Quand on reste l’esprit fermé, on ne peut apprécier les gens, les choses, des événements à leur juste valeur
Nuage
L’esprit ouvert
N’ayez pas peur d’avoir l’esprit ouvert, votre cerveau ne risque pas de tomber
Auteur inconnu
Quand on reste l’esprit fermé, on ne peut apprécier les gens, les choses, des événements à leur juste valeur
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L’esprit ouvert
N’ayez pas peur d’avoir l’esprit ouvert, votre cerveau ne risque pas de tomber
Auteur inconnu
Ce sont des gros chats vraiment magnifiques. Le photographe a bien su mettre en valeur leur félinité
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Voici les gigantesques chats de la race Maine Coon
Le Maine coon est un grand chat, musclé et imposant d’origine américaine.
C’est la race de chat domestique la plus grande et leur apparence est tout simplement magique! Un chat Maine Coon mâle à maturité peut peser jusqu’à 6-8 kg. La race est décrite comme curieuse et docile avec un tempérament stable. Les chats sont très sociables et il n’est pas rare qu’ils aiment barboter dans l’eau et qu’ils apprennent à ouvrir les portes.
Le photographe, Robert Silijka, a récemment choisi de célébrer ces beaux chats Maine Coon et de partager leur beauté avec le monde.
« Mes grandes passions sont les chats et la photographie, et je fais de mon mieux pour combiner ces deux choses du mieux que possible », écrit-il sur son site web.
Un appareil photo qui pouvait se porter au bras comme une montre. Me semble que cela ne devait pas être pratique, mais c’était une innovation à l’époque
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Le Tessina est un appareil photo bi-objectif argentique inventé en 1957 par le chimiste autrichien Rudolph Steineck et fabriqué en Suisse jusqu’en 1996 qui prenait des photos de 14 par 21mm sur du film 35mm classique chargé dans des bobines spéciales.
Sa particularité est que parmi les accessoires fournis avec il y avait un bracelet en cuir qui permettait de le fixer au poignet comme une montre.
Je ne pourrais pas faire ce genre de travail surtout pas pour du chocolat de seconde qualité. Il y a sûrement des gens qui aimeraient être à sa place
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Des scientifiques en chocolat, Cadbury en compte seulement une dizaine dans son équipe. Inutile de préciser que c’est un honneur pour Hayleigh Perks de bosser pour cette entreprise fondée en 1824. © Facebook
« Je ne peux pas imaginer un autre boulot. Manger du chocolat tous les jours me rend folle », précise Hayleigh Perks, une scientifique spécialisée dans le chocolat.
Hayleigh Perks (28 ans) vit avec son compagnon à Birmingham. De peur d’abîmer ses dents, elle n’a pas le droit de manger n’importe quoi. Ce n’est pas une question de santé, mais plutôt une obligation professionnelle. Son employeur a aussi assuré sa langue pour 1 million de livres (environ 1,2 million d’euros).
Son job? Hayleigh Perks est une scientifique spécialisée dans le chocolat. Elle travaille pour Cadbury, une célèbre entreprise anglaise de production de confiseries. Il ne lui suffit que de goûter un petit morceau de chocolat pour connaître ses différents ingrédients. Elle n’a même plus besoin de regarder les étiquettes.
« C’est une chose que j’ai apprise comme scientifique », précise-t-elle dans le Sun.
Un honneur
Des scientifiques en chocolat, Cadbury en compte seulement une dizaine dans son équipe. Inutile de préciser que c’est un honneur pour Hayleigh Perks de bosser pour cette entreprise fondée en 1824.
« Je ne peux pas imaginer un autre boulot. Manger du chocolat tous les jours me rend folle », conclut cette spécialiste en chocolat depuis cinq ans.
Il y a des pays que les malformations font de leur vie, un enfer. La pauvreté est un grand obstacle au bien-être de ces personnes. Heureusement, il y a des gens qui savent donner au suivant
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La vie de Mahendra Ahirwar, un Indien de 13 ans, n’aura été que misère jusqu’à maintenant. Son cas est rare: les muscles de son cou étaient si faibles que sa tête penchait à 180 degrés.
