Parole d’enfant ► Sushis


On dit qu’on attrape un homme par le ventre, mais il arrive que c’est le contraire. Dire que Pascal n’aime pas les sushis, mais aime les faire pour faire plaisir a ma fille. Il fait vraiment très bon sushis et de merveilleux tartares
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Sushis

 

Je suis contente que papa soit tombé amoureux de maman parce qu’il fait de bon sushis

Ana-Jézabelle, 4 ans / 12 Octobre 2016

Le Saviez-Vous ► Les vers parasites les plus dangereux


 

Les parasites ne sont pas esthétiquement parlés très jolis. En fait, ils sont des sujets idéals pour faire des films à science-fiction. Peu importe, ils peuvent par contre, être très dangereux
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Les vers parasites les plus dangereux

 

Lise Loumé

Spécialiste santé au pôle digital de Sciences et Avenir

Redoutables pour l’homme et d’autres mammifères, les vers parasites présentent des morphologies variées, et parfois même, insoupçonnées.

Ankylostomes, ascaris, helminthes… Différents groupes de vers parasites infectent les mammifères depuis des millions d’années. Malgré des progrès modernes en matière d’assainissement, certains ont encore un impact dévastateur sur la santé humaine, en particulier dans les pays en voie de développement, infectant plus de personnes que le paludisme et la tuberculose.

Les mécanismes d’infection des vers parasites ne sont pas encore totalement connus. Deux études ont été publiées à ce sujet dans la revue Science en 2014 : la première explorait la manière dont les infections des vers helminthes peuvent compromettre le système immunitaire en réveillant des virus latents et la deuxième comment ces mêmes vers empêchent les défenses antivirales du système immunitaire de s’activer.

Toxocara canis

Toxocara canis (souvent dénommé Ascaris du chien) infecte principalement les chiens. Arrivé à maturité, ce ver mesure 9 à 18 centimètres de long.

Ascaris lumbricoides

La femelle Ascaris lumbricoides pond jusqu’à 200.000 oeufs par jour. Les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) estiment que 807 à 1.221 millions de personnes sont infectés par ce ver parasitaire dans le monde.

Dirofilaria immitis

Dirofilaria immitis se propage par les piqûres de moustiques. Il infecte principalement les chiens mais peut aussi parasiter d’autres animaux tels que les chats et les furets, rarement les humains.

Schistosoma mansoni

Schistosoma mansoni. Ce ver parasite cause la schistosomiase, encore appelée bilharziose, la deuxième maladie parasitaire la plus dévastatrice dans le monde. Elle est présente dans les zones tropicales et subtropicales : en Afrique, en Asie et dans le bassin méditerranéen.

Les ténias

Les ténias (encore appelés « vers solitaires ») utilisent des crochets et des ventouses à la pointe de la tête pour s’ancrer eux-mêmes dans la muqueuse intestinale de l’hôte.

Le ténia du porc

L’infection intestinale causée par le ténia du porc (aussi nommé « ténia armé) est généralement asymptomatique. Mais ses larves peuvent provoquer une infection dans le cerveau, les muscles et d’autres tissus du corps appelée cysticercose.

Necator americanus

Necator Americanus s’attache aux villosités de l’intestin pour sucer le sang d’un hôte, causant douleurs abdominales, diarrhée et perte de poids.

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Dans l’espace, la menace d’une nouvelle course aux armements


Il semble que la cour de récréation pour l’être humain n’est pas assez grande pour faire la guerre que cela pourrait être agrandi jusqu’à l’espace. Les films de science-fiction sont vraiment une possibilité de l’avenir ….
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Dans l’espace, la menace d’une nouvelle course aux armements

«Nous devons nous tourner vers l'avenir: que se... (Photo archives AFP)

 

«Nous devons nous tourner vers l’avenir: que se passera-t-il si un conflit sur la Terre s’étend à l’espace? Comment défendrons-nous nos satellites?», demandait mi-septembre la patronne civile de l’US Air Force, Deborah Lee James.

PHOTO ARCHIVES AFP

LAURENT BARTHELEMY
Agence France-Presse
Washington

 

Satellites tueurs, lasers aveuglants, brouilleurs sophistiqués: les grandes puissances préparent discrètement la guerre dans l’espace, au risque de lancer une dangereuse course aux armements.

