Washington approuve des «bombes au cyanure» anti-prédateurs


Des pièges au cyanure ont été interdits l’a dernier aux États-Unis quand un enfant a été blessé et son chien fût tué.Des pièges au cyanure ont été interdits l’a dernier aux États-Unis quand un enfant a été blessé et son chien fût tué. Alors comment les autres animaux qui doivent être protégé peuvent éviter ses pièges ? Ils ne peuvent pas et sont donc victime de ces pièges
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Washington approuve des «bombes au cyanure» anti-prédateurs

PHOTO REUTERS

Les pièges M-44 ont tué 6579 animaux en 2018, dont plus de 200 n’étaient pas initialement visés.

(Washington) Les autorités américaines ont donné leur feu vert à l’utilisation de pièges très controversés au cyanure de sodium destinés à tuer renards, coyotes et chiens sauvages, une décision immédiatement condamnée par les défenseurs de l’environnement.

AGENCE FRANCE-PRESSE

Enfoncés dans le sol, les pièges M-44 projettent un nuage létal de cyanure de sodium lorsqu’un animal en mord l’extrémité, équipée d’un appât. 

L’Agence fédérale de protection de l’environnement (EPA) avait suspendu leur utilisation l’an dernier après que l’un de ces pièges eut blessé un enfant et tué son chien dans l’Idaho. La famille avait porté plainte.

Au terme d’une valse-hésitation sur la question, la nouvelle autorisation d’utilisation a été annoncée jeudi est assortie de conditions plus draconiennes.

Sont notamment rendus obligatoires des distances tampon autour d’habitations et de voies publiques ainsi que la présence de panneaux d’avertissement.

Ces restrictions n’ont toutefois pas apaisé les associations de défense de l’environnement. 

«Cette décision consternante laisse des pièges au cyanure dissimulés dans la nature qui mettent en danger les personnes, les animaux de compagnie et les espèces menacées», a dénoncé jeudi dans un communiqué Collette Adkins, du Center for Biological Diversity.

«L’Agence de protection de l’environnement (EPA) trahit son devoir fondamental de protection du public, des animaux domestiques et sauvages face à l’impact cruel et mortel des bombes au cyanure», a de son côté déploré Kelly Nokes, avocate au Western Environmental Law Center. 

Le département de l’Agriculture a lui au contraire assuré que les pièges M-44 protégeaient des prédateurs «le bétail et les espèces menacées et en voie de disparition» et empêchaient «la propagation de maladies». 

Le président de l’Association de l’industrie ovine américaine, Benny Cox, a lui rappelé que les prédateurs causaient chaque année plus de 232 millions de dollars de pertes aux éleveurs. 

Selon des données gouvernementales, ces pièges ont tué 6579 animaux en 2018, dont plus de 200 n’étaient pas initialement visés, parmi lesquels des opossums, des ratons-laveurs et un ours.

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L’administration Trump lève l’interdiction des «bombes de cyanure»


L’an dernier, ces pièges de cyanures avaient été interdits suite à des blessures sur un enfant et la mort de son chien, ainsi que des animaux non ciblés Aujourd’hui, le gouvernement l’autorise de nouveau, pour éliminer les renards, coyotes et chiens sauvages. Avec des restrictions comme installées des panneaux d’avertissement pour éviter les autres animaux non ciblés, comme s’ils savaient lire !!! Sans parler des dégâts a l’environnement.
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L’administration Trump lève l’interdiction des «bombes de cyanure»

Selon des données gouvernementales, ces pièges ont tué... (PHOTO ASSOCIATED PRESS)

Selon des données gouvernementales, ces pièges ont tué 6579 animaux en 2018, dont plus de 200 n’étant pas destinés à être abattus, parmi lesquels des opossums, des ratons-laveurs et un ours.

PHOTO ASSOCIATED PRESS

Agence France-Presse
Washington

L’administration du président américain Donald Trump a levé l’interdiction, malgré l’opposition de groupes de défense de l’environnement, de pièges empoisonnés au cyanure de sodium destinés à tuer renards, coyotes et chiens sauvages.

Les pièges M-44, surnommés « bombes de cyanure », sont surtout utilisés par des agences fédérales. D’aspect semblable à des arroseurs automatiques, ils projettent du cyanure de sodium lorsqu’un animal en mord l’extrémité, équipée d’un appât. 

Le gouvernement avait suspendu leur utilisation l’an dernier après que l’un de ces pièges eut blessé un enfant et tué son chien dans l’Idaho. La famille avait alors porté plainte. 

Annoncée cette semaine dans le registre fédéral américain, la levée de l’interdiction des pièges M-44 a provoqué la colère de groupes de défense de l’environnement. 

« Ils sont incroyablement dangereux pour les gens, leurs animaux de compagnie et les espèces menacées. Trop dangereux pour être utilisés », a dénoncé jeudi auprès de l’AFP Collette Adkins, de l’association Center for Biological, basée dans l’Arizona.

