Le Saviez-Vous ► Pourquoi le chat se dirige-t-il toujours vers la personne qui n’aime pas les chats ?


Les chats sont des animaux autonomes et n’aiment pas nécessairement avoir des contacts rapprochés avec l’humain. Les câlins peuvent devenir une source de stress pour eux. Ils préfèrent choisir le moment pour les câlins et un autre pour la tranquillité.
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Pourquoi le chat se dirige-t-il toujours vers la personne qui n’aime pas les chats ?

 

chat stress calins

A l’occasion de la sortie de son livre « Comprendre votre chat » aux éditions de l’Opportun, Sonia Paeleman, comportementaliste pour chats, vous propose de résoudre ce grand mystère au sujet des chats.

On a tous un jour vécu cette situation. Plusieurs personnes sont réunies au même endroit et le chat va systématiquement et le plus naturellement du monde se diriger vers la personne de l’assemblée qui aime le moins les chats, voire ne les aime pas du tout. Mais pourquoi ? Pourquoi ne pas aller tout simplement vers les personnes qui ne demandent que ça ?

Que se passe-t-il dans la tête des chats ?

Au premier abord, il est tentant de penser que le chat n’est tout simplement pas très futé et surtout pas très fin psychologue et qu’il n’a tout simplement pas la moindre idée des personnes qui réclament sa présence ou non.

Mais en réalité, le chat sait parfaitement ce qu’il fait et il se dirige dans son propre intérêt vers la personne la plus fréquentable pour lui. Et cette personne n’est pas celle qui est disponible tout de suite pour le solliciter, le gratouiller ou lui faire un gros câlin… Tout simplement car le matou n’a pas envie de ce gros câlin ou que la situation ne s’y prête pas.

Forcément, la personne qui n’aime pas les chats va rester dans son coin, garder les mains dans ses poches et représente donc la cible la plus logique pour le chat qui veut rester tranquille. C’est à ce moment précis la personne la plus rassurante pour le chat qui aura envie de venir l’explorer.

Les câlins, une source de stress pour votre chat

Outre le fait que cette situation soit un peu cocasse et récurrente, ce que tout cela souligne c’est que le chat est sensible à la manière dont il est approché et dont il est touché par les humains. Bien souvent, lorsque les humains ont envie d’entrer en interaction avec un chat, il se détermine par rapport à leur propre besoin et à leur propre envie sans se demander si cette envie est partagée ou non par le chat.

Au quotidien, le chat se retrouve très souvent dans la situation de devoir tolérer ou recevoir un contact qu’il n’avait pas forcément souhaité. Ceci peut avoir des conséquences non négligeables sur votre relation avec votre chat, mais il se trouve que c’est aussi un des facteurs de stress important pour nos animaux au quotidien.

https://wamiz.com

Le réchauffement a multiplié par quatre les catastrophes depuis les années 70


Les changements climatiques vont amener beaucoup de gens a quitter leur territoire, pour fuir la famine. Cela risque d’amener plus de conflits. Fermeture de frontières, …
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Le réchauffement a multiplié par quatre les catastrophes depuis les années 70

 

Agence France-Presse
Genève

Le réchauffement de la planète a multiplié par quatre le nombre des catastrophes liées au climat depuis les années 70, ont relevé vendredi des humanitaires, mettant en garde contre les risques de famine et d’exode.

« Dans les années 70, nous faisions face à 80 à 100 chocs et dangers graves liés au climat » chaque année, alors que leur nombre a été d’environ 400 l’an dernier, « quatre fois plus », a déclaré Elhadj As Sy, le secrétaire général de la Fédération internationale de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR),  dans un entretien avec l’AFP.

S’exprimant en marge d’une conférence à Genève sur l’impact humanitaire du réchauffement, d’autres humanitaires ont également mis en garde contre les déplacements de population et les risques de famine si l’on ne parvient pas à limiter la hausse des températures.

Selon Gernot Laganda, chargé des risques de catastrophes liées au climat au Programme alimentaire mondial (PAM), si la planète se réchauffe de 2 °C, il y aura 189 millions de personnes supplémentaires en insécurité alimentaire. « Et si c’est 4 °C, on dépassera le milliard », a-t-il ajouté.

