Les petits bonheurs


En vieillissant, avec un bon équilibre de vie, il est plus facile d’apprécier les bons moments et continué au jour le jour
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Les petits bonheurs

 

 

 

Accepter de vieillir est parfois douloureux… Mais quand les petits bonheurs s’accumulent au quotidien, c’est plus facile de tourner les pages du grand livre de la vie !

Jacques Chouinard

À 102 ans, elle réalise son rêve de se faire passer les menottes


Le jour de son 102e anniversaire, le 30 septembre dernier, Edie a connu le « frisson » de l’arrestation policière en se faisant embarquer par une patrouille de la police de Saint-Louis (Missouri)  La mise en scène a été orchestrée par un bénévole du centre communal des séniors. Tout à été préparé par un bénévole du centre communal des séniors
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À 102 ans, elle réalise son rêve de se faire passer les menottes

 

Le Saviez-Vous ► Il y a 170 ans, Neptune


A ma connaissance, les planètes ont été découverte et nommée grâce à l’observation. Neptune à été détecté par plusieurs astronomes sans toutefois décrire sa nature, mais elle a été officiellement découverte grâce aux mathématiques …
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Il y a 170 ans, Neptune

 

La planète Neptune

PHOTO : NASA

En 1846, le Français Urbain Le Verrier devenait l’astronome le plus célèbre du XIXe siècle grâce à sa découverte de la huitième planète de notre système solaire : Neptune. Une découverte remarquable également par sa méthode.

Un texte d’Alain Labelle

Dans le cas de Neptune, c’était la première fois qu’un objet céleste était découvert grâce au calcul mathématique avant de l’être par l’observation.

Au début du XIXe siècle, un astronome de l’Observatoire de Paris, Alexis Bouvard, chargé de calculer les éphémérides d’Uranus, constata qu’il était impossible de représenter correctement par le calcul le mouvement de cette planète. Il réalisa que ce mouvement pouvait être perturbé par l’attraction d’une autre planète inconnue.

Plusieurs astronomes s’employèrent à essayer de vérifier cette hypothèse et de trouver cette nouvelle planète. François Arago, qui était responsable de l’Observatoire, demanda à son assistant, l’astronome Urbain Le Verrier (1811-1877) de s’en occuper.

Le Verrier résolut le problème en 1846 grâce à de lourds calculs, et prédit la position de la nouvelle planète, qui fut trouvée presque immédiatement par Johann Gottfried Galle, de l’Observatoire de Berlin.

Le Français Urbain Le Verrier

Paternité contestée

Longtemps objet de débats quant à sa paternité, la découverte est aujourd’hui attribuée à l’astronome Le Verrier. Ses résultats sur la position ont été publiés à la fin d’août 1846 après deux ans de calculs.

L’astronome allemand Johann Gottfried Galle l’a observée presque au même moment, dans la nuit du 23 au 24 septembre 1846. La planète se trouvait à moins de 1 degré de la position théorique déterminée par Le Verrier.

On sait maintenant que Neptune avait déjà été observée par plusieurs astronomes parmi lesquels Galilée et John Herschel. Toutefois, ces derniers n’avaient pas détecté sa nature planétaire.

La paternité de la découverte a également suscité une controverse entre la France et l’Angleterre, où John Couch Adams avait effectué des calculs antérieurs à Le Verrier sur la nature d’un « corps perturbateur » de l’orbite d’Uranus.

Le saviez-vous?

La découverte de Neptune a aussi conduit à la découverte de sa lune, Triton, 17 jours plus tard par William Lassell.

Baptisée dans la controverse

À la suite de sa découverte, l’objet céleste fut appelé simplement la planète extérieure à Uranus ou la planète Le Verrier.

Le Verrier a rapidement proposé le nom de Neptune, tout en déclarant faussement que cela avait été officiellement approuvé par le Bureau des longitudes de France qui gère encore aujourd’hui les données astronomiques. Il a ensuite cherché à nommer la planète Le Verrier, une suggestion qui s’est heurtée à une vive résistance hors de France.

