Se Sauver Soi-même


C’est souvent une erreur que l’on fait souvent avec ceux qu’on aime. Croire qu’on peut changer les autres. Bien sûr, il faut les aider, mais s’ils ne font rien pour avancer, c’est peine perdue et c’est important de s’en rendre compte pour notre propre santé morale et même physique.
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Se Sauver Soi-même  

 

 

On ne sauve pas les gens d’eux-mêmes. On peut les aimer, les accompagner, les encourager, les soutenir. Mais chacun se sauve soi-même.

Inconnu

Le Saviez-Vous ► Les vagues carrés


Il y a toutes sortes de phénomènes naturels qui sont étranges. Celles de la mer croisée en fait partie. Ce sont des vagues qui entre en collision sous différents angles et forment ainsi des carrés. Mieux vaut ne pas être au milieu de ces divers courants que ce soit en plongée ou sur un bateau.
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Les vague carrés

Wikipedia / Michel Griffon

De tous les dangers éventuels dans l’océan, il en est un dont nous ne parlons pas tant : les vagues carrées.

Ce phénomène naturel s’appelle une « mer croisée » et bien que ce soit fascinant à regarder, cela peut être extrêmement dangereux pour quiconque s’y trouve pris, y compris les bateaux, les surfeurs et surtout les nageurs.

Ce beau phénomène océanique se produit lorsque les vagues entrent en collision sous différents angles et forment des carrés dans l’eau. L’image ci-dessus provient de l’île de Ré, une île au large de la côte ouest de la France où les « mers croisées » sont fréquentes. Cela se produit lorsque les vagues d’un même système météorologique continuent même si un changement de vent a créé d’autres vagues.

Les vagues se déplacent alors les unes par rapport aux autres en formant un angle, provoquant ce spectacle étonnant.

Imgur

Lorsque ce spectacle océanique se produit, cela peut attirer de nombreux spectateurs curieux.

Mais ce qui se cache sous cette vue incroyable, ce sont des courants qui peuvent projeter n’importe quoi sur son chemin dans les airs, y compris quelque chose d’aussi gros qu’un navire.

Les experts avertissent de rester à l’écart

Il est difficile de déterminer ce qui a causé le naufrage des navires, mais les chercheurs pensent que de nombreux navires ont chaviré à cause de ces vagues croisées.

Les bateaux et les navires sont censés frapper les vagues de plein fouet, mais si un navire a des vagues qui arrivent de tous les angles, c’est très dangereux.

Vous devez toujours rester hors de l’eau et avertir les autres si vous voyez des vagues croisées. Mais appréciez-les de loin, ou en les regardant dans le clip ci-dessous.

https://fr.newsner.com/

Une personne séropositive peut-elle transmettre le VIH lors d’un don d’organe?


En Afrique du Sud, un enfant avait besoin d’une greffe de foie, et cela urgeait, mais le manque de don d’organe aurait eu raison de sa mort. Comme le foie est un organe qui se régénère, il est possible que le donneur soit vivant. Sa mère était compatible sauf qu’elle soit séropositive. Après plusieurs questions d’éthiques et l’impossible de sauver l’enfant autrement, la transplantation eut lieu est, ce fut un succès. Reste maintenant à savoir si l’enfant développera le VIH
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Une personne séropositive peut-elle transmettre le VIH lors d’un don d’organe?

 

Pour l'instant, les médecins n'arrivent pas à savoir sil le virus a été transmis. | ypographyimages via Pixabay License by

Pour l’instant, les médecins n’arrivent pas à savoir sil le virus a été transmis. | ypographyimages via Pixabay License by

Harriet Etheredge et Jean Botha et June Fabian

En Afrique du Sud, une mère séropositive a pu donner son foie à son fils gravement malade malgré le risque de transmission du virus.