Mahendra ne pouvait que s’asseoir, était incapable de se tenir debout, de marcher. Il avait aussi besoin d’aide pour se nourrir ou pour aller à la toilette. Il restait cloîtré dans la maison. Ses parents en étaient rendus à espérer sa mort, ont-ils confié.
L’histoire de Mahendra a bouleversé une Britannique, à des milliers de kilomètres de chez lui, selon le Daily Mail.
Sept mois plus tard, Mahendra va mieux, et envisage même d’aller à l’école, comme ses frères et soeurs, ce qu’il n’avait jamais pu faire jusqu’à maintenant.
Il est vrai que nous ne pouvons probablement pas empêcher les changements climatiques qui sont maintenant des faits que nous vivons, mais nous pouvons et nous devons faire des efforts pour diminuer l’impact pour nos descendants
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Indonésie, octobre 2013. REUTERS/Sigit Pamungkas
Moisés Naím
Traduit par Micha Cziffra
Le sud de l’Europe ressemblerait au Sahara et le désert africain s’étendrait vers le sud. La neige disparaîtrait de la chaîne de l’Himalaya. La mousson de l’Inde serait modifiée…
Pour vous, une augmentation de quatre degrés Celsius de la température ambiante n’a pas de conséquences graves. Mais pour la planète, un réchauffement moyen de 4°C est catastrophique. Et, à la lumière des preuves scientifiques dont nous disposons aujourd’hui, nous courons au désastre si nous ne faisons rien pour l’éviter.
Selon Nicholas Stern, l’un des spécialistes les plus respectés dans le domaine du changement climatique:
«A moins que des mesures draconiennes ne soient prises, il est fort probable que d’ici environ un siècle, le monde soit en moyenne plus chaud de quatre degrés qu’à la fin du XIXe siècle [avant le début de l’industrialisation]. Cette augmentation de la température ainsi que d’autres changements climatiques liés à ce phénomène altéreront la relation des humains avec la planète, en particulier leurs styles de vie et les régions où ils habitent.»
Stern explique que depuis dix millions d’années, la planète n’a jamais connu une telle hausse de sa température. Et les êtres humains, apparus sur Terre il y a seulement 250.000 ans, n’ont jamais vécu dans un monde avec quatre degrés de plus. En fait, au cours des 8.000 dernières années, la température moyenne de la planète est restée quasi constante, n’oscillant en moyenne qu’entre 1°C et 1,5°C.
Cette stabilité du climat a rendu possibles la culture de céréales, l’agriculture sédentaire et l’installation des populations dans des villages et des villes.
L’enfer du réchauffement
A partir d’une compilation des études scientifiques les plus poussées, Stern brosse l’effrayant tableau d’un monde plus chaud de quatre degrés: le sud de l’Europe ressemblerait au Sahara et le désert africain s’étendrait vers le sud, avec des effets dévastateurs dans des pays comme le Nigeria.
La neige disparaîtrait de la chaîne de l’Himalaya, un paramètre qui modifierait aussi bien le lit que le débit des cours d’eau dont dépendent plus de deux milliards de personnes.
Le continent américain ne serait pas épargné, en particulier dans les Andes et les montagnes Rocheuses. Cette fonte des neiges provoquerait, entre autres, des pénuries chroniques d’eau dont souffriraient de nombreuses populations. De plus, la mousson du nord de l’Inde, qui conditionne l’activité agricole de centaines de millions de personnes, changerait radicalement, entraînant des migrations massives et des modifications fondamentales au niveau des modèles de production et de consommation des céréales, grains et légumes.
Des millions d’écoréfugiés avant la fin du siècle!
Des forêts comme celle du bassin amazonien seront frappées par la désertification et par la disparition de milliers d’espèces qui ne résisteront pas au nouveau climat. Les phénomènes climatiques extrêmes caractérisés par des vents très violents –ouragans, tempêtes et cyclones– deviendront plus fréquents.
