La vie, une randonnée


Nous avons tous une vie à vivre, bien que nous ayons des ambitions différentes, mais la règle est la même. Prendre le temps pour vivre au jour le jour, il y a plein de petits moments de petits moments qu’il serait dommage de passé à côté
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La vie, une randonnée

 

 

 

La vie c’est comme une randonnée … Rien nesert d’aller le plus vite, le plus haut ou le plus loin …
Si l’on oublie d’apprécier le paysage en chemin.

Inconnu

Le Saviez-Vous ► De quoi meurt-on à travers le monde?


Nous allons tous mourir un jour, que l’on veuille ou non, reste à savoir ce qui provoquera notre mort. Dans le monde, ce n’est pas le requin qui fait le plus de victime, mais des maladies tels que les maladies cardiovasculaires et respiratoires, les cancers etc … Cependant, le nombre de morts pour ses causes peuvent varier selon l’emplacement géographique.
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De quoi meurt-on à travers le monde?

 

Les maladies cardiovasculaires sont responsables de 32,3% des décès dans le monde. | Guillaume Piron via Unsplash

Les maladies cardiovasculaires sont responsables de 32,3% des décès dans le monde. | Guillaume Piron via Unsplash

Repéré par Audrey Renault

Une étude révèle les causes de décès les plus répandues sur la planète, des cancers aux accidents de voiture.

Repéré sur BBC News

Tout le monde meurt un jour. Mais de quoi? Selon une étude portant sur les causes de décès à travers le monde, menée par une équipe de recherche anglaise conduite par Hannah Ritchie et Max Roser, ce sont les maladies cardiovasculaires qui font le plus de victimes avec 17,65 millions de morts par an. Suivent les cancers avec 8,93 millions et les maladies respiratoires avec 3,54 millions de morts. Les accidents de voiture n’arrivent qu’en neuvième position du classement, devancés par les morts des suites d’une diarrhée –près de 1,66 million de personnes chaque année. Le terrorisme et les catastrophes naturelles ferment la marche avec respectivement environ 35.000 et 7.000 morts par an.

Au-delà d’un simple classement, l’étude révèle surtout des disparités géographiques qui reflètent les inégalités sanitaires et économiques. Ainsi, l’épidémie de sida dans les années 1990 impacta massivement les pays subsahariens tels que la Namibie, le Kenya ou le Zimbabwe, l’espérance de vie y passant en moyenne de 62 ans à 50 ans. Dans les pays occidentaux, plus équipés et moins sévèrement touchés, le VIH fit de nombreuses victimes mais n’eut aucune incidence sur l’espérance de vie dont la courbe augmente sans discontinuer depuis les années 1950.

La mortalité infantile en net recul

Ces inégalités se reflètent également du côté de la mortalité infantile, en particulier chez les nouveaux-nés de moins de 28 jours. Si au Japon moins d’un bébé sur mille décède avant l’âge de un mois, dans les pays les plus sinistrés le chiffre bondit à un sur vingt.

Pourtant, à l’échelle mondiale, la mortalité infantile ne cesse de chuter: moins 50% ces dernières décennies. De quoi se réjouir du développement des installations sanitaires à l’international, comme le relèvent les auteurs et autrices de l’étude qui notent que la manière dont nous mourrons va de pair avec l’évolution des pays.

Enfin, l’étude passe aussi en revue des causes moins impactantes de décès, mais non moins intéressantes, comme les morts liées au tabagisme, les décès par exécutions ou ceux causés par des animaux. Une dernière liste qui met d’ailleurs à mal de nombreux clichés puisque le si redouté requin est bon dernier du classement avec quatre morts par an en moyenne, bien loin derrière les 780.000 décès attribués aux moustiques.

http://www.slate.fr

Enrhumé, ce Danois avait une dent à l’intérieur du nez


Un homme du Danemark croyait souffrir d’une congestion nasale chronique, mais la réalité fut tout autre. C’est une dent qui se trouvait dans le nez. Il a du se sentir drôlement soulager de se faire enlever cette dent intranasale.
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Enrhumé, ce Danois avait une dent à l’intérieur du nez

Enrhumé, ce Danois avait une dent à l'intérieur du nez

Au Danemark, est arrivée une anecdote insolite : un homme, qui pensait souffrir de congestion nasale chronique, avait en réalité une dent située à l’intérieur de son nez.

