Guérir


Voilà, une nuance importante sur la guérison de nos blessures ou même du pardon à ce qui nous ont blessé. C’est nous qui devons prendre le contrôle et non nos blessures.
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Guérir

 

Guérir …. Ne veut pas dire qu’il n’y a pas eu de blessures. Cela signifie que dorénavant les blessures ne contrôlent plus votre vie

Inconnu

Le Saviez-Vous ► Quel est le lieu le plus sec de notre planète ?


On croirait que la zone la plus sèche de notre planète serait un désert dont les précipitations sont pratiquement inexistantes, et bien non !
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Quel est le lieu le plus sec de notre planète ?

 

Atacama désert

par Yohan Demeure

Crédits : Robin Fernandes / Flickr

Le désert d’Atacama est connu depuis quelques années pour être l’endroit le plus aride sur Terre avec ses 0,1 mm de pluie en moyenne par an ! En revanche, il ne s’agit pas du lieu le plus sec de notre planète, loin de là !

Le désert d’Atacama situé au Chili est une région qualifiée d’hyper-aride. Connu pour être l’endroit le plus aride de notre planète – c’est-à-dire 250 fois plus sec que le Sahara -, ce désert comporte des zones qui peuvent être privées de précipitations durant plus d’un demi-siècle ! Et pourtant, malgré sa réputation, le désert d’Atacama n’est pas réellement la zone la plus sèche du monde.

Le titre de lieu le plus sec présent sur Terre revient à une zone de l’Antarctique. Malgré le fait que l’Antarctique soit connu pour être recouvert de glace, il s’y trouve en endroit bien plus sec que le désert d’Atacama, qui représente 2 % du continent (4 800 km2). Il s’agit des « vallées sèches de McMurdo », une zone où il ne pleut pour ainsi dire jamais, si bien que certains endroits n’ont pas reçu de précipitations depuis environ 2 millions d’années !

vallées sèches antarctique

 

Crédits : Wikipedia

Ce n’est d’ailleurs pas pour rien si l’Agence spatiale américaine (NASA) a décidé d’occuper cet endroit afin d’y expérimenter les équipements qui seront utilisés dans le cadre des futures missions à destination de la planète Mars. Citons à titre d’exemple la combinaison NDX-1, testée par l’ingénieur aérospatial argentin Pablo de Leon pour la NASA.

En effet, les vallées sèches de McMurdo constituent la zone dont les conditions climatiques – sécheresse extrême, froid intense et vents très violents – se rapprochent le plus de celles de la planète rouge. Concernant les vents, ces derniers peuvent atteindre une vitesse de 320 km/h !

Sources : Futura SciencesMétéo Média

https://sciencepost.fr/

Un parent du T-Rex découvert au Nouveau-Mexique


Des paléontologues ont pu analyser et découvrir à quelles espèces de dinosaures qu’ils ont trouvés. Il serait un parent du T-Rex. et serait apparus quelques millions d’années avant lui
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Un parent du T-Rex découvert au Nouveau-Mexique

 

Dynamoterror dynastes théropode T-rex

Dynamoterror dynastes, un théropode de 9 mètres de long, évoluait il y a 80 millions d’années. Crédits : Brian Engh

par Brice Louvet

Les restes d’un grand théropode ramassés au Nouveau-Mexique, en 2012, auront donné du fil à retordre aux paléontologues. Des années d’analyses et de reconstitutions ont finalement amené les chercheurs à identifier l’ancien carnivore – Dynamoterror dynastes – un parent du célèbre T-Rex.

C’est sur la formation de Menefee, au Nouveau-Mexique, que s’étaient penchés en 2012 les paléontologues Andrew McDonald et Douglas Wolfe, à la recherche de fossiles. Les deux chercheurs tombèrent alors sur quelques os fragmentés qui semblaient se défaire du grès. Pour eux, cela ne faisait aucun doute :

« Nous pouvions dire que c’était un grand théropode », explique McDonald.

Mais quel genre de théropode ? Si Tyrannosaurus Rex est le plus connu de la famille, évoluant à la fin du Crétacé (66 à 77 millions d’années), il n’est pas le seul à s’être fait remarquer. D’autres ont existé bien avant lui.