Elle accuse « l’industrie de l’élevage intensif » d’avoir fait pression sur l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA) pour que les pièges M-44 soient à nouveaux autorisés. 

Selon des données gouvernementales, ces pièges ont tué 6579 animaux en 2018, dont plus de 200 n’étant pas destinés à être abattus, parmi lesquels des opossums, des ratons-laveurs et un ours.

« Ces chiffres minimisent grandement la réalité », estime le Center for Biological Diversity dans un communiqué. 

L’EPA a accompagné la levée de l’interdiction des pièges M-44 de certaines conditions. Ils ne doivent notamment pas être installés à moins de 30 mètres d’une route et doivent être signalés par un panneau d’avertissement

Ce qui ne devrait pas empêcher les morts d’animaux non ciblés.

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Le Saviez-Vous ► 15 aliments qui pourraient vous tuer


Beaucoup d’aliments sont sans danger, mais certains le sont moins, même les plus connus. Souvent, c’est manger en grosses quantités ou mal apprêtés qui peuvent devenir un vrai poison. Il y a aussi des aliments que certaines parties doivent être évitées.
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15 aliments qui pourraient vous tuer

 

Aliments dangereux : le fugu est un poisson mortel.

Par Sophie Tremblay

Regardez bien votre assiette : contient-elle des aliments qui peuvent nuire à votre santé et même… vous tuer? Sans être alarmiste, soyez vigilant à face à ces aliments.

 

Aliments dangereux : attention au durian.

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Durian

Le durian est un fruit exotique à l’allure étrange que l’on retrouve en Asie. Il faut savoir que ce fruit dégage une horrible odeur de fromage fermenté ou de poubelle qui devrait vous décourager de le manger. Mais si ce n’est pas le cas, il ne faut surtout pas le mélanger avec de l’alcool. Ce mélange pourrait être fatal, car la teneur en soufre du durian bloque une enzyme qui protège votre foie contre les substances toxiques de l’alcool.

Aliments dangereux : consommez la muscade en quantité raisonnable.

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Muscade

Eh oui, la muscade dont l’odeur nous rappelle le temps des Fêtes et le pain d’épice pourrait être sérieusement dangereuse si vous la consommez en grande quantité. Elle est notamment reconnue pour ses vertus euphorisantes, et même aphrodisiaques. Les effets secondaires d’un surdosage, répertoriés par Radio-Canada, comprennent de violents maux de tête, des vomissements et même des convulsions. D’autres sources évoquent un état narcotique, une augmentation du rythme cardiaque, une déshydratation, des vertiges, etc.

Aliments dangereux : ne mangez pas de noyau de cerise.

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Noyau de cerise

Quand vous mangez des cerises, vous ne vous doutez pas que le noyau de ce fruit si savoureux pourrait être mortel… si vous l’avalez! En effet, le site FranceSoir rapporte que les noyaux de cerise contiennent une substance qui, une fois ingérée, génère du cyanure, un poison mortel. Même si une dose mortelle demandait la consommation de 25 grammes de noyaux de cerise, il y a tout de même des risques d’effets secondaires peu agréables comme une élévation de la température corporelle, des maux de tête, des nausées, des vomissements, etc. Les noyaux d’abricots, de pêches et de prunes sont aussi à proscrire.

Aliments dangereux : le fugu est un poisson mortel.

Kankitti Chupayoong / Shutterstock

Fugu

Ce ne sont pas des histoires inventées : il existe bel et bien un poisson aussi adoré que mortel au Japon. Le fugu – ou poisson-globe – est un mets recherché au Japon, mais il reste qu’il est très dangereux. C’est que, mal apprêté il pourrait causer la mort. Comme le rapporte le National Geographic, il cache dans son foie et dans ses ovaires de la tétradoxine pouvant paralyser les muscles de celui qui le consomme et provoquer un arrêt respiratoire.

Toutefois, L’Express rapporte que certains chefs japonais disent que les effets de sa consommation sont largement exagérés et s’apparenteraient plutôt à ceux du gaz hilarant, mais en 7000 fois plus fort. Quoi qu’il en soit, Madame Figaro l’a surnommé la « roulette russe des mers » et cette appellation lui va assez bien!

Aliments dangereux : assurez-vous de bien faire cuire les racines de manioc.

AN NGUYEN / Shutterstock

Racine de manioc

Ce légume racine s’appelle aussi yucca, mais, peu importe son nom, il faut le manger cuit. En fait, sa cuisson est essentielle et non négociable. Autrement, vous ingèreriez la toxine du glycoside cyanogène qu’il contient comme le rappelle l’Agence canadienne d’inspection des aliments. C’est la même chose avec les pousses de bambou qui doivent être cuites pour être mangées.

Aliments dangereux : mangez de la carambole en petite quantité seulement.