Depuis quelques années, les responsables militaires américains ne cessent d’alerter sur la vulnérabilité croissante de leurs satellites, pourtant cruciaux pour leurs armements.

Jadis chasse gardée des Américains et des Russes, l’espace est désormais accessible à de multiples acteurs, étatiques ou non. Et Moscou et Pékin démontrent des capacités d’attaque spatiale qui inquiètent les stratèges américains.

«Nous devons nous tourner vers l’avenir: que se passera-t-il si un conflit sur la Terre s’étend à l’espace? Comment défendrons-nous nos satellites?», demandait mi-septembre la patronne civile de l’US Air Force, Deborah Lee James.

En 2015, le comportement mystérieux d’un satellite russe a alimenté les spéculations sur le développement par la Russie de possibles satellites d’attaque, capables de se déplacer et de manoeuvrer dans l’espace pour approcher d’un satellite cible.

Sans explication ni préavis, le mystérieux engin s’est positionné pendant plusieurs mois entre deux satellites commerciaux Intelsat en orbite géostationnaire, s’approchant à moins de 10 kilomètres de l’un d’eux… avant de repartir.

«Une approche non autorisée et aussi près […] est vraiment inquiétante», estime Victoria Samson, spécialiste d’une fondation américaine oeuvrant pour une exploitation durable de l’espace. «Nos satellites sont cruciaux pour notre sécurité nationale et le fait qu’un autre satellite puisse s’approcher d’eux et interférer avec leur activité est vraiment dérangeant» pour les stratèges militaires.

«L’espace va se militariser»

La Chine a aussi démontré en 2013 sa capacité à envoyer en orbite basse un petit satellite capable de manoeuvrer vers un autre engin.

La même année, Pékin avait frappé les esprits en tirant vers l’espace un nouveau missile capable d’atteindre l’orbite géostationnaire, à 36 000 kilomètres de la Terre, pour frapper un satellite.

Pour le Pentagone et certains experts américains, les États-Unis doivent accélérer leurs efforts militaires dans l’espace pour éviter que les satellites ne deviennent le talon d’Achille de leur armée.

«Ces dernières années», le Pentagone «a beaucoup agi pour développer des réponses aux menaces que la Russie et la Chine sont en train de développer. Nous devons aller plus vite», indiquait récemment devant le Congrès le général John Hyten, qui dirige les forces stratégiques américaines.

«Si quelqu’un dispose en orbite d’un engin capable de détruire nos satellites, nous aurons peut-être besoin de capacités pour les défendre», explique Elbridge Colby, du centre de recherche sur la Défense CNAS à Washington. «L’espace va inéluctablement se militariser […] Nous devons être réalistes».

Les États-Unis doivent développer «des formes efficaces, mais limitées d’attaques dans l’espace, en particulier des armes non cinétiques» comme les lasers ou les brouilleurs, souligne-t-il.

D’autres experts invitent à la retenue, rappelant que le Pentagone dispose probablement déjà des capacités offensives que Pékin et Moscou chercheraient à acquérir.

«Il y a un peu d’exagération par ceux qui, dans la sphère militaire, ont du mal à accepter que les États-Unis puissent perdre leur rôle de puissance dominante dans l’espace», indique Victoria Samson.

Par exemple, les Américains disposent depuis peu de quatre satellites capables de manoeuvrer en orbite géostationnaire pour aller inspecter et surveiller de près un autre satellite. Les deux derniers ont été lancés en août.

Les États-Unis disposent également depuis 2004 d’une station de brouillage mobile, qui depuis la Terre peut brouiller un satellite. Et ils ont déjà testé la destruction d’un satellite avec un missile.

Code de conduite international

Pour Theresa Hitchens, chercheuse à l’université du Maryland, les Russes et les Chinois «rattrapent très vite» l’avance américaine.

«Pour l’instant, on est beaucoup dans la démonstration technologique», mais sans initiative diplomatique, «on finira par avoir une course aux armements dans l’espace», avertit-elle.

Avec un risque extrême pour l’humanité, souligne-t-elle:

«Si nous avons un jour une guerre qui implique des armes antisatellites» créant une multitude de débris, «nous endommagerions tellement l’espace» qu’il serait très difficile ensuite de continuer à exploiter les satellites, ajoute-t-elle.

Pour Michael Krepon, expert américain vétéran des négociations mondiales de désarmement, il faut négocier un code international de bonne conduite dans l’espace, comprenant un volet militaire.

