre de guêpe », a tenté de rassurer la porte-parole du conseil de Newham. Mais elle a tout de même expliqué qu’il fallait prendre « des précautions supplémentaires avec les personnes vulnérables, c’est-à-dire les moins de cinq ans, les personnes âgées, ou les personnes médicamentées ». 

Les écoles devraient être fermées entre une et quatre semaines, en fonction de l’avancée des traitements. La mairie du quartier a appelé toutes les écoles et garderies du coin à « vérifier soigneusement si ces araignées étaient présentes dans leurs locaux » et à contacter le service de lutte contre les ravageurs s’ils observent des signes de leur présence. Anne-Marie Fenttiman, dont le fils est scolarisé dans l’une des écoles touchées, a raconté à la BBC que l’un de ces amis avait effectué un séjour de deux jours à l’hôpital au début de l’année, cloué au lit par une forte fièvre et souffrant de cloques après avoir été mordu par une fausse veuve noire. 

Sources : BBC / The Independent

https://www.ulyces.co

Réchauffement: les impacts étaient connus, vont-ils plus vite que prévu?


Je me souviens quand j’étais une petite fille, on parlait déjà de changement climatiques. Toutes ces recherches depuis des lustres on parler des conséquences, mais les climatologues avouent que le modèle n’ont pas montré autant de forces et de rapidités. La situation est pire ce qu’ils avaient prévu et on se croise encore les bras …
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Réchauffement: les impacts étaient connus, vont-ils plus vite que prévu?

 

Le groupe des experts du climat de  l'ONU (Giec)... (Photo JUNG YEON-JE, AFP)

Le groupe des experts du climat de  l’ONU (Giec) est réuni avec les gouvernements à Inchean, en Corée du Sud.

PHOTO JUNG YEON-JE, AFP

 

CATHERINE HOURS
Agence France-Presse
Incheon

Les impacts du dérèglement climatique arrivent-ils « plus vite que prévu » ? De l’élévation du niveau des océans à la montée des évènements extrêmes, les bouleversements étaient annoncés depuis longtemps,  soulignent les chercheurs, qui admettent cependant avoir pu parfois en sous-estimer l’ampleur.

A Incheon, en Corée du Sud, le groupe des experts du climat de  l’ONU (Giec), réuni avec les gouvernements, s’apprête a publier lundi le dernier état des connaissances sur un réchauffement de 1,5 °C par rapport a l’ère pré-industrielle, un horizon très proche,  dans un monde déjà frappé par la montée du mercure et ses incidences.

« Les choses que les scientifiques avaient promises pour le futur sont en train de se produire », a dit Jennifer Morgan, la directrice de Greenpeace International. « On pensait avoir plus de temps, mais non. »

« Malheureusement tout, ou presque,  était dit il y a 30 ans », souligne aussi Jean Jouzel, longtemps vice-président du Giec, pionnier de la glaciologie. « Ce réchauffement marqué sur lequel se superpose une recrudescence d’événements extrêmes, c’est ce qu’on vit aujourd’hui ! ».

« Il y a un côté assez triste de voir se dérouler dans le monde réel ce que la physique du climat nous a appris depuis des années », ajoute la climatologue Valerie Masson Delmotte, qui co-préside la réunion en cours. 

Le climatologue Jean-Pascal Ypersele cite le rapport « Une seule planète », préparé en 1972 pour la première conférence de l’ONU sur l’environnement humain, qui parlait d’« effets globaux et catastrophiques » d’une possible augmentation de 2 °C de la température du fait des émissions de CO2.

« Ceux qui ont sous-estimé la sévérité du changement climatique sont plutôt la plupart des dirigeants politiques, qui ont si peu agi pendant tant d’années », a indiqué le scientifique belge, qui y voit deux raisons : « le manque d’intérêt pour les questions de long-terme, et les efforts des lobbies des industries des énergies fossiles pour instiller le doute dans les analyses sur le changement climatique et ses solutions ».

Prudence nécessaire ?

Les scientifiques admettent aussi avoir souvent penché du côté de la prudence.

Pour Michael Mann, de la Pennsylvania State University, « les modèles de projections ont été exagérément conservateurs, avec une tendance à sous-prévoir les impacts en cours, dont la perte de banquise en Arctique, de glace au Groenland ou en Antarctique ouest, et donc la montée des mers en résultant ». « Les modèles n’ont pas non plus réussi à saisir les impacts complets sur les événements extrêmes comme ceux  qui ont frappé l’Amérique du Nord, l’Asie ou l’Europe cet été », a dit le chercheur, auteur d’une étude décrivant des phénomenes en Arctique qui étaient mal saisis par les modèles. 

L’incertitude n’est pas notre amie. Plus on comprend les processus physiques, en les incluant dans les modèles, et plus on voit que les impacts du changement climatique ont une probabilité d’être plus forts et rapides qu’on ne l’avait d’abord estimé « .

Le système » des études scientifiques, qui font l’objet de revue par les pairs, est hautement conservateur «,  ajoute le climatologue Peter Frumhoff,  aujourd’hui à l’ONG Union of concerned scientists. » Et puis il y a une tradition culturelle en sciences et surtout en science du climat, qui veut ne pas être trop alarmiste « . 

Ajouter à cela le fonctionnement du Giec, qui procède par consensus, et dont le rôle est de préciser quelles conclusions scientifiques relèvent d’un haut degré de confiance et celles qui sont plus spéculatives. Le résumé de ses rapports,  à destination des décideurs, est adopté par les gouvernements, avec lesquels il faut parfois négocier la formulation, comme c’est le cas à Incheon.