P-fotography 7 / Shutterstock

Carambole

Le goût légèrement acidulé de la carambole ajoute une touche spéciale à vos salades de fruits. Sa forme d’étoile charme. Mais saviez-vous que ce fruit ne doit pas être surconsommé? Elle peut être très toxique à haute dose, comme le rapporte le magazine Marie Claire. L’acide oxalique qu’elle contient peut causer des dommages aux reins et au cerveau et même causer une encéphalopathie ou un arrêt cardio-respiratoire.

Aliments dangereux : les hot dogs constituent la première source d'étouffement chez les enfants de moins de dix ans.

PosiNote / Shutterstock

Saucisse

Les hot dogs seraient les aliments qui causeraient le plus de décès par étouffement chez les enfants de moins de dix ans selon une étude publiée dans la revue Pediatrics et rapportée par La Presse. En effet, 17 % des morts par étouffement seraient causées par des hot dogs. Faites attention en les mangeant… surtout avec de jeunes enfants. Parmi les autres aliments appréciés des enfants qui sont à surveiller, on trouve les bonbons durs, le pop corn, les raisins et les guimauves.

Aliments dangereux : ne mangez pas les pépins des pommes.

PosiNote / Shutterstock

Pomme

Un pépin de pomme semble si inoffensif. Pourtant, il contient du cyanure, une substance qui empêche le sang de recevoir de l’oxygène ce qui peut conduire à l’asphyxie. Donc, il y a un risque potentiel réel. Toutefois, pour qu’un humain soit incommodé, il faudrait qu’il mange environ 20 pommes entières de suite et mastiquer ou hacher chaque pépin pour que le cyanure soit complètement libéré.

Aliments dangereux : les feuilles de rhubarbe, consommée en grande quantité, peuvent être toxique.

atalia bulatova / Shutterstock

Rhubarbe

Si les tartes à la rhubarbe sont vos préférées, vous pouvez continuer à en manger sans problème. Ce ne sont pas les tiges avec lesquelles on prépare les purées et les tartes qui sont dangereuses, mais bien les feuilles. Qu’elles soient cuites ou crues, les feuilles de rhubarbe consommées en grandes quantités peuvent vous intoxiquer comme le rapporte le Système canadien d’information sur la biodiversité. Les symptômes d’une intoxication à l’oxalate, la toxine responsable retrouvée dans la rhubarbe, sont des douleurs abdominales, des sensations de brûlure dans la bouche et la gorge, des nausées, des vomissements, etc.

https://www.selection.ca/

Hitler est bien mort en 1945 selon l’examen de ses dents


Vous connaissez une des théories du complot qu’Hitler ne serait pas mort et qu’il aurait fui en Argentine, avec une photo appuyé cette hypothèse ? La science vient de prouver qu’Adolf Hitler sera bien suicidé dans son bunker. La question qui restait sans réponse est la façon dont il s’est tué, cyanure ou avec une arme ? Pourquoi pas les deux ?
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Hitler est bien mort en 1945 selon l’examen de ses dents

 

AFPAdolf Hitler à Paris avec le sculpteur Arno Breker et l’architecte Albert Speer.

Adolf Hitler est bien mort en 1945 à Berlin, sans doute sous l’effet du cyanure mais aussi d’une balle, selon des chercheurs français qui ont examiné des fragments de ses dents et d’un crâne du dictateur conservés à Moscou.

« Les dents sont authentiques, il n’y a aucun doute possible. Notre étude prouve bien que Hitler est mort en 1945 », a déclaré à l’AFP le professeur Philippe Charlier. L’étude qu’il cosigne avec quatre autres chercheurs a été publiée vendredi dans la revue scientifique European Journal of Internal Medicine.

L’analyse des prélèvements effectués sur la mauvaise dentition d’Hitler et ses nombreuses prothèses montre que les dépôts blancs sont bien du tartre, et qu’il n’y a pas de traces de fibres carnées (le dictateur était végétarien), selon la même source.

Avec cette découverte, dont avait fait état fin mars un documentaire de la chaîne de télévision France 2, « on peut arrêter toutes les théories conspirationnistes et survivantistes sur Hitler. Il n’a pas fui en Argentine dans un sous-marin, il n’est pas dans une base cachée en Antarctique ou sur la face cachée de la Lune », ironise Philippe Charlier.

En mars et juillet 2017, les services secrets (FSB)  et les archives d’État russes ont autorisé l’équipe de chercheurs à examiner des ossements du dictateur, une première depuis 1946, selon le scientifique.

L’équipe française a pu étudier le fragment de crâne présenté comme étant celui du Führer, qui présente un orifice à gauche vraisemblablement causé par le passage d’une balle. Mais les scientifiques n’ont pas été autorisés à effectuer des prélèvements sur ce fragment.

En l’état, sa morphologie est « totalement comparable » à des radiographies du crâne d’Hitler qui datent d’un an avant sa mort, affirme le scientifique.

Si cette étude conforte la version généralement admise d’une mort d’Hitler le 30 avril 1945 dans son bunker berlinois, avec sa compagne Eva Braun, elle apporte de nouveaux éléments sur les causes de la mort, selon Philippe Charlier.