«Mais l’administration Obama n’a vraiment jamais mis son poids derrière ces négociations», suspendues depuis 2015, regrette-t-il. Les États-Unis ont laissé l’initiative à l’Union européenne et celle-ci «a été très peu efficace».

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La première momie passée aux rayons X révèle enfin ses secrets


Vous imaginez, grâce à la technologie plus avancée, des scientifiques peuvent réexaminer une momie égyptienne pour mieux découvrir un peu plus sur le corps, sur ce qui a causé la mort, sans pour autant briser les bandelettes
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La première momie passée aux rayons X révèle enfin ses secrets

 

La première momie passée aux rayons X révèle enfin ses secrets ! © S. Zesch et al, Euro. J. Radiol. Open 2016

 

Laurent Sacco,

 

Il y a plus d’un siècle, la première momie égyptienne était passée sous les rayons X sans que ceux-ci ne puissent permettre de déterminer son sexe ou son âge. Avec les scanners modernes, on en sait maintenant plus sur elle, notamment les pathologies dont souffrait la personne avant son décès.

Les rayons X ont été découverts en novembre 1895 par le physicien allemand Wilhelm Conrad Roentgen. Aussi incroyable que cela puisse paraître, son collègue Walter Koenig publia dès mars 1896 la première radiographie aux rayons X d’une momie égyptienne faisant partie des collections d’objets égyptiens du muséum Senckenberg (ou Naturmuseum Senckenberg) de Francfort-sur-le-Main, le deuxième plus grand musée d’histoire naturelle d’Allemagne.

Il s’agissait visiblement des restes momifiés d’un enfant mais les chercheurs de l’époque ne pouvaient guère en dire plus. En fait, et pour des décennies encore, la radiographie allait surtout être utilisée pour tenter de découvrir des amulettes et des bijoux dans les momies bien que l’on se préoccupa aussi assez rapidement d’avoir des renseignements du point de vue de l’anthropologie et de la paléopathologie.

Un enfant probablement atteint de bilharziose

Sur ce dernier point, les progrès ne vont être réels qu’à partir des années 1970 grâce aux scanners et aux ordinateurs comme l’a montré en 1976 l’analyse, avec cette technique, du cerveau desséché d’un jeune garçon de la 21e dynastie puis de la momie d’une femme de la 22e dynastie par des chercheurs canadiens à Toronto. Depuis lors, les études non-invasives de momies égyptiennes se sont multipliées, profitant du caractère non-invasif du scanner et du progrès des machines.

La biologiste, anthropologue et égyptologue allemande Stephanie Zesch a eu l’idée de réexaminer la première momie passée aux rayons X avec des moyens modernes comme le montre un article qu’elle a publié avec ses collègues dans European Journal of Radiology Open. Il apparaît maintenant qu’il s’agissait du corps d’un enfant mâle âgé de 4 à 5 ans et qui vivait pendant la période Ptoléméenne, soit quelque part entre 378 et 235 avant J.-C. selon la datation au carbone 14.

Les scanners modernes permettent une extraordinaire tomographie par rayons X de la momie déjà étudiée en 1896. © S. Zesch et al, Euro. J. Radiol, Open 2016

Les scanners modernes permettent une extraordinaire tomographie par rayons X de la momie déjà étudiée en 1896. © S. Zesch et al, Euro. J. Radiol, Open 2016

La cause de la mort est difficile à établir car on ne voit pas de traces de traumas. Mais les rayons X ont montré celles de plusieurs pathologies qui l’affectaient déjà. L’enfant avait ainsi un pectus excavatum (ou thorax en entonnoir) la déformation la plus fréquente du thorax caractérisée par un enfoncement plus ou moins prononcé de la partie inférieure du sternum. Elle est le plus souvent présente dès la naissance mais elle peut aussi se développer au cours de la croissance.

Les restes momifiés indiquent également un foie de taille anormale, probablement en raison d’une parasitose commune en Égypte, labilharziose ou schistosomiase. C’est une maladie parasitaire due à un ver hématophage, le schistosome.

