Contraste


On est difficile a contenter, il y a pourtant des gens qui se satisfait de peu
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Contraste

 

 

J’ai vu des gens se plaindre de tout alors qu’il ne manquaient de rien, comme j’ai vu des gens manquer de tout alors qu’ils se plaignent de rien

Inconnu

Ne vous plaignez pas


Ne pas se plaindre pendant une journée entière, cela peut-être difficile pour certaines personnes, et pourtant, apprendre à vivre au présent, apprécier les choses, les évènements que l’on vit même s’ils sont petits, peut changer complètement notre attitude
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Ne vous plaignez pas

 

 

Ne vous plaignez pas pendant 24h. Pas même une fois… puis regardez la façon dont votre vie commence à changer.

Inconnu

La plus vieille plainte d’un client remonte à 4.000 ans


La plus vieille plainte connu face à un marchand date de 3 800 ans en Mésopotamie. Cette tablette a été trouver dans de Londres, au British Museum
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La plus vieille plainte d’un client remonte à 4.000 ans

 

Une réalisation haute de 11,6 cm et épaisse de 2,6 cm | BRITISH MUSEUM CC BY-NC-SA 4.0

Une réalisation haute de 11,6 cm et épaisse de 2,6 cm | BRITISH MUSEUM CC BY-NC-SA 4.0

Repéré par Victor Métais

Repéré sur Quartz

Une histoire de lingots qui ne correspondaient pas à la commande.

 

C’est à Londres, au British Museum, que l’on trouve trace de la première plainte d’un client de l’histoire. Étiqueté «artefact 131236», cette ancienne tablette babylonienne est le message d’une personne prénommée Nanni, à une autre du nom d’Ea-nasir, écrit il y a environ 3.800 ans dans la ville d’Ur au sud de la Mésopotamie, aujourd’hui Tell al-Muqayyar, dans le sud de l’Irak.

Une tablette qui dit bien des choses

Le site web Reddit a dévoilé une traduction de cette tablette écrite en akkadien, dialecte de la famille des langues sémitiques et en écriture cunéiforme, en s’appuyant sur l’expertise de Adolf Leo Oppenheim dans son ouvrage de 1967, Letters From Mesopotamia: Official, Business, and Private Letters on Clay Tablets from Two Millennia. On comprend ainsi qu’il s’agit d’une plainte:

«Quand vous êtes venu, vous m’avez dit la chose suivante: “Je donnerai à Gimil-Sin (à son arrivée) des lingots de cuivre de bonne qualité”. Vous êtes parti mais vous n’avez pas fait ce que vous aviez promis.

Vous avez proposé des lingots qui n’étaient pas de bonne qualité à mon représentant en lui disant: »Si vous les voulez, prenez-les; si vous n’en voulez pas, partez! »

Pour qui me prenez-vous, pour me traiter avec un tel mépris? […] Y a-t-il quelqu’un parmi les marchands qui commercent avec Telmun qui m’a traité de cette façon?»

On ne sait pas si Nanni a finalement bénéficié d’un geste commercial.

http://www.slate.fr/story/

Changement


Une bonne manière de voir les choses. Souvent quand nous n’aimons pas quelque chose, nous avons tendance de ne rien faire pour changer pour de multiples raisons, alors qu’agir cela pourrait vraiment aider
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Changement

 

 

Constater que je n’aime pas quelque chose dans ma vie, ce n’est pas forcément me plaindre, c’est le point de de départ nécessaire pour un changement

Thomas D’Ansembourg

Se plaindre est mauvais pour notre santé mentale et physique


Notre cerveau réagit à nos pensées. Si elles sont négatives, elles peuvent déclencher des réactions psychologiques, et même physiques maladies cardiaques, gain de poids, entre autres ainsi que des difficultés d’apprentissage et de mémorisation … Il faut apprendre a canalisé nos pensées pour qu’elles deviennent positives et se protéger des gens trop négatifs
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Se plaindre est mauvais pour notre santé mentale et physique

 

Se plaindre n’est pas un comportement inoffensif pour notre santé mentale et physique. Il y aurait même un danger de mort selon Steven Parton du site Psychpedia. Démonstration.

