Un village sans routes, ni voitures : Découvrez ce petit paradis sur terre


Un village de rêve ! Sans automobile, ni camion, donc moins de bruit ! On se déplace à pied, en bateau ou en vélo
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Un village sans routes, ni voitures : Découvrez ce petit paradis sur terre

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Si les grandes villes vous étouffent, ce village devrait vous plaire.

Pour éviter toute pollution, tout bruit et vivre dans un cadre serein, direction « La Venise du Nord » ! C’est le surnom d’un village des Pays-Bas, Giethoorn, situé en région d’Overjissel.

Pourquoi le village est-il si serein ? Déjà, il n’y a pas de voiture. Tout le monde se déplace en vélo, donc il est difficile de s’inquiéter de la pollution puisqu’elle est fortement réduite grâce à cela ! Il arrive aussi aux 2 620 habitants de se déplacer en bateau, dans le réseau de canaux qui traversent le village… Bref, la belle vie !

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Comment la ville a-t-elle réussi à maintenir un tel cadre de vie au milieu d’une société qui s’industrialise en masse ? Le village ne comportant pas de route, aucune voiture n’y circule. Ainsi, le trafic n’a pas lieu d’être et la ville est ainsi préservée de l’industrialisation. Ingénieux, non ?

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C’est bien cela le secret qui fait que Giethoorn n’a pas perdu de sa splendeur !

Pour couronner le tout, ce petit bout de paradis sait enrichir ses petites économies: bien évidemment, ce mode de vie insolite attire de nombreux touristes, ce qui permet aux habitants de vivre raisonnablement sans avoir recours à un développement d’industrie majeure ! 

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Le Saviez-Vous ► Le point le plus isolé de la planète


Qui aurait cru que le point le plus isolé sur notre planète, que ce sont les astronautes de la Station Spatiale Internationale qui passent le plus près. C’est aussi malheureusement, un endroit tellement isolé que des épaves spatiales sont larguées à cet endroit
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Le point le plus isolé de la planète

 

© Google Earth.

« Point Nemo » se trouve à 2.688 kilomètres de la terre ferme. C’est le point le plus isolé du monde.

Non seulement le « Point Nemo » se trouve à 2.688 kilomètres de toute terre, mais ces territoires sont également extrêmement isolés eux-mêmes. Ainsi, au nord, l’île Ducie est un atoll inhabité du Pacifique sud appartenant aux îles Pitcairn (Royaume-Uni), au nord-est Motu Nui est un îlot de quatre hectares à la pointe de l’île de Pâques et, au sud, l’ïle Maher se trouve à l’extrémité de l’Antarctique.

Plus proche des… astronautes

Le « Point Nemo » est tellement éloigné de la terre ferme que l’être humain qui s’en approche le plus souvent ne se trouve même pas vraiment sur Terre. En effet, la Station Spatiale Internationale (ISS) qui gravite en orbite à une altitude maximale de 416 kilomètres, est régulièrement l’équipage habité le plus « proche » de ce point géographique.

Cimetière spatial

D’ailleurs, cette zone purement maritime du Pacifique sud est généralement exploitée par les agences spatiales pour larguer le matériel en fin de mission sans risque pour la population mondiale. Selon la BBC, plus de cent épaves spatiales occuperaient en effet ces profondeurs insondables.

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Les réseaux sociaux, un paradis pour toutes sortes d’espions


Les réseaux sociaux sont une mine d’information pour les policiers, les alertes, les publicités et même les scientifiques. Il y a aussi les voleurs qui espionnent les réseaux sociaux ceux qui dévoilent toute leur vie : les dates d’absences pour les vacances, les voyages etc …
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Les réseaux sociaux, un paradis pour toutes sortes d’espions

 

On y affiche ses opinions, on y relate ses déplacements… Les réseaux sociaux regorgent d’informations sur leurs utilisateurs et leur exploitation est devenue un vrai business, mais cette surveillance inquiète, surtout quand elle prend un visage policier.

« Il y a une étroite ligne de démarcation entre la surveillance des individus et le suivi à des fins de recherche », indique Jenny Sussin, analyste chez Gartner.

Même quand l’espionnage n’est pas l’objectif initial, « rien n’empêche quelqu’un de créer un flux contenant seulement les informations de gens sur une liste » et de les « localiser (…) quand ils publient sur les réseaux sociaux depuis une certaine région ».

