Qu’importe la langue que nous parlons, le sourire est compris partout dans le monde
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Le sourire
Le sourire est une langue universelle
Paulo Coelho
Qu’importe la langue que nous parlons, le sourire est compris partout dans le monde
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Le sourire
Le sourire est une langue universelle
Paulo Coelho
L’être humain a toujours aimé changer d’apparence lors de cérémonies, de festivals, ou tout autres évènements spéciaux
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11 photos de maquillage à travers le monde
Un adolescent de la tribu Arboré dans la vallée de l’Omo en Éthiopie.
Un homme habillé pour le rituel du Theyyam à Thalassery, en Inde.
Une femme maquillée en squelette durant la cérémonie de Sing-Sing à Mont Hagen en Papouasie Nouvelle-Guinée.
Une fillette en maquillage Shiva au Kumbha Mela à Allahabad en Inde.
Deux jeunes hommes en maquillage et accessoires traditionnels durant le festival de Borobudur à l’île de Java, en Indonésie.
Un enfant portant une couronne de fleurs à Korcho en Éthiopie.
Une danseuse tribale des Îles Trobriand en Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Un fan de football durant un match au stade de Kigali au Rwanda.
Un homme de la tribu Suri dans la vallée de l’Omo en Éthiopie
Une femme de la tribu des Kikuyus au Kenya.
Une homme avec une coiffe traditionnelle durant le festival Tapati à l’île de Pâques.
Crédits photos :Eric Lafforgue/BarcroftMedia
Il y a des traditions qui n’évoluent pas. Disons que cela est plus symbolique, car même le loyer à payer, la marie ne semble pas savoir ou sont les limites des terrains en questions.
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London | Pedro Szekely via Flickr CC License by
Repéré par Grégor Brandy
L’étrange tradition se perpétue depuis près de neuf siècles.
Une serpe, une hache, six fers à cheval, et 61 clous: voici le loyer le plus étrange dont on est entendu parler, et c’est la ville de Londres qui le paie à la reine d’Angleterre. Un peu plus tôt, en ce mois d’octobre, raconte Atlas Obscura, lors d’une cérémonie à la Cour royale de justice, Londres a remis ce drôle de loyer à la «Queen’s Remembrancer», qui, depuis 1211 s’assure que la Couronne reçoive bien son dû.
On ne sait pas trop où se trouvent vraiment les deux terrains pour lesquels la mairie anglaise continue de payer, mais «à chaque automne, généralement en octobre, la ville et la Couronne réalisent le même échange, pour aucune autre raison qu’elles ont toujours agi ainsi».
Le premier loyer composé d’une serpe et d’une hache sert à payer «Les Moors», des terrains dont la localisation exacte a été perdue il y a longtemps déjà.
Le deuxième, qui se résume à six fers-à-cheval et 61 clous et remonte à 1235 ,
sert à payer un terrain proche de la Cour royale de justice où «le roi organisait un tournoi au cours duquel les chevaliers avaient besoin d’aide pour réparer leur armure. L’homme qui devait faire ce travail recevait ensuite un bail pour la terre où il devait fabriquer une forge».
Une autre version indique que son travail était de refaire les fers des chevaux des Templiers.
«La forge a disparu depuis longtemps, mais le loyer est resté le même, six fers-à-cheval et 61 clous.»
Atlas Obscura précise par ailleurs que ces deux loyers sont loin d’être les seuls qui continuent d’être réglés à la Couronne anglaise aujourd’hui.
«En dehors de Londres, les propriétaires terriens doivent payer une variété de loyers pour être quittes: un seau de neige à sa demande, trois roses rouges, un petit drapeau français, une lance pour saumons. Certains loyers ne sont dûs que si la reine ou le roi vient leur rendre visite: il faut alors fournir à la Couronne un lit de paille, selon un accord, et dans l’autre sens, le locataire doit offrir une rose blanche.»
Il fut un temps qu’un foetus avec de tels problèmes n’aurait pas survécu. Aujourd’hui, les chances sont plus grandes grâce aux chirurgies fœtales
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LynLee Hope est maintenant en parfaite santé.
PHOTO CNN
Lorsque Margaret Boemer a dû subir une échographie de routine, à sa 16e semaine de grossesse, elle s’est vite rendu compte que la suite des choses serait tout sauf routinière.
Lors de l’échographie, les médecins ont détecté une tumeur au niveau du coccyx, un tératome, qui affecte un bébé sur 35 000. Les nouveau-nés de sexe féminin seraient principalement touchés.
