Infinie


Juste à lire l’histoire de l’humanité pour s’apercevoir que nous faisons souvent les mêmes erreurs en temps que personne ou nation
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Infinie

 

 

Il n’existe que deux choses infinies : l’univers et la bêtise humaine… mais pour l’univers, je n’ai pas de certitude absolue.

Albert Einstein

Le Saviez-Vous ► Les morts étranges de ces personnages historiques


Certaines morts auraient pu être évitées, mais même pour des personnages de l’histoire, quand c’est l’heure, peu importe comment, c’est l’heure
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Les morts étranges de ces personnages historiques

 

Le compositeur français Jean-Baptiste Lully. © Bbc.co.uk.

Savez-vous pourquoi Jack Daniel nous a quittés prématurément? Ou comment le neuvième président des États-Unis, William Harrison est décédé un mois après son investiture le 4 mars 1841?

Ce 10 octobre marque le 105e anniversaire de la disparition de Jack Daniel.

En 1906 le célèbre distillateur américain s’efforce désespérement d’ouvrir son coffre-fort. Frustré de ne plus se souvenir du code, il frappe le coffre avec son pied. Une mauvaise idée qui lui vaut un orteil cassé. Au final,  il décède cinq ans plus tard d’un empoisonnement sanguin résultant de cette blessure.

Si Jack Daniel a payé très cher ses excès de colère, c’est la gourmandise qui a coûté la vie à l’empereur Maximilien 1er de Habsbourg. Selon la légende, il perd la vie des suites d’une consommation excessive de melon.

Le compositeur français Jean-Baptiste Lully est mort en pratiquant sa passion, la musique. Alors qu’il battait le rythme avec un bâton, il se blesse au pied et périt  de la gangrène. Le concert célébrait le rétablissement du roi Louis XIV.

Coup de froid pour Harrison

Pour son investiture le 4 mars 1841, le neuvième président des États-Unis, William Harrison, tient un discours dans un froid polaire durant près de deux heures. Un courage qui lui sera fatal, il contracte une pneumonie et meurt un mois plus tard.  Avec un total de 30 jours à la tête des Etats-Unis, il détient le record du mandat le plus court.

http://www.7sur7.be/

Pourquoi les victimes de harcèlement sexuel ou d’agression sexuelle ne portent pas plainte


Avec Donald Trump qui essaie de discréditer les femmes qui ont été agressées par lui. On peut se demander pourquoi les femmes tardent à porter plainte ou se taisent pour ne pas divulguer leurs cauchemars. Chose de sur, qu’elles parlent après l’agression ou des années après, les femmes ne sont pas souvent traitées comme victimes, mais souvent comme une coupable
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Pourquoi les victimes de harcèlement sexuel ou d’agression sexuelle ne portent pas plainte

 

The Huffington Post  |  Par Emma Gray

    Grâce à Donald Trump, le public a eu droit à une étude de cas qui démontre parfaitement pourquoi les femmes victimes de harcèlement et d’agression sexuelle ne portent pas plainte.

    Partout à travers le monde, ces victimes ne rapportent souvent pas ces crimes à la police. En effet, des études démontrent qu’environ deux victimes sur trois ne dénoncent pas leur agresseur. À toutes les fois qu’une allégation d’agression sexuelle est rendue publique, le public pose toujours les mêmes questions : pourquoi n’avez-vous pas parlé plus tôt? Pourquoi n’êtes-vous pas allés voir la police?

    Ces questions ont encore été posées ces derniers jours à la suite des allégations d’agression et de harcèlement sexuel contre Donald Trump. Le candidat présidentiel et des membres de son entourage nient ces allégations et tentent de discréditer les femmes qui sont venues de l’avant en demandant pourquoi elles décident de parler de ces événements des décennies après qu’ils soient survenus.

    Liz Plank, une journaliste de Vox, a constaté cette tendance et a demandé à ses abonnées d’expliquer au monde entier pourquoi les femmes ne portent souvent pas plainte. Elles ont utilisé le mot-clic #WhyWomenDontReport.

«Parce qu’il a dit que c’était correct puisqu’il m’avait accompagné aux retrouvailles de début d’année scolaire. Ça fait plus de 30 ans que cela est survenu et je n’en ai jamais parlé à qui que ce soit.»

«Parce que dès notre naissance, on nous apprend qu’il faut être gentille, d’en rire, de ne pas être chienne, de tout simplement l’ignorer, de sourire.»

«Parce qu’on m’a dit de passer par-dessus, que je «devrais être heureuse qu’un gars veuille de moi.»

«Parce qu’à l’âge de 15 ans, on me traitait déjà de salope même si j’étais encore vierge. Qui m’aurait cru?»