Nous avons dans notre cerveau une multitude de synapses séparées par une fente synaptique. Chaque pensée déclenche la production d’un produit chimique qui s’écoule à travers cette fente afin de relier les synapses entre elles. Ainsi un signal électrique contenant les informations peut circuler. Chaque fois que cette charge électrique se déclenche, les synapses se rapprochent pour faciliter la vitesse de transfert. Ainsi, nos pensées sont à l’origine d’un remodelage des circuits synaptiques en temps réel dans notre cerveau. Les pensées influent donc vraiment sur la réalité  ! Première information de taille !

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Steven Parton continue sa démonstration :

    Au plus nous sollicitons les mêmes connexions synaptiques (donc au plus nous avons les mêmes pensées), au plus le transfert de l’information est rapide via un réseau qui est choisi par défaut lorsque d’autres pensées/informations arrivent. C’est comme si des chemins de terre se transformaient en autoroutes au fur et à mesure que des véhicules les empruntaient. Par conséquent, les mailles de ce réseau synaptique à grande vitesse forme tout simplement notre personnalité (intelligence, aptitude, compétences) !

    Et là, on pourrait se dire :

     « chouette, j’ai toutes les cartes pour devenir un puissant optimiste en m’entrainant à penser positif ! »

    Ben non, car les humains sont des créatures sociales et la présence de neurones miroirs (outil de l’empathie) dans notre cerveau le confirme. Nous imitons nos semblables et nous nous imprégnons de leur « mode de pensée » et de leurs émotions.

    Ainsi, on ne pourra devenir un super-optimiste que si nous sommes au contact de personnes optimistes.  Or, si nous entendons des plaintes à longueur de journée, nous plongerons fatalement vers le pessimisme… Heureusement, on peut inverser la tendance ! Et ne tardons pas trop car nous sommes en danger de mort si nous cédons au négativisme.

    Pourquoi se plaindre tue ?

    Si nous éprouvons souvent de la colère ou de la tristesse, les circuits synaptiques adéquats se renforcent car ils sont de plus en plus empruntés. Or, ces émotions désagréables créent du stress que l’on peut mesurer par le taux de cortisol (son hormone) dans notre organisme.

    Ce cortisol a des effets très négatifs à moyen terme : baisse des défenses immunitaires, augmentation de la pression artérielle, maladies cardiaques, gain de poids, réduction de la longévité… mais aussi : blocage des capacités d’apprentissage, dégradation de la faculté de mémorisation, etc.

    Pour résumer :

  • nos pensées façonnent notre cerveau via un réseau synaptique qui s’optimise à mesure de son utilisation (les chemins de terre deviennent des autoroutes)

  • nos modes de pensée créent des habitudes (les réseaux autoroutiers sont empruntés en priorité car plus rapides)

  • notre environnement influe sur notre mode de pensée (neurones miroirs)

  • les pensées négatives provoquent des émotions désagréables qui augmentent notre niveau de stress (cortisol)

  • le cortisol dégrade nos capacités et diminuent notre longévité

    Des solutions ?

  • s’entourer de personnes positives

  • prendre conscience de notre mode de pensée (via la méditation par exemple)

  • acquérir des techniques pour lutter contre le stress (voir cet article)

  • pratiquer la gratitude (voir cet article)

http://anti-deprime.com/

L’art de se plaindre


C’est normal de se plaindre, ce qui l’est moins, c’est de se plaindre pour un tout et un rien, d’accuser les autres et le monde entier de nos malheurs. Entendre des gens se plaindre tout le temps, nous avons tendance à s’écarter de ces personnes. Il y a aussi ce qui se plaignent a tout le monde au lieu de la bonne personne qui en cause, ou encore la façon de se plaindre peut faire tout la différence
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L’art de se plaindre

 

Le mousseur ne mousse plus, la petite a trois formulaires à faire remplir, là,... (Photomontage La Presse)

 

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SILVIA GALIPEAU
La Presse

Le mousseur ne mousse plus, la petite a trois formulaires à faire remplir, là, tout de suite, vous devez changer votre mot de passe, encore, et la fermeture éclair de votre nouvelle robe vient de craquer, au tout premier essayage. On s’entend, il y a des matins comme ça où la terre entière vous en veut. Et où vous en voulez à la terre entière. Que faire?

Râler pour tout et pour rien Comment avoir gain de cause, sans lasser vos proches, vos collègues, la voisine et le fils de la boulangère au passage…

Christine Lewicki se revoit un soir, épuisée après avoir couché ses trois enfants et enduré les derniers verres d’eau et envies de pipi à répétition, s’effondrer sur son lit et se plaindre tout haut de sa «journée pourrie». Encore.