Explications.

Une dent dans le nez

Ce Danois, âgé de 59 ans, pensait souffrir d’un rhume chronique depuis 2 ans. Il avait en effet perdu l’odorat et son nez avait des écoulements purulents fréquents. Quelle ne fut pas sa surprise lorsque le résultat de sa radio est tombé !

Au niveau du cornet inférieur gauche se trouvait une excroissance et pas n’importe laquelle. Lorsque le médecin l’a retirée, il s’est avéré qu’il s’agissait d’une dent. Surprise au département d’oto-rhino-laryngologie de l’hôpital d’Aarhus !

Un phénomène rare du à un traumatisme

Ôtée de la narine du patient à la suite de son opération du nez, cette dent se situait dans sa narine gauche. Ses dimensions était de 13 millimètres sur 6 : on comprend mieux la gêne du quinquagénaire ! Ce phénomène, rare, porte un nom, il s’agit d’une dent intranasale.

Comment ce Danois s’est-il retrouvé avec une dent qui lui pousse dans le nez ? Pour les médecins, il existe une thèse plausible. Ce patient ayant subi diverses fractures au niveau du visage, le traumatisme a provoqué le déplacement de la dent au niveau de la narine.

Néanmoins, « Il est très probable que notre patient ait eu cette dent intranasale pendant la plus grande partie de sa vie, mais que les symptômes ne soient apparus que tardivement » lit-on dans les colonnes de France Soir. 

Une anecdote dont on se souviendra la prochaine fois que l’on sera enrhumé.

Perrine Deurot-Bien

https://www.passeportsante.net/

Il apprend sa mort certaine par vidéo, sa famille s’insurge


La télémédecine est une vidéo avec un vrai médecin, mais il ne peut remplacer une conversation avec le patient et la famille. Cela se passe dans une grande ville des États-Unis et apprendre qu’on va mourir par la télémédecine, manque vraiment d’humanité.
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Il apprend sa mort certaine par vidéo, sa famille s’insurge

Agence France-Presse

SAN FRANCISCO — Un Californien de 78 ans a appris sa mort certaine par un lien vidéo alors qu’il était traité par télémédecine en soins intensifs dans un hôpital de la région de San Francisco, et sa famille s’est insurgée contre une relation déshumanisée et robotisée.

Ernest Quintana a appris qu’il lui restait quelques jours à vivre lundi dernier dans un hôpital de Fremont, dans la baie de San Francisco, lorsqu’un médecin est apparu sur un écran vidéo porté par un robot.

M. Quintana est décédé le lendemain.

«Un docteur robot peut être OK pour certaines situations mais pas pour dire à un homme qu’il va mourir», a tonné une amie de sa famille sur Facebook.

Cette amie a relayé une capture d’écran de la vidéo prise par la petite-fille du patient, Annalisia Wilharm.

Cette dernière se trouvait seule avec son grand-père quand le robot portant l’écran à travers lequel s’exprimait un médecin est entré dans leur chambre pour leur apprendre la nouvelle : le poumon d’Ernest Quintana ne marchait plus et il ne rentrerait pas à la maison.

La petite-fille a filmé la scène pour pouvoir la montrer à sa famille.

«On savait que ça allait arriver et qu’il était très malade, mais on ne peut pas donner des nouvelles de cette façon, un humain aurait dû venir», a-t-elle déclaré lors d’une interview à la chaîne de télévision locale KTVU.

Son grand-père ayant un problème d’audition et ne pouvant pas entendre ce que disait le docteur, sa petite-fille a été obligée de lui répéter ce qui venait de lui être dit.

Le Kaiser Permanente Medical Center de Fremont a réagi dans un communiqué, partagé par les médias américains, où il présente ses condoléances à la famille.

«Le terme « robot » est inexact et imprécis», précise cependant l’établissement. «Cette technologie vidéo privée est une conversation directe avec un médecin.»