«Il avait 35 ans, et j’en avais 13. Il m’a dit que si j’en parlais à qui que ce soit, il irait en prison. Je l’ai dénoncé quand j’avais 36 ans.»

«Parce que si vous le dénoncez immédiatement, c’est que vous avez simplement regretté votre aventure sexuelle. Si vous attendez, c’est que vous êtes en recherche d’attention.»

«J’ai dit à mon patron que j’ai été harcelée sexuellement au travail et il m’a répondu que c’est cela qui se passait quand les hommes et les femmes travaillaient ensemble.»

«C’était mon copain et je ne voulais pas que ça ruine sa vie. J’ai donc presque ruiné la mienne, à la place.»

SI vous êtes victime d’agression sexuelle, visitez AgressionsSexuelle.gouv.qc.ca

Cet article a été traduit de l’anglais du Huffington Post américain.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

La Journée mondiale de l’alimentation aux quatre coins de la planète


Dimanche, ce sera  la journée internationale de l’alimentation. Alors que les pays industrialisés ont souvent des problèmes de surconsommation et de gaspillage alors que dans des pays en voie de développement, l’alimentation se fait rare pour diverses raisons. Les enfants en souffrent qu’il faut des moyens plus rapides et efficaces pour leur donner des suppléments nécessaires à leur croissance
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La Journée mondiale de l’alimentation aux quatre coins de la planète

 

Pour souligner la Journée mondiale de l’alimentation, le 16 octobre, voyez la relation qu’entretiennent différentes personnes avec la nourriture.

1. Zimbabwe

Des enfants d’une école primaire au Zimbabwe font la file pour recevoir de la nourriture. Dans la région, plusieurs familles éprouvent des difficultés et ne mangent qu’un repas par jour. Le gouvernement du Zimbabwe estime que plus de quatre millions de personnes auront besoin d’une aide alimentaire à la suite de la sécheresse provoquée par le phénomène El Niño qui a frappé la nation sud-africaine.

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© UNICEF/UN032885/Mukwazhi

2. Haïti

Pierre Tomas, âgé de 14 ans, aide sa mère à cuisiner un repas à l’extérieur de la maison en Haïti. Il a quitté le foyer familial pour tenter sa chance en République dominicaine, mais il a fini par mendier dans les rues, où il a été victime de la violence d’autres enfants. Après avoir vécu dans un orphelinat pendant trois mois, il a retrouvé sa famille en Haïti avec l’aide de Heartland Alliance, un partenaire de l’UNICEF qui offre un soutien aux enfants victimes du trafic d’êtres humains et à ceux qui vivent ou travaillent dans la rue.

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© UNICEF/UNI121807/Dormino

3. Éthiopie

En Éthiopie, où sévit une sécheresse, Habib, âgé de deux ans, couvre un bol de gruau composé d’un mélange de maïs, de soja et d’huile, qui a été préparé par sa mère. Habib, qui a reçu un diagnostic de malnutrition sévère aiguë, bénéficie du programme d’alimentation complémentaire ciblé qui distribue des rations supplémentaires à des enfants souffrant de malnutrition modérée dans le but de favoriser leur rétablissement nutritionnel.

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© UNICEF/UN022189/Ayene

4. Indonésie

Un petit garçon, dans les bras d’une femme, fait partie d’un groupe de jeunes enfants que des adultes accompagnent au Baby Café dans le village de Pandes, en Indonésie. Chaque matin, de nombreux parents et grands-parents viennent au café avec les enfants acheter du «bubor», un gruau riche en nutriments composé de riz, de poulet et de légumes. Ce gruau est préparé très tôt chaque matin par des «cadres» (des travailleurs et travailleuses de la santé communautaire bénévoles) qui ont constaté un besoin et trouvé une solution pour aider les jeunes enfants de la communauté à démarrer leur journée avec une nourriture saine et nutritive. Les «cadres», qui livrent parfois la nourriture à domicile, ont été formés dans le cadre du programme nutritionnel de l’UNICEF-EU.

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© UNICEF/UN04258/Estey

5. Corée

Les membres d’une famille partagent un repas dans les décombres de leur maison, en Corée, tout en discutant avec un représentant de l’UNICEF.

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© UNICEF/UN032091/Iqbal

6. Irak

La grand-mère d’Abdallah, un bébé âgé d’un mois, tend le bras vers un bol de nourriture dans un abri temporaire. Elle est arrivée avec l’enfant au milieu de la nuit après avoir fui les violences près de Mosul, en Irak.