Geofeedia, une société qui, comme beaucoup d’autres, commercialise des services d’analyse en puisant dans la gigantesque base de données représentée par Twitter, Facebook ou sa filiale Instagram, vient d’être épinglée par l’organisme américain de défense des droits civiques ACLU: elle a aidé la police à pister des militants lors de mouvements sociaux dans plusieurs villes américaines où des hommes noirs avaient été abattus par des policiers.

Twitter et Facebook ont coupé l’accès de l’entreprise à leurs flux de données. Dans le passé, Twitter avait déjà interdit aux services de renseignement américains d’utiliser le logiciel d’analyse des tweets Dataminr.

L’ACLU réclame toutefois plus d’efforts des réseaux, et notamment le blocage des applications utilisées par les forces de l’ordre ou pouvant servir d’outils d’espionnage.

Les entreprises doivent « connaître leurs clients » et « il y a des questions spécifiques qu’elles peuvent poser » pour cela, argumente Sophia Cope, avocate spécialisée dans les libertés civiles et les technologies à l’Electronic Frontier Foundation (EFF).

Débat récurrent

L’éventuelle coopération du secteur technologique avec des services de renseignement est un débat récurrent.

La justice française s’est penchée dans le passé sur des sociétés comme Amesys ou Qosmos, dont les logiciels étaient soupçonnés de servir à surveiller des opposants au régime de Kadhafi en Libye ou d’Assad en Syrie. Et Yahoo Mail était encore accusé début octobre d’avoir scanné des courriels pour les autorités américaines.

Le cas des réseaux sociaux a toutefois ceci de particulier que les données exploitées sont généralement publiques.

Le gouvernement « a ses propres salariés qui surveillent les réseaux sociaux. Mais ça demande de la main d’oeuvre. Qu’on ait des entreprises privées comme Geofeedia qui facilitent cette procédure et rendent plus simple la surveillance gouvernementale, c’est cela qui nous inquiète », indique Sophia Cope.

Les sociétés d’analytique ont souvent l’avantage d’être branchées directement sur des flux de données fournis par les réseaux aux développeurs d’applications ou aux médias. Cela permet un processus automatisé et appelé à s’améliorer avec l’essor de l’intelligence artificielle.

L’exploitation des données prend toutefois de multiples visages. À côté des espions des services de renseignement, on retrouve beaucoup d’annonceurs publicitaires souhaitant toucher un public précis, ou encore des chercheurs essayant d’en déduire des conclusions scientifiques ou sociologiques.

IBM avait ainsi annoncé cet été une coopération avec un centre de recherche brésilien pour suivre grâce à Twitter la propagation de maladies comme Zika, la dengue ou le Chikungunya.

Et à Los Angeles, le ministère de la Justice finance une étude menée depuis septembre par des chercheurs britanniques et l’ONG Rand: ils veulent vérifier si la police pourrait empêcher des crimes racistes en géolocalisant les commentaires haineux sur les réseaux afin de déterminer les quartiers les plus à risque.

« Ce n’est pas pour dire qu’il n’y a pas d’utilité mais il peut y avoir des abus », indique Sophia Cope. Pour elle, « toute sorte de surveillance ou de pistage est problématique » mais « la surveillance gouvernementale est pire » car elle enfreint des droits constitutionnels

Suivi à la trace

Ce qu’essayent surtout jusqu’ici Facebook ou Twitter, c’est d’écrire dans leurs conditions d’utilisations pour les développeurs ce qu’il est autorisé de faire ou pas avec les données, note Jenny Sussin.

Mais ils pourraient aussi rappeler aux gens en début de session qu’ils ont accepté de partager leur localisation, avance-t-elle, rappelant que sur les réseaux, « ce n’est pas la surveillance de tout le monde, partout et n’importe quand », mais celle de ceux « qui ont choisi de partager leurs informations ».

« On participe volontairement à sa propre surveillance », renchérit Roger Kay, analyste chez Endpoint Technologies Associates. « Beaucoup de gens vivent leur vie de manière très publique », permettant à des espions, ou de simples criminels, de les suivre à la trace.

