Parole d’enfant ► La reine


Mlle a souvent un petit caractère assez difficile c’est temps-ci
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La reine

 

Grand-maman raconte :

Mlle n’est pas toujours contente quand je lui dis non et elle me fait savoir que c’est elle qui doit décider

– C’est moi la reine quand maman est partie

Ana-Jézabelle, 4 ans/ 15 septembre 2016

Le Saviez-Vous ► L’arbre le plus seul de la planète


Un arbre rare qui existait dans la préhistoire a été découvert vers la fin des années 1800, il semble très rare, car un seul était connu. Aujourd’hui, il n’existe probablement que des clônes
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L’arbre le plus seul de la planète

 

En 1895, John Medley Wood (qui porte bien son nom) a découvert un arbre qui ressemblait à un palmier à la lisère d’une foret Sud-Africaine, il en a récolté une repousse qui fut envoyée au Kew Gardens de Londres.

Cet arbre, ensuite baptisé Encephalartos woodii en son honneur, est une espèce de Cycadophyta. À l’époque jurassique, ces plantes recouvraient toute la planète et étaient de loin les plus nombreuses.

Aujourd’hui il n’en reste plus que quelques espèces et l’Encephalartos woodii est extrêmement rare.

Tellement rare que le spécimen découvert par John Medley Wood est le seul à ne jamais avoir été découvert malgré de multiples expéditions de recherche, il n’y en a plus qu’un sur la planète et l’espèce est éteinte à l’état sauvage.

Cette famille de plante a besoin d’un spécimen male et d’une femelle pour pouvoir se reproduire, celui qui a été découvert étant un male il ne pourra donc jamais se reproduire.

À partir des différents prélèvements qui ont été réalisés sur l’arbre original on en a réalisé des clones et il en existe aujourd’hui environ 500 dans différents jardins botaniques.

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Les deux pousses du Encephalartos woodii original d’où viennent tous les clones

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http://www.laboiteverte.fr/

Les expressions faciales de ces chiens qui attrapent leur friandise sont hilarantes


Ce photographe réussit à capter l’expression rigolote du visage des chiens qui font tout pour attraper une minuscule gâterie
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Les expressions faciales de ces chiens qui attrapent leur friandise sont hilarantes

 

Le photographe allemand, Christian Vieler, est de retour avec plus de photos hilarantes de chiens qui tentent d’attraper leur gâterie.

Cette fois-ci, il s’amuse en prenant des clichés assez originaux du moment précis où l’animal ouvre sa bouche et écartille ses yeux pour attraper en plein vol leur récompense.

Ce n’est pas la première fois que l’artiste de la ville de Waltrop en Allemagne photographie des chiens pour des résultats cocasses. Jetez un coup d’œil à sa dernière série illustrant des cabots avec de drôles de museaux.

Les expressions faciales de ces chiens qui attrapent leur friandise sont hilarantes

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Se plaindre quotidiennement rend malade physiquement


Je savais qu’une personne qui se plaint tout le temps, il peut devenir malade physiquement, mais cela va encore plus loin. Les mots négatifs auraient réellement un impact sur notre cerveau et notre corps
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Se plaindre quotidiennement rend malade physiquement

 

Voilà, c’est dit. Se plaindre rend malade physiquement.

Une étude publiée par l’Université de Stanford révèle que le fait de se plaindre de façon quotidienne et de cultiver de l’énergie négative, discipline favorite pour certaines personnes, peut rendre malade physiquement et contribue à développer des problèmes de santé importants.

Le piège de se plaindre est subtil, car lorsque l’on se plaint, on a bien souvent l’impression que l’on se libère de quelque chose, qu’on libère les tensions, mais c’est tout le contraire que notre cerveau et notre corps comprend.

Dans l’étude, on apprend que le cerveau adore la simplicité et la répétition, ce qui fait en sorte que lorsqu’on répète une action ou une parole, en l’occurrence se plaindre de façon quotidienne, celui-ci emmagasine cette routine et tend à la reproduire de façon naturelle.

Cette «routine plaignarde» fait en sorte qu’éventuellement pour l’individu, être négatif deviendra beaucoup plus facile que d’être positif. De plus, ce cercle vicieux change l’image des gens envers l’individu, ce qui n’est jamais positif.

On apprend aussi dans l’étude que se plaindre crée des dommages à une région du cerveau, l’hippocampe, essentielle à la résolution de problèmes et à l’intelligence. C’est aussi une des premières régions du cerveau attaquées par la maladie d’Alzheimer

Pas encore convaincu d’arrêter de «chialer»?

Les dommages causés par le fait de se plaindre vont plus loin que ceux du cerveau.

Lorsque l’on se plaint, on crée du stress. Ce stress fait en sorte que le corps libère une hormone qui se nomme le cortisol.