La mer montera: il y a trois millions d’années, alors qu’il faisait sur la planète trois degrés de plus qu’au XIXe siècle (préindustriel), le niveau de la mer était supérieur de vingt mètres à ce qu’il est aujourd’hui. Une augmentation de deux mètres par rapport à son niveau actuel déplacerait 200 millions de personnes. Cet impact du réchauffement pourrait se produire avant la fin de ce siècle…
Votre réaction après avoir lu tout ce qui précède? Elle entre probablement dans l’une de ces trois catégories:
1.Négation et scepticisme
«Il n’y a pas de réchauffement planétaire. C’est exagéré. Ce sont des spéculations, on n’est pas sûr que cela arrivera vraiment. Les changements de température sont des fluctuations normales, et non le résultat des activités humaines. Notre modèle de développement a aussi des conséquences positives qui compensent ses effets indésirables.»
2.Cela arrivera dans très longtemps
«Je ne serai pas là pour en subir les conséquences.»
3.Fatalisme et impuissance
«Je n’y peux rien. Les tendances sont irréversibles ou, en tout cas, les renverser exige des efforts que personne ne fera. Les gouvernements n’agissent pas.»
La première de ces réactions (le scepticisme) néglige le fait que 97% des articles scientifiques concluent que la planète se réchauffe du fait des activités humaines. Elle ignore aussi que 40 fondations reçoivent 900 millions de dollars par an de la part de secteurs qui ont intérêt à répandre le doute au sujet du changement climatique.
La deuxième réaction («cela prendra beaucoup de temps») ne tient pas compte du fait que le processus s’est emballé, que les impacts négatifs existent déjà et qu’ils s’aggraveront dans un laps de temps relativement court. La majorité des scientifiques estiment qu’une simple hausse de deux degrés entraînerait déjà des changements catastrophiques et que si nous n’inversons pas la tendance, cette augmentation se produira en 2036.
Enfin, partir du principe que nous ne pouvons rien y faire, c’est la meilleure garantie que rien ne sera fait! Même si c’était vrai, regarder passivement la planète courir tout droit à la catastrophe est une attitude inadmissible. Il y a bien une chose très importante et très simple que nous pouvons faire: nous résoudre à ne pas être indifférents face à ce danger.
Les chevaux avaient les qualités requises pour être domestiqués alors que les zèbres malgré leur grande ressemblance sont indociles pour plusieurs raisons
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Zebra, Lake Mburo National Park, 2014 | snarglebarf via Flickr CC License by
Carol Hall
Le zèbre et l’âne sont plus proches entre eux que l’âne ou le zèbre ne le sont du cheval.
Les zèbres ressemblent à des chevaux à bien des égards (ou plutôt à des poneys, vu leur taille). Pourtant, les chevaux ont été domestiqués, tandis que les zèbres sont restés sauvages, car il existe des différences fondamentales entre ces deux animaux. Alors, comment les zèbres sont-ils parvenus à éviter le destin de bêtes de somme ou de bêtes de course? Et qui s’en sort le mieux aujourd’hui, du cheval ou du zèbre?
Évidemment, les humains ont tenté de monter et de faire galoper les zèbres, à la fois par attrait de la nouveauté et en raison de leurs apparentes similitudes avec les chevaux. Le film de 2005, Racing Stripes («Courses de rayures») raconte ainsi l’histoire d’un jeune zèbre qui veut participer à des courses de chevaux –sauf que les réalisateurs ont dû tourner certaines scènes avec un cheval pour doubler le zèbre (à l’image, c’est la queue qui trahit le cheval).
Un ancêtre commun
La crinière et la queue du zèbre ressemblent davantage à celles des ânes, ce qui reflète l’évolution du gène Equus. Même si les chevaux, les ânes et les zèbres ont un ancêtre commun, l’Hyracotherium, qui vivait en Europe et en Amérique du Nord il y a 55 millions d’années, les divergences dans leurs gènes montrent que le zèbre et l’âne sont plus proches entre eux que l’âne ou le zèbre ne le sont du cheval.
Les équidés nord-américains (les équidés désignant la famille des chevaux) ont disparu il y a 8 à 10.000 ans de cela. En Europe comme en Asie, l’homme du paléolithique a parcouru les plaines pour chasser sans relâche les troupeaux de chevaux sauvages. Le changement climatique, le boisement et la chasse ont progressivement repoussé les animaux vers les zones semi-désertiques d’Asie centrale.