Il a rappelé que les chocs climatiques provoquaient déjà le déplacement de quelque 22,5 millions de personnes chaque année et avaient un impact important sur les pays en conflit, comme la Syrie, le Yémen et la République démocratique du Congo, en créant un phénomène de « cocotte-minute ».

Dans un rapport publié lundi, les experts du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) ont appelé à des transformations « rapides » et « sans précédent » si l’on veut limiter le réchauffement de la planète à 1,5 °C.

M. Sy a toutefois estimé qu’il n’y avait « pas de fatalité à ce que ces chocs climatiques deviennent des catastrophes », appelant à une meilleure préparation grâce à « des alertes précoces ».

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Un Japonais tente poliment de cambrioler une épicerie et se rend à la police 5 min après


Au Japon, la criminalité est en baisse, alors les policiers s’attardent a des délits mineurs, quoique important de les résoudre dans la mesure que le délit en est vraiment un (ce qui n’est pas le cas pour un raisin volé). Cette fois-ci, les policiers ont eu tout cuit dans la bouche. Un aveu, une arme, des témoins …
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Un Japonais tente poliment de cambrioler une épicerie et se rend à la police 5 min après

 

Crédits : Next Shark

par  Laura Boudoux

« Je suis venu dans l’intention de vous intimider et de cambrioler ce magasin. Puis-je vous demander, s’il vous plaît, de coopérer avec moi ? »

C’est en ces termes empruntés qu’un Japonais a tenté de voler une épicerie, à Ogori, le 5 octobre dernier. Visiblement en proie à des remords, le voleur s’est aussitôt ravisé, ne laissant même pas le temps au gérant de la boutique de lui répondre. Lâchant précipitamment un « Je ne peux pas faire ça », avant de tourner les talons, l’homme ne s’est pas arrêté là, raconte le site Next Shark.

Traumatisé par son cambriolage pourtant avorté, l’homme s’est ensuite rendu au commissariat, pour confesser son « crime ». Il a rapidement été confondu car ayant été reconnu comme étant le voleur beaucoup trop honnête du magasin. Les policiers ont ensuite découvert que l’homme était en possession d’un couteau, placé dans un sac.

L’homme a eu beau se repentir, il a été arrêté pour « tentative de vol » et fait actuellement l’objet d’une enquête. Il faut dire que la police japonaise est depuis quelques temps légèrement désœuvrée. La criminalité étant en forte baisse dans le pays, certains policiers ont tendance à s’attarder sur des délits mineurs. Rappelez-vous, le 3 octobre dernier, c’est pour le vol d’un grain de raisin qu’un vieil homme était interpellé.

Sources : Next Shark

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Trop de sommeil nuirait au cerveau


On le sait que dormir peu nuirait à notre performance cognitive, mais si on dort plus de 8 heures par nuit ? Il semble que ce soit aussi négatif. Le juste-milieu est ce qui faut atteindre
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Trop de sommeil nuirait au cerveau

 

Trop de sommeil pourrait nuire à la performance cognitive du cerveau, affirment des chercheurs canadiens.

Les conclusions préliminaires de la plus importante étude jamais réalisée sur le sommeil confirment que les gens qui dorment sept ou huit heures par nuit ont une meilleure performance cognitive que ceux qui dorment moins – ou plus.

Plus de 40 000 personnes provenant de partout dans le monde ont répondu au long questionnaire scientifique mis en ligne en juin 2017 par les chercheurs de l’institut Brain and Mind de l’Université Western Ontario. Ce questionnaire les interrogeait notamment au sujet de leur médication, de leur âge, de leur lieu de résidence et de leur niveau d’éducation.

Environ la moitié des participants ont rapporté dormir moins de 6,3 heures par nuit, soit environ une heure de moins que ce qui est recommandé. Une révélation étonnante : la performance cognitive des participants qui dormaient quatre heures et moins correspondait à celle de gens neuf ans plus vieux qu’eux.

Tous les adultes, peu importe leur âge, semblent avoir besoin de sept ou huit heures de sommeil pour ensuite présenter une performance cognitive optimale. La réduction associée à trop ou trop peu de sommeil n’avait également aucun lien avec l’âge.