L’Afrique du Sud fait face à une terrible pénurie de dons d’organes. Les médecins luttent pour trouver des organes appropriés pour les patients et patientes gravement malades, dont la survie dépend d’une greffe. Cette situation les accule parfois à des choix difficiles. Il arrive par exemple qu’ils doivent, pour sauver la vie d’un ou d’une patiente, envisager de lui greffer un organe provenant d’une personne dont le groupe sanguin diffère du sien, même si cela augmente les risques de complications.

Voici environ un an, nous avons nous-mêmes dû faire face à ce genre de choix: nous pouvions sauver la vie d’un enfant en lui implantant un greffon de foie –mais ce faisant, nous risquions de lui transmettre le VIH. La donneuse était en effet sa mère séropositive. La procédure comportait donc un risque de transmission du VIH à l’enfant [le foie pouvant se régénérer, il est possible d’en prélever une partie chez un donneur vivant pour la greffer à un receveur, ndlr].

En Afrique du Sud, la loi n’interdit pas la transplantation d’un organe provenant d’un donneur vivant séropositif à un receveur séronégatif, à condition qu’une solide procédure de consentement soit mise en place. En raison du risque de transmission du virus, cette approche n’est toutefois pas considérée par tous les médecins comme faisant partie des bonnes pratiques.

Le jeune récipiendaire avait passé 181 jours sur la liste d’attente des dons d’organes. Or la durée moyenne de présence sur liste d’attente dans notre programme de greffe est de quarante-neuf jours. Durant ce laps de temps, la mère de l’enfant avait demandé à maintes reprises si elle pouvait donner une partie de son propre foie à son enfant. Nous ne pouvions toutefois pas considérer cette option à l’époque, car elle allait à l’encontre de la politique de notre unité. Mais sans une greffe, l’enfant allait très certainement mourir.

Impossibilité de savoir s’il a été infecté

Après mûre réflexion, et avec l’aval du comité d’éthique médicale de l’université du Witwatersrand à Johannesburg, nous avons décidé de procéder à la greffe. En suivant une planification minutieuse, nous avons fourni à l’enfant un traitement à base de médicaments antirétroviraux avant l’intervention, avec l’espoir de prévenir l’infection par le VIH (prophylaxie pré-exposition, PrEP).

La transplantation, qui a été réalisée au centre médical Donald Gordon de l’université du Witwatersrand, a été un succès. L’enfant est aujourd’hui épanoui, mais à ce stade, nous sommes toujours incapables de déterminer son statut VIH. Durant les premiers mois qui ont suivi la greffe, des anticorps anti-VIH ont été détectés dans son organisme, et l’infection semblait donc avoir eu lieu. Mais ces anticorps ont décliné au fil du temps, et ils sont désormais presque indétectables. Nous n’avons en définitive pas été en mesure d’établir si l’enfant est effectivement infecté par le VIH. Même le recours à des tests ultra-sensibles et très spécialisés n’a pas permis de détecter le VIH lui-même dans le sang ou les cellules de l’enfant.

Il faudra probablement que s’écoule encore un certain temps avant que nous puissions avoir une quelconque certitude. Cependant, l’enfant supporte actuellement très bien le traitement antirétroviral. Les cas de contaminations survenues suite à la transplantation, par inadvertance, d’organes contaminés par le VIH révèlent que les patients devenus séropositifs de cette façon se rétablissent aussi bien que ceux qui reçoivent un greffon VIH négatif.

Cette intervention chirurgicale pourrait changer la donne pour l’Afrique du Sud. Le pays abrite en effet une importante population de personnes séropositives dont la charge virale est indétectable (on parle de charge virale indétectable lorsqu’une personne infectée par le VIH et suivant un traitement antirétroviral voit la quantité de virus dans son sang diminuer au point de devenir indétectable). Or ces personnes séropositives n’ont jamais été considérées comme des donneuses potentielles dans le cadre de la greffe de foie.Avant de procéder à la greffe, nous avons consacré un soin particulier à la mise en place d’une large consultation.

