Les enfants malades, ces guerriers


Les enfants malades sont souvent plus forts que les adultes. Ils sont prêts à lutter contre l’adversité malgré les handicaps, les maladies, les traitements …
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Les enfants malades, ces guerriers

 

 

C’est une vidéo qu’a réalisé une association canadienne en hommage à tous les enfants qui se battent avec force et courage contre une maladie.

« Les enfants malades ne sont pas faibles », c’est le message fort de cette vidéo coup de poing réalisée par le SickKids Foundation.

Au rythme de la chanson du rappeur Donnie Daydream « Undeniable », les enfants se préparent au combat. Une lutte qu’ils mènent contre le cancer, contre le temps, contre la douleur, contre la maladie, contre le handicap.

On découvre de vrais petits guerriers enfiler leur tenue de combat, donner des coups, boxer, envahir le champ de bataille et se battre contre leur maladie.

Une vidéo utile qui change des images souvent touchantes d’enfants malades, affaiblis et attendrissants. Une manière de rendre hommage à ceux qui se battent au quotidien avec courage et détermination.

http://www.7sur7.be/

Le Saviez-Vous ► Une collection d’anciennes illustrations médicales


Les anciennes images médicales, un petit côté glauque, alors que la botanique et les animaux semblent un peu irréels
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Une collection d’anciennes illustrations médicales

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Squelettes de foetus – RUYSCH, Fredrik (1638-1731)

La Hagströmer Medico-Historical Library fondée en Suède pour préserver des ouvrages anciens sur l’histoire de la médecine a sur son site toute une collection de vieilles illustrations médicales, biologiques et naturalistes plus fantastiques les unes que les autres.

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Enfant louchant avec une capuche de correction – Bartisch, Georg (c. 1535-1606)

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Cellules nerveuses – GOLGI, Camillo (1843-1926)

 

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Naissance – SIEGEMUNDIN, Justine (1650-1705)

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Anémones de mer – AECKEL, Ernst (1834-1919)

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Magazine pour les amoureux des fleurs – PFEIFFER, August (1777-1842)

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BOURGERY, Jean-Baptiste (1797-1849)

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Chenille – LEDERMÜLLER, Martin Frobenius (1719-1769)

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Cellules nerveuses – RAMÓN Y CAJAL, Santiago (1852-1934)

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BARTISCH, Georg (c. 1535-1606)

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Microscope – LEDERMÜLLER, Martin Frobenius (1719-1769)

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Lymphe et vaisseaux sanguins dans la peau humaine – RETZIUS, Gustaf (1842–1919) & KEY, Axel (1832–1901)

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Soldat blessé – OTIS, George Alexander (1830-1881)

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Examen obstétrique – MAYGRIER, Jacques Pierre (1771-1835)

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Nausée

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ROQUES, Joseph (1771-1850)

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RUETE, Christian Georg Theodor (1810-1867)

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Georg Constantin d’Albanie – BÄRENSPRUNG, Friedrich Wilhelm Felix von (1822-1864) & HEBRA, Ferdinand von (1816-1880)

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Batraciens – HAECKEL, Ernst (1834-1919)

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Des couches de cellules dans l’embryon – HAECKEL, Ernst (1834-1919)

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Garçon avec éléphantiasis – ALIBERT, Jean Louis (1768–1837)

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Colibris – HAECKEL, Ernst (1834-1919)

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Ephélide Lentiforme – ALIBERT, Jean Louis (1766–1837)

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Muscles – BERRETTINI, Pietro da (1596-1669)

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Main mécanique artificielle – PARÉ, Ambroise (1510-1590)

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Plique multiforme – Jean Louis (1766–1837)

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Maladie mentale – ESQUIROL, Jean-Etienne-Dominique (1772-1840)

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Rhinoceros – GESNER, Konrad (1516-1565)

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Muscles – SPIEGEL, Adriaan van de (1578-1625)

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Squelette – ESTIENNE, Charles (1504–1564) & RIVIÈRE, Estienne de la (d. 1569)

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Choléra – BAUMGÄRTNER, Karl Heinrich (1798-1886)