« On ne savait pas très bien s’il avait utilisé une ampoule de cyanure pour se suicider ou s’il s’était tiré une balle dans la tête. C’est vraisemblablement les deux », affirme-t-il.

L’examen de la dentition n’a pas permis de relever la présence de poudre, ce qui exclut un tir de revolver dans la bouche, et fait plutôt penser à un tir dans le cou ou dans la tempe. Parallèlement, des dépôts bleuâtres observés sur les prothèses peuvent « vraisemblablement » être liés à une « réaction chimique entre le cyanure et le métal des prothèses », selon le chercheur.

Le docteur Charlier, spécialiste d’anthropologie médico-légale, est notamment à l’origine de l’authentification du cœur de Richard Cœur de Lion, de Saint Louis et de celle (contestée) de la tête momifiée du roi de France Henri IV.

http://journalmetro.com

Le Saviez-Vous ► Top 10 des aliments les plus dangereux du monde


Il y a des aliments que nous devrions éviter, car ils comportent de trop risques pour la santé, voir même pour la vie. Une chose que je déplore, un aliment que nous avons en épicerie comme par exemple manioc, devrait avoir un avertissement très visible qu’il est dangereux de consommer cru. Car si comme moi, nous improviser, il risque d’avoir des conséquences malheureuses. Je voulais râper le manioc pour ajouter a ma salade, mais en fin du compte, j’ai laissé tomber et j’ai vu après sur le net que j’aurais fait une belle gaffe
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Top 10 des aliments les plus dangereux du monde

Marie-Céline Jacquier

Journaliste

Du fugu au poulpe vivant en passant par un fromage italien très spécial, ces spécialités culinaires ne sont pas sans danger… Voici dix des aliments les plus dangereux au monde. À consommer à vos risques et périls.

Si vous voyagez, personne ne vous oblige à goûter à certaines spécialités locales qui peuvent s’avérer fatales.

Le fugu ou poisson-globe (Japon)

Le fugu (photo ci-dessus) est un poisson très consommé au Japon mais qui contient un poison violent : la tétrodotoxine, une molécule neurotoxique produite par le foie, qui entraîne une paralysie pouvant aller jusqu’au décès. Le poisson-globe est connu pour se gonfler d’eau quand il se sent menacé. Sa commercialisation est réglementée pour éviter les accidents. D’après The Independant, cinq personnes sont décédées en 2015 en mangeant du foie de fugu.

Un poulpe vivant : le sannakji (Corée du Sud)

Le sannakji est une spécialité de Corée du Sud qui consiste à manger un poulpe encore vivant. Le problème est que les tentacules peuvent continuer à s’agripper, même après la mort de l’animal. Des cas d’étouffements sont possibles : il y aurait ainsi six décès par an.

Un fromage : le casu marzu (Italie)

Le casu marzu (ou « fromage pourri ») est un fromage traditionnel italien, provenant de Sardaigne, dans lequel des larves vivantes servent au processus de maturation du fromage. Le risque est que ces larves ne soient pas détruites par les sucs gastriques et restent dans l’intestin, provoquant douleurs abdominales, nausées et diarrhées.

Les racines de manioc doivent être correctement préparées pour éviter l’intoxication. © An NGuyen, Shutterstock

Les racines de manioc doivent être correctement préparées pour éviter l’intoxication. © An NGuyen, Shutterstock

Le manioc (Amérique du Sud)

La racine de manioc contient de la linamarine, qui, mangée crue, peut libérer du cyanure dans l’intestin. La racine doit donc être correctement cuite pour ne pas présenter de danger. En 2005, 27 enfants sont décédés aux Philippines en mangeant du manioc servi à leur école.

La grenouille taureau ou ouaouaron (Namibie)

La grenouille taureau est une grenouille africaine, plat traditionnel en Namibie, qui contient des molécules toxiques, les jeunes grenouilles étant les plus dangereuses. La toxine conduit à une déficience rénale.

Le ackee est toxique consommé cru et s’il n’est pas mûr. © Craig F Scott, Shutterstock

Le ackee est toxique consommé cru et s’il n’est pas mûr. © Craig F Scott, Shutterstock

Le ackee (Jamaïque)

Le ackee est un fruit emblématique de la Jamaïque qui contient des graines noires toxiques. La molécule toxique est l’hypoglycine, qui provoque des vomissements. En 2011, il y aurait 35 cas d’empoisonnement. Les fruits peuvent être mortels s’ils sont consommés crus et pas suffisamment mûrs.

Un coquillage : les palourdes de sang (Chine)

La palourde Tegillarca granosa vit dans des milieux pauvres en oxygène, ce qui fait qu’elle renferme souvent des virus et des bactéries. Ce coquillage peut ainsi transmettre les agents des hépatites A et E, de la dysenterie et de la typhoïde.