«Il s’agit d’une tumeur courante chez les nouveau-nés, a affirmé le docteur Darrell Cass, codirecteur du Texas Children’s Fetal Center. Certaines de ces tumeurs peuvent être retirées une fois le bébé mis au monde. Or, dans la moitié des cas, elles nuisent à la circulation sanguine. Dans ces cas, le coeur ne peut tenir et le bébé meurt.»
Dans le cas du bébé de Margaret Boemer, la tumeur nuisait de plus en plus à la circulation sanguine, amenuisant les chances de survie du bébé. Les médecins devaient agir: certains lui ont conseillé de mettre un terme à la grossesse. Mais l’équipe du docteur Cass lui a suggéré une autre avenue: une chirurgie foetale. Une intervention non pas sans risque.
À 23 semaines et cinq jours, le foetus de Margaret Boemer passait sous le bistouri de Darrell Cass. L’intervention a duré environ cinq heures. La tumeur a été retirée, alors que le foetus était à l’air libre.
Margaret Boemer a toutefois dû rester alitée pour le restant de sa grossesse. À 36 semaines, elle a donné naissance à LynLee Hope par césarienne. La petite a dû subir une nouvelle intervention chirurgicale alors qu’elle n’était âgée que huit jours: les médecins ont retiré les restants de tumeur, inaccessibles lors de la première intervention. La petite fille est maintenant en parfaite santé.
D’après CNN.
Vive le naturel ! Même si on évite les aliments qui tâches, les dents blanches ne sont pas vraiment naturels, même si c’est plus joli
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Les traitements de blanchiment des dents en clinique sont de plus en plus populaires, mais ils peuvent être dangereux, surtout lorsqu’ils ne sont pas effectués par des professionnels de la santé. Brûlures aux lèvres et aux gencives, les problèmes liés à une mauvaise utilisation des produits blanchissants sont si nombreux que l’Office des professions du Québec a décidé d’intervenir.
Anna-Maria Harb voulait un sourire radieux pour sa photo de finissante en avril dernier. Cette étudiante en cinéma à l’Université Concordia a choisi de faire blanchir ses dents à la clinique Pearl White Solutions, à Dollard-des-Ormeaux.
Grâce à un coupon-rabais, elle a payé 60 $ pour le traitement, beaucoup moins que chez le dentiste.
Mais c’est un choix qu’elle regrettera, puisqu’elle a subi des brûlures aux lèvres et aux gencives qui lui ont valu une visite aux urgences. Un médecin lui a prescrit un traitement à base de cortisone.
« Pendant le traitement, ça faisait mal », raconte Anna-Maria Harb. Elle affirme que la technicienne a banalisé la chose. « Elle m’a dit : « si c’est des petits picotements, c’est normal » ».
La technicienne a donc procédé à un deuxième traitement de 25 minutes, toujours aussi souffrant, selon la jeune étudiante.
Munis d’une caméra cachée, nous avons visité la clinique de Pearl White Solutions. Nous avons constaté que l’employée ne protégeait ni les dents ni les gencives.
« C’est une perte de temps et d’argent », a dit la technicienne à notre collaboratrice.
Joint au téléphone, le propriétaire de la clinique Richard Priesler avoue qu’il ne prend pas de mesures de protection. Selon lui, son employée n’aurait pas dû dire que c’était une perte de temps et d’argent, mais plutôt qu’elle n’avait pas besoin de protéger les lèvres et les gencives, puisqu’elle utilise « une solution douce, comme les bandelettes Crest Whitestrips », vendues en pharmacie.
Le Dr Hugo Ciaburro, professeur à la faculté de médecine dentaire de l’Université de Montréal, croit au contraire que les bandelettes disponibles en pharmacie présentent moins de risque que les gels liquides utilisés en clinique.
« Qu’on utilise un peroxyde à 3 %, 10 % ou 15 %, il faut mettre une protection, dit-il. C’est la règle de l’art. »
Des inquiétudes
L’Ordre des dentistes demande à Québec d’interdire le blanchiment des dents par des non-professionnels.
Le président de l’Ordre, le Dr Barry Dolman, affirme qu’on voit de plus en plus de patients avec des problèmes à la suite d’une mauvaise utilisation des produits blanchissants. Il dénonce uniquement les traitements offerts en clinique et non les produits vendus en pharmacie.