Il aura fallu des années d’analyses minutieuses pour tenter – grâce au peu de fragments récupérés (deux petits os de crâne) – de reconstituer le crâne de l’animal grâce à l’impression 3D, révélant ainsi son identité. Il s’agissait finalement d’un rare spécimen de Dynamoterror dynastes, un parent du T-Rex de 9 mètres de long qui évoluait il y a environ 80 millions d’années. Plus grand que les premiers théropodes, il reste néanmoins plus petit que le T-Rex. Les détails de l’étude sont publiés dans la revue PeerJ.

Dynamoterror dynastes dinosaures T-Rex théropodes

Scan des os frontaux du crâne de dynamoterror, utilisés pour identifier l’espèce. Crédits : MsDonald & al.

À cette époque, l’Amérique du Nord était divisée en deux par une voie maritime. Dynamoterror dynastes (ce qui au passage signifie “puissant souverain terroriste”), lui, évoluait sur la moitié occidentale connue sous le nom de Laramidia. Imaginez-le alors au milieu des forêts chaudes et humides, et des marécages, en train de chasser des dinosaures à cornes et autres cuirassés.

L’évolution précoce des Tyrannosauridae n’étant que très peu échantillonnée, cette nouvelle découverte permettra d’en apprendre davantage sur ces anciens grands carnivores du Crétacé. Ils deviendront bien plus tard les oiseaux d’aujourd’hui.

Source

https://sciencepost.fr/

Diabète de type 2 : les premiers signes visibles 20 ans avant son diagnostic !


Les Japonais auraient trouvé le moyen de prédire le risque dans les années à venir d’avoir le diabète de type 2. Ce qui pourrait sûrement la prévenir pour les personnes les plus susceptibles d’être atteint
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Diabète de type 2 : les premiers signes visibles 20 ans avant son diagnostic !

Diabète de type 2 : les premiers signes visibles 20 ans avant son diagnostic !

Le 9 octobre 2018.

Des chercheurs viennent de découvrir plusieurs marqueurs de notre corps pouvant donner des indices sur la probalité ou non de développer un diabète de type 2.

Déceler le diabète de type 2 avant l’arrivée de la maladie

Des scientifiques japonais permettent d’avancer encore un peu plus dans la connaissance du diabète de type 2. Grâce à leurs découvertes publiées dans le Journal of Endocrine Society, il serait désormais possible de déceler quelques indices laissant penser que la personne pourrait développer un diabète de type 2 dans les années qui suivraient.

Les chercheurs sont même capables de prédire l’arrivée de la maladie parfois vingt ans avant que celle-ci ne se déclare réellement. Comment cela est-il possible ? Trois marqueurs sont détectables et peuvent alerter les médecins : la glycémie à jeun, l’indice de masse corporelle (IMC) et la sensibilité à l’insuline.

Des symptômes qui ne trompent pas

Si la glycémie à jeun, l’indice de masse corporelle (IMC) et la sensibilité à l’insuline, peuvent être contrôlés avant que la maladie ne se déclare, les chercheurs expliquent néanmoins qu’une fois le prédiabète confirmé, il n’est déjà plus possible de soigner la maladie.

« Nous devrons peut-être intervenir beaucoup plus tôt que le stade de prédiabète, afin de prévenir la progression vers le diabète complet », estime Hiroyuki Sagesaka, auteur principal de l’étude.

Aujourd’hui, la Fédération internationale du diabète estime que 425 millions de personnes sont atteintes du diabète dans le monde et rappelle qu’une personne meurt du diabète toutes les secondes. C’est plus que le sida, la tuberculose et la malaria. 

Maylis Choné

https://www.passeportsante.net/

Mystère autour d’un alligator abandonné dans le lac Michigan


On déduire que la personne qui avait cet alligator a fait pareil comme un chien ou un chat et l’a abandonné. Sauf que pour cet alligator, il n’était pas dans son milieu naturel. Il préfère en effet des eaux un peu plus chaude. Ce qui est pire, c’est que l’animal avait la bouche fermée avec des élastiques.
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Mystère autour d’un alligator abandonné dans le lac Michigan

 

David Motley/City of Waukegan via APL’alligator, lorsqu’il a été secouru par les autorités.

Par Henri Ouellette-Vézina

 

Les autorités policières et gouvernementales de Waukegan, située dans l’État de l’Illinois, font face à une situation peu habituelle: ils ignorent qui pourrait avoir jeté un alligator faisant quatre pieds de long dans le lac Michigan, qui se trouve à l’est de la ville. Le reptile a été aperçu pour la première fois lundi par un kayakiste.

