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Il y a des événements, des personnes que l’on rencontre qui pour une raison ou une autre n’apporte pas nécessairement ce que l’on veut. Pourtant savoir lire les signes de la vie, nous pourrions vraiment apprendre beaucoup
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Rien n’arrive par hasard. Toute relation n’est pas destinée à fonctionner. Certaines sont juste destinée à t’enseigner quelque chose

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Le Saviez-Vous ► Pourquoi les coccinelles ont-elles des points sur le dos?


On aime bien les coccinelles, elles sont aussi très utiles dans un jardin. Les prédateurs par contre qui osent essayer de goûter à ces petites bêtes ne les apprécient vraiment pas
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Pourquoi les coccinelles ont-elles des points sur le dos?

 

Pourquoi les coccinelles ont-elles des points sur le dos?

Photo Fotolia

Compter les points d’une coccinelle est un jeu particulièrement apprécié des enfants. Dans l’imaginaire commun, le nombre de taches renvoie à celui de ses années. Toutefois, il n’existe en réalité aucun lien entre l’apparence et l’âge de l’insecte.

Ces motifs aux couleurs vives sont tout simplement une manière de se protéger. Ils agissent comme un message alertant les éventuels prédateurs qu’ils ont affaire à une petite bête toxique dont ils feraient mieux de se garder de dévorer.

UN MAUVAIS GOÛT ASSOCIÉ À UNE APPARENCE CRIARDE

La nocivité des coccinelles est pour une grande partie d’entre elles bien réelle. Ces spécimens disposent en effet d’alcaloïdes de sept types différents. Ces substances sont non seulement toxiques mais également infectes au goût.

Mieux vaut donc éviter de les ingérer sous peine de passer un mauvais quart d’heure. Le redoutable cocktail est d’ailleurs assez fort pour laisser un souvenir impérissable dans la mémoire du prédateur.

Si l’un d’entre eux a le malheur d’en faire l’expérience, on peut être sûr qu’on ne l’y prendra plus. Pour toute son existence, celui-ci associera les insectes à points à  quelque chose de particulièrement désagréable et voilà que tout un groupe de victimes potentielles est sauvé.

D’AUTRES STRATÉGIES DE SURVIE

Mais le groupe des coccinelles est vaste et les 5000 espèces qu’il rassemble à ce jour ne partagent pas forcément la même stratégie de survie. Certains spécimens, dépourvus d’alcaloïdes préfèrent miser sur la discrétion.

Au fil de l’évolution ces dernières ont adopté des tailles plus petites et des teintes plus ternes que leurs cousines pour leur permettre de se fondre dans le paysage lorsqu’un danger se fait sentir. C’est là toute la beauté de la nature: son incroyable diversité. 

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Comment fonctionnent nos papilles gustatives?


On a toujours appris que la langue était divisée en 4 pour déceler l’aide des papilles gustatives le sucre, l’acide, le salé et l’amer, mais la réalité est tout autre
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Comment fonctionnent nos papilles gustatives?

 

Romrodphoto/shutterstock.com

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Sucré, salé, amer ou encore acide. Tous les goûts sont dans la nature et nos papilles les reconnaissent sans difficulté. En effet, ce sont ces minuscules papules situées sur notre langue qui nous permettent de déterminer la saveur de nos aliments.

Présentation.

« Nous en possédons tous quelques centaines [de papilles] qui tapissent notre langue », rappelle l’INSERM.

Elles sont de quatre types : filiformes, fongiformes, foliées et caliciformes.

« Les premières sont les plus répandues, elles donnent son aspect spongieux à notre langue et renseignent notamment sur la texture des aliments. »

« Seules les trois dernières sont appelées papilles gustatives et impliquées dans la gustation car elles possèdent des bourgeons du goût », précise Philippe Besnard, professeur de nutrition humaine à AgroSup Dijon et responsable d’équipe INSERM à l’université de Bourgogne.

Le sommet de ces milliers de bourgeons entre en contact avec les aliments et leur base est connectée au système nerveux gustatif. Nous permettant ainsi de détecter les saveurs de base.

Une cascade de messages vers le cerveau

Pendant longtemps, il était admis que les saveurs étaient décelées par des zones spécifiques de la langue : le sucré sur le bout de la langue, l’amer au fond, l’acide et le salé sur les bords. Pourtant cette idée est erronée. Chaque bourgeon est doté de plusieurs détecteurs gustatifs qui permettent de déceler les cinq saveurs primaires (les quatre précitées et le umami).

« Les molécules sapides, celles qui donnent du goût, se solubilisent dans la salive et activent des récepteurs membranaires de la partie supérieure des bourgeons du goût », décrit le chercheur.

Une cascade de réactions biochimiques entraîne alors la libération de neurotransmetteurs à la base des bourgeons. Ces molécules activent, à leur tour, les nerfs gustatifs qui véhiculent l’information jusqu’au cerveau.