Neptune est finalement devenu le nom accepté internationalement. Dans la mythologie romaine, Neptune est le dieu de la mer. Un nom mythologique concordait avec la nomenclature des autres planètes, qui toutes, à l’exception de la Terre, doivent leur nom à la mythologie grecque et romaine.

Neptune 101

Neptune, la dernière du système, est située à 4490 millions de km du Soleil. Elle reçoit 900 fois moins de lumière que la Terre.

Avec son diamètre de 49 000 km, Neptune est la plus petite des planètes géantes gazeuses. Elle couvre son orbite presque parfaitement circulaire en un peu moins de 165 ans, et tourne sur elle-même en un peu plus de 16 h.

Cette image prise par Voyager 2 en août 1989 montre la grande tache sombre (vers le haut à gauche) et la tache sombre 2 (vers le bas).

Cette image prise par Voyager 2 en août 1989 montre la grande tache sombre (vers le haut à gauche) et la tache sombre 2 (vers le bas).   PHOTO : NASA

Comme Uranus, elle possède très probablement un noyau solide de silicates et de fer d’à peu près la masse de la Terre.

Son atmosphère, épaisse de plus de 8000 km, est composée principalement de dihydrogène pour 85 %, d’hélium pour 13 %, et de méthane pour 2 %.

La couleur bleue de Neptune provient principalement du méthane qui absorbe la lumière dans les longueurs d’onde du rouge. Cependant, un autre composé donne aux nuages de Neptune leur couleur bleue caractéristique, mais il n’a pas encore été identifié.

Les vents de Neptune sont les plus rapides du système solaire et atteignent 2000 km/h.

La planète possède un système d’anneaux très fins et peu visibles. Leur composition reste inconnue.

Elle possède au moins 13 satellites naturels, dont le plus important est Triton. Ce dernier, composé de glace et de roche, serait l’objet le plus froid du système, avec des températures de surface de -236 degrés Celsius.

Comme Jupiter, Neptune présente une énorme tempête semi-permanente à sa surface : la grande tache sombre.

Elle n’a été visitée que par une sonde, Voyager 2, en 1989.

En septembre 2007, des observations menées à partir du télescope de l’Observatoire européen austral situé au Chili permettent de constater que le pôle Sud de Neptune est beaucoup plus chaud que le reste de l’astre.

Cette caractéristique particulière de la dernière planète du système solaire permettrait au méthane de s’échapper de cette atmosphère dense.

http://ici.radio-canada.ca/

Un hôpital a facturé 52 dollars à un père pour qu’il puisse prendre son nouveau-né dans ses bras


L’explication de l’infirmière est vraiment n’importe quoi ! Comment peut-on facturer un premier contact important pour le papa et l’enfant ! C’est de chercher des sous dans les poches des gens de façon grotesque.
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Un hôpital a facturé 52 dollars à un père pour qu’il puisse prendre son nouveau-né dans ses bras

 

Un couple de nouveaux parents a reçu toute une surprise lorsqu’on lui a remis la facture détaillant les frais du récent accouchement.

Bien que l’on sache déjà que les interventions médicales sont très dispendieuses aux États-Unis, il aurait été difficile de prévoir que le «premier contact» entre papa et bébé puisse se retrouver sur la facture… et au coût de 39,35 $US (52 $CAN).

Premier contact après la césarienne: 39,35 $.

L’image, partagée sur Reddit par le père en question, Ryan Grassley, est rapidement devenue virale.

«La naissance de notre fils a été une expérience généralement positive et le personnel de l’hôpital était incroyable», s’est-il empressé de préciser face aux nombreuses réactions reçues.

«Pendant l’intervention, une infirmière nous a demandé si nous voulions faire un «premier contact» après la naissance du bébé. Bien sûr, n’importe qui aurait dit oui. Aujourd’hui, nous avons remarqué qu’il apparaissait sur la facture», a-t-il ajouté.

ABC7 News rapporte que la nouvelle famille a créé une campagne desociofinancement pour rembourser les frais.