De l’importance de comprendre les risques

Recourir à la transplantation d’organes implique de relever de nombreux défis éthiques et juridiques. Les questions spécifiques et complexes posées par ce cas précis ont été soigneusement examinées. Il s’agit notamment de parler aux membres de l’équipe de transplantation, aux spécialistes de la bioéthique, de la justice, de la médecine du VIH et à celles et ceux du comité d’éthique médicale de l’université Wits. Ce comité a entre autres pour fonction de protéger les patients impliqués dans la recherche médicale, et de s’assurer que les procédures mises en place par les médecins le sont pour les bonnes raisons.

Il était évident que cette greffe allait dans le sens du meilleur intérêt de l’enfant. La principale question éthique consistait à déterminer s’il était juste de priver la mère de la possibilité de sauver la vie de son enfant, en lui refusant l’opportunité de fournir le greffon. Un principe fondamental de l’éthique est de traiter les gens équitablement. Les personnes séropositives devraient de ce fait avoir accès aux mêmes options de soins que les autres. Nous avons donc convenu, avec le comité d’éthique, que tant que les parents de l’enfant comprenaient qu’il existait un risque que celui-ci contractât le VIH, il était acceptable de procéder à la greffe.

Afin de nous assurer que les parents de l’enfant étaient bien informés et pourraient prendre leur décision dans des conditions optimales, nous avons eu recours à un «avocat de donneur vivant». Indépendant, celui-ci n’était pas employé par l’hôpital, son rôle principal était de soutenir les parents en s’assurant qu’ils comprenaient exactement quels étaient les risques pour la mère en tant que donneuse. Il était également en relation avec l’équipe de transplantation, au nom des parents, lorsque nécessaire.

Les parents, qui avaient déjà envisagé le risque que le VIH soit transmis à leur enfant suite à l’opération, se sont avérés déterminés à aller de l’avant. Ils ont été reconnaissants que l’équipe se montre disposée à examiner attentivement cette option, étant donné qu’il n’y avait pas d’alternative disponible et que leur enfant était gravement malade. Nous avons demandé aux deux parents de donner leur consentement à la procédure, car il était de leur responsabilité à tous les deux de prendre soin de leur enfant par la suite.

Une occasion pour observer la transmission du VIH

Cette intervention démontre non seulement que les médecins peuvent réaliser ce type de transplantation, mais aussi que les résultats peuvent être positifs à la fois pour le donneur séropositif et pour le receveur. Elle a également constitué une occasion unique pour les scientifiques de Wits d’étudier la transmission du VIH dans des circonstances très contrôlées.

Pour l’instant, les médecins ne sont pas en mesure de dire aux parents si la greffe a transmis le VIH à leur enfant. Cette incertitude est notamment due au fait que ce cas est unique, ce qui laisse beaucoup de questions sans réponse. Les recherches en cours permettront d’y répondre.

À l’avenir, nous continuerons de veiller à ce que les parents soient pleinement conscients de l’incertitude qu’implique ce genre d’intervention. Toutes les futures greffes de ce type seront incluses dans une étude actuellement en cours, dont l’objet est d’examiner plus en détail la transmission du VIH chez les enfants, ainsi que la façon dont le VIH peut ou non se propager via les greffes d’organes.

La version originale de cet article a été publiée sur The Conversation.

 

http://www.slate.fr/

En Thaïlande, ces hommes se vernissent les ongles pour ne pas être tués par un fantôme


Les superstitions à certains endroits sont vraiment étonnantes. Des hommes vont mettre du vernis à ongles pour éviter qu’une veuve fantôme viennent les tuer. Tout cela à cause de plusieurs morts dont deux inexpliqués.
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En Thaïlande, ces hommes se vernissent les ongles pour ne pas être tués par un fantôme

 

Crédits : Sanook

par  Dylan Kuperblum

 

À Pu Hong, petit village de la province de Kalasin, au nord-est de la Thaïlande, des jeunes hommes ont décidé de se vernir les ongles.