Est-ce qu’on est obligé d’attendre que quelqu’un [soit] défiguré pour réagir? Je ne pense pas. – Dr Barry Dolman, président de l’Ordre des dentistes
De son côté, l’Office des professions du Québec vient d’étudier cette question dans le cadre des Travaux de modernisation des pratiques dans le domaine bucco-dentaire.
L’Office a conclu que la pratique était une activité à « haut risque de préjudice » et recommande donc lui aussi que le blanchiment des dents devienne un acte réservé aux professionnels de la santé. Cette recommandation sera transmise sous peu au gouvernement. Pour le moment, il n’y a donc rien qui n’empêche qui que ce soit de faire du blanchiment des dents, même sans aucune formation.
Les Smartphone, les iPhone quand ils ne sont plus utilisé peuvent devenir des sources de pollution considérable. Alors que ce qui les compose pourraient être recyclé, mais de façon sécuritaire, ce qui n’est pas le cas présentement.
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Smartphone | HUAWEI P8 via Flickr CC License by
Repéré par Alix Fieux
Votre Smartphone peut contenir de l’or, de l’argent et du cuivre. Mais aussi bien d’autres substances polluantes qui deviennent un désastre environnemental lorsqu’elles finissent en pleine nature au contact des populations.
Nul besoin de faire incruster un diamant à dix millions d’euros dans la coque de votre téléphone pour faire de votre smartphone un objet de valeur. Aujourd’hui, un article de la BBC nous apprend que chaque smartphone que vous utilisez puis laissez négligemment périr au fond d’un tiroir est en réalité… un trésor.
Vous pourriez en effet être surpris de ce qu’il contient: des métaux précieux comme l’or, de l’argent, du cuivre, du platine et du palladium. Pour un iPhone par exemple, préparez votre balance à haute précision. Selon les estimations de la BBC, vous pourriez y trouver quelques 0,034 grammes d’or, 0,34 grammes d’argent, 15 grammes de palladium et moins d’un millième de gramme de platine. Mais aussi de l’aluminium (25g) et 15 grammes de cuivre. Et ce n’est qu’un début.
Une longue liste de matériaux
Les smartphones contiennent également toute une liste de matériaux naturellement abondants dans les sols de notre planète, mais si difficiles à extraire dès qu’ils deviennent très rares. C’est par exemple le cas de l’yttrium, du lanthane, du terbium ou encore du gadolinium et du praséodyme.
Moins surprenant sinon, on y trouve du plastique et du verre. Ces quantités peuvent paraître dérisoires, mais imaginez le poids que cela représente sur l’ensemble des smartphones dans le monde, soit plus de deux millions d’appareils.
Si l’on suit la recette des composants présents dans un téléphone, cela signifierait qu’un million d’appareils portables peuvent rassembler près de 16 tonnes de cuivre, 350 kg d’argent, 34 kg d’or et 15 kg de palladium. Mieux vaut donc y réfléchir à deux fois avant d’envoyer son iPhone à la décharge… Et plutôt songer à le recycler, comme l’encourage la Fondation Green Citizens. Le magazine Fortune indique même ce qu’il adviendra de votre Samsung Galaxy Note 7 une fois que vous l’aurez retourné à votre revendeur.
Une catastrophe si on ne recycle pas
Car le problème si vous abandonnez votre téléphone n’importe où, c’est qu’en plus d’être une mine d’or, c’est aussi un nid de substances polluantes. Une fois jeté, votre appareil électrique risque de se retrouver parmi des montagnes de déchets électroniques en Chine, que des travailleurs exploités doivent ouvrir et fouiller à l’aide de produits chimiques dangereux pour en récupérer les moindres composants précieux et réutilisables. C’est par exemple le cas de la petite commune chinoise de Guiyu, récemment abordée par le Time comme le plus grand site de déchets électroniques au monde. Ici, les habitants y subissent des terribles problèmes de pollution qui impactent directement leur santé.
L’idéal serait donc que nous nous contentions de garder le même smartphone aussi longtemps que le permettrait la durée de vie de l’appareil. Pas question de changer de téléphone comme de chemise. Même si ce n’est visiblement pas la tendance…
Consciente de ce désastre environnemental en progression, Veena Sahajwalla, ingénieure à l’Université australienne de Nouvelle-Galle du Sud, pense que le recyclage propre et sécurisé de nos smartphones dans des «micro-usines» pourrait être une solution prometteuse. Créés à des échelles locales, ces ateliers permettraient d’extraire de nos téléphones mobiles les métaux précieux et de détruire ceux indésirables. Le but de l’opération? Réduire le contact humain avec les matériaux dangereux. Ouvert non plus grâce à des composants chimiques mais grâce à un courant haute tension, le téléphone serait ensuite dépecé à l’aide d’un bras robotisé, puis introduit dans un four afin d’en retirer les alliages de métaux précieux.