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L’UNICEF a constaté des carences dans l’alimentation des bébés dans le monde


Des millions d’enfants dans le monde souffrent de malnutrition, dans les pays en voie de développement, mais aussi dans des familles riches que les enfants n’ont pas une alimentation adéquate. Le problème est grave car c’est dans les premières années qu’il est primordial que l’alimentation a un grand rôle dans la croissance
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L’UNICEF a constaté des carences dans l’alimentation des bébés dans le monde

 

La malnutrition affecte toujours 156 millions d'enfants de... (Photo archives AFP)

La malnutrition affecte toujours 156 millions d’enfants de moins de cinq ans dans le monde

PHOTO ARCHIVES AFP

VICKY FRAGASSO-MARQUIS
La Presse Canadienne

 

À l’occasion de la Journée mondiale de l’alimentation, dimanche, l’UNICEF appelle les gouvernements du monde à s’impliquer pour que les jeunes enfants soient mieux alimentés à ce moment critique de leur vie.

Le portrait est peu reluisant à l’heure actuelle.

L’organisme onusien a publié vendredi un rapport d’une centaine de pages dans lequel il souligne l’importance de bien alimenter les bébés dans les deux premières années de leur vie pour «leur santé, leur développement et leur survie».

La malnutrition affecte toujours 156 millions d’enfants de moins de cinq ans dans le monde, tandis que 42 millions d’autres éprouvent des problèmes de surpoids ou d’obésité – soit 11 millions de plus qu’en 2000.

Le rapport considère deux facteurs: l’allaitement et l’alimentation. D’une part, le taux d’allaitement stagne dans certaines régions notamment parce que plusieurs pays ne prévoient pas de congés parentaux, ce qui dissuade les femmes à opter pour cette pratique. Pourtant, l’allaitement a prouvé ses bienfaits avec le temps. Le lait maternel fournit aux nourrissons de multiples anticorps et les protège de plusieurs maladies, dont la pneumonie et la diarrhée.

L’UNICEF interpelle les gouvernements pour remédier au problème: ils peuvent adopter des lois pour faire la promotion de cette habitude, a soutenu France Bégin, l’une des auteures du rapport, en entrevue avec La Presse canadienne.

L’allaitement est moins fréquent dans les pays industrialisés, mais il a tendance à se répandre avec l’expansion des congés parentaux en Europe et au Canada, par exemple.

Mis à part les congés de maternité, les pratiques des entreprises de lait maternités devraient être mieux encadrées pour limiter l’accessibilité à leurs produits. De plus, selon Mme Bégin, les systèmes de santé doivent être aussi mieux adaptés pour «appuyer les mères dès le premier moment, dès la première heure de vie de l’enfant».

D’autre part, les pays accusent de nombreux retards pour ce qui est de l’alimentation en termes de quantité et de qualité.

Selon les dernières données de l’UNICEF, la moitié des bébés de 6 à 23 mois ne consomment pas le minimum de repas par jour selon leur âge. Les enfants allaités de 6 à 8 mois doivent manger au moins deux fois par jour, tandis que ceux de 9 à 23 mois doivent consommer au moins trois repas. Les bébés qui ne sont pas allaités doivent quant à eux manger au moins quatre fois par jour à partir de 6 mois.

Actuellement, dans le monde, 70 % des nourrissons et des jeunes enfants sont considérés comme dénutris, c’est-à-dire qu’ils ne consomment même pas quatre groupes alimentaires parmi les huit catégories de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Les familles pauvres sont évidemment surreprésentées dans ces statistiques, mais l’UNICEF note des carences dans les ménages plus riches aussi.

«Même dans les familles plus riches, on a des problèmes à avoir une alimentation adéquate. Parfois, c’est une question d’éducation et on ne sait pas que ce sont des aliments qu’on ne doit pas donner», a analysé France Bégin.

Il est parfois difficile de modifier des pratiques et des mentalités profondément ancrées dans la culture des pays, par exemple l’allaitement en public qui demeure toujours controversé dans certaines régions.

Pour y arriver, l’UNICEF tente de rejoindre des leaders d’opinion qui sauront sensibiliser la population.

«On va travailler avec des gens qui sont influents avec les médias sociaux, de plus en plus (…) On a besoin d’avoir beaucoup plus d’information, d’éducation», a souligné Mme Bégin.