Vous vous reconnaissez? 

En moyenne, souligne la coach et conférencière – dont le livre J’arrête de chialer arrive tout juste en librairie au Québec -, nous nous plaignons tous entre 15 et 30 fois par jour. Parce que nous sommes en retard, parce qu’il y a des bouchons, des cônes orange, parce que notre boîte de courriels (pourriels?) déborde, encore. Parce que les frais bancaires, parce que les taxes, parce que l’auto, parce que le vélo, le chum, l’ex, les enfants, le poisson rouge et la perruche. Alouette.

Fait à noter, alors que nous nous plaisons à raconter à qui veut bien nous écouter notre énième contravention injustifiée, nos déboires avec notre compagnie d’assurances ou encore ce café imbuvable qu’on a osé nous servir, que nous nous défoulons sur les réseaux sociaux à coup de #jenpeuxplus, combien d’entre nous s’adressent une fois pour toutes aux principaux intéressés?

Poser la question, c’est y répondre.

Le râleur occasionnel

C’est que se plaindre, une fois de temps en temps, défoule. Personne ne s’en cachera.

Mais à long terme? Cultiver tout ce négativisme ne peut pas être franchement bon pour la santé. Le New York Magazine a souligné dans un numéro récent les résultats d’une étude de l’European Journal of Work and Organizational Psychology selon laquelle les gens qui se plaignent ont tendance à être moins satisfaits de leur journée, une insatisfaction qui déborde sur les jours suivants.

Le mousseur ne mousse plus, la petite a trois... (Photomontage La Presse) - image 2.0

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En gros, non, les râleurs ne sont pas les plus heureux.

«J’ai réalisé que je ne voulais plus me coucher comme ça. J’ai réalisé que j’allais mourir un jour, et que j’aurais passé ma vie à résister à ma vie», explique Christine Lewicki, auteure française établie à Los Angeles.

Arrêter de râler sans se faire marcher sur les pieds

Selon Will Bowen, conférencier de renom à qui l’on doit la fameuse campagne et le livre du même nom A Complaint Free World, cela ne fait aucun doute: râler, c’est mauvais pour la santé, tranche-t-il.

«Il y a énormément d’études qui lient le fait de se plaindre à une hausse de la pression sanguine, à une hausse du taux de divorce, à une moindre ascension au sein des organisations, etc. Et ça a un impact sur la santé globale.»

Et cela tombe sous le sens: le conjoint qui se plaint de sa femme à son collègue ne fait rien pour sauver son couple. Idem pour l’employé qui râle en douce contre son patron. Il ne risque pas d’avoir une augmentation. Mais faut-il pour autant tout endurer les yeux fermés?

Non, répondent les experts interrogés. C’est qu’il y a un monde entre hurler:

«Comment osez-vous me servir une soupe froide?» et demander poliment: «Ma soupe est froide, pouvez-vous la réchauffer, s’il vous plaît?», illustre Will Bowen, dont le livre a été vendu à plus de 3 millions d’exemplaires et traduit dans une trentaine de langues.

«C’est le plus gros malentendu, renchérit Christine Lewicki. Arrêter de râler ne veut absolument pas dire tout accepter!»

L’idée n’est donc pas d’enfiler des lunettes roses en cultivant l’art de voir le verre à moitié plein dans le meilleur des mondes. Au contraire, il s’agit plutôt de changer de posture: exit le statut de victime, on prend ici sa vie en main.

Ce faisant, la coach a fait trois constats: si vous n’aimez pas quelque chose dans votre vie, changez-le (bref, cessez de jouer les victimes); si vous voulez changer les choses, faites attention à la façon dont vous vous exprimez (si vous mettez l’autre dans la position du coupable, il ne risque pas d’avoir envie de coopérer, parlez plutôt au «je» en évitant le «tu»); et lâchez prise. Oui, parfois, c’est drôlement salvateur.

«J’ai revisité mes attentes, résume-t-elle. Et j’ai choisi mes batailles.»

Et quand, parfois, elle sent tout de même que la pression monte et qu’elle va exploser, parce qu’elle a trop peu dormi ou que les irritants s’accumulent, et qu’en plus, les chaussettes traînent encore par terre, Christine Lewicki a un truc infaillible.

«Je chante! dit-elle en pouffant de rire. Ça sort l’énergie! Et ça sort la tension!»