Un poisson fermenté : le fesikh (Égypte)

Le fesikh est un poisson qui a séché au soleil et qui a fermenté longtemps dans le sel. Il est traditionnellement consommé en Égypte lors de la fête de Cham el-Nessim, le jour du printemps. Chaque année, des Égyptiens sont hospitalisés après une intoxication alimentaire. Il existe un risque de botulisme à cause de la mauvaise conservation de ce poisson.

Ne mangez pas les feuilles de rhubarbe ! © photogal, Shutterstock

Ne mangez pas les feuilles de rhubarbe ! © photogal, Shutterstock

Les feuilles de rhubarbe (monde entier)

Les feuilles de rhubarbe contiennent de l’acide oxalique qui est toxique pour les reins où il forme des cristaux. Les symptômes de l’empoisonnement sont des nausées, des diarrhées, des problèmes pour respirer, des douleurs à l’œil, une urine rouge, des brûlures de la bouche et de la gorge.

Le pangium edule (Asie du Sud-Est)

Ce fruit est toxique à cause du cyanure d’hydrogène (HCN) qu’il contient. Il doit être correctement cuit et préparé avant consommation.

http://www.futura-sciences.com

Un Britannique frôle la mort en mâchant des noyaux de cerises


Avaler des noyaux ou des pépins n’est pas dangereux en soi, mais si on manges certains d’entre eux, il y a un risque sérieux d’empoisonnement
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Un Britannique frôle la mort en mâchant des noyaux de cerises

 

Un Britannique frôle la mort en mâchant des noyaux de cerises

gresey/Epictura

par Ambre Amias

Un père de famille a découvert à ses dépends que les noyaux de cerise contiennent une substance toxique qui peut provoquer des symptômes sévères.

Les fruits font partie des petits plaisirs estivaux, en particulier les pêches, les abricots et les cerises. Amateurs de fruits à noyaux, prenez cependant garde à vous, la mésaventure d’un père de famille britannique rappelle qu’ils peuvent se révéler toxiques. Si leur chair est tout à fait inoffensive, il n’en va pas de même pour leur noyau.

Matthew Creme, 28 ans, s’est intoxiqué avec des cerises en conserve, relate The Independent. Par curiosité, le jeune homme aurait décidé de manger les cerises en entier, avec leurs noyaux. Il ne s’est pas contenté de les gober, mais les a en plus mâchés ! Ce qui aurait tout bonnement pu lui coûter la vie.

Précurseur de cyanure

Pris rapidement de maux de tête et de fièvre, il a été pris en charge par les services de secours de Blackpool, et hospitalisé. Il s’est alors avéré que le jeune homme s’était empoisonné.

Les noyaux de cerises contiennent en effet de l’amygdaline, qui une fois ingérée peut se transformer en acide cyanhydrique, toxique pour l’être humain Les cerises ne sont pas les seuls fruits à risque : prunes, pêches, abricots, amandes amères, mais aussi pommes, recèlent de l’amygdaline.

Plus précisément c’est l’amande à l’intérieur des noyaux et pépins qui renferme la molécule toxique. Avaler un noyau n’est donc pas bien grave, mais mieux vaut éviter de le mâcher. Les noyaux des abricots et des pêches pouvant s’ouvrir très facilement il est recommandé d’être vigilant avec les plus jeunes, qui eux aussi par curiosité, pourraient être tenté des machouiller l’amande des fruits. Matthew Creme aurait pour sa part demandé à ce qu’un message de prévention soit ajouté sur les bocaux et conserves de cerises, rapporte Le Dauphiné.

https://www.pourquoidocteur.fr

Le Saviez-Vous ► Top 10 des aliments les plus dangereux du monde


Tout dans la nature n’est pas consommable, alors que d’autres denrées, il faut une attention particulière pour les consommer. Faut-il vraiment risquer de se rendre malade ou pire, en mourir ?
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Top 10 des aliments les plus dangereux du monde

 

Si vous voyagez, personne ne vous oblige à goûter à certaines spécialités locales qui peuvent s’avérer fatales.

Le fugu ou poisson-globe (Japon)

Le fugu  est un poisson très consommé au Japon mais qui contient un poison violent : la tétrodotoxine, une moléculeneurotoxique produite par le foie, qui entraîne une paralysie pouvant aller jusqu’au décès. Le poisson-globe est connu pour se gonfler d’eau quand il se sent menacé. Sa commercialisation est réglementée pour éviter les accidents. D’après The Independant, cinq personnes sont décédées en 2015 en mangeant du foie de fugu.

Un poulpe vivant : le sannakji (Corée du Sud)

Le sannakji est une spécialité de Corée du Sud qui consiste à manger un poulpe encore vivant. Le problème est que les tentacules peuvent continuer à s’agripper, même après la mort de l’animal. Des cas d’étouffements sont possibles : il y aurait ainsi six décès par an.

