L’argent n’achète pas tout


Les choses peuvent s’acheter, mais des comportements s’apprend et se cultive alors que d’autres sont innés
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L’argent n’achète pas tout

 

Il y a des choses que l’argent ne peut pas acheter, comme le savoir-vivre, la moralité, l’intelligence et l’élégance

Inconnu

Le Saviez-Vous ► La première sorcière volant sur un balai de l’histoire


La première sorcière sur un balai décrite dans une histoire est assez loin de celle qu’on connaît avec des verrues sur le nez et poils au menton couronné un chapeau pointu
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La première sorcière volant sur un balai de l’histoire

 

Du cinéma à la télévision en passant par la bande dessinée, la représentation de la sorcière volant sur son balai est complètement entrée dans la culture populaire mais son origine est en réalité très ancienne.

C’est en 1442 qu’une telle illustration est apparue pour la première fois, dans la marge d’un manuscrit de Martin Le Franc intitulé « Le Champion des dames ».

Les deux petits dessins montrent deux femmes, l’une s’envolant sur un bâton, l’autre sur un balai et se situent à côté d’un passage où Le Franc fait une aparté à propos de la sorcellerie au milieu d’un poème faisant l’éloge des femmes.

Leurs coiffes en feraient des membres de l’Église évangélique vaudoise qui acceptait les femmes comme prêtres, ce qui en faisait des hérétiques pour l’Église catholique.

sorciere-balai

Le balai est devenu à la fois un symbole de leur émancipation des tâches ménagères dévolues aux femmes en s’envolant et par son aspect phallique de leur liberté sexuelle.
(Tout ça étant bien sur considéré comme une abomination.)

Étrangement, on doit la première référence écrite à quelqu’un volant sur un balai à un homme, Guillaume Edelin, qui a confessé ce « crime » en 1453.

Il y a encore une évolution du mythe dans la sorcière quelques années après, en 1456, avec l’apparition pour la première fois dans les écrits de Johannes Hartlieb d’un onguent hallucinogène dont elles recouvriraient le manche de façon à lui permettre de prendre les airs.

http://www.laboiteverte.fr/

Les algorithmes qui prédisent les crimes marchent-ils vraiment?


Je ne suis pas vraiment rassuré si la police utilise des algorithmes qui prédisent des crimes, et des personnes qui avec leur casier judiciaire seraient des risques potentiels. Et pour ce qui est des résultats, cela ne semble pas être vraiment concluant
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Les algorithmes qui prédisent les crimes marchent-ils vraiment?

 

EMMANUEL DUNAND / AFP

EMMANUEL DUNAND / AFP

Repéré par Alix Fieux

Difficile pour une population de concevoir qu’elle peut être contrôlée, simplement par ce qu’un logiciel aura fiché certains individus comme «suspects».

Prédire où et quand se dérouleront les prochains crimes d’une grande ville, c’est possible. En tout cas, c’est bien ce qu’espèrent les services de police d’une dizaine de grandes villes américaines (et du monde entier) qui se sont déjà équipées d’un logiciel de police prédictive, nous raconte le magazine Aeon.

Comment fonctionne-t-il? L’outil recense en une même base de données tous les lieux et l’heure des crimes déjà commis dans la ville concernée, mais aussi les cercles de personnes qui seraient susceptibles de commettre des infraction (d’après leur casier judiciaire et même leurs fréquentations). À partir de ces informations, un calcul de probabilité est fait et des algorithmes mathématiques directement transmis au services de police leur permettent de connaître les probabilités du lieu et de l’heure des prochains délits.

Les logiciels comme PredPol et Hunchlab, parmi les plus utilisés aux États-Unis, permettent notamment d’avertir les patrouilles de police des risques de cambriolages, de vols, d’agressions et d’homicides dans les quartiers repérés comme «les plus chauds» par l’outil informatique et de les inciter à surveiller davantage certains profils susceptibles de commettre une infraction.

Les défenseurs des libertés individuelles sont sceptiques

Jusqu’à présent, certaines communes comme Los Angeles et Atlanta ont vu leur taux de criminalité baisser depuis la mise en place des services de police prédictive. Toutefois, si l’objectif est parfaitement louable, comment de telles probabilités peuvent-elles rester compatibles avec les libertés et droits fondamentaux de chaque citoyen? Comment éviter de tomber à l’avenir dans l’arrestation arbitraire ?