Le mousseur ne mousse plus, la petite a trois... (Photomontage La Presse) - image 3.0

 

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Arrêter de se plaindre, un bracelet à la fois

Le défi lancé par Wil Bowen il y a plus de 10 ans, relevé par Christine Lewicki récemment, est tout simple: il s’agit de cesser de se plaindre pendant 21 jours. Parce que c’est le temps, dit-on, que cela prend pour défaire (ou prendre) une habitude. Pour ce faire, armé d’un bracelet mauve au poignet, à la moindre râlerie, au moindre chialage gratuit, on change le bracelet de côté. L’objectif étant de garder le bracelet intouché pendant 21 jours consécutifs. De son propre aveu, Will Bowen a mis six mois à y arriver, et Christine Lewicky, quatre.

Respirez par le nez Le New York Times citait récemment un expert de la revue Consumerist qui suggérait à tous les râleurs cherchant gain de cause («How to Complain and Get Results») de commencer par respirer. Si on vous a injustement facturé quelque chose ou si votre chambre d’hôtel sent la cigarette, respirez d’abord par le nez. Objectif? Éviter à tout prix d’envoyer un courriel enflammé ou de hurler au téléphone au premier incompétent venu, des obscénités vite regrettées qui ne vous feront finalement rien gagner du tout.

Enrobez La formulation de la plainte est un art en soi. Tous les articles sur le sujet recommandent la technique élaborée par le psychologue et auteur Guy Winch (à qui l’on doit l’Art de se plaindre et de se faire entendre), qui suggère en gros de faire un «sandwich» de sa plainte – bref, de l’enrober. Commencez donc le tout par un commentaire positif c’est la tranche de pain: 

«Je viens toujours ici, j’adore tous vos plats»), suivi de votre plainte (la viande, en mode maigre, avec les détails pertinents, sans plus: «mais ma soupe est froide»), pour finir par une dernière note positive (la seconde tranche de pain: «j’espère que vous pourrez faire quelque chose»).

Sachez pourquoi C’est bien beau de se plaindre du moteur de son auto, encore faut-il savoir pourquoi on râle. Car c’est là le noeud du problème: d’après un article publié dans Fast Company («Why Complaining May Be Dangerous to Your Health»), 95 % des clients insatisfaits d’un produit ne se plaignent jamais à l’entreprise, préférant rouspéter auprès de leurs proches Et qui sont ceux qui se plaignent? Les gens les plus heureux! D’après une étude publiée en 2014 dans le Journal of Social Psychology («How do Happy People Complain?»), les gens heureux, adeptes de pleine conscience, ont aussi tendance à se plaindre avec une intention. Un but. Jamais dans le vent, pour rien, quoi.

Soyez clairs Déterminez ce que vous espérez: un remboursement, une compensation, un échange? Soyez clairs dans vos demandes, mais surtout concis. Personne ne veut entendre les détails de votre vie. Mais sachez-le: d’après un article publié dans Money Sense sur l’art de se plaindre (littéralement «The Art of Complaining»), il coûte six fois plus cher à une entreprise d’attirer un nouveau client que de préserver un client existant. Vous avez donc le gros bout du bâton. Ne l’oubliez pas.

Ciblez Détail non négligeable: parlez à la bonne personne! Le téléphoniste au bout du fil n’a probablement rien à voir avec l’erreur commise dans votre réservation. Inutile de l’agresser verbalement. C’est ici qu’il est toujours utile de glisser la fameuse phrase: «Passez-moi votre superviseur», histoire de parler avec quelqu’un qui aura le pouvoir de corriger la faute. De la même manière, si vous en voulez à votre femme, n’en parlez pas à votre voisin de bureau, et si vous en voulez à votre voisin, n’en parlez pas non plus à votre femme, illustre l’auteur et conférencier Will Bowen (à qui l’on doit 21 jours sans se plaindre).

Exploitez Toujours selon Money Sense, les gens qui obtiennent gain de cause n’ont pas forcément de grandes qualités ou des traits psychologiques qui les distinguent. Judy Zaichkowsky, professeure de marketing à l’Université Simon Fraser, citée par le magazine, a sondé des centaines de râleurs efficaces. Le seul point qu’ils ont en commun, c’est une compréhension du système, et une capacité de l’exploiter à leur avantage.

Charmez Un chialeur professionnel, interrogé par Money Sense, suggère de charmer ici son interlocuteur au passage: souriez, appelez-le par son petit nom (vive les badges), et évidemment, restez calme. Personne n’a envie de satisfaire un client hystérique.