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Les aliments imposteurs


Il y a de produits qui se veulent santé, en affichant : faible teneur en sel, sans sucre, sans gras, etc. Alors que c’est aliments sont plus des pièges qu’autre chose
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Les aliments imposteurs

 

Nous avons souvent des idées préconçues sur certains aliments qui nous amènent à faire des choix pas toujours optimaux. Pour cette raison, plusieurs grandes marques mettent des allégations sur les emballages ou créent de nouvelles versions de leurs produits (sans gras, sans colorant…). Toutefois, il n’est pas rare que l’on dépose des aliments dans notre panier en pensant qu’ils sont bons pour notre santé, mais en réalité, ils sont des aliments trompeurs. Tour d’horizon parmi quelques-uns d’entre eux.

* Jus de fruits sans sucre ajouté

Les emballages de jus de fruits semblent toujours attirants : 100% jus, 14 portions de fruits, sans sucre ajouté… Toutefois, peu importe le nombre de portions de fruits contenu dans 250 ml, votre apport en fibre sera nul. Sachez aussi que le jus fruits contient autant de sucre que les boissons gazeuses!1 tasse de ce jus équivaut à 5 cuillères à thé de sucre. C’est pour cette raison qu’il est toujours préférable de croquer dans un fruit que de le boire.

* Smoothies

Si vous accompagnez votre repas d’un smoothie en breuvage, sachez qu’il peut renfermer assez de calories. Par exemple, cette bouteille de 450 ml renferme 250 calories provenant essentiellement des glucides des fruits (60g de glucides et 42 g de sucres), car il contient 3 portions ½ de fruits. Les fruits sont toujours une meilleure option que les boissons à base de fruits, car ils sont plus rassasiants. Il est rare de manger 3 fruits de suite, mais il est facile de passer à travers cette bouteille en quelques minutes!

* Muffins aux fruits et au son

Les muffins du commerce aux fruits semblent être un dessert santé pour les gens qui n’ont pas le temps de cuisiner. Erreur! La valeur énergétique d’un muffin est souvent égale ou supérieure à celle que devrait contenir le plat principal. Aussi, ces muffins sont souvent riches en gras (18 g de lipides), en sodium(340 mg) et en sucres (48 g de glucides et 27 g de sucres).

Bref, évitez les muffins du commerce et des cafés de style Tim Horton ou McDonalds, car même les variétés aux fruits ne sont pas des choix santé

Muffins du McDo (entre 380 et 450 calories)

Muffins du Tim Horton (350 à 400 calories)

* Jujubes aux vrais fruits

Ces jujubes de superfruits semblent être une bonne option. Les ingrédients sont peut-être plus intéressants que les jujubes ordinaires (car sans gélatine). Toutefois, peu importe la marque, les jujubes sont des bonbons donc l’ingrédient principal reste le sucre. Ainsi, pour 8 jujubes, on a 130 calories et 33 g de glucides, dont 20 g de sucre (4 cuillères à thé de sucre). Les valeurs nutritives sont de loin celles que l’on obtient en mangeant de vrais petits fruits!

* Croustilles de chou frisé

Les croustilles de chou frisé semblent être une bonne alternative aux chips traditionnelles. Erreur! Bien qu’elles sont moins caloriques et grasses que les autres produits comparables, elles fournissent beaucoup plus de sodium que les chips ordinaires (680 mg, donc 1360 mg pour un sac complet!).

* Croustilles de banane plantain

Êtes-vous du genre à grignoter des croustilles plantain salés? Si oui, sachez qu’un seul sac de 85 g = 440 calories, 25 g de lipides (dont 11g de gras saturés). Les gras saturés proviennent de l’huile de palme.Cette collation est aussi très riche en glucides (57g) d’où sa haute teneur en calories.

* Vinaigrette sans gras

Vous pensez faire un choix santé en optant pour la vinaigrette césar sans gras? En coupant les matières grasses, la liste d’ingrédients s’allonge : gélifiants, sucre, amidon. Aussi, les produits réduits en gras ont souvent une teneur en sodium plus élevée (comme c’est le cas pour cette vinaigrette).

* Céréales Nesquik de grains entiers pour enfant

Tout en attirant l’œil des enfants, ces bouchées de blé entier semblent quand même intéressantes à première vue.Toutefois, le sucre vient en deuxième position dans la liste d’ingrédients. Pour ¾ de tasse, on a l’équivalent d’environ 5 cuillères à thé de glucides, dont 2 cuillères à thé de sucre. La saveur sucrée habitue les enfants au goût du sucre. La liste d’ingrédients est aussi peu intéressante : sucre, sirop de maïs.