Un fromage : le casu marzu (Italie)

Le casu marzu (ou « fromage pourri ») est un fromage traditionnel italien, provenant de Sardaigne, dans lequel des larves vivantes servent au processus de maturation du fromage. Le risque est que ces larves ne soient pas détruites par les sucs gastriques et restent dans l’intestin, provoquant douleurs abdominales, nausées et diarrhées.

Le manioc (Amérique du Sud)

Les racines de manioc doivent être correctement préparées pour éviter l’intoxication. © An NGuyen, Shutterstock

La racine de manioc contient de la linamarine, qui, mangée crue, peut libérer du cyanure dans l’intestin. La racine doit donc être correctement cuite pour ne pas présenter de danger. En 2005, 27 enfants sont décédés aux Philippines en mangeant du manioc servi à leur école.

La grenouille taureau ou ouaouaron (Namibie)

La grenouille taureau est une grenouille africaine, plat traditionnel en Namibie, qui contient des molécules toxiques, les jeunes grenouilles étant les plus dangereuses. La toxine conduit à une déficience rénale.

Le ackee (Jamaïque)

Le ackee est toxique consommé cru et s’il n’est pas mûr. © Craig F Scott, Shutterstock

Le ackee est toxique consommé cru et s’il n’est pas mûr. © Craig F Scott, Shutterstock

Le ackee est un fruit emblématique de la Jamaïque qui contient des graines noires toxiques. La molécule toxique est l’hypoglycine, qui provoque des vomissements. En 2011, il y aurait 35 cas d’empoisonnement. Les fruits peuvent être mortels s’ils sont consommés crus et pas suffisamment mûrs.

Un coquillage : les palourdes de sang (Chine)

La palourde Tegillarca granosa vit dans des milieux pauvres en oxygène, ce qui fait qu’elle renferme souvent des virus et des bactéries. Ce coquillage peut ainsi transmettre les agents des hépatites A et E, de la dysenterie et de la typhoïde.

Un poisson fermenté : le fesikh (Égypte)

Le fesikh est un poisson qui a séché au soleil et qui a fermenté longtemps dans le sel. Il est traditionnellement consommé en Égypte lors de la fête de Cham el-Nessim, le jour du printemps. Chaque année, des Égyptiens sont hospitalisés après une intoxication alimentaire. Il existe un risque de botulisme à cause de la mauvaise conservation de ce poisson.

Les feuilles de rhubarbe (monde entier)

Ne mangez pas les feuilles de rhubarbe ! © photogal, Shutterstock

Les feuilles de rhubarbe contiennent de l’acide oxalique qui est toxique pour les reins où il forme des cristaux. Les symptômes de l’empoisonnement sont des nausées, des diarrhées, des problèmes pour respirer, des douleurs à l’œil, une urine rouge, des brûlures de la bouche et de la gorge.

Le pangium edule (Asie du Sud-Est)

Ce fruit est toxique à cause du cyanure d’hydrogène (HCN) qu’il contient. Il doit être correctement cuit et préparé avant consommation.

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Votre aquarium est un désastre écologique


J’adore les aquariums, mais savoir que les poissons exotiques viennent de la mer et non d’élevage comme les poissons d’eau douce, refroidi un peu l’attirance pour ces prisons de verre.
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Votre aquarium est un désastre écologique

 

Poisson rouge | Kai Schreiber via Flickr CC License by

Poisson rouge | Kai Schreiber via Flickr CC License by

Repéré par Annabelle Georgen

Les poissons ne vous disent pas merci.

Il y a ceux «dont le plaisir ultime consiste, assis sur le canapé, à contempler [leur] réservoir d’eau de mer en débouchant une bouteille de vin et en écoutant Les Quatre Saisons de Vivaldi». Ceux qui se passionnent pour la technologie de pointe avec laquelle est équipé leur aquarium, ou encore ceux qui «se réjouissent d’avoir le contrôle sur leur prétendu océan miniature».

Si le journaliste Bernd Brunner se moque ainsi des propriétaires d’aquariums, c’est qu’il est urgent, selon lui, d’abandonner ce hobby qui, sous couvert de célébrer la diversité du monde marin, contribue à sa destruction, comme il l’explique dans l’hebdomadaire Die Zeit.

Pour remplir les aquariums des millions d’amateurs de faune marine que compte la planète, 500 à 600 millions de poissons d’agrément sont pêchés chaque année dans les rivières et les océans du globe, selon l’organisation de recherche environnementale Worldwatch Institute. Rien qu’en Allemagne, 80 millions de poissons nagent aujourd’hui dans un bocal.

Hécatombe

Les collectionneurs de poissons d’eau de mer vivants sont ceux qui causent le plus de dégâts, précise le journaliste:

«Contrairement aux poissons d’eau douce, qui proviennent souvent d’élevages, la plupart des poissons de mer sont issus de zones maritimes dans lesquelles se trouvent des récifs de corail très menacés.»