Lâchez prise Une fois tout cela dit, gardez-vous toujours l’option de tourner la page. Ne vous obstinez pas outre mesure. Ne vous rendez pas malade pour un mélangeur ou un grille-pain, aussi défectueux soit-il. Gardez en tête ce que vous avez à gagner, et tout ce que vous perdez ici en énergie. Toute cette frustration vaut-elle 5 $ de réparation? À vous de juger.

http://www.lapresse.ca

Le Saviez-Vous ► 19 plaintes authentiques montrant que ces voyageurs n’ont pas inventé le fil à couper le beurre


Un sondage a été fait pour connaitre les impressions des voyageurs. Des plaintes assez insolites. Certaines sont vraiment farfelues
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19 plaintes authentiques montrant que ces voyageurs n’ont pas inventé le fil à couper le beurre

 

Selon Wanderlust, Thomas Cook Group a envoyé un sondage afin de s’assurer de la qualité de leurs voyages. Cet article est basé sur 19 de ces réponses, qui sont de véritables plaintes de voyageurs qui viennent de rentrer de leur voyage.


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1. « Au cours de mon voyage à Goa en Inde, j’ai été dégoûté quand j’ai découvert que presque tous les restaurants servent du curry. Je n’aime pas la nourriture épicée. »

2. « Mon fiancé et moi avons réservé une chambre avec deux lits, mais nous avons eu une chambre avec un lit double. Je vous tiens maintenant responsable du fait que je sois enceinte, ce qui ne serait pas arrivé si nous avions eu la chambre que nous avions réservé. »

3. « Nous sommes allés en vacances en Espagne et avons eu des problèmes avec les chauffeurs de taxi parce que tous étaient espagnols. »

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4. « Nous avions réservé une excursion dans un parc aquatique, mais personne ne nous a dit que nous devions apporter nos propres maillots de bain et serviettes. Nous avons supposé que c’était inclus dans le prix. »

5. « La plage avait trop de sable. Nous avons dû tout laver quand nous sommes revenus dans la chambre. »

6. « On n’a pas aimé le sable, il n’était pas comme dans la brochure. Le sable avait l’air blanc dessus. En réalité, il était un peu plus jaune. »

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7. « Les magasins de Puerto Vallarta sont fermés l’après-midi. J’ai souvent eu besoin d’acheter des choses durant l’heure de la «siesta» – cela devrait être interdit. »

8. « Personne ne nous a dit qu’il y avait des poissons dans l’eau. Nos enfants ont eu peur. »

9. « Bien qu’il était écrit dans la brochure que la cuisine était entièrement équipée, il n’y avait pas de coupe-œuf. »

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10. « Je pense que vous devriez expliquer dans la brochure que les supermarchés locaux ne vendent pas de vrais gâteaux tels que le pain d’épice. Que doit-on manger maintenant avec le café de l’après-midi? »

11. « Les routes étaient tellement bosselées que nous ne pouvions pas lire le guide sur le chemin de l’hôtel. Cela signifie que nous ne savons pas ce qui a rendu notre séjour agréable. »

12. « Il nous a fallu neuf heures pour aller de la Jamaïque à l’Angleterre. Pour les Américains, il leur a fallu trois heures pour rentrer chez eux. C’est injuste. »

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13. « J’ai comparé notre appartement d’une chambre avec l’appartement et la chambre de nos amis et la nôtre était significativement plus petite. »

14. « Dans la brochure il était précisé « Aucun salon de coiffure à l’hôtel. » Il y a trois apprentis coiffeurs, est-il correct de rester à l’hôtel? »

15. « Il y avait tellement d’espagnols là-bas. Le réceptionniste parlait espagnol et la nourriture était espagnole. Personne ne nous a informé qu’il y aurait tant d’étrangers là-bas. »

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16. « Nous avons eu à faire la queue dehors pour aller dans le bateau, et il n’y avait pas d’air conditionné. »

17. « Il est de votre devoir en tant que voyagiste d’informer les clients bruyants ou indisciplinés avant le voyage! »

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18. « J’a été piqué par un moustique. Il n’y avait rien sur les moustiques dans la brochure. »

19. « Il ne devrait pas être autorisé à bronzer seins nus sur la plage. C’était très distrayant pour mon mari qui voulait juste se relaxer. »

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http://incroyable.co

S’aider soi-même


C’est une citation dure, pourtant, elle est réaliste. On peut accuser tous et chacun que notre vie est difficile, mais qu’avons-nous fait pour améliorer les choses ?
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S’aider soi-même

 

 

Apprends à t’aider toi-même et arrête de te plaindre.