Le magazine Science, fait valoir que ce type de logiciels pourrait permettre à des agents de police d’arrêter des individus n’ayant aucune raison valables d’être suspectés, mais simplement interpellés parce qu’ils se trouvaient dans les «zones à risques» définies par les algorithmes prédictifs. Un rapport d’investigation du département de police de Baltimore, ville dans laquelle le jeune Freddie Gray trouvait la mort il y a plus d’un an suite aux blessures infligées lors de son arrestation, aborde également ce danger. Selon ses auteurs, des arrestations arbitraires auraient un effet désastreux sur la confiance déjà  tenue qui relie certaines populations et la police aux États-Unis. 

L’Union américaine pour les libertés civiles craint que ce type de données encourage les discriminations raciales, partant du postulat qu’une communauté présente plus de risques criminels qu’une autre. Elle se demande aussi à moyen et long terme comment il sera possible pour les civils de faire confiance à une justice mathématiques et arbitraire qui serait rendue non pas par des humains, mais par des données informatiques limitées. Et pour quels résultats?

Cercle vicieux

À Chicago, le retour d’expérience démontre que malgré la mise en place d’une police prédictive, le nombre d’homicides n’a pas diminué. Pire, un rapport en vient même à la conclusion que les personnes fichées comme «suspectes» d’après les algorithmes n’avaient en réalité aucune raison précise d’être considérées comme plus dangereuses que les autres. 

Pour Jennifer Lynch, qui travaille à la Fondation Frontière Électronique de Californie, il existe même un risque de prophéties auto-réalisatrices. En se rendant sur les lieux de contrôle déjà plus méfiants et plus agressifs, les policiers pourraient ne faire qu’accroître des tensions déjà existantes. Une question déjà très sensible aux États-Unis et un véritable enjeu sécuritaire pour les années à venir.

http://www.slate.fr/

15 jours de noirceur en novembre ?


Attention, un canular risque de refaire surface en novembre, ne pas le partager, ni cliquer dessus s’il apparaît dans vos réseaux sociaux. 15 jours de grandes noirceurs à cause des phénomènes abracadabrantes entre le Soleil et Vénus qui serait faussement approuvés par la NASA.
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15 jours de noirceur en novembre ?

 

Sabrina Giacomini
Rédactrice – MétéoMédia

Le mythe revient année après année, bien qu’il s’agisse en fait d’un canular. Selon une légende urbaine, nous vivrons quinze jours de noirceur complète en novembre en raison d’un évènement de nature astrale.

Du 15 au 29 novembre 2016, la Terre sera plongée dans une noirceur apocalyptique en raison d’un parallélisme de Vénus et de Jupiter qui créerait une explosion d’hydrogène sur la géante gazeuse, réchauffée par la lumière de Vénus. La prévision proviendrait même de la NASA, la Mecque de tout ce qui a trait à l’espace. Le mythe ajoute que l’hydrogène libéré par l’explosion serait propulsé vers la surface du Soleil, provoquant ainsi une seconde explosion qui entraînerait une réaction en chaîne au cœur de l’étoile qui diminuerait momentanément sa brillance, lui donnant ainsi une teinte de bleutée, ce qui plongerait ainsi la Terre dans la noirceur.

Le scénario plaît aux amateurs de catastrophes et semble plutôt tiré d’un film d’Hollywood que de la réalité. Si certains médias ressassent cette nouvelle, il faut cependant rappeler qu’il s’agit bel et bien d’un canular. Selon Scott Sutherland, météorologue à The Weather Network, aucun des éléments de cette histoire n’est même plausible.

Vue de Jupiter, toute trace de reflet de la lumière sur Vénus serait complètement éclipsée par la brillance même du Soleil qui est 600 millions de fois plus brillante que la petite planète. Les risques que Vénus ait un effet sur la température des gaz à la surface de Jupiter sont donc virtuellement impossibles.

De plus, si la brillance du Soleil devait perdre de l’intensité, il ne prendrait certainement pas une teinte bleutée, explique Scott Sutherland. Finalement, une explosion de gaz sur Jupiter ne se rendrait pas au Soleil.

Le mythe circule depuis quelques années déjà et la NASA l’a même déjà démenti en 2012. Il refait pourtant surface chaque année avec juste ce qu’il faut de drame pour donner envie aux internautes de cliquer et de partager.