«Elle ne remplace pas les conversations continues et en personne avec le patient ou sa famille», ajoute-t-il. «Nous regrettons de ne pas avoir répondu aux attentes du patient et de la famille dans ce cas-là et nous en nous servirons pour voir comment nous pouvons améliorer les expériences des patients par lien vidéo.»

https://www.lavoixdelest.ca/

Le Sénat américain rejette le financement d’urgence du mur à la frontière mexicaine


    Le Sénat américain majoritairement républicain n’a pas suivi Donald Trump pour l’état d’urgence afin de soutirer de l’argent pour construire son mur à la frontière mexicaine. Il faut croire que ce ne sont pas tous les républicains qui suivent les yeux fermer le président des États-Unis.
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    Le Sénat américain rejette le financement d’urgence du mur à la frontière mexicaine

    L'édifice du Capitole, sous les nuages, à l'aube.

    Le Sénat américain, à majorité républicaine, a rejeté lors d’un vote final jeudi le financement d’urgence pour la construction du mur promis par Donald Trump à la frontière mexicaine. Photo: Reuters / Joshua Roberts

Radio-Canada

Le Sénat américain, à majorité républicaine, a rejeté jeudi, lors d’un vote, l’état d’urgence décrété par Donald Trump en février et qui visait à débloquer les fonds nécessaires à la construction d’un mur à la frontière mexicaine.

Le Sénat assène ainsi un cuisant revers au président, qui avait promis, si c’était le cas, de riposter avec son premier veto. « VETO! », a d’ailleurs écrit Donald Trump, en lettres majuscules, peu de temps après sur Twitter, confirmant ses intentions.

« J’ai hâte d’opposer mon veto à la résolution tout juste adoptée, inspirée par les démocrates, qui ouvrirait les frontières tout en augmentant le crime et le trafic de drogues dans notre pays. Je remercie tous les républicains forts qui ont voté pour appuyer la sécurité à la frontière et le mur dont nous avons désespérément besoin! », a-t-il ajouté.

Douze sénateurs républicains ont voté avec l’ensemble des démocrates pour la résolution qui proclame que « l’urgence nationale déclarée par le président le 15 février 2019 […] est par la présente annulée ». Le Sénat a ainsi voté contre l’état d’urgence par 59 voix contre 41.

La résolution avait déjà auparavant été adoptée par la Chambre des représentants, à majorité démocrate. Elle doit cependant recevoir l’approbation du président pour entrer en vigueur.

Depuis des semaines, Donald Trump tentait de convaincre les sénateurs républicains d’appuyer sa déclaration d’urgence, soulignant les dangers d’une immigration non contrôlée et affirmant que les sénateurs en faveur de l’augmentation de la sécurité aux frontières devaient se ranger derrière lui.

Cependant, pour plusieurs sénateurs républicains, ce vote ne se limitait pas à la construction d’un mur à la frontière, mais en était aussi un sur la Constitution elle-même.

De nombreux républicains considéraient en effet qu’en promulguant l’état d’urgence nationale afin de contourner le Congrès, le président avait violé la séparation des pouvoirs, puisque la Constitution accorde au Congrès, et non au président, le contrôle des dépenses publiques.

Cela créait, selon eux, un précédent potentiellement dangereux.

De leur côté, les partisans de Trump faisaient valoir qu’en proclamant l’état d’urgence, le président avait agi uniquement dans les limites de son autorité, en vertu de la Loi sur les urgences nationales, et qu’il prenait ainsi les mesures nécessaires pour régler la crise humanitaire et le trafic de drogue existant à la frontière.

Déclaration de l’état d’urgence en février

En février, l’annonce du président américain était survenue après qu’il eut perdu son bras de fer contre la Chambre des représentants au sujet du financement du gouvernement américain, un affrontement qui avait entraîné une paralysie partielle de l’administration pendant plus d’un mois.

Donald Trump, qui réclamait 5,7 milliards de dollars américains pour la construction de son mur avec le Mexique, a finalement dû se contenter d’une somme moindre, de 1,375 milliard, pour financer la construction de 88,5 km de « nouvelles barrières physiques ».

Selon la Maison-Blanche, la proclamation d’une urgence nationale aurait permis au président d’obtenir 8,1 milliards de dollars pour la construction du mur, à la fois des départements de la Défense, de la Sécurité intérieure et du Trésor.