Leonardo Padura Fuentes

La gratitude


Nous avons le choix de choisir l’attitude devant les aléas de la vie. Bien sûr, à certains moments, cela peut nous blesser, mais il n’appartient à nous de ne pas laisser ses blessures ronger nos pensées
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La gratitude

 

La gratitude comme discipline implique un choix conscient. C’est étonnant de voir le nombre d’occasions où je peux choisir la gratitude au lieu de me plaindre. Je peux choisir d’être reconnaissant quand je suis critiqué, même si mon cœur réagit avec amertume. Je peux choisir d’écouter les voix qui pardonnent et de regarder les visages souriants, alors que j’entends des paroles de vengeance et vois des grimaces de haine.       

H.  Nouwen

Pourquoi les victimes de harcèlement sexuel ou d’agression sexuelle ne portent pas plainte


Avec Donald Trump qui essaie de discréditer les femmes qui ont été agressées par lui. On peut se demander pourquoi les femmes tardent à porter plainte ou se taisent pour ne pas divulguer leurs cauchemars. Chose de sur, qu’elles parlent après l’agression ou des années après, les femmes ne sont pas souvent traitées comme victimes, mais souvent comme une coupable
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Pourquoi les victimes de harcèlement sexuel ou d’agression sexuelle ne portent pas plainte

 

The Huffington Post  |  Par Emma Gray

    Grâce à Donald Trump, le public a eu droit à une étude de cas qui démontre parfaitement pourquoi les femmes victimes de harcèlement et d’agression sexuelle ne portent pas plainte.

    Partout à travers le monde, ces victimes ne rapportent souvent pas ces crimes à la police. En effet, des études démontrent qu’environ deux victimes sur trois ne dénoncent pas leur agresseur. À toutes les fois qu’une allégation d’agression sexuelle est rendue publique, le public pose toujours les mêmes questions : pourquoi n’avez-vous pas parlé plus tôt? Pourquoi n’êtes-vous pas allés voir la police?

    Ces questions ont encore été posées ces derniers jours à la suite des allégations d’agression et de harcèlement sexuel contre Donald Trump. Le candidat présidentiel et des membres de son entourage nient ces allégations et tentent de discréditer les femmes qui sont venues de l’avant en demandant pourquoi elles décident de parler de ces événements des décennies après qu’ils soient survenus.

    Liz Plank, une journaliste de Vox, a constaté cette tendance et a demandé à ses abonnées d’expliquer au monde entier pourquoi les femmes ne portent souvent pas plainte. Elles ont utilisé le mot-clic #WhyWomenDontReport.

«Parce qu’il a dit que c’était correct puisqu’il m’avait accompagné aux retrouvailles de début d’année scolaire. Ça fait plus de 30 ans que cela est survenu et je n’en ai jamais parlé à qui que ce soit.»

«Parce que dès notre naissance, on nous apprend qu’il faut être gentille, d’en rire, de ne pas être chienne, de tout simplement l’ignorer, de sourire.»

«Parce qu’on m’a dit de passer par-dessus, que je «devrais être heureuse qu’un gars veuille de moi.»

«Parce qu’à l’âge de 15 ans, on me traitait déjà de salope même si j’étais encore vierge. Qui m’aurait cru?»

«Il avait 35 ans, et j’en avais 13. Il m’a dit que si j’en parlais à qui que ce soit, il irait en prison. Je l’ai dénoncé quand j’avais 36 ans.»

«Parce que si vous le dénoncez immédiatement, c’est que vous avez simplement regretté votre aventure sexuelle. Si vous attendez, c’est que vous êtes en recherche d’attention.»

«J’ai dit à mon patron que j’ai été harcelée sexuellement au travail et il m’a répondu que c’est cela qui se passait quand les hommes et les femmes travaillaient ensemble.»

«C’était mon copain et je ne voulais pas que ça ruine sa vie. J’ai donc presque ruiné la mienne, à la place.»

SI vous êtes victime d’agression sexuelle, visitez AgressionsSexuelle.gouv.qc.ca

Cet article a été traduit de l’anglais du Huffington Post américain.

http://quebec.huffingtonpost.ca/