Source: The Weather Network

https://www.meteomedia.com

Le plus grand sanctuaire marin du monde créé en Antarctique


C’est important que ce genre de sanctuaire marin puisse exister, mais d’un autre côté, il est dommage qu’on soit rendu à ce point pour préserver des animaux, car nous n’avons pas su prendre soin de l’environnement et de modérer nos ardeurs dans la pêche ou la chasse
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Le plus grand sanctuaire marin du monde créé en Antarctique

 

Des pingouins sur une paroi rocheuse face à la mer de Ross, en Antarctique

Des pingouins sur une paroi rocheuse face à la mer de Ross, en Antarctique   PHOTO : REUTERS

 

Vingt-quatre pays et l’Union européenne se sont entendus vendredi pour créer le plus grand parc marin du monde dans l’océan Antarctique, dont 1,55 million de kilomètres carrés seront désormais protégés.

REUTERS

Réunis à Hobart, en Australie, les membres de la Commission pour la conservation des ressources marines vivantes de l’Antarctique ont décidé que la pêche serait interdite pendant 35 ans dans le sanctuaire de la mer de Ross, une vaste baie dont les terres émergées sont en secteur néo-zélandais.

Le sanctuaire couvrira 12 % de l’océan austral, qui abrite 10 000 espèces dont une grande partie de la population mondiale de manchots, baleines, calmars colossaux et de nombreux oiseaux de mer.

La pêche sera totalement interdite sur 1,1 million de kilomètres carrés, le reste étant transformé en zones de recherche où la pêche au krill et au poisson-scie sera permise de manière contrôlée.

Les scientifiques et les défenseurs de l’environnement ont qualifié la création du sanctuaire de décision historique pour la préservation de la biodiversité marine.

« Le parc marin de la région de la mer de Ross va protéger une des dernières zones sauvages océaniques préservées de la planète, qui abrite une biodiversité unique et des populations florissantes de pingouins, phoques, baleines, oiseaux marins et poissons », a déclaré le secrétaire d’État américain John Kerry dans un communiqué.

Les scientifiques estiment en outre que la préservation de cette région permettra de mieux comprendre les impacts des changements climatiques.

La Russie a finalement accepté la création du sanctuaire marin après s’être opposée à cinq reprises à une telle proposition par le passé.

La Commission de 25 membres, dont la Russie, la Chine, les États-Unis et l’Union européenne, ne peut prendre ses décisions qu’à l’unanimité.

« Ces pays ont tous des intérêts économiques et politiques divergents et réussir à les mettre d’accord, surtout sur le plan économique, est toujours un défi », a dit Evan Bloom, le chef de la délégation américaine, à Reuters.

http://ici.radio-canada.ca/

Votre grille-pain est peut-être en train d’attaquer Internet


Personnellement, je ne comprends pas que puissent vouloir un réfrigérateur, une cafetière, un grille-pain connecté par internet. Pour mieux gérer notre journée ? Pour éviter de peser sur le bouton ? C’est stupide et ce sont des portes ouvertes pour les cyberattaques
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Votre grille-pain est peut-être en train d’attaquer Internet

 

(Agence Science-Presse) S’il y a une chose que les techno-nuls doivent retenir de la cyberattaque qui a ébranlé vendredi plusieurs des plus gros sites d’Internet, c’est qu’un grille-pain est maintenant capable d’attaquer un réseau informatique… conçu à l’origine pour résister à une attaque nucléaire.

Comme certains l’ont lu avec appréhension, le ou les pirates à l’origine de l’attaque de vendredi auraient en effet utilisé des centaines de milliers d’appareils tels que des caméras de surveillance, des imprimantes ou des enregistreurs numériques, et peut-être même des grille-pains, des bouilloires, des réfrigérateurs, des machines à café, du moins ceux qui ont en commun d’être connectés à Internet. Bienvenue dans le côté sombre de « l’internet des objets ».

D’aucuns ont déjà commencé à blâmer les compagnies, toujours désireuses d’ajouter de nouveaux gadgets à leur appareil afin d’en promouvoir la nouvelle version : des millions de consommateurs ont ainsi voulu d’un frigo, d’un four ou d’une machine à café connectés à Internet.

Mais, alors que ces mêmes consommateurs devenaient de plus en plus conscients que leur ordinateur et leur téléphone étaient vulnérables à des espions ou au piratage, peu d’entre eux se sont inquiétés du four ou du réfrigérateur. À l’été 2015, les revues d’informatique ont fait grand cas des hackers qui, dans le cadre d’une expérience organisée pour tester les vulnérabilités, étaient parvenus à obtenir les informations Gmail des usagers d’un réfrigérateur Samsung. C’était un premier signal d’alarme pour « l’Internet des objets » qui fut suivi de plusieurs autres.