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Il tatoue son chien


C’est vraiment n’importe quoi. Me semble que le chien a dû souffrir quand son maître lui a fait des tatouages. Pour moi, c’est de la maltraitance animale
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Il tatoue son chien

 

Lorsqu’Emerson Damasceno, un jeune tatoueur Brésilien, a diffusé sur les réseaux sociaux des photos de son chien tatoué, il pensait faire le buzz. Finalement, c’est plutôt un bad buzz qu’il a généré.

Emerson Damasceno était certainement fier d’avoir tatoué son chien et de l’exhiber sur le net. Le Bull Terrier avait en effet subi cinq tatouages : une ancre, un coup-de-poing américain, un diamant sur le museau, des étoiles dans le coin des yeux, et l’emblème des Dodgers, l’équipe de base-ball de Los Angeles dans chaque oreille.

Publiées sur Facebook, les photos de ce chien ainsi « décoré » n’ont pas manqué de faire scandale. Elles ont provoqué la colère de nombreux internautes, poussant leur auteur à les retirer et à supprimer son compte Facebook. Il aurait également justifié les tatouages de son chien comme étant une protection contre le cancer… ! Ce qui est évidemment faux.

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Un bambin de Winnipeg aurait fait une surdose de fentanyl


Ou bien, on est responsable des enfants, ou bien, on n’a pas d’enfant et on peut faire l’imbécile avec le drogues et on en paie les seuls les conséquences et non les deux, cela est incompatible
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Un bambin de Winnipeg aurait fait une surdose de fentanyl

 

PC  |  Par La Presse canadienne

WINNIPEG – Le service de police de Winnipeg enquête sur le cas d’un bambin qui aurait fait une surdose de fentanyl plus tôt cette semaine.

Le sergent Rob Carver indique que les ambulanciers ont trouvé l’enfant de moins de 18 mois dans un état critique, mardi soir.

Les policiers auraient trouvé sur les lieux des résidus de ce qu’ils croient être du fentanyl, un opioïde cent fois plus puissant que l’héroïne.

Bien que Santé Canada n’ait toujours pas confirmé la nature de la substance, le sergent Carver affirme que les enquêteurs ont immédiatement enfilé des combinaisons de protection contre les matières dangereuses.

La condition du bébé s’est maintenant stabilisée et les médecins se montrent optimistes, a ajouté le sergent.

Le fentanyl pose un sérieux danger pour la sécurité publique partout en Amérique du Nord, signalent les autorités médicales et les policiers.

L’opioïde est employé en guise d’analgésique chez les personnes atteintes de cancer en phase terminale.

« Cette drogue est mortelle, et pas que pour les personnes qui en consomment », a soutenu le sergent Carver, ajoutant que des accusations pourraient être déposées dans cette affaire.

L’enquête est en cours et la nature des résidus trouvés sur les lieux devrait être identifiée au début de la semaine prochaine.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Quelles sont les limites du régime sans gluten ?


Le régime sans gluten est une mode qui n’est pas bonne pour tout le monde. Il y a ceux qui sont vraiment intolérants et ceux qui souffrent de maladie coeliaque. Et les autres, les enfants … Ils risquent d’avoir un régime déséquilibré et pourraient être malade à cause de l’exclusion du gluten
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Quelles sont les limites du régime sans gluten ?

 

Zoeytoja/Shutterstock.com

Zoeytoja/Shutterstock.com

Le régime sans gluten est une contrainte médicale pour les millions de patients dans le monde souffrant de la maladie cœliaque. Comprenez par là, une intolérance au gluten. Pourtant, par un effet de mode sans doute, nombreux sont celles et ceux qui suppriment volontairement cette protéine présente dans la plupart des céréales (blé, orge, avoine…), et ce pour les aider à perdre du poids.

Incontestablement, la mode du régime sans gluten prend de l’ampleur. Car il s’agit bien d’une mode. Il suffit de constater le nombre de produits vendus dans le commerce portant l’appellation « sans gluten ». Une étude américaine menée en 2015 auprès de 1 500 personnes s’est attelée à comprendre les motivations d’un tel comportement.

A la question « Pourquoi consommez-vous ces produits ? », dans 35% des cas les sondés répondaient « sans raisons ». A 26%, ils expliquaient que c’était « plus sain » et à 19% pour des « raisons de santé digestive ». En fait, ils n’étaient que 8% à assurer qu’ils étaient « intolérants au gluten ». Autre donnée alarmante, nombre de parents imposaient ce régime à leurs enfants pour prévenir une éventuelle survenue de maladie cœliaque.

Voilà pour le constat. Mais dans les faits, reprenons ces arguments afin de démêler le vrai du faux.

En finir avec les idées reçues

L’alimentation sans gluten permettrait de… prévenir la survenue de la maladie cœliaque ! C’est bien entendu faux. Pour être diagnostiqué « intolérant », il faut consommer du gluten. Les parents qui éradiquent la protéine de l’alimentation de leurs enfants « par prudence », courent le risque de voir leur progéniture développer la maladie, sans même s’en apercevoir. La pathologie peut alors progresser à bas bruit et endommager leur système digestif.