Sur Reddit, une infirmière tente une explication des frais: un tel geste nécessiterait la présence d’une infirmière additionnelle dans la chambre, pour veiller à la sécurité de l’enfant. Peut-être, mais ça surprend quand même…

http://quebec.huffingtonpost.ca/2

Les insectes envahissants affectent durement l’économie mondiale


Les insectes semblent parcourir le monde grâce aux changements climatiques. Cela a un coût qui touche plusieurs secteurs comme la santé, l’agriculture, ….
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Les insectes envahissants affectent durement l’économie mondiale

 

Le longicorne brun de l'épinette fait quelque 5... (PHOTO WIKICOMMONS)

Le longicorne brun de l’épinette fait quelque 5 milliards $ de dégâts par année rien qu’au Canada.

PHOTO WIKICOMMONS

Agence France-Presse
Paris

 

Les insectes envahissants, en pleine expansion sous l’effet des échanges mondiaux et du réchauffement planétaire, font chaque année au moins 100 milliards de $ CAN de dégâts dans le monde, un chiffre largement sous-estimé, selon une étude parue mardi.

Dommages aux biens et services, coûts en matière de santé, pertes agricoles… les impacts des insectes envahissants (proliférant hors de leur milieu naturel) sont nombreux. Et le résultat chiffré de cette évaluation est a minima, soulignent les auteurs de cette synthèse inédite publiée dans Nature Communications.

Sur 100 milliards de $ CAN de dommages, le termite de Formose (Coptotermes formosanus) apparaît comme l’un des plus destructeurs, relève cette équipe pluridisciplinaire impliquant notamment le CNRS, l’Université Paris-Sud et l’Institut de recherche pour le développement (IRD).

Une fois établi, ce termite n’a d’ailleurs jamais pu être éradiqué, et son potentiel établissement en Europe est à craindre avec le changement climatique.

Également en haut du classement, la teigne des choux (Plutella xylostella) coûte 6 milliards de $ CAN par an, et le longicorne brun de l’épinette (Tetropium fuscum) 5,1 milliards de $ CAN, rien qu’au Canada.

Sur la santé, le coût attribuable aux insectes envahissants dépasse 9 milliards de $ CAN annuels (non inclus le paludisme – dont l’essentiel est lié à un moustique présent naturellement – ou le virus Zika). La dengue est la maladie la plus coûteuse (84% des dépenses, rien que pour les zones où ces moustiques sont envahissants). Le virus du Nil occidental en représente 15%.

Cette somme de 100 milliards a été obtenue grâce à quelque 700 articles et rapports, mais de ce fait elle tient peu compte d’espèces et de régions sous-étudiées.

Le calcul n’intègre pas non plus le coût des perturbations générées aux «services» de la nature (par exemple la pollinisation des cultures).

Ainsi «l’extrapolation minimale que l’on peut faire (du coût de ces insectes) serait plutôt de 355 milliards de dollars», indique l’écologue Franck Courchamp, auteur principal et directeur de recherche au CNRS.

Or la situation devrait encore se dégrader avec le réchauffement planétaire: les aires favorables à leur expansion devraient croître de 18% d’ici 2050, si rien n’était fait pour freiner le déréglement climatique, pointe l’étude.

Depuis des milliers d’années, les insectes ont propagé des maladies et généré des dommages aux écosystèmes: ils forment «probablement le groupe le plus «coûteux»» du règne vivant, rappellent les auteurs.

Aujourd’hui environ 10% des insectes introduits dans une nouvelle région s’y implantent, et 10% d’entre eux finissent par y proliférer.

Pour M. Courchamp, outre l’information du public et la lutte climatique, la solution réside dans la «biosécurité», des mesures en amont pour limiter ces invasions : surveillance des cargaisons sensibles en provenance de certaines régions, législations limitant certains exports non contrôlés (par exemple pulvériser d’insecticide certaines cargaisons à risque avant export) etc.