Je ne suis pas très en faveur pour les concours de beauté, mais si cela peut permettre de changer les choses en Afrique pour les albinos, alors pourquoi pas. Mais cela ne serait pas suffisant
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Photo AFP
Stigmatisés et même pourchassés dans certains pays d’Afrique, de jeunes albinos étaient vendredi soir sous le feu des projecteurs à Nairobi où se déroulait l’élection des premiers Miss et Mister Albinisme Kenya.
Le premier concours de ce type, selon ses promoteurs, avait pour objectif de montrer «qu’il existe des albinos beaux et bien dans leur peau», deux termes «rarement associés» en ce qui les concerne, a expliqué Isaac Mwaura, le premier député albinos kényan qui est aussi l’organisateur de la compétition.
«Nous voulons montrer notre talent, nous voulons faire face à la stigmatisation et à la discrimination», a-t-il souligné.
L’albinisme se traduit par une absence de pigmentation dans la peau, le système pileux et l’iris des yeux.
«En Afrique, les gens ont la peau noire. Lorsqu’une femme donne naissance à un albinos, les gens disent que c’est une malédiction», a témoigné Nancy Njeri Kariuki, 24 ans, venue du centre du Kenya pour participer à la compétition.
«Même les enfants de votre âge ont peur de vous», a raconté la jeune femme aux yeux verts qui a défilé coiffée d’une perruque brune devant le vice-président du Kenya William Ruto. Le pas sûr et la tête haute.
Les participants ont défilé dans leurs tenues professionnelles, du pêcheur au soldat en passant par une joueuse de rugby, afin de montrer qu’ils peuvent eux aussi faire partie de la population active du pays.
Qu’il s’agisse de s’éduquer ou de travailler, les albinos ont beaucoup de mal à trouver leur place, regrette le député Mwaura.
Fan de skate-board, Sarah Wanjohi, 21 ans, ne croise pas beaucoup d’albinos dans ses loisirs. Elle est venue avec tout son attirail pour montrer
«que nous pouvons aimer, nous pouvons défiler (…) Nous pouvons faire tout ce que les gens nous pensent incapables de faire».
«Ça été difficile pour moi: les talons, les froufrous ce n’est pas trop le style skateboard!», plaisante-t-elle.
AMPUTÉS, TUÉS
Ces mannequins d’un jour, choisis dans tous le pays lors d’une pré-sélection, ont du se plier aux règles d’airain du podium, en apprenant démarche et sens du spectacle.
Un défi idéal pour requinquer une confiance en soi souvent fragile, a estimé Michael Ogochi, un participant de 21 ans.
«Grandir a été difficile pour moi. Personne ne voulait être avec moi. Vous devez travailler sur votre estime personnelle et avoir la peau dure», a expliqué le jeune homme.
Ces dernières années quelques mannequins albinos ont fait des apparitions dans les défilés ou dans les pages magazines de mode mais leur peau rosée et leurs yeux clairs leur vaut le plus souvent d’être violemment rejetés de leur communauté.
Chaque année, dans toute l’Afrique, des albinos sont pourchassés, tués et amputés de leurs membres qui sont ensuite utilisés pour des rituels censés apporter richesse et chance. Un phénomène qui a pris une ampleur encore plus grande récemment au sud et à l’est du continent, notamment en Tanzanie, au Malawi ou au Mozambique, où les attaques se comptent par dizaines et n’épargnent pas les très jeunes enfants.
Si ce type d’attaque est plus rare au Kenya, Isaac Mwaura souligne que la Société de l’albinisme qu’il dirige a dû plusieurs fois intervenir pour sauver des enfants ou des adultes menacés de meurtre rituel. Un homme de 56 ans est mort des suites d’une attaque l’an dernier dans le sud-ouest du pays.
Le silence tombe sur la foule bavarde des spectateurs du défilé lorsque le député projette l’image sanglante d’un membre amputé lors d’une attaque contre un albinos en Tanzanie.
L’organisation non gouvernementale canadienne «Under The Same Sun» (Sous le même soleil), a recensé 169 agressions – dont 76 meurtres – contre des personnes albinos en Tanzanie ces dernières années. Plus que partout ailleurs en Afrique.