Autre élément, aux parents qui, intolérants au gluten et par mesure de précaution, feraient subir un tel régime à leurs enfants, sachez que les preuves scientifiques ne vont pas dans le sens d’une transmission génétique. En clair, les résultats obtenus pourraient être l’inverse de ce que les parents recherchent. Cela pourrait entraîner de graves carences nutritionnelles chez les petits.

Concernant l’allégation selon laquelle le fait de manger sans gluten est meilleur pour la santé. Rien n’est moins sûr. Les personnes qui décident de s’en passer le font sans avis médical et n’équilibrent généralement pas leur repas en conséquence. Un travail conduit en 2014 a ainsi montré que les produits packagés « sans gluten » présentaient des taux plus élevés de matières grasses et de glucides. Et ce comparés à leurs variantes « classiques ».

Voilà qui nous mène à la question clé : le gluten est-il toxique ? On imagine très bien pourquoi certaines personnes bannissent cette protéine qui entre dans la préparation de diverses farines et donc dans ses dérivés : pains, gâteaux, pizzas, pâtes… Malheureusement pour eux, cette façon de penser ne trouve aucun écho scientifique, comme le suggère un récent travail publié dans The Journal of Pediatrics dans lequel les auteurs ont compilé de façon exhaustive les différentes données (études, essais…) sur le gluten.

« Les risques d’une alimentation sans gluten lorsqu’on ne présente pas de maladie cœliaque ne sont-ils pas supérieurs aux bénéfices ? », s’interrogent les auteurs. Lesquels appellent « les professionnels de santé à mieux informer leurs patients. »

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Que se passe-t-il dans l’organisme quand on arrête le sport ?


Une bonne raison pour ne pas rester trop longtemps sans bouger. Seulement en quelques jours, le corps et le cerveau ont déjà des répercussions du manque d’exercice
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Que se passe-t-il dans l’organisme quand on arrête le sport ?

 

Abandonner l’exercice physique du jour au lendemain est difficile à vivre pour notre corps et pour notre cerveau.

N’importe quel sportif a déjà vécu des moments de fatigue où le manque de motivation l’a poussé à reconsidérer son planning et à laisser tomber les entraînements. Mais lorsqu’il s’agit d’un choix volontaire et non pas imposé, comme dans le cas d’un accident ou d’une maladie, il est important de se rappeler que les bénéfices de l’exercice physique sont temporaires. Pour en profiter sur le long terme, il est important de persévérer. Voici ce qui se passe, exactement, lorsqu’on abandonne le sport :

Après 10 jours

Les chercheurs ont toujours soupçonné l’activité physique d’avoir des effets aussi bien sur le corps que sur le cerveau. En effet, elle aide à limiter les risques de pertes de mémoire liés à l’âge. Et d’après une étude publiée par la revue Frontiers in Aging et citée par Health, même une courte période sans exercice est associée à un changement du cerveau. Pour garder une bonne mémoire, il faut bouger régulièrement !

Après deux semaines

Au bout de 14 jours sans sport, vous allez commencer à être essoufflé en montant les escaliers que vous aviez l’habitude d’emprunter chaque jour. La raison est simple : le manque d’exercice provoque une chute du niveau d’oxygène maximum que l’organisme peut utiliser. En deux semaines, vous pouvez perdre jusqu’à 10% de vos capacités. La tension artérielle a tendance a augmenter, ainsi que les niveaux de glucose dans le sang. La bonne nouvelle est que vous pouvez éviter cette conséquence en pratiquant de l’exercice modéré. Bouger un peu est toujours mieux que rien du tout.

Après quatre semaines

Certaines personnes vont remarquer une perte de tonus musculaire au bout de deux semaines d’inactivité, alors que d’autres vont le ressentir qu’à partir de quatre semaines. Plusieurs facteurs doivent être pris en considération dans cette situation. La bonne nouvelle, indique le site Health, est que notre force physique a tendance à diminuer plus lentement que notre endurance.

Après huit semaines

Même les athlètes de haut niveau passent par cette phase : la prise de poids. Au bout de six/huit semaines, vous allez remarquer que votre corps change et, si vous n’avez pas modifié vos habitudes alimentaires, les kilos vont commencer à s’installer. Heureusement, il existe une grande différence entre l’abandon total du sport et un repos bien mérité. Après un marathon, par exemple, vous allez avoir besoin de faire une pause, mais rien ne vous empêche de pratiquer un peu d’exercice (doux) chaque jour. Une promenade à vélo, une heure de piscine, ou même une simple marche à pied permettent de maintenir le corps et le cerveau actifs et en bonne santé.

Auteur:  Elena Bizzotto

http://www.santemagazine.fr/