* Céréales avec perles de yogourt

Ces céréales probiotiques semblent très santé au premier coup d’œil : source de fibres, faible en sodium, sans OGM, probiotiques qui contribuent à la santé de la flore intestinale…Toutefois, les capsules de yogourt sont faites à partir d’huile de palmiste modifiée. Pour augmenter votre apport en probiotiques, éviter les enrobages de yogourt, car ils sont souvent faits base d’huile de palme.

* Céréales granola

Les céréales granola aux fruits semblent des options intéressantes, mais elles sont souvent riches en glucides. Soyez bien à l’affut, car la portion de référence est souvent plus petite que celle consommée.

À retenir : modérez votre consommation de granola ou mélangez-les avec d’autres céréales (de type flocons d’avoine par exemple) pour diminuer votre quantité.

* Boissons diètes

Même si elles contiennent 0 calorie, les boissons diètes sont des boissons sucrées. Le sucre est remplacé par l’aspartame (un édulcorant ou substitut de sucre), ayant un pouvoir sucrant. Les boissons gazeuses diètes ne sont pas intéressantes, elles entretiennent le goût du sucre et pourraient même stimuler l’appétit pour des aliments sucrés. Mieux vaut une eau gazéfiée.

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4 comportements du chat pouvant être liés à des troubles psychologiques


Les chats aussi peuvent avoir des problèmes psychologiques causés par le stress, l’anxiété. Il est difficile parfois de trouver ce qui ne va pas, mais cela est essentiel pour trouver le meilleur traitement
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4 comportements du chat pouvant être liés à des troubles psychologiques

 

Il arrive parfois qu’un chat change subitement d’attitude et adopte un comportement qui peut nous paraître étrange, voire « gênant ». Ces modifications ne doivent pas être prises à la légère : elles peuvent cacher une réelle souffrance.

Un changement brutal dans le comportement du chat peut tout d’abord être l’expression d’une douleur physique, un symptôme d’une maladie. La première des choses est donc de consulter un vétérinaire afin de s’assurer que l’animal n’est pas malade. Une fois seulement cette hypothèse écartée, on pourra s’intéresser à une cause d’ordre psychologique qui pourrait expliquer ces changements.

1. La malpropreté

La malpropreté est souvent un signe d’anxiété chez le chat. Elle peut éventuellement être liée à une cystite (on ne connaît pas la cause de 70% d’entre elles). Cette malpropreté peut être causée par un changement dans la vie du chat, aussi minime soit-il : déménagement, arrivée d’un nouvel animal ou d’un nouveau membre de la famille, déplacement de meubles, ou litière jugée inconfortable aux yeux du chat…

2. L’agressivité

Si le chat est soudainement agressif, ce peut aussi être à cause d’un stress, ou d’un problème d’alimentation. Le syndrome du tigre, notamment, est l’expression d’un réel mal-être lié à une frustration alimentaire. Pour y remédier, il est préférable que le chat bénéficie d’une nourriture adaptée à sa disposition en permanence plutôt que divisée en deux ou trois repas.

3. La dermatite de léchage

Lorsque le chat est stressé, il peut se lécher frénétiquement au point de faire apparaître des zones sans poils sur son corps. Le léchage compulsif peut être dangereux pour le chat en raison des boules de poils qui s’accumulent dans son intestin.

4. Les dégâts

Si le chat a pris la mauvaise habitude de détruire son habitat, notamment en griffant le canapé ou les rideaux, ce peut être en raison d’un stress, d’une souffrance psychologique liée à l’ennui et à l’emmagasinage d’un trop-plein d’énergie : le chat ne bénéficie pas d’un environnement suffisamment favorable à son bien-être. Il vous faut alors enrichir son environnement, lui offrir des jouets et lui proposer des moments d’activité.

Alors quelle solution ?

Il est impératif de définir la cause de ces changements de comportement. Sans cela, il vous sera impossible d’y remédier. Une fois la cause identifiée, il faut agir de façon à ce que votre chat se sente mieux, en lui offrant un environnement, une alimentation et des activités adaptés à ses besoins. Vous pouvez également demander l’aide d’un vétérinaire ou encore d’un comportementaliste félin. Ces professionnels sauront vous donner les clés d’une cohabitation harmonieuse avec votre chat.

 

Par Elisa GorinsCrédits photo : Shutterstock

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