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© UNICEF/UN027649/Anmar

7. Bangladesh

Au Bangladesh, Rexona Begum, âgée de 30 ans, mère de Sumiya Mollah, âgée de 5 ans, et de Moriom Mollah, âgé de 6 ans, partage un plat de pommes de terre et de riz au curry avec ses enfants. Sumiya a reçu un diagnostic de malnutrition. Rexona fait de son mieux pour subvenir aux besoins de ses enfants, mais elle n’a pas les moyens de se procurer un grand nombre des produits de base. Suivant les conseils de la clinique locale, elle a commencé à intégrer davantage de légumes dans sa cuisine, ramassant souvent les légumes verts à feuilles dont les voisins se débarrassent, car ils ne les trouvent pas appétissants.

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© UNICEF/UN019479/Gilbertson VII

8. Éthiopie

Au centre de santé de Kihen, un spécialiste de la santé d’UNICEF Éthiopie nourrit Bertukan avec une bouillie nutritive. Ce centre, dont le but est de renforcer la capacité du système de santé, met en œuvre des programmes de santé, de nutrition, d’hygiène et d’assainissement avec le soutien de l’UNICEF.

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© UNICEF/UN024906/Sewunet

9. Inde

En Inde, dans ce centre Anganwadi d’un district touché par l’exposition au fluorure, des enfants reçoivent chaque jour des œufs et du lait. Ces aliments constituent un complément nutritionnel qui contribue à renforcer leur immunité contre la fluorose. La fluorose est une maladie chronique causée par une prise excessive de composés fluorés, comme de l’eau de puits contaminée par une trop grande quantité de fluorure provenant des roches de granit.

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© UNICEF/UNI162413/Biswas

10. Bolivie

Pendant que d’autres enfants s’alignent derrière elle, une petite fille de la communauté autochtone Quechua, en Bolivie, reçoit du lait fortifié et du pain qui sont distribués par l’UNICEF. Habituellement, les villageois et villageoises survivent en se nourrissant de différentes sortes de pommes de terre et, occasionnellement, de maïs.

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© UNICEF/UNI30193/Balaguer

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Les Pays-Bas veulent autoriser l’aide au suicide pour les personnes âgées


Moi, je suis contre le suicide assisté quelle que soit la raison, et je trouve que donner accès au suicide même pour des personnes âgées « en santé » ouvre l’accès à des débordements. Bien sûr qu’au début, les critères seront probablement assez stricts, mais avec le temps, des enfants qui ne vont plus voir leurs parents, une déresponsabilisation sociale envers les personnes âgées, une hausse de la population vieillissante, je doute vraiment des raisons que ces personnes voudront l’aide à mourir
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Les Pays-Bas veulent autoriser l’aide au suicide pour les personnes âgées

 

Le futur texte, qui vise à autoriser l'aide au... (photo Gianni Cipriano, archives The New York Times)

Le futur texte, qui vise à autoriser l’aide au suicide pour les personnes qui ont le sentiment d’avoir « accompli » leur vie, même si elles ne sont pas malades, ne portera que sur les personnes âgées, mais le gouvernement n’a pas évoqué d’âge spécifique.

PHOTO GIANNI CIPRIANO, ARCHIVES THE NEW YORK TIMES

 

MAUDE BRULARD, SOPHIE MIGNON
Agence France-Presse
LA HAYE

Après avoir légalisé l’euthanasie il y a près de 15 ans, les Pays-Bas envisagent désormais d’autoriser l’aide au suicide pour les personnes âgées qui ont le sentiment d’avoir « accompli » leur vie, même si elles ne sont pas malades.

« Les personnes qui pensent, après avoir mûrement réfléchi, avoir achevé leur vie doivent, sous de strictes conditions et selon des critères très précis, être autorisées à finir leur vie d’une manière qui leur semble digne », ont affirmé les ministres de la Santé et de la Justice dans une lettre adressée au Parlement.

Avec la Belgique, les Pays-Bas ont été en 2002 le premier pays au monde à légaliser l’euthanasie. Mais pour autoriser la procédure, deux médecins minimum doivent avoir la conviction qu’il n’existe pas d’autre solution raisonnable pour le patient malade et que la souffrance est « insupportable et sans perspective d’amélioration ».

Ces dispositions, qui peuvent être sujettes à interprétation, font régulièrement l’objet d’un débat aux Pays-Bas et sont souvent critiquées à l’étranger : certaines maladies mentales ou la démence peuvent être considérées comme « souffrance insupportable ». Les enfants de plus de douze ans peuvent également demander l’euthanasie.

En 2015, les Pays-Bas ont enregistré 5516 cas d’euthanasie, soit 3,9 % des décès dans le pays, contre 3136 cas cinq ans plus tôt. Parmi ces personnes, plus de 70 % souffraient de cancer et 2,9 % de maladies psychiatriques ou de démence.