Avec les informations de Agence France-Presseet Washington Post

https://ici.radio-canada.ca

Un examen de la vue dépisterait l’Alzheimer


Une visite chez l’ophtalmologiste permet certes a vérifier l’état des yeux, mais aussi cela pourrait même servir de dépistage pour la maladie d’Alzheimer.
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Un examen de la vue dépisterait l’Alzheimer

 

SERAFINOMOZZO VIA GETTY IMAGES

La Presse canadienne
Montréal

Un simple examen de la vue pourrait permettre de détecter la maladie d’Alzheimer plus précisément et plus hâtivement que jamais, en seulement quelques minutes.

Des chercheurs de l’université américaine Duke ont eu recours à un système d’angiographie par tomographie en cohérence optique (ATCO) pour cartographier les vaisseaux sanguins qui tapissent l’arrière de l’oeil, à l’intérieur de la rétine. Il s’agit d’une technologie sophistiquée capable de prendre des images en haute résolution de vaisseaux qui sont parfois deux fois plus petits qu’un cheveu.

Les scientifiques ont constaté que ces vaisseaux sanguins formaient un réseau dense chez 133 de leurs quelque 200 participants, ce qui témoignait apparemment d’un cerveau en pleine santé.

Mais chez 39 sujets souffrant de la maladie d’Alzheimer, ce tapis était moins dense et parfois même clairsemé. Cette différence de densité conservait sa pertinence même en tenant compte de facteurs comme l’âge, le sexe et le niveau d’éducation.

L’auteure principale de l’étude, l’ophtalmologue Sharon Fekrat, a expliqué par voie de communiqué que « ces changements dans la densité des vaisseaux sanguins de la rétine reflètent possiblement ce qui se passe dans les petits vaisseaux sanguins du cerveau, parfois même avant qu’on puisse détecter des changements cognitifs ».

L’examen a été capable de différencier les sujets en santé, les sujets souffrant d’un déclin cognitif et les sujets atteints de la maladie d’Alzheimer. De manière très précise, une couche spécifique de la rétine était plus mince chez les patients atteints d’Alzheimer,

Le déclin cognitif est souvent un signe précurseur de l’Alzheimer.

L’ATCO est en mesure de détecter des changements dans les vaisseaux minuscules de la rétine avant qu’un examen plus approfondi du cerveau, par exemple par imagerie par résonnance magnétique, ne détecte une altération de vaisseaux plus importants.

Un dépistage aussi hâtif de la maladie d’Alzheimer, avant que les symptômes ne deviennent évidents, pourrait se révéler utile lors d’essais cliniques portant sur de nouvelles thérapies.

Les conclusions de cette étude sont publiées par le journal médical Ophtalmology Retina.

https://www.lapresse.ca/

Ce vendredi, des jeunes du monde entier prennent la rue pour le climat


Vous vous souvenez de Greta Thunberg, cette jeune adolescente suédoise qui avait émit un message fort à l’ONU à propos des changements climatiques ? Elle continue sa marche pour réveiller les adultes, les dirigeants pour qu’ils prennent leurs responsabilités face aux changements climatiques. Elle est l’instigatrice « grève de l’école pour le climat ». Le 15 mars, cette grève sera mondiale. Il est temps plus que temps de se rendre compte ce que nous laissons à nos enfants et petits enfants et de tenir nos promesses de faire des gestes qui ont vraiment un impact pour leur futur, car pour la plupart d’entre nous, nous ne serons mort.
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Ce vendredi, des jeunes du monde entier prennent la rue pour le climat

 

Greta Thunberg dans une manifestation à Hambourg en Allemagne, le 1er mars

DANIEL REINHARDT/DPA VIA APGreta Thunberg dans une manifestation à Hambourg en Allemagne, le 1er mars dernier.

 

«En 2050 vous serez morts, pas nous» ✊

 

  • Agence France-Presse

« En 2050 vous serez morts, pas nous »: la jeunesse du monde entier est appelée à défiler vendredi pour réclamer aux adultes des actions fortes pour le climat, un test pour une mobilisation inédite inspirée par l’adolescente Greta Thunberg.