Ce genre de protocoles est en place et très efficace dans certains pays comme les États-Unis ou l’Australie, ajoute le chercheur.

http://www.lapresse.ca/

Enfant : ses dessins parlent de lui


Je suis convaincu qu’on peut apprendre beaucoup dans les dessins d’enfants. Bien sûr, souvent, nous avons besoin d’une explication de l’enfant, mais on peut comprendre comment il se sent par rapport a ce qui l’entoure
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Enfant : ses dessins parlent de lui

 

Chaikom/shutterstock.com

Chaikom/shutterstock.com

Comme les adultes, les enfants n’ont pas tous les mêmes habiletés artistiques. Par exemple, en matière de dessin. Toutefois, l’évolution des réalisations picturales de vos enfants fournit bien des pistes concernant leur développement. Voici comment.

Votre enfant gribouille avec feutres et autres crayons depuis qu’il est tout petit.

Toutefois, « c’est vers 3 ans qu’apparaît vraiment ce qui peut être qualifié de dessin », indique Marcel Rufo, dansElever son enfant. « C’est-à-dire la représentation de ce que l’enfant sait nommer. » A cet âge, « son dessin est toujours sans perspective. Tout est placé sur le même plan et les rapports de taille entre les différents objets sont ignorés », poursuit-il. Et c’est bien normal ! « L’enfant représente uniquement son monde personnel et non pas ce qu’il voit. »

Un dessin évolutif et révélateur

Son premier dessin représentatif d’autre chose qu’un gribouillis sera sans doute un « bonhomme têtard ». Ce bonhomme, composé de deux cercles – pour la tête et le corps – et de traits bâtons figurant les membres, est toujours dessiné de face. Ensuite, « à mesure que les possibilités intellectuelles de votre enfant se développent, le personnage s’agrémente de points ou de petits ronds figurant les yeux, la bouche, le nombril et parfois d’un sexe », explique Marcel Rufo.

Avec les années, le bonhomme devient de plus en plus réaliste.

« A 5 ans, il a une tête, un tronc, des bras et des jambes. A 6 ans, il est habillé différemment selon son sexe et l’enfant le dessine en mouvement, preuve qu’il a compris le rôle des articulations. »

« L’évolution de ce personnage dessiné donne une bonne idée du schéma corporel de l’enfant et tout particulièrement de la perception qu’il a de son corps », souligne le Dr Rufo.

En effet, très logiquement, l’enfant ne peut le représenter que lorsqu’il en a pris conscience et de sa position dans l’espace.

Enfin, les psychiatres et psychologues utilisent souvent le dessin pour comprendre l’enfant et ses éventuelles angoisses ou peurs.

En effet, « le dessin est une expression de l’inconscient par sa forme et par les commentaires qu’en fait son auteur », précise-t-il. « Pour la psychanalyse, il a une valeur de symptômes révélateurs des angoisses et des conflits. »

https://destinationsante.com

Elle meurt après s’être égratigné la main en jardinant


Heureusement, ce genre de cas est très rare, mais peut arriver
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Elle meurt après s’être égratigné la main en jardinant

 

Elle meurt après s'être égratigné la main en jardinant

La femme s’était égratigné la main en jardinant.Photo Fotolia

Lucinda Smith, une mère britannique de deux enfants, est décédée cinq jours après s’être égratigné la main en jardinant, a rapporté le Daily Mail.

La femme de 43 a commencé à ressentir une douleur dans l’épaule quelques jours plus tard et a donc consulté un médecin généraliste, qui lui simplement prescrit des antidouleurs et lui a proposé de relaxer et de consulter un physiothérapeute.

Après trois jours, elle souffrait encore davantage et vomissait, ce qui l’a forcée à retourner à l’hôpital, où des tests sanguins ont révélé qu’elle souffrait d’une septicémie: un empoisonnement du sang pouvant entraîner la mort.

La femme a rapidement pris des antibiotiques et elle a été envoyée aux soins intensifs, où elle est décédée au printemps dernier.

Lucinda Smith avait deux enfants de six et neuf ans.

«Si Lucy avait initialement reçu une prise de sang, je suis convaincue que le résultat aurait été positif pour elle. Megan et George [ses enfants] auraient toujours leur mère», a avoué la soeur de la défunte au Daily Mail.

La septicémie entraîne une défaillance du système immunitaire, qui tente de combattre l’infection. Sans traitement rapide, elle peut mener plusieurs organes à cesser de fonctionner et éventuellement causer la mort.

http://fr.canoe.ca/