Le cortisol est cette hormone qui est utilisée habituellement en cas d’immense stress, d’urgence ou peur pour sa vie. Le cortisol prend l’oxygène, le sang et l’énergie du corps pour la diriger essentiellement vers cet «état de survie» auquel le corps pense devoir faire face.

Cette production du cortisol fait augmenter la pression artérielle et le taux de sucre dans le sang, ce qui, de façon répétée, est nettement dommageable pour la santé.

Le surplus de cortisol sécrété à cause de l’énergie négative affaiblit le système immunitaire et favorise l’apparition du cholestérol, du diabète, des maladies cardio-vasculaires et de l’obésité.

Les preuves sont là.  À Go, on devient positif la gang!

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L’ouragan Matthew a fait apparaître des farfadets dans les Caraïbes


Vous croyez aux farfadets ? Moi, non ! Bon tout dépend ce qu’on appelle farfadet. Les farfadets en météorologie semblent quelque chose de vraiment beau en autant que l’ouragan ne fasse pas trop de dégâts et de victimes
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L’ouragan Matthew a fait apparaître des farfadets dans les Caraïbes

 

L’ouragan Matthew, en mouvement dans les Caraïbes et d’une très forte puissance, menace de toucher la Jamaïque et Haïti ce dimanche 2 et lundi 3 octobre. Selon le centre américain de surveillance des ouragans (NHC), qui n’excluait pas qu’il atteigne le sud-est des Etats-Unis, il devrait aussi toucher Cuba.

L’ouragan, passé en catégorie 5 dans la nuit de vendredi à samedi (le dernier échelon de l’échelle Saffir-Simpson), a été rétrogradé en catégorie 4 samedi et tout en ayant faibli, continuait dimanche à se diriger lentement – 7 km/h – vers la Jamaïque et Haïti.

Comme le rapporte la chaîne météo The Weather Channel sur son site, Matthew a donné lieu samedi à un phénomène météorologique assez particulier, partagé par de nombreux internautes sur les réseaux sociaux. Au-dessus de la dépression touchant les Caraïbes, certains habitants de la région ont ainsi pu apercevoir… des farfadets.

Un phénomène rare et spectaculaire

On ne parle pas de petits être imaginaires mais de « phénomènes lumineux transitoires », définis par Futura-Sciences comme « des lueurs très brèves que l’on peut rechercher au-dessus des nuages d’orage. Il s’agit d’une rapide ionisation de colonnes atmosphériques verticales (qui se comportent un peu comme des tubes fluorescents) à une altitude de 80 km à la suite de violents éclairs ».

Ces éclairs lumineux à la teinte rouge, comme vous pouvez le voir ci-dessus, sont assez rares et peuvent parfois prendre une coloration bleue, explique The Weather Channel. Il arrive aux astronautes de la Station spatiale internationale d’en observer depuis l’espace.

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Votre aquarium est un désastre écologique


J’adore les aquariums, mais savoir que les poissons exotiques viennent de la mer et non d’élevage comme les poissons d’eau douce, refroidi un peu l’attirance pour ces prisons de verre.
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Votre aquarium est un désastre écologique

 

Poisson rouge | Kai Schreiber via Flickr CC License by

Poisson rouge | Kai Schreiber via Flickr CC License by

Repéré par Annabelle Georgen

Les poissons ne vous disent pas merci.

Il y a ceux «dont le plaisir ultime consiste, assis sur le canapé, à contempler [leur] réservoir d’eau de mer en débouchant une bouteille de vin et en écoutant Les Quatre Saisons de Vivaldi». Ceux qui se passionnent pour la technologie de pointe avec laquelle est équipé leur aquarium, ou encore ceux qui «se réjouissent d’avoir le contrôle sur leur prétendu océan miniature».

Si le journaliste Bernd Brunner se moque ainsi des propriétaires d’aquariums, c’est qu’il est urgent, selon lui, d’abandonner ce hobby qui, sous couvert de célébrer la diversité du monde marin, contribue à sa destruction, comme il l’explique dans l’hebdomadaire Die Zeit.

Pour remplir les aquariums des millions d’amateurs de faune marine que compte la planète, 500 à 600 millions de poissons d’agrément sont pêchés chaque année dans les rivières et les océans du globe, selon l’organisation de recherche environnementale Worldwatch Institute. Rien qu’en Allemagne, 80 millions de poissons nagent aujourd’hui dans un bocal.

Hécatombe

Les collectionneurs de poissons d’eau de mer vivants sont ceux qui causent le plus de dégâts, précise le journaliste:

«Contrairement aux poissons d’eau douce, qui proviennent souvent d’élevages, la plupart des poissons de mer sont issus de zones maritimes dans lesquelles se trouvent des récifs de corail très menacés.»