En septembre dernier, l’expert en sécurité informatique Bruce Schneier ne se contentait plus d’un signal d’alarme, mais écrivait qu’une cyberattaque massive avait déjà commencé.

Au cours de la dernière année, quelqu’un a sondé les défenses des compagnies qui gèrent des portions critiques d’Internet. Ces coups de sonde prennent la forme d’attaques précisément calibrées pour déterminer exactement à quel point ces compagnies peuvent bien se défendre, et ce qui serait nécessaire pour les faire tomber. Nous ne savons pas qui fait ça, mais ça ressemble aux actions d’un grand État-nation.

Récemment, certaines des grandes compagnies qui fournissent l’infrastructure de base d’Internet ont vu une augmentation de ces attaques DDoS dirigées contre elles. Ces attaques sont plus larges que celles auxquelles ces compagnies sont habituées. De plus, il semble y avoir des points communs à ces attaques. Elles durent plus longtemps. Elles sont plus perfectionnées. Et elles ressemblent à des coups de sonde.

Le principe de toute attaque de ce genre n’a rien d’inédit : depuis longtemps, les pirates utilisent des ordinateurs, qu’ils ont infectés à l’insu de leurs utilisateurs, pour envoyer des milliards de demandes vers une cible, afin de la mettre hors jeu. Mais ils ont à présent à leur disposition beaucoup plus de joujoux pour lancer de telles attaques, ce qui laisse croire que cette attaque ne sera pas la dernière.

Les experts ont identifié dès vendredi un logiciel malveillant, appelé Mirai, qui a apparemment infecté des millions d’appareils numériques d’une compagnie chinoise.

En théorie, les fournisseurs de services Internet pourraient mieux gérer le trafic qui entre ou passe par chez eux pour empêcher des flux suspects comme celui de vendredi. Ou bien les gouvernements pourraient les obliger à le faire. Ou bien les compagnies, qui sont en train de submerger le marché d’objets connectés, pourraient rehausser la sécurité de leurs appareils. Là encore, les gouvernements pourraient les obliger à le faire, par un système d’étiquetage par exemple. L’expérience des 20 dernières années démontre toutefois qu’il peut être difficile de convaincre toute une industrie — et 200 gouvernements — de s’entendre sur des normes de sécurité communes.

Enfin, au bout de la chaîne, le maillon faible restera toujours l’acheteur du grille-pain…

http://www.sciencepresse.qc.ca/

Voici pourquoi vous ne devriez jamais laisser votre chien vous lécher le visage


Malgré que j’aime bien les chiens, je déteste quand ils lèchent les visages et on ne devrait jamais les laissés faire.
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Voici pourquoi vous ne devriez jamais laisser votre chien vous lécher le visage

 

Si vous aimez les chiens, il est probable que vous les laissiez lécher votre visage. Vous savez que sa langue est probablement infestée de bactéries, mais vous n’en faites pas de cas.

Mais selon une nouvelle étude rapportée dans le New York Times, une telle habitude augmenterait les risques de propagation de maladies que l’être humain n’est pas forcément en mesure de combattre.

Le Dr Neilanjan Nandi, du Drexel University College of Medicine, à Philadelphie, explique que l’on retrouve dans la bouche de la plupart des animaux une quantité incroyable de bactéries et de virus.

Bien qu’il note que la salive des chiens contient une protéine l’aidant à guérir ses blessures, il souligne également qu’on y retrouve des organismes uniques au genre canin que le corps humain ne peut tolérer ou combattre.

Cette liste inclue la bactérie C. difficile, l’E. coli, la salmonellose et la bactérie Campylobacter, à l’origine de maladies gastro-intestinales.

Mais cela ne veut pas dire que vous devriez empêcher complètement votre chien de vous manifester son affection.

Quand la salive d’un chien entre en contact avec la peau humaine, surtout celle d’une personne en santé, il n’y a pratiquement aucun risque d’infection, explique le Dr Leni K. Kaplan de l’université Cornell.

Il conseille cependant de ne jamais laisser un chien lécher votre nez, votre bouche, vos yeux, une coupure ou une plaie ouverte, qui absorbent davantage les agents pathogènes.

http://quebec.huffingtonpost.ca/