L’ancêtre sauvage du cheval domestique (Equus ferus) a été apprivoisé pour la première fois à l’ouest de la steppe eurasienne, zone où l’on a retrouvé les premières traces archéologiques de sa domestication. Des études récentes montrent également que les chevaux sauvages venaient grossir les rangs des troupeaux de chevaux domestiqués, tandis qu’ils s’éparpillaient dans toute l’Eurasie.
Chevaux à tout faire
Les chevaux ont d’abord été domestiqués pour leur viande, mais leur immense potentiel pour le transport, la communication et la guerre en ont rapidement fait des alliés importants du développement de la civilisation. En Mongolie, le pays du cheval, c’est sur son fier destrier que le légendaire guerrier Gengis Khan a conquis des terres qui s’étendaient de la Hongrie à la Corée et de la Sibérie au Tibet, au XIIIe siècle.
Alors, si le cheval a joué un rôle si important dans notre civilisation, pourquoi n’est-ce pas le cas du zèbre ? Les premiers humains sont apparus sur le continent africain, il paraît donc étonnant qu’ils n’aient pas cherché à exploiter le potentiel du zèbre, qui vivait dans les parages.
Contrairement aux équidés eurasiens, cependant, la population de zèbres africains était relativement protégée et particulièrement adaptée à son environnement. Tous les équidés sont des herbivores, et en tant que proies, ils ont tous développé une réaction puissante en cas de danger: ils fuient, ou ils se battent. Afin de survivre dans un environnement peuplé de grands prédateurs tels que le lion, le guépard et la hyène, le zèbre est devenu un animal très vif et très réactif capable de s’enfuir quand il est confronté au danger et qui sait aussi se défendre vigoureusement s’il est capturé.
Des ruades et des morsures
La ruade d’un zèbre peut casser la mâchoire d’un lion. Le zèbre peut aussi infliger desmorsures terribles et possède un réflexe d’esquive qui empêche quiconque de l’attraper au lasso: autant de puissantes réactions d’évitement qui ont peut-être été favorisées par la familiarité des zèbres avec les chasseurs-cueilleurs.
En somme, le zèbre n’est pas très porté sur l’espèce humaine, et il ne répond pas aux critères requis pour la domestication d’une espèce animale. Selon l’explorateur et savant Francis Galton (un parent de Charles Darwin), ces critères incluent que l’animal ait un certain goût du confort, qu’il soit facile de s’en occuper, qu’il soit utile à l’homme et qu’il en apprécie la compagnie.
Pour Galton, le zèbre est l’exemple type de l’espèce impossible à domestiquer. Il indique que les Boers, en Afrique du Sud, ont essayé plusieurs fois de harnacher des zèbres. Même s’ils y sont parvenus quelquefois, la nature sauvage et têtue de l’animal déjouait la plupart de leurs tentatives.
Libres mais menacés
Bien qu’il semble possible de domestiquer un zèbre isolé, cette espèce n’est pas une bonne candidate à la domestication. Outre la nature intraitable du zèbre et son puissant instinct de survie, le fait qu’il soit un «aliment pour lion» l’a peut-être rendu moins attrayant aux yeux des premiers humains.
La domestication et l’élevage sélectif ont certainement transformé les caractéristiques physiques et comportementales du cheval qui, à l’origine, était sans doute plus petit, plus sauvage et plus proche du zèbre que le cheval d’aujourd’hui.
Et même si les chevaux travaillent dur, vivent dans des environnements plus urbanisés que les zèbres et font ce que leur propriétaire leur demande, ils vivent en sécurité et jouissent d’un certain confort. En réalité, la domestication les a sauvés de l’extinction. En tant que stratégie de survie, la domestication a même très bien marché pour la population de chevaux, qui atteint désormais 60 millions d’individus.
De leur côté, les zèbres sont aujourd’hui moins de 800.000, les humains étant la plus grande menace pour leur survie. La liberté leur a coûté cher.