Après avoir cru à l’origine que l’espèce dont l’origine est toujours inconnue était un caïman, les autorités se sont ravisées mardi: il s’agirait bel et bien d’un alligator, comme l’a confirmé un conservateur du Wildlife Discovery Centre, Rob Carmichae. Mais d’où vient-il? La question est sur toutes les lèvres dans la petite communauté de Waukegan.

L’animal n’aurait «aucun intérêt» à naviguer sur les rives de la banlieue de Chicago, selon le porte-parole de la Ville de Waukegan, David Motley. Ce dernier a expliqué mardi que plusieurs agents spécialisés en contrôle animalier «tentent actuellement de déterminer qui a abandonné la créature».

La situation est d’autant plus préoccupante que le reptile a été retrouvé la bouche fermée par des élastiques, ce qui laisse à penser qu’il aurait été maltraité, voire violenté par la personne qui l’a abandonné.

Le caïman et l’alligator sont des animaux qui se ressemblent beaucoup, d’où la confusion, sauf que le museau d’un alligator est plus arrondi. De plus, seules les dents supérieures sont visibles chez l’alligator lorsqu’il a la bouche fermée. Chez le caïman, autant les dents supérieures qu’inférieures sont visibles dans cette même position.

Des chances de survie


«Un alligator serait davantage capable qu’un caïman de gérer les eaux froides du lac Michigan, a expliqué M. Carmichael. L’animal sauvé lundi aurait pu nager pendant des semaines. Et il aurait pu le faire la bouche fermée, car les alligators peuvent rester des mois sans nourriture.»

Selon l’expert en biodiversité animale, bien que l’alligator soit très faible à l’heure actuelle, il a de très bonnes chances de survivre s’il parvient à demeurer dans un état stable au courant des prochains jours.

Croyez-le ou non: ce n’est pas la première fois qu’un individu dépose un animal sauvage dans le lac Michigan. Selon David Motley, un incident similaire s’était produit en 2012. Quelqu’un avait alors abandonné un python de plus de 14 pieds au bord du lac, sans jamais donner de nouvelles aux autorités de son passage.

Une enquête a été ouverte par la police locale. On n’ignore toujours qui pourrait être le suspect dans cette affaire. On ne connaît pas non plus le motif qui l’aurait poussé à commettre un pareil geste.

http://journalmetro.com/

Cent ans après la grippe espagnole, le monde n’est pas à l’abri d’une pandémie


Personne ne voudrait vivre ce qu’on vécu lors de la grippe espagnole ou la peste. Sommes-nous aujourd’hui protéger d’une pandémie avec toutes les avancées scientifiques ? Les changements climatiques, la malnutrition, l’obésité, le diabète entrent en jeu et cela risque de devenir beaucoup plus compliqué.
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Cent ans après la grippe espagnole, le monde n’est pas à l’abri d’une pandémie

 

Cent ans après la grippe espagnole, le monde n'est pas à l'abri d'une pandémie

REUTERS/Daniel Aguilar (MEXICO HEALTH)

PARIS | Le monde est aujourd’hui mieux armé face à une pandémie du type de la fameuse « grippe espagnole » qui avait décimé 50 millions de personnes en 1918, mais d’autres défis sont posés, comme le changement climatique ou le vieillissement de la population.

Une étude publiée dans la revue Frontiers in Cellular and Infection Microbiology tente de tirer les leçons de la terrible pandémie qui avait frappé à l’époque un tiers de la population mondiale.

Une pandémie de cette ampleur pourrait coûter la vie aujourd’hui à 147 millions de personnes, estiment les chercheurs, qui soulignent toutefois qu’il est impossible de prévoir quand elle frapperait.

Certes, la recherche a fait d’immenses progrès en cent ans dans la connaissance des virus, avec trois pandémies majeures depuis 2018, en 1957, 1968 et 2009. Une souche, une fois repérée, est immédiatement analysée pour mettre en place une stratégie de vaccination.

Mais la lutte passe par une surveillance sans relâche dans le monde entier, soulignent les chercheurs, d’autant que « le changement climatique va affecter les réservoirs de virus et les schémas de migration des oiseaux, étendant la maladie à de nouvelles zones et à des espèces d’oiseaux plus nombreuses », souligne Carolien van de Sandt, professeur à l’Institut Doherty de l’Université de Melbourne.