Ces poissons exotiques sont majoritairement capturés dans les eaux des Philippines, d’Indonésie ou encore d’Australie. Bien que ces poissons représentent une part infime des poissons que l’on trouve dans les aquariums, eu égard aux contraintes techniques et au coût que représente l’entretien d’un aquarium rempli d’eau salée, leur pêche est une hécatombe:

«De nombreux animaux meurent avant d’arriver dans le commerce, entre autres parce que dans certains pays la pêche au poison est encore une réalité. Les conditions de transport sont également insuffisantes. De nombreux poissons meurent à cause du manque de nourriture et du stress.»

Selon le site du mouvement d’alterconsommation Slow Food, cette technique de pêche consiste à répandre du poison dans les zones de pêche, comme du cyanure par exemple:

«La pêche au cyanure par exemple s’étend des récifs décimés et dévastés des Philippines –où on estime que 65 tonnes de cyanure sont déversées chaque année– à des récifs isolés à l’Est de l’Indonésie et d’autres pays de l’ouest du Pacifique.»

Relique kitsch

Les poissons d’eau douce, eux, proviennent majoritairement d’élevages de masse d’Asie du sud-est, ce qui selon Die Zeit ne représente donc pas une alternative satisfaisante d’un point de vue écologique.

Évoquant les débuts de l’aquarium, qui aurait été inventé au XIXe siècle par la naturaliste française Jeanne Villepreux-Power, une des pionnières de la biologie marine, pour observer les spécimens qu’elle étudiait, Die Zeit déplore que ces bocaux soient aujourd’hui «des reliques kitsch du passé, qui nous montrent des animaux emprisonnés dans un environnement factice.» Et appelle donc les propriétaires à se montrer responsables. En d’autres termes: à regarder des documentaires sur le monde marin sur leur écran plat plutôt que de loucher sur de pauvres poissons arrachés à leur biotope tournant mornement autour d’une épave de bateau pirate miniature.

http://www.slate.fr/

Le monde réel est impitoyable avec Nemo et Dory


Un nouveau film de Némo va sortir bientôt dans les salles au Québec, comme tout film à succès, il y a une mode d’avoir un animal comme dans le film. Malheureusement, les gens achètent par cette impulsion sans se poser des questions, savoir s’il vient d’un état sauvage ou par l’élevage. À l’état sauvage, cela nuit à l’environnement par la façon dont il est péché
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Le monde réel est impitoyable avec Nemo et Dory

 

Beaucoup de "Nemo" évoluant dans nos aquariums sont capturés au cyanure, pratique dévastatrice pour l'environnement. © RONALDGRANT/MARY EVANS/SIPA

Beaucoup de « Nemo » évoluant dans nos aquariums sont capturés au cyanure, pratique dévastatrice pour l’environnement. © RONALDGRANT/MARY EVANS/SIPA

Des chercheurs s’alarment des pratiques de capture de certaines espèces de poissons devenus célèbres grâce aux films de Pixar.

CYANURE. Beaucoup de « Nemo » évoluant dans nos aquariums sont capturés au cyanure, pratique dévastatrice pour l’environnement, pointent des chercheurs qui s’alarment d’une hausse des ventes à la faveur du nouveau film de Pixar

« Le monde de Dory« , qui sortira le 22 juin 2016 au cinéma (en Europe ndlr). Après le succès en 2003 du premier opus « Le monde de Nemo« , un million de poissons clowns semblables à son héros avaient été arrachés à leurs récifs coralliens, souligne le biologiste américain Craig Downs dans un rapport publié jeudi 23 juin 2016, veille de sortie de Dory aux Etats-Unis. Or, une des pratiques de pêche les plus courantes, bien qu’illégale, pour les poissons d’aquarium d’eau de mer est la capture au cyanure, en particulier en Asie. Cette substance facilite les opérations car elle étourdit les prises. Mais elle leur est souvent fatale par la suite. En outre, elle blanchit et affaiblit le corail, ajoutant aux effets du réchauffement climatique.

« Cette pêche peut avoir un effet sur la santé et les moyens de subsistance des pêcheurs », précise à l’AFP M. Downs, de l’Haereticus Environmental Laboratory, qui parle d' »une arme de destruction massive ».

Plus de 50% des poissons sont pêchés au cyanure

Selon une étude menée par cet institut avec l’ONG « For the Fishes« , plus de 50% des poissons testés après achat auprès de distributeurs américains, présentaient des marques d’exposition au cyanure. Les chercheurs ont analysé une centaine de spécimens. Chacun a été plongé dans de l’eau de mer, puis ses sécrétions analysées dans la foulée. Plus de la moitié ont été contrôlés positifs. Le chirurgien bleu (l’espèce de Dory, le célèbre poisson amnésique qui figurait déjà dans « Nemo« ) en contenait un taux particulièrement élevé. Plus touchée encore, la demoiselle bleu-vert, au premier rang des espèces commercialisées dans le monde. Un poisson magnifique mais très dur à attraper.