Après les décès successifs de cinq individus (deux hommes et trois femmes) en trois semaines, ils pensent que le fantôme présumé d’une veuve meurtrière serait derrière la perte des cinq villageois, rapporte le site d’information thaïlandais Coconuts. Se vernir les ongles — selon ces hommes, comme pourrait le faire une femme — aurait pour effet de repousser la veuve-fantôme meurtrière…

Parmi les défunts, deux hommes de la même famille. Les causes de leur mort sont encore non-élucidées, mais d’après les rapports des autorités, ils se seraient morts « sans raisons apparentes ». La troisième victime est décédée dans un accident de moto. Quant aux deux autres, aucune information n’a été partagée pour le moment. Pour Pongpipat Pukrongtoong, le maire adjoint du village, les habitants ne pensent pas qu’il s’agisse d’une coïncidence. Au contraire, ils blâment la caractère surnaturel du village d’être derrière cette vague de mort.

Bussadee Malasee, la médium du village, est également de cet avis et dit être convaincue de la culpabilité de deux fantômes bien spécifiques : celui de la fameuse veuve et un pop (une sorte de fantôme Thaïlandais). Elle ajoute que la veuve fantôme veut tuer des hommes alors que le pop « possède » les personnes âgées et les faibles de son village avant de les manger de l’intérieur. C’est pour cette raison que les jeunes hommes du village ont décidé de se vernir les ongles. A priori, ils ne seraient pas des potentielles victimes du « pop ».  Ils ne s’arrêtent pourtant pas là. Pour faire fuir la veuve fantôme, les hommes ont également accroché des panneaux devant leur maison. Sur cette photo, on peut lire : « Aucun homme ne vit ici ».

Crédits : Sanook

Selon un autre média local, le docteur Pornpat Phunw

https://www.ulyces.co

L’US Army veut former une armée d’insectes pour répandre des virus dans les champs


L’armée des États-Unis veut un virus génétiquement modifié transporter par des insectes. Pourquoi ? Aider les agriculteurs à améliorer la culture avec les aléas de la météo. Vous y croyez ? Cela ressemble plutôt à une arme biologique …..
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L’US Army veut former une armée d’insectes pour répandre des virus dans les champs

 

par  Laura Boudoux

L’armée américaine veut utiliser les insectes pour répandre des virus génétiquement modifiés sur des cultures, annonce The Independent.

Dans le cadre du programme Insect Allies, dirigé par la Defence Advanced Research Projects Agency (DARPA), une équipe composée de scientifiques va tenter de modifier l’ADN des cultures, directement via les insectes porteurs de virus transformés. Cette nouvelle technologie a été pensée dans le but d’aider les agriculteurs à s’adapter aux conditions météorologiques, en implantant par exemple des gènes de résistance à la sécheresse dans les tomates et le maïs.

Un projet décrié par de nombreux scientifiques, qui expliquent que des insectes chargés de virus synthétiques pourraient vite devenir incontrôlables et se changer en « arme biologique » de destruction massive. Beaucoup s’inquiètent par ailleurs du fait que cette technologie soit détournée à des fins militaires – il n’y aura qu’un petit pas à franchir.

« Nous sommes persuadés que les connaissances à tirer de ce programme sont très limitées en ce qui concerne l’amélioration de l’agriculture américaine, ou la capacité à faire face aux urgences naturelles », expliquent ainsi les experts sur le site Science. « Cette expérience peut largement être perçue comme un effort pour développer des agents biologiques à des fins hostiles », alertent-ils.

Le programme Insect Allies pourrait donc bien « être considéré comme une violation de la Convention sur les armes biologiques si les motivations présentées par la DARPA ne sont pas viables », signalent les scientifiques.

 Estimant que ce « type de technologie pourrait facilement être utilisée pour une guerre biologique », ils craignent donc la création d’une « nouvelle classe d’armes biologiques ». Tous ironisent sur « l’idée que [l’US Army] protège les agriculteurs américains », qu’ils jugent « un tout petit peu exagérée ».