En 2018, malnutrition et tuberculose rendaient d’autant plus fragile la population. Mais le monde d’aujourd’hui n’est pas à l’abri de la malnutrition, du fait du changement climatique qui pourrait diminuer les récoltes, tandis que la résistance des bactéries aux antibiotiques multiplie les risques d’infections, relèvent les chercheurs.

En 1918, la grippe espagnole avait particulièrement frappé les plus jeunes, qui sont pourtant normalement les plus solides. Les chercheurs pensent que les personnes âgées de l’époque avaient été en contact avec d’autres virus voisins, ce qui avait renforcé leur immunité.

Aujourd’hui, le vieillissement de la population mondiale pose un nouveau défi: on sait que les épidémies grippales saisonnières font davantage de morts parmi les personnes âgées.

L’obésité, le diabète pourraient également peser sur la mortalité en cas de pandémie grippale.

Face à une nouvelle pandémie, les conseils sanitaires de 1918 sont toujours valables: se laver les mains et éviter les rassemblements humains aideront, comme il y a cent ans, à enrayer l’épidémie.

http://fr.canoe.ca/

Un “monde perdu” grouillant de vie découvert au large de la Tasmanie


Un monde perdu au fond des abysses avec des montagnes, des chaines de montagnes sous-marines au Tasmanie Cette région semble être apprécié par des visiteurs marins qui semblent apprécier ce coin ainsi que des oiseaux
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Un “monde perdu” grouillant de vie découvert au large de la Tasmanie

 

Tasmanie

Crédits : iStock

par Brice Louvet

Une équipe de chercheurs annonce avoir découvert un véritable “monde perdu” grouillant de vie sous-marine au large des côtes de la Tasmanie. Certaines montagnes pourraient même s’élever jusqu’à 3 000 mètres au-dessus du plancher océanique.

On en sait davantage sur l’espace que sur nos propres océans, c’est bien connu. Le monde abyssal, en particulier, nous échappe en grande partie – mais les recherches se poursuivent. Par exemple, une équipe de l’Université nationale australienne a récemment tenté de cartographier le fond océanique à bord d’un navire exploité par CSIRO (Organisation de recherche scientifique et industrielle du Commonwealth), au large de la Tasmanie. Et la “pêche” fut bonne : l’expédition révèle en effet la présence d’une chaîne de montagnes sous-marines à environ 400 kilomètres à l’est de l’île. Certains monts, situés à 5 000 mètres de profondeur, pourraient même atteindre les 3 000 mètres de haut.

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Un “monde perdu” découvert sous l’eau, au large de la Tasmanie. Crédits : CSIRO

« Notre cartographie multifaisceaux a révélé pour la première fois une chaîne de monts sous-marins volcaniques dans les moindres détails, s’élevant d’une plaine abyssale à environ 5 000 mètres de profondeur, explique Tara Martin, principale auteure de l’étude. Les monts sous-marins varient en taille et en forme, certains ayant des sommets pointus tandis que d’autres ont de larges plateaux plats, parsemés de petites collines coniques qui auraient été formées par une activité volcanique ancienne. Ce paysage très diversifié est un tableau éblouissant de la vie marine ».

Car oui, la vie grouille en ces profondeurs : phytoplanctons et poissons servent de buffet pour de nombreux oiseaux et mammifères marins également observés dans la région.

« Alors que nous étions au-dessus de la chaîne de monts sous-marins, de nombreux rorquals à bosse ont visité le navire, écrit Eric Woehler, de BirdLife Tasmania. Nous avons estimé qu’au moins 28 baleines à bosse nous ont visités un jour, suivies d’un groupe de 60 à 80 globicéphales noirs le lendemain. Nous avons également vu un grand nombre d’oiseaux de mer dans la région, notamment quatre espèces d’albatros et quatre espèces de pétrels, poursuit-il. Ces monts sous-marins constituent clairement un point chaud biologique qui soutient la vie ».

Ces nouvelles observations importantes pourront permettre aux chercheurs de protéger ces environnements marins uniques et fréquentés. Deux autres expéditions sont d’ores et déjà prévues, l’une en novembre et l’autre en décembre. Il s’agira alors de collecter des échantillons de roches et de filmer directement les lieux avec des caméras haute résolution.

Source

https://sciencepost.fr/