L’auteur principal de l’étude, Conor Wild, a expliqué que la performance cognitive des « gens qui dormaient plus que [sept ou huit heures] était autant altérée que celle de ceux qui dormaient trop peu ».

Le raisonnement et les capacités verbales comptent parmi les aptitudes les plus touchées par la quantité de sommeil.

Mais même une seule bonne nuit de sommeil semble en mesure de réparer les dégâts : la performance des gens qui avaient eu une meilleure nuit de sommeil que d’habitude juste avant de participer à l’étude a été supérieure à celle des gens qui avaient dormi autant que d’habitude ou moins.

Les conclusions préliminaires de l’étude ont été publiées cette semaine par le journal scientifique Sleep.

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Ces os vieux de 115 000 ans sont ceux d’un enfant Neandertal mangé par un oiseau


Un jeune enfant vieux de 115 000 ans a connu un bien triste sort, en se retrouvant en entier ou en partie dans l’estomac d’un oiseau géant.
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Ces os vieux de 115 000 ans sont ceux d’un enfant Neandertal mangé par un oiseau

 

Crédits : PAP/Jacek Bednarczyk

par  Laura Boudoux 

Il aura fallu cinq ans pour déterminer l’origine d’ossements retrouvés en Pologne. Après analyses, les archéologues de l’université Jagellonne de Cracovie ont annoncé qu’ils étaient ceux d’un enfant néandertalien âgé de 4 à 7 ans, ayant probablement vécu il y a 115 000 ans, rapporte le site Science in Poland.

Ce n’est pas la seule découverte faite par les scientifiques. Ils sont en effet arrivés à la conclusion que ses phalanges mesurant moins d’un centimètre étaient « passées dans le système digestif d’un oiseau géant », depuis disparu. Les chercheurs expliquent qu’il existe donc deux théories : soit l’enfant s’est fait attaquer par l’animal, soit il a été partiellement dévoré après sa mort.

Il s’agit de loin des plus vieux os jamais mis à jour dans le pays, les plus anciens restes humains connus jusqu’à présent datant d’il y a 50 000 ans.

 

Cette « découverte unique », selon Paweł Valde-Nowak, de l’Institut d’archéologie de l’Université Jagellonne, a été faite lors de fouilles organisées dans la grotte de Ciemna, située dans la ville d’Ojcow

. Des recherches antérieures avaient déjà permis de montrer qu’elle avait été occupée par des populations paléolithiques.

« En Pologne, seuls des fragments d’os fossiles appartenant à des proches de l’homme moderne (Homo sapiens) ont survécu jusqu’à notre époque », poursuit Paweł Valde-Nowak. 

« Nous ne doutons pas qu’il s’agisse de restes de Néandertaliens, car ils proviennent d’une couche très profonde de la grotte, située à quelques mètres sous la surface actuelle. Cette couche contient également des outils en pierre typiquement utilisés par les Néandertaliens », confirme le scientifique.

Quant à l’oiseau géant, nul ne sait où il a bien pu finir… 

Sources : Science in Poland / Herald Sun

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Les robots nous ressemblent de plus en plus pour mieux s’intégrer parmi les humains


J’ai probablement beaucoup de préjugés face au robot en général surtout ceux qui ont une forme humaine ou animale. Je ne conçois pas que des robots puisse faire parti de la vie des personnes pour tenir compagnie au lieu d’être humain. Je ne conçoit pas non plus que beaucoup de métier qui peuvent subvenir à la famille qui n’auraient rien pour survivre sont remplacer par des robots.
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Les robots nous ressemblent de plus en plus pour mieux s’intégrer parmi les humains

 

Erica, le robot créé par les laboratoires japonais Hiroshi Ishiguro © afp.

Erica, au visage ultra-réaliste, plonge son regard noir dans celui de son interlocuteur. Comme elle, les humanoïdes occupent toujours plus de place dans la recherche robotique car leur forme humaine serait, selon des chercheurs, l’une des clefs pour les intégrer pleinement à notre vie quotidienne.

« Vous avez mentionné le management de projets. Pouvez-vous m’en dire plus ? », demande Erica lors d’un entretien d’embauche factice où elle joue l’employeuse, ne comprenant pas le fond de la conversation mais rebondissant lorsqu’elle détecte un mot clef.Polémiques

Si l’insertion des robots dans notre quotidien est source de polémiques, notamment par crainte d’un impact négatif massif sur l’emploi, elle est inévitable, selon les spécialistes réunis au congrès international de la robotique IROS 2018 à Madrid qui s’est achevé vendredi.