Sources : The Guardian / The Independent / Science Mag

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Ils réussissent à publier des études ridicules dans des revues scientifiques


Les domaines de la science sont des sujets sérieux, et généralement, on s’attend qu’une revue scientifique ait vérifié les sujets qui sont publier. Dans de revues de sociologies des auteurs ont quand même réussit à faire éditer des recherches bidons.
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Ils réussissent à publier des études ridicules dans des revues scientifiques

 

© Thinkstock.

Trois personnes ont réussi un canular aux Etats-Unis en faisant publier dans plusieurs revues de sociologie des articles de recherche entièrement inventés, aux conclusions ridicules, afin de démontrer, selon eux, le manque de rigueur de ces revues.

Au total, sept articles sur les vingt écrits par le trio ont été acceptés par des revues, passant l’obstacle redouté des comités de lecture censés vérifier la rigueur académique des articles.

Sujets explosifs

Ce sport n’est pas nouveau, et le canular rejoint des précédents retentissants, notamment celui du physicien Alan Sokal, qui s’était attaqué en 1996 à une revue d’études culturelles.Cette fois, les faux articles ont en commun des sujets de société explosifs: le genre, le racisme ou la sexualité, ce que les auteurs du canular appellent les « études de griefs ».

Plus d’un an de labeur

« Lorsque l’on rend des idées absurdes et horribles suffisamment à la mode politiquement, on arrive à les faire valider au plus haut niveau », affirme James Lindsay, qui a obtenu un doctorat de mathématiques en 2010 à l’Université du Tennessee et s’est consacré pleinement à ce projet depuis un an et demi.

La culture canine du viol

Les études étaient envoyées sous pseudonymes. L’une d’elles, publiée en mai dans la revue Gender, Place & Culture et finalement retirée, prétendait étudier la culture canine du viol dans les parcs à chiens, en tirant des parallèles avec les hommes. Une autre analyse pourquoi un homme se masturbant en pensant à une femme sans son consentement commet une agression sexuelle. Un papier était une réécriture féministe d’un chapitre de Mein Kampf.

Godemiché et transphobie

Certains articles étaient des essais, mais quelques uns affirmaient se reposer sur des données, comme des entretiens, ce qui est en théorie vérifiable. C’était le cas d’une étude sur l’impact de l’usage d’un godemiché anal par des hommes hétérosexuels sur leur transphobie.

Réforme espérée

« Si notre projet démontre une chose, c’est qu’on ne peut pas faire confiance à la recherche actuelle dans ces disciplines », dit à l’AFP James Lindsay.

Mais le but du projet, selon lui, est de « réformer » ces disciplines, et non de les détruire.

Une méthode dangereuse

Si le canular a fait ricaner sur Twitter, des chercheurs s’inquiétaient de la méthode et de la déontologie des faux auteurs, ainsi que des conclusions généralisatrices que certains pourraient en tirer pour les disciplines visées.

Tous concernés

Les problèmes de qualité ou de fraude ne sont limités ni aux sciences humaines, ni aux revues peu cotées. Même les plus grands journaux scientifiques doivent régulièrement retirer des articles proposés par des chercheurs parfois célébrés.

Normes de transparence

Il existe des milliers de revues scientifiques dans le monde. Des organisations ont établi des normes de transparence, mais leur adoption par les organes de publication est très variable. Pour les sciences médicales ou biologiques, ces normes consistent par exemple à remettre les données brutes au comité de lecture, afin de vérifier les résultats. Dans les sciences humaines, communiquer la retranscription d’entretiens pose des problèmes de confidentialité, explique David Mellor, du Center for Open Science.

Mais « nous encourageons le plus de transparence possible », dit-il.

Les deux autres piégeurs sont Peter Boghossian, professeur de philosophie à l’université à Portland, et Helen Pluckrose, rédactrice en chef d’AreoMagazine.com, site qui a publié un récit détaillé de la supercherie.

https://www.7sur7.be/