« Besoin d’aide »

Le futur texte, qui sera élaboré après des discussions avec des experts, ne portera que sur les personnes âgées, mais le gouvernement n’a pas évoqué d’âge spécifique.

Les personnes concernées « ne voient plus de possibilité pour donner un sens à leur vie, vivent mal leur perte d’indépendance, ont un sentiment de solitude », assure le gouvernement. « Mais pour pouvoir mettre en place leur fin de vie, elles ont besoin d’aide ».

Un « assistant à la mort », une personne avec une éducation médicale et des formations spécifiques, devra autoriser la procédure après avoir exclu qu’un traitement puisse effacer ce « souhait de mort ». Le processus sera examiné après le décès par une commission spécialisée.

Pour Robert Schurink, président de l’Association néerlandaise pour une fin de vie volontaire, « ceci offre une solution », a-t-il affirmé au quotidien populaire AD : certaines personnes « étaient contraintes à des mesures drastiques comme le suicide ou arrêter de manger et de boire quand elles ne voulaient plus vivre. »

« Pas la mort sur commande »

L’aide au suicide est illégale, mais en 2013, un homme reconnu coupable d’avoir aidé sa mère de 99 ans à se suicider en lui procurant des médicaments n’avait pas été puni par les juges, estimant qu’il « avait agi par amour ».

Toutefois, plusieurs partis de l’opposition ont critiqué le projet.

Le parti socialiste, notamment, estime qu’un éventuel texte ne peut que mener à « une pression sur les autres personnes âgées qui vont se sentir de trop dans la communauté ».

Certains Néerlandais éprouvent la même inquiétude évoquant « les personnes fragiles, solitaires, désespérées » alors que le hashtag voltooidleven (vieaccomplie) était en tête des tendances sur Twitter dans le pays.

La ministre de la Santé s’est défendue à la télévision publique NOS, assurant qu’il ne s’agissait pas d’une « mort sur commande » : « il faut organiser un processus très consciencieux ». « Il ne doit pas s’agir ici de personnes qui, par exemple, sont seules ou qui sont dépressives ou dont les problèmes peuvent être résolus d’une autre manière », a-t-elle ajouté.

Selon un sondage publié début 2016, 64 % des Néerlandais sont favorables à la mise à disposition d’une « pilule de fin de vie » pour les personnes âgées qui le désirent.

Également interrogé par la NOS, Pieter Jiskoot, 95 ans, essaie depuis plusieurs années de se procurer de quoi mettre fin à ses jours.

« J’ai perdu ma femme et ma fille, ma famille ne vient plus me voir et je ne peux plus lire », a expliqué ce lecteur assidu.

« Je suis réduit à mes pensées et celles-ci tournent toujours vers le passé », a-t-il ajouté : « l’avenir a disparu ».

http://www.lapresse.ca/

Les oiseaux chantaient déjà au temps des dinosaures


J’aimerais bien qu’ils puissent reconstituer le gazouillement d’un oiseau qui vivaient il y a 68 millions d’années
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Les oiseaux chantaient déjà au temps des dinosaures

 

Vegavis iaai

Illustration du Vegavis iaai    PHOTO : UNIVERSITÉ DU TEXAS À AUSTIN/NICOLE FULLER

La reconstitution d’un fossile d’oiseau vieux de 68 millions d’années a permis d’établir que les oiseaux pouvaient déjà gazouiller et communiquer entre eux à l’ère des dinosaures.

RADIO-CANADA AVEC AGENCE FRANCE-PRESSE

Un texte d’Alain Labelle

Le Vegavis iaai est un oiseau éteint qui vivait au Crétacé sur ce qui forme aujourd’hui l’Antarctique. Il appartient au groupe qui comprend les canards, les oies et les cygnes.
La chercheuse Julia Clarke et ses collègues de l’Université du Texas à Austin, aux États-Unis, ont eu recours à la tomographie assistée par ordinateur, une technique d’imagerie médicale en 3D, pour détecter la présence d’une syrinx, l’organe qui permet aux oiseaux d’émettre des vocalises
(l’équivalent du larynx chez l’homme).

Notre étude prouve que les oiseaux pouvaient s’interpeller au-dessus de la tête des dinosaures […] La syrinx fossile montre une asymétrie qui est également présente chez les canards, qui permet de siffler et de cacarder. Julia Clarke, Université du Texas à Austin

La découverte du fossile de Vegavis iaai en 1992 (et sa description détaillée en 2005) est considérée comme la première preuve concrète que les proches parents des oiseaux modernes ont vécu aux côtés des dinosaures non aviaires.

Pour mieux comprendre la fréquence ou la nature du chant de ces oiseaux, les chercheurs devront construire maintenant des modèles et recueillir plus de données à partir des oiseaux actuels comme le canard.

http://ici.radio-canada.ca/