En tout état de cause, » les rapports du Giec se renforcent les uns après les autres mais tout reste dans la continuité du premier «, a dit Jean Jouzel, qui liste les pistes de travail encore nombreuses pour la recherche. Qu’il s’agisse de l’ampleur de la montée de la mer- » certaines études annoncent 80 cm à la fin du siècle,  certaines 3 m ! Comment laisser cette épée de Damoclès au-dessus des régions côtières ! « -des inconnues sur les précipitations, ou du besoin de connaître les impacts régionaux, » oui c’est sûr il faudra un 7e rapport du Giec ! «

https://www.lapresse.ca/

Surprise : de la vie retrouvée sous terre, à 600 mètres de profondeur


Des cyanobactéries ont été trouvées a plus de 600 mètres de profondeur dans un site en Espagne que le sol est riche en fer et qui ressemble à des paysages de Mars. Ce qui a de particulier, c’est jusqu’à maintenant on croyait que ces microbes ne pouvaient vivre en air libre alors que sous-terre, ni eau, ni lumière, elles peuvent vivre aisément dans des conditions extrêmes
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Surprise : de la vie retrouvée sous terre, à 600 mètres de profondeur

 

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Un échantillon de roche foré depuis les profondeurs de la Terre avec à l’intérieur des millions de bactéries. Crédits : CAB / IPBSL

par Brice Louvet

Une équipe de chercheurs annonce la découverte de millions de cyanobactéries évoluant sous la surface de la Terre, à 613 mètres de profondeur. Une observation qui étonne : les cyanobactéries ont normalement besoin de lumière pour survivre.

En Espagne, la région de Rio Tinto présente un paysage atypique et riche en fer, qui rappelle étrangement certains paysages retrouvés sur Mars. Autre particularité : la présence de micro-organismes à plus de 600 mètres de profondeur, normalement dépendants de la lumière du Soleil. En témoignent des opérations de forage faites il y a quelques semaines au fond d’une mine abandonnée. Les tronçons échantillonnés par une équipe de chercheurs du Centre espagnol d’astrobiologie de Madrid ont en effet révélé la présence de cyanobactéries dans le creux des roches. Or, aucun photon ne peut atteindre une telle profondeur.

« Vous allez dans le désert, vous avez des cyanobactéries, vous allez à la mer, vous trouvez des cyanobactéries, vous allez dans la Station spatiale internationale, vous pourriez retrouver ces microbes, les faire descendre, et ils survivront, explique Fernando Puente-Sánchez, principal auteur de l’étude publiée dans les Actes de l’Académie nationale des sciences. Le dernier habitat que nous n’avions jamais analysé était le sous-sol ».

Mais alors, comment ces micro-organismes normalement dépendants de la lumière du Soleil peuvent-ils survivre sans photons ? Réponse : en tirant l’énergie nécessaire de l’hydrogène.

Si leurs congénères – même dans les endroits les plus sombres – arrivent à capturer l’énergie photonique pour diviser l’eau et générer des électrons pendant la photosynthèse, ces cyanobactéries, privées de lumière, ont quant à elles évolué pour se nourrir d’hydrogène, dont elles tirent leur énergie. Il y avait en effet moins d’hydrogène aux endroits où ont été retrouvés les microbes, comparés aux endroits où ils étaient absents.

Une preuve de plus que les micro-organismes sont ultra-résistants et parfaitement capables de s’adapter aux environnements extrêmes. C’est aussi une bonne nouvelle pour les recherches futures de vie microbienne dans les sous-sols de Mars, qui ne présentent ni eau ni lumière du Soleil.

Source

https://sciencepost.fr/

Dépressif, un Japonais avait ingéré 1894 pièces de monnaie


On peut se demander qu’est ce qui peut bien décider une personne en dépression de d’avaler autant de pièces de monnaie. Ce mal a quand même un nom : Pica. Cela peut toucher des enfants, de jeunes adolescents, des femmes enceintes et bien sûr, c’est un trouble qui relève de la psychiatrie
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Dépressif, un Japonais avait ingéré 1894 pièces de monnaie

 

Le Japonais avait ingéré 1894 pièces de monnaie. - RelaxNews - Robyn Mackenzie/shutterstock.com

Le Japonais avait ingéré 1894 pièces de monnaie. RelaxNews  /  Robyn Mackenzie/shutterstock.com

Se rendant à l’hôpital pour une consultation d’ordre psychiatrique, un Japonais s’est finalement fait opéré en urgence.

Un Japonais, âgé de 51 ans, était venu consulter pour dépression au centre médical de la Tokyo Medical and Dental University, comme le rapporte Paris Match. Suite à la consultation, l’homme est envoyé en urgence au bloc opératoire pour se faire ôter 1894 pièces de l’estomac, soit 8,07 kilos de pièces de monnaie. Ce cas clinique a été présenté en avril 2018 dans la revue « Acute Medicine & Sugery ». Un cas similaire a été observé en 2008 : une Américaine de 57 ans qui refusait de manger avait 600 pièces de monnaie dans son estomac.

Marc Gozlan, un ancien médecin qui tient le blog Réalités Biomédicales sur le site internet du Monde a expliqué :

« Ce patient est atteint de pica. Ce trouble est caractérisé par l’absorption itérative de substances non comestibles, plus ou moins répugnantes ou nuisibles, telles que de la terre, de l’argile, de la craie, du papier ou, dans ce cas précis, des pièces de monnaie. Il s’observe principalement chez des patients psychiatriques, des enfants, de jeunes adolescents, des femmes enceintes. Après l’intervention chirurgicale, cet individu a subi une évaluation psychiatrique qui a établi le diagnostic de schizophrénie. Deux semaines après l’opération, il est admis en psychiatrie ».

https://www.ladepeche.fr/