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« Cupping »

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La première victime connue d’un boomerang nous rappelle que c’est une arme redoutable


Le boomerang est une chose que j’aimerais bien essayer comme jeu et non comme arme. Car au début, ce fût un outil de combat très efficace
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La première victime connue d’un boomerang nous rappelle que c’est une arme redoutable

 

Le leader aborigène de la tribue Buddgeti, Max Eulo, en Australie. (Torsten Blackwood/ AFP)

Le leader aborigène de la tribue Buddgeti, Max Eulo, en Australie. (Torsten Blackwood/ AFP)

Repéré par Valerie Dekimpe

Il s’agit d’un aborigène qui aurait subi une attaque il y a plus de 700 ans. Cette découverte rappelle qu’avant d’être un jouet, le boomerang était une arme.

La première victime connue d’un boomerang n’est pas un malheureux joueur percuté accidentellement sur la plage. C’est Kaakutja, un aborigène australien mort il y a environ 700 ans, affirment les chercheurs qui étudient son squelette.

Les restes de cet homme ont été retrouvés enterrés dans le parc national de Toorale, dans le sud-ouest de l’Australie, en 2014. Il a d’abord semblé qu’il s’agissait d’un aborigène victime de la colonisation Britannique, rapporte le New York Times. Certains historiens estiment en effet qu’entre 1820 à 1900, au moins 65.000 aborigènes ont été tués par les colonisateurs. Mais, en octobre 2016, une équipe d’archéologues australiens dévoile que Kaakutja aurait été frappé au visage par une arme en bois. Et que les coups auraient été portés entre 1305 et 1525, soit avant l’arrivée des colonisateurs Européens.

L’arme du meurtre ne pourrait donc qu’être un lil-lil, une massue en bois aborigène, ou bien un boomerang, dont la forme arquée correspondrait d’avantage aux blessures identifiées sur les os de Kaakutja.

«C’est la première fois qu’on trouve des preuves indiquant qu’une personne a probablement été tuée par un boomerang de combat, affirme au New York Times le chargé de projet, Michael Westaway, paléoanthropologue à l’université Griffith du Queensland, en Australie. Ces armes en bois laissent des marques de traumatisme semblables à celles des armes en métal; c’était inattendu.»

Les chercheurs pensent que Kaakutja fut attaqué par surprise et frappé sur le côté droit du visage ce qui lui a sans doute fait perdre l’œil. Il a ensuite reçu un deuxième coup dans les côtes, le faisant chuter, avant de subir une dernière frappe violente au bras, qui a tranché son os.

«Utilisée comme une massue pour se battre, le boomerang devient essentiellement une hache de combat; il s’agissait sans doute d’une arme redoutable», conclut Westaway.

Détourné de son objectif initial 

Le côté fonctionnel du boomerang s’est lentement effacé au profit de sa dimension ludique. L’explorateur anglais William Dampier est le premier européen à avoir laissé une trace écrite de l’existence du boomerang, en 1688, même si d’autres affirment que le pharaon Toutânkhamon possédait une vaste collection de boomerangs il y a 1000 ans. Ce n’est qu’après l’arrivée en grand nombres de colonisateurs anglais dans la baie de Sydney que l’outil aborigène commence à se répandre dans le monde occidental, fascinant les foules par sa capacité à revenir vers le lanceur.

«Les cannes et les parapluies ne sont plus à la mode; même en cette saison de pluie les hommes n’emportent rien d’autre qu’un boomerang», écrit le magasine de l’université de Dublin en 1838.  

Avec les années, l’arme est devenu un objet de distraction:

«Au fil des années, son objectif originel a été déformé. La plupart d’entre nous continuent à voir le boomerang comment une « curiosité ethnologique » –une invention brillante des aborigènes mais inutile, perçu avant tout comme un jouet et une icône», explique le musée australien de Sydney.