Ces poissons exotiques sont majoritairement capturés dans les eaux des Philippines, d’Indonésie ou encore d’Australie. Bien que ces poissons représentent une part infime des poissons que l’on trouve dans les aquariums, eu égard aux contraintes techniques et au coût que représente l’entretien d’un aquarium rempli d’eau salée, leur pêche est une hécatombe:

«De nombreux animaux meurent avant d’arriver dans le commerce, entre autres parce que dans certains pays la pêche au poison est encore une réalité. Les conditions de transport sont également insuffisantes. De nombreux poissons meurent à cause du manque de nourriture et du stress.»

Selon le site du mouvement d’alterconsommation Slow Food, cette technique de pêche consiste à répandre du poison dans les zones de pêche, comme du cyanure par exemple:

«La pêche au cyanure par exemple s’étend des récifs décimés et dévastés des Philippines –où on estime que 65 tonnes de cyanure sont déversées chaque année– à des récifs isolés à l’Est de l’Indonésie et d’autres pays de l’ouest du Pacifique.»

Relique kitsch

Les poissons d’eau douce, eux, proviennent majoritairement d’élevages de masse d’Asie du sud-est, ce qui selon Die Zeit ne représente donc pas une alternative satisfaisante d’un point de vue écologique.

Évoquant les débuts de l’aquarium, qui aurait été inventé au XIXe siècle par la naturaliste française Jeanne Villepreux-Power, une des pionnières de la biologie marine, pour observer les spécimens qu’elle étudiait, Die Zeit déplore que ces bocaux soient aujourd’hui «des reliques kitsch du passé, qui nous montrent des animaux emprisonnés dans un environnement factice.» Et appelle donc les propriétaires à se montrer responsables. En d’autres termes: à regarder des documentaires sur le monde marin sur leur écran plat plutôt que de loucher sur de pauvres poissons arrachés à leur biotope tournant mornement autour d’une épave de bateau pirate miniature.

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Les animaux qui s’entretuent le plus sont… les mangoustes


Je crois que nous devrions revoir la notion de cruauté chez les animaux. Ils pratiquent surtout l’infanticide alors que chez l’homme, c’est aussi les adultes qui sont tués. Il semble que le suricate serait le plus meurtrier parmi tous les mammifères
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Les animaux qui s’entretuent le plus sont… les mangoustes

 

Un suricate, via Wikimédia Commons.

Un suricate, via Wikimédia Commons.

Repéré par Claire Levenson

Des chercheurs ont comparé la tendance à s’entretuer chez plus de mille espèces animales.

Afin de mieux comprendre les tendances meurtrières chez l’homme du point de vue de l’évolution, une équipe de biologistes de l’université de Grenade a analysé la propension de mille espèces de mammifères à s’entretuer au sein de leur espèce. Selon leur étude publiée dans la revue Nature, ce sont les suricates, un type de mangouste, qui se tuent le plus entre eux.

A première vue, les suricates sont des animaux plutôt mignons qui vivent en Afrique du Sud-Ouest et ne dépassent pas les soixante centimètres, mais ils sont extrêmement cruels envers les membres de leurs espèces. Près d’un suricate sur cinq, en général plutôt un jeune, est tué par un autre suricate, souvent plus âgé. En effet, pour protéger leur statut au sein du groupe, les femelles suricates dominantes n’hésitent pas à tuer les petits de leurs rivales, à attaquer leurs propres filles et tuer leurs petits-enfants.

Ed Yong, un journaliste de The Atlantic, a créé un graphique pour rendre plus lisible l’étude de Nature, et on y apprend, entre autres, que les gazelles et les écureuils sont dans le top trente en termes de meurtres intra-espèce. Il s’avère aussi que les chinchillas s’entretuent plus que les ours.

En règle générale, la tendance à tuer au sein de son espèce est présente chez près de 40% des mammifères. Certains, comme les lapins, les chauve-souris et les baleines ne s’entretuent quasiment jamais.

Quant aux primates, le groupe dont font partie les ancêtres de l’homme, ils sont beaucoup plus violents que la moyenne des mammifères. En effet, alors qu’en moyenne, seulement 0,3% des morts de mammifères sont causées par des membres de la même espèce, le taux est de 2,3% pour les primates.

Les auteurs de l’article ont aussi déduit que le taux de violence au Paléolithique était compris entre 3,4 et 3,9%, et que ce taux avait atteint 12% au Moyen-Age, avant de baisser considérablement à l’âge moderne. Pour obtenir ces chiffres, l’équipe réunie sous la direction de José María Gómez a analysé d’innombrables statistiques historiques pour analyser les causes de mort dans six cent populations humaines différentes entre 50.000 avant J.C. et nos jours.

Des scientifiques interrogés par The Atlantic ont noté que la comparaison mammifère/homme effectuée par les auteurs de l’étude était quelque peu problématique dans la mesure où chez les primates, c’est l’infanticide qui est le type de meurtre le plus commun. La tendance meurtrière de l’homme demeure donc unique en ce qu’il s’agit du meurtre d’autres adultes, une pratique que l’on trouve rarement chez les mammifères, à part quelques carnivores comme les lions et les loups.

http://www.slate.fr/