Et d’évoquer « Kim Kardashian et son récent braquage » à Paris: cette grande utilisatrice des réseaux sociaux y est depuis bien plus discrète.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

À 80 ans, il devient mannequin


Une autre personne âgée qui prouve qu’importe l’âge, on peut réussir à changer les choses de sa vie pour éviter la routine
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À 80 ans, il devient mannequin

 

© Capture d’écran.

Il n’est jamais trop tard pour changer de de vie…

À 80 ans, Wang Deshun délivre une leçon de vie à l’humanité tout entière: il n’est jamais trop tard pour prendre soin de son corps et donner libre cours à ses aspirations créatrices, à ses envies de changement, à son enthousiasme, relate le magazine Konbini.

Evolution constante

Ce comédien chinois a brûlé les planches pendant plusieurs décennies avant d’apprendre l’anglais à 44 ans, de fonder sa propre troupe à 49, de se lancer dans la musculation à 50 et d’entamer une nouvelle démarche artistique à près de 60 ans: la sculpture vivante. 

Mannequin à 80 ans

Repéré par hasard, Wang Deshun se lance aujourd’hui dans le mannequinat et expose fièrement son corps d’athlète sur les podiums où ses cheveux d’argent et sa barbiche de vieux sage détonne par sa singularité.

Message d’espoir

Non seulement, Wang prend du plaisir à s’essayer à d’autres disciplines mais il adresse également un message au monde, un encouragement à l’optimisme:

« Si vous pensez qu’il est trop tard, ne vous en servez pas d’excuse pour abandonner. La seule personne qui peut vous empêcher d’accéder au succès, c’est vous-même. Et quand vient l’heure de rayonner, brillez de mille feux ».

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Elle discute par sms avec son ami mort


Je ne crois pas que cela soit une bonne chose de communiquer avec un avatar représentant une personne aimée, mais décédée, qu’utiliser des archives de conversation avec l’intelligence artificielle, n’aide pas à faire un deuil difficile
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Elle discute par sms avec son ami mort

 

Fantasme de l’immortalité ou dérive de l’intelligence artificielle?

La start-up américaine Luka travaille depuis quelques années sur l’intelligence artificielle et propose des services personnalisés à sa clientèle. Un jour, devant un épisode de Black Mirror, son CEO Eugenia Kuyda pense à son ami décédé et lui vient l’idée de reproduire le concept de la série: concevoir un avatar du défunt pour atténuer la souffrance du deuil, relate dans un article consacré L’Obs/Rue89

Conversation virtuelle

Elle récolte alors tous les sms, tous les courriels, tous les échanges avec son ami disparu et créé un « chatbot » de toutes pièces, soit une intelligence artificielle capable de dialoguer avec elle en s’inspirant des archives et du style développé tout au long de leurs années de communication. L’avatar de Roman Mazurenko prend vie, une étrange conversation à découvrir sur le site spécialisé The Verge.

Réflexion

L’expérience questionne avant tout le concept de la mort et l’incompréhension croissante de ce statut au sein de la société actuelle, sa non-acceptation à l’heure du monde ultraconnecté où les morts peuvent survivre virtuellement et donner l’illusion d’interagir d’outre-tombe. Une démarche qui ne facilite en rien le travail du deuil.

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Bretagne : trois chiens ouvrent un robinet et créent une inondation


Ouf, les chiens ont fait de gros dégâts. Surtout qu’il y avait un magasin de vêtements juste en dessous. Cela fera quelque chose a raconter au maître pendant ses vieilles années
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Bretagne : trois chiens ouvrent un robinet et créent une inondation

 

Samedi, les pompiers ont dû intervenir à Lorient (Morbihan), pour une inondation causée… par des chiens.

On savait les chats capables d’ouvrir des robinets, mais chez les chiens, c’est tout de même plus rare… Toujours est-il que samedi dernier, trois Malinois ont profité de l’absence de leur maître pour ouvrir le robinet (un mitigeur) dans la salle de bain de l’appartement situé juste au-dessus d’une boutique de vêtements.

Les pompiers interviennent

N’ayant pas pris soin de fermer le robinet, l’eau a débordé du lavabo… et c’est ainsi que l’appartement, ainsi que le magasin, ont été inondés.

Les pompiers ont dû passer par l’extérieur, à l’aide d’une échelle, pour s’introduire dans l’appartement. Ils ont ensuite coupé le mitigeur et le compteur d’eau, et ont aspiré l’eau. Les chiens, eux, sont sains et saufs.

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