Or s’il est bien utilisé, il peut être mortel, et quelques aborigènes contemporains continuent d’ailleurs à se servir du boomerang comme arme de chasse.

http://www.slate.fr/

Mesdames, la longueur de vos doigts dit beaucoup de votre sens de l’orientation


Bon, mon index n’est pas plus court que mon annulaire donc, il est normal que je me perde dans un verre d’eau, n’ayant pas un grand sens de l’orientation
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Mesdames, la longueur de vos doigts dit beaucoup de votre sens de l’orientation

 

Déterminer la personnalité de quelqu’un en observant les doigts de sa main. Qui n’a jamais, enfant, tenté l’exercice, en inventant n’importe quoi? Ne riez pas, on peut apprendre beaucoup de choses en s’intéressant aux doigts d’une personne. C’est ce que montre une étude norvégienne publiée en octobre 2016 dans la revue Behavioural Brain Research.

Les chercheurs de la Norwegian University of Science and Technology (NTNU) ont mesuré les doigts des mains de 42 femmes, plus précisément leur index et leur annulaire, avant de leur faire faire quelques exercices mentaux. Pourquoi ces deux doigts? Parce que les gens dont l’index est plus court que l’annulaire auraient été plus exposés à la testostérone dans l’utérus de la mère et que c’est cette hormone, finalement plus que les doigts, qui intéresse les chercheurs.

Une question de testostérone

À la moitié de ces 42 femmes, Carl Pintzka, les chercheurs ont administré une goutte (0,5 mg) de testostérone. À l’autre moitié, un placebo. Puis ils leur ont demandé de résoudre un certain nombre d’exercices de logique et d’orientation dans l’espace.

Elles devaient par exemple naviguer (virtuellement) dans un labyrinthe ou faire pivoter mentalement des objets en 3D. Afin de pouvoir observer leur activité cérébrale, ces femmes étaient placées sous IRM.

Il s’est avéré que les femmes réussissant mieux ces exercices étaient les femmes ayant reçu une goutte de testostérone. Et en allant un peu plus loin, que ce sont celles supposées avoir été exposées à plus de testostérone in utero (ayant un index plus court que l’annulaire donc) qui ont encore mieux réussi que les autres.

Dépression, anxiété…

Mesdames, regardez donc vos doigts, si votre index est plus court que votre annulaire, il y a de fortes chances pour que vous ayez été exposées à plus de testostérone que la moyenne in utero et donc que vous ayez un meilleur sens de l’orientation.

Mais ce n’est pas la seule caractéristique que l’on peut déduire de la taille des doigts de la main. Les chercheurs précisent en effet qu’un taux d’exposition élevé à la testostérone dans l’utérus est également lié à une meilleure condition sportive. Mais aussi à des risques de développer des troubles du déficit de l’attention, une dépression, de l’anxiété, comme de précédentes recherches l’ont démontré.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Une hôtesse de l’air n’a pas cru une passagère qui se présentait comme médecin parce qu’elle était noire


Je suis surprise qu’aujourd’hui qu’on puisse difficilement croire qu’une personne de couleur soit médecin. La médecine n’est pas le territoire des blancs. Nous sommes en 2016, est ce qu’on peut évoluer ?? Est-ce possible ?
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Une hôtesse de l’air n’a pas cru une passagère qui se présentait comme médecin parce qu’elle était noire

 

Open-heart theater | Mustafa Khayat via Flickr CC License by

Open-heart theater | Mustafa Khayat via Flickr CC License by

Repéré par Claire Levenson

Dans un avion aux États-Unis, une hôtesse de l’air a refusé l’aide d’une médecin parce qu’elle était noire. L’anecdote a donné naissance au hashtag #WhataDoctorLooksLike.

Lorsqu’un passager a fait un malaise dans un vol allant de Detroit à Minneapolis, Tamika Cross, une jeune gynécologue-obstétricienne, a proposé d’aider. Mais, dans un post publié sur Facebook, Cross a expliqué que l’hôtesse de l’air a refusé son aide, ne semblant pas croire qu’elle était qualifiée. L’hôtesse a ensuite demandé à voir son certificat de médecine, et c’est un médecin blanc qui a fini par assister le patient (et demandé des conseils à Cross).