Une étude doit être menée en Europe en 2017, dont « les conclusions seront sans doute similaires », estime M. Downs: « les poissons viennent des mêmes endroits. Les petits pêcheurs en Indonésie ou aux Philippines les apportent aux marchands, et puis il y a enchères par internet. C’est pareil que cela parte en Allemagne, en France ou aux Etats-Unis ».

« Dory doit rester en vie et dans son milieu naturel »

DISNEY VS RÉALITÉ. UE, Etats-Unis, Chine et Japon sont les principaux consommateurs de poissons et coraux d’ornement dans le monde.

« La plupart des gens n’ont aucune idée des pratiques inhumaines et destructrices auxquelles sont exposés les poissons populaires des aquariums, tels que le chirurgien bleu », note Rene Umberger, de « For the Fishes ». « Nous leur demandons de ne pas acheter de poissons capturés à l’état sauvage. Dory doit rester en vie, dans son milieu naturel ».

 L’acquéreur d’une « Dory » (vendue plusieurs dizaines d’euros pièce) risque aussi de voir son poisson mourir. Quand les animaux sont pêchés par cette méthode,

« ils meurent pratiquement tout le temps » les semaines suivantes, relève Pierre Gilles, expert à l’Institut océanographique de Monaco, institution qui a elle-même été confrontée à ce problème. « La solution est d’exiger la qualité », dit-il. « Il faut poser des questions, demander des preuves au fournisseur ou acheter des produits nés en captivité. On élève de plus en plus de poissons marins, y compris ceux qu’on n’arrivait pas à reproduire il y a dix ans, comme le poisson ange ou le mérou de Grace Kelly ».

 Le succès du poisson clown (« Nemo ») a ainsi favorisé l’essor des élevages. Ce qui n’est pas encore le cas pour les « Dory ».

« Ces animaux sont populaires, et avec ce film, les gens vont se poser la question d’en acheter. On a vu l’impact de Nemo ! », poursuit M. Gilles, qui met en garde contre « l’effet de mode ». « Le hobby de l’aquariophilie, c’est bien, mais cela suppose de se former : commencer petit, appartenir à un club, et ne pas hésiter à se renseigner auprès des aquariums publics comme le nôtre ».

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11 éléphants empoisonnés volontairement au Zimbabwe pour 14 morts au total


A part les 3 éléphants qui ont été empoissonnés par des déchets toxiques (causé par l’homme), les autres ont été tués encore pour une raison stupide de braconnage pour l’ivoire. Que feront-ils quand ils auront réussi a tout éliminer les animaux convoités ?
Nuage

 

11 éléphants empoisonnés volontairement au Zimbabwe pour 14 morts au total

 

Au moins 14 éléphants sont mort au parc national de Hwange, au Zimbabwe. © CHINE NOUVELLE/SIPA

Au moins 14 éléphants sont mort au parc national de Hwange, au Zimbabwe. © CHINE NOUVELLE/SIPA

C’est plus d’une dizaine d’éléphants qui ont trouvé la mort ces dernières semaines au Zimbabwe.

BRACONNAGE. Au moins quatorze éléphants sont morts empoisonnés au Zimbabwe ces dernières semaines, ont indiqué les autorités des parcs nationaux mercredi 7 octobre 2015, qui soupçonnent des actes de braconnage dans onze cas.

« Onze éléphants sont morts à la suite d’un empoisonnement chimique dans le parc national de Hwange à ouest du Zimbabwe et dans la réserve de Deka, et trois autres se sont empoisonnés dans une décharge », a annoncé la porte-parole des autorités des parcs naturels duZimbabwe, Carol Washaya, dans un communiqué. 

Cinq des pachydermes « ont été empoisonnés par des braconniers dans le parc de Hwange » et six autres ont été retrouvés morts par une patrouille de rangers, juste en dehors du parc, a-t-elle ajouté.

 De plus, les défenses de certains animaux avaient été coupées, probablement par des braconniers. La police a arrêté cinq hommes suspectés d’être impliqués dans la mort de ces onze animaux. Les trois autres éléphants retrouvés morts ont été empoisonnés au cyanure après avoir consommé des déchets toxiques dans une décharge de la ville de Kariba, selon des tests effectués en laboratoire. Néanmoins, dans ce cas précis l’acte criminel est écarté. Le braconnage est fréquent dans les parcs nationaux zimbabwéens où les éléphants et les rhinocéros représentent les principales cibles. L’an dernier, plus de 100 éléphants avaient été empoisonnés au cyanure pour le braconnage de leur ivoire. Selon la WWF, l’ivoire servirait la sculpture, la bijouterie et d’autres objets d’artisanats. C’est plus de 12.000 pachydermes qui sont tués tous les ans pour répondre à la demande du commerce illégal. D’après les experts cités par Francetv info en février 2015, au bout de la chaîne se trouve les mafias africaines et asiatiques qui utilisent le marché de l’ivoire pour alimenter des organisations criminelles.

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