Jusqu’à présent, l’appel à la mobilisation hebdomadaire lancé par la militante suédoise, qui brandit seule tous les vendredis depuis l’été sa pancarte « grève de l’école pour le climat » devant le parlement à Stockholm, a été suivi dans quelques pays, notamment en Belgique ou en Allemagne, où les jeunes ont manifesté par milliers.

Mais pour cette « grève mondiale pour l’avenir » du 15 mars, des milliers d’élèves se préparent à quitter leurs salles de classe de Sydney à Paris, de Tokyo à Montréal, de Hong Kong à Kampala.

« Nous faisons grève pour dire à nos gouvernements de faire leurs devoirs et de nous montrer des preuves! », dit l’appel publié sur Facebook.

Des preuves que le monde prend les mesures nécessaires pour limiter le réchauffement à un maximum de +2°C par rapport à l’ère pré-industrielle, comme prévu par l’Accord de Paris.

Pour l’instant, les dirigeants disent simplement qu’ils vont essayer de faire de leur mieux », notait récemment Greta Thunberg. Pas suffisant parce que « notre maison brûle »: « je veux que vous commenciez à paniquer ».

Selon FridaysforFuture, nom du mouvement de cette nouvelle égérie du climat de 16 ans, plus de 1 000 rassemblements sont prévus dans une centaine de pays.

Difficile toutefois de savoir si les jeunes seront plus d’une poignée dans beaucoup de ces villes.

« Ce moment est très important, pas seulement en terme du nombre de jeunes gens qui feront grève, mais pour les conversations que cela va provoquer dans les familles, entre amis, et dans les écoles », commente Karen O’Brien, sociologue de l’université d’Oslo.

« Le test du mouvement ne sera pas la taille de la foule (…) mais dans les actions prises dans la société en réponse à la crise climatique », poursuit-elle.

« Electeurs de demain »

 

En clair, ces jeunes ont-ils une chance de faire bouger les choses?

« Ce sont les électeurs de demain », ils sont regardés « avec intérêt » par les partis politiques et les groupes intérêt, répond Sébastien Treyer, directeur général de l’Institut du développement durable et des relations internationale (IDDRI).

Plusieurs responsables politiques, en Allemagne, au Royaume-Uni ou à Hong Kong, ont bien essayé de renvoyer ces jeunes à leurs études, certains évoquant des conséquences en cas d’école buissonnière.

« Bien sûr, il y en a qui ne nous prennent pas au sérieux, en disant qu’on est jeune et qu’on ne sait pas de quoi on parle », constate Adélaïde Charlier, lycéenne belge de 18 ans.

« Moi je leur dis que justement on s’informe, et en s’informant on a remarqué qu’on était loin de nos buts (…), qu’on est en train de foncer dans le mur », ajoute la jeune fille, estimant toutefois que leur « cri » est « de plus en plus » entendu.

En France, le ministre de l’Education nationale a appelé à des débats sur le climat dans les lycées ce même vendredi.

Un « geste désespéré pour tenter d’étouffer les contestations », a dénoncé le collectif Youth for Climate France.

Plusieurs maires de l’alliance C40 des grandes villes pour le climat, comme Paris et Milan, ont eux apporté leur soutien aux jeunes.

« Ils ont le plus à perdre de l’inaction des gouvernements », a déclaré dans un communiqué le maire de Sydney Clover Moore, se disant « fier d’être solidaire » de leur « combat pour la justice ».

L’ONG 350.org espère elle qu’il y aura « un avant et un après » 15 mars.

« Cette grève mondiale sera un tournant dans l’histoire mondiale, un moment où les adultes apprendront à suivre leurs enfants », estime Nicolas Haeringer.

Cette mobilisation des jeunes s’inscrit aussi dans un mouvement citoyen plus large pour le climat, avec des actions de désobéissance civile ou des recours en justice comme la plainte pour « inaction climatique » qui doit être déposée jeudi à Paris contre l’Etat par quatre ONG soutenues par plus de 2 millions de pétitionnaires.

« Ce qui est important, c’est de voir la conjonction (…), la mobilisation des jeunes, les recours juridiques, les logiques d’évaluation des politiques publiques, les défenseurs de cause comme Greta », commente Sébastien Treyer.

https://quebec.huffingtonpost.ca/