Tamika Cross, qui effectue sa résidence dans un centre médical de Houston au Texas, accuse désormais le personnel de la compagnie aérienne Delta de discrimination. La compagnie a déclaré qu’une enquête était en cours, et que le personnel demandait en général à voir des documents prouvant les qualifications des docteurs. Selon Cross, l’hôtesse s’est ensuite excusée et lui a proposé des miles gratuits en guise de dédommagement.

L’anecdote de Tamika Cross, postée sur sa page Facebook, a généré plus de quatorze mille commentaires, la plupart écrits par des professionnels noirs dont les qualifications étaient régulièrement remises en question de façon similaire.

À quoi ressemble un docteur?

Interviewée par le New York Times, Cross a expliqué que, sur son lieu de travail, il lui arrivait souvent d’être prise pour une infirmière ou une aide-soignante. En utilisant le hashtag #WhataDoctorLooksLike (ce à quoi ressemble un docteur), de nombreuses docteures afro-américaines ont partagé leurs photos ainsi que des récits similaires de discrimination.

«Non, je ne suis pas une infirmière, ni chargée de l’équipement et de l’alimentation, ni une aide-soignante. Je suis votre obstétricienne gynécologue.»

Dans Slate.com, Jennifer Conti, qui est obstétricienne et journaliste, explique qu’en tant que femme d’origine latin0-américaine, elle a aussi souvent été prise pour une infirmière. 

«Mais ce n’est rien comparé à une ancienne collègue noire avec laquelle j’ai fait ma résidence, explique Conti. Elle portait toujours sa blouse blanche mais les patients lui demandaient fréquemment de venir prendre leurs plateaux de nourriture et leurs déchets.»

Sur le blog BlackDoctor.org, une dermatologue noire explique qu’il arrive que des patients à l’hôpital demandent à «voir le docteur», comme s’il était inimaginable qu’elle-même soit médecin. La jeunesse rentre également en compte dans ces préjugés, mais la couleur de peau n’arrange pas les choses. Il faut dire qu’aux États-Unis, si environ 12% de la population est noire, seulement 4% des docteurs le sont. Beaucoup d’Américains n’ont donc jamais vu de docteur afro-américain et peuvent penser qu’à l’hôpital, le personnel noir est peu qualifié. Un préjugé raciste donc.

http://www.slate.fr/

Gare aux «pilules miracles» pour maigrir


Tout produit naturel ou même des médicaments vendu sans ordonnance devrait nous questionner sur ce que nous attendons des produits. Nous devrions avoir une attention particulière de ce que contiennent les comprimés (ou autres formes)
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Gare aux «pilules miracles» pour maigrir

 

Santé Canada autorise des produits naturels dits «amaigrissants», mais il faut faire attention à ne pas croire aveuglément toutes leurs promesses.

«Oui, il y a des substances qui vont aider, mais il n’y a rien qui va faire maigrir quelqu’un qui ne veut pas maigrir, dit le pharmacien Jean-Yves Dionne. Si vous ne changez pas votre alimentation, laissez faire. Peu importe la pilule que vous allez prendre, vous n’aurez pas de résultat.»

Santé Canada se penche sur la sécurité des produits plus que sur leur efficacité. L’Association de la santé publique du Canada a lancé dernièrement une campagne pour dénoncer les produits pour lesquels les publicités sont frauduleuses ou exagérées.

«Quand c’est trop beau pour être vrai, laissez faire. Quand les produits sont associés à des régimes impossibles à tenir, en bas de 1500 calories par jour, quand on vous dit que vous ne reprendrez pas de poids ou que vous allez maigrir sans effort», il faut se méfier, souligne M. Dionne.

Le pharmacien explique que les produits en vente libre sont sécuritaires, dans une utilisation normale, mais qu’il faire attention aux substances qui les composent.

Il donne l’exemple de la caféine qu’on retrouve aussi sous le nom de guarana ou son nom chimique, la méthylxanthine. Quand on dépasse la dose en l’ignorant, c’est à ce moment que ça peut devenir dangereux.

http://fr.canoe.ca/