Dans des sociétés « vieillissantes », « les humains et les robots coexisteront tôt ou tard », affirme à l’AFP Hiroko Kamide, psychologue japonaise spécialisée dans la relation homme-robot.

Les interactions avec les hommes

Sortir les robots des industries ou des laboratoires pour les insérer dans nos foyers ou sur nos lieux de travail implique de développer des « machines polyvalentes capables d’interagir avec l’homme » mais qui ne soient « pas dangereuses » pour lui, explique Philippe Souères, directeur du département de robotique au LAAS-CNRS (Toulouse).

Il faut ainsi que les robots puissent « se comporter de manière souple » malgré leur mécanique rigide, et « s’arrêter suffisamment tôt » en cas d’imprévu, poursuit M. Souères.

D’où ce choix de « systèmes modulaires qui ont la forme du corps humain » et s’intégreraient plus facilement à des « environnements conçus pour l’homme ».

Atlas, l’humanoïde conçu par Boston Dynamics, peut courir sur différents types de sol. A Madrid, le fondateur de la société américaine Marc Raibert a diffusé une vidéo où on le voit en train de réaliser un salto arrière.

Un « robot tueur »

Financé par une agence du département de la Défense des Etats-Unis, ce robot a été accusé en 2015 par Amnesty International d’être un futur « robot tueur« , conçu pour la guerre.

Autre exemple d’humanoïde présenté à Madrid, Talos, robot de 1m75 et 95 kg fabriqué par l’entreprise espagnole Pal Robotics, est lui capable de tenir en équilibre sur un rouleau américain.

Même si elle n’est pas l’unique forme utilisée pour les robots en contact avec les hommes, l’apparence humanoïde est « plus facilement acceptée » car les personnes peuvent « anticiper comment les robots vont se déplacer ou réagir », explique Hiroko Kamide.

Le rejet des humains

Une ressemblance réconfortante mais qui a aussi ses limites. Selon la théorie du chercheur japonais Masahiro Mori, baptisée « vallée de l’étrange » et développée dans les années 1970, le robot nous est agréable s’il présente des traits familiers mais deviendrait vite dérangeant s’il nous ressemble trop, sans toutefois être identique.

« On ne peut jamais reproduire parfaitement un visage humain », et cette imperfection provoque un sentiment de « rejet » chez l’homme, abonde Miguel Salichs, de l’université Carlos III de Madrid, qui a choisi l’apparence d’un petit animal « de bande dessinée » pour son robot Mini Maggie, destiné à divertir les personnes âgées à domicile.

Au Japon, des robots comme Erica sont déjà utilisés comme réceptionnistes. Mais pour l’un de ses concepteurs, Hiroshi Ishiguro, professeur à l’université d’Osaka, ces humanoïdes constituent surtout « un outil très important pour comprendre les humains ».

Faciliter les rapports avec une forme humanoïde

Les chercheurs doivent par définition plancher sur ce qui caractérise la forme humaine pour pouvoir développer des robots qui leur ressemblent.

« On comprend les humains en utilisant les robots, par exemple l’importance du contact visuel » dans nos interactions, précise M. Ishiguro, qui a également fabriqué des robots à l’apparence de personnalités décédées, des « statues en mouvement ».

Et pour améliorer l’échange entre robots et humains, la forme humanoïde prévaudrait, selon ce professeur:

« Le cerveau humain a de nombreuses fonctions pour reconnaître les humains. L’interface naturelle pour les humains est l’humain ».

Pour l’Allemand Jurgen Schmidhuber, président de la start-up NNAISENSE spécialisée dans l’intelligence artificielle, l’avenir se dessine avec des robots, humanoïdes ou pas, qui « n’imiteront pas seulement ce que font les humains, mais règleront par eux-mêmes un problème en expérimentant eux-mêmes ». Et cela grâce à l’intelligence artificielle qui leur permettra d’apprendre « sans professeur humain ».

Assise sur sa chaise, les pommettes comme rosies par du fard à joues, Erica hoche la tête.

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