Dans la vie


Il est vrai que nous subissons des influences de toutes sortes. Il se peut aussi que notre enfance n’a pas été parfaite, mais rendue à ce moment, c’est nous qui prenons nos propres décisions.
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Dans la vie

 

Dans la vie on ne fait pas ce que l’on veut mais on est responsable de ce que l’on est.
 
Jean-Paul Sartre

Le Saviez-Vous ► Pourquoi croisons-nous les doigts pour nous porter chance ?


Il y a des gestes anodins qu’on est très loin d’en savoir l’origine. Se croiser les doigts qui sont supposés nous porter chance aurait probablement des origines chrétiennes. Les premiers chrétiens étaient persécutés et ils se croisaient les doigts en formant une croix, signe de reconnaissance entre eux. Il y a aussi l’idée que cela était supposé aussi a repousser l’esprit malin.
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Pourquoi croisons-nous les doigts pour nous porter chance ?

 

George Hodan

George Hodan

par Olivier

“Courage pour ton examen, je croise les doigts pour toi“. On a tous en tête cette phrase dite par quelqu’un qui nous est proche et qui nous souhaite bonne chance pour un évènement, pour un examen, pour quelque chose d’inattendu.

Mais qu’en est-il réellement ? Qu’est-ce qui explique que nous croisons les doigts pour nous porter chance ?

Il y a des origines à ce croisement des doigts, qui ramènent aux premières persécutions subies par les tout premiers chrétiens au début de notre ère. Ceux-ci étaient persécutés et en signe de reconnaissance, ils croisaient les doigts. C’était un moyen pour eux d’établir un signe de reconnaissance dans leur malheur. D’où peut-être le lien actuel avec la chance.

Ainsi, on croise les doigts (l’index et le majeur) avec pour but de former une croix qui renvoie à Jésus et à la crucifixion afin d’invoquer la présence divine du Christ à ses côtés.

Il existe enfin une autre explication : quand une personne voulait exaucer un vœu, elle plaçait son index sous celui d’une autre personne afin que l’intersection des deux doigts forme une croix qui symbolisait l’union. Les personnes qui croisaient leurs doigts souhaitaient établir un point d’intersection qui concentrerait tous les esprits positifs. De fait, ce symbole renvoyait déjà à l’idée de chance et de bonheur. Il est possible que le fait de croiser les doigts renvoie aussi à l’origine de l’expression latine “Vade retro Satanas” qui consiste à prononcer cette phrase en croisant les doigts avec pour but de chasser le diable ou les mauvais esprits.

Croiser les doigts n’est donc pas une expression anodine, elle vient du fond des âges et fait allusion de manière indirecte à toute une part de notre Histoire occidentale.

George Hodan

Sources : l-anecdote, L’express, Omnilogie, Hellocoton – Photo principale : Peter67

https://lesavaistu.fr/

À San Francisco, des riverains réunissent 70.000 dollars pour faire fuir les SDF


C’est pitoyable comment les gens peuvent changer quand les affaires vont bien. Ils peuvent suivre le coût de la vie qui augmente et sont exaspérer de voir ceux qui ne le peuvent pas. Ils ne veulent pas voir des SDF errer dans leurs rues, et ils ne veulent pas voir non plus des maisons pour les aider. Heureusement que d’autres ont décidé de combattre de la même manière pour aider la fondation de foyer pour SDF
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À San Francisco, des riverains réunissent 70.000 dollars pour faire fuir les SDF

 

Un sans-abri dans les rues de San Fransisco en juin 2016 | Josh Edelson / AFP

Un sans-abri dans les rues de San Fransisco en juin 2016 | Josh Edelson / AFP

Barthélemy Dont

Mais leurs voisins ne comptent pas les laisser faire.

San Francisco a bien changé. Ville bohème qui accueillait les artistes et les vagabonds de la côte ouest, son visage s’est transformé après le boom technologique et le développement de la Silicon Valley.

Hôte de l’industrie la plus florissante du pays, l’habitant type est désormais un ingénieur qualifié qui travaille chez Apple ou Facebook. Et avec lui est arrivée une explosion des prix des loyers, qui a causé une crise du logement sans précédent, jetant des milliers de personnes dans la rue.

Pour y remédier, la ville fait son possible pour bâtir des abris et a promis de rendre disponibles 1.000 lits supplémentaires. Un refuge qui abritera deux cents d’entre eux devrait bientôt être construit dans le quartier de l’Embarcadero, sous le pont qui mène à Oakland.

Seulement, ce quartier est l’un des plus en vue de la ville. Il abrite villas et lofts à plusieurs millions d’euros. Les riches riverains et riveraines ont mis en place une cagnotte sur le site gofundme, qui a rapidement atteint les 70.000 euros. Cet argent ne servira pas à financer la construction du foyer mais à attaquer la ville en justice.

La somme est destinée à payer Andrew Zack, un avocat spécialisé dans l’immobilier et plus particulièrement dans la défense des propriétaires. Un homme sympathique puisqu’en 2017, il avait déjà défendu un propriétaire qui avait triplé ses loyers, les passant de 1.900 à 7.600 dollars.

Colère de la maire

Cette campagne a provoqué la colère de la maire de la ville, London Breed. Au San Francisco Chronicle, elle déclare:

«Les habitants veulent que l’on règle les problèmes dans nos rues, (…) mais c’est très frustrant et très decevant qu’à chaque fois que l’on tente de construire un foyer, on nous menace de nous attaquer en justice».

D’autres habitants et habitantes ont quant à eux décidé de les prendre à leur propre jeu. Voyant la somme amassée par ses voisins peu accueillants, William Fitzgerald a lancé lui aussi un gofundme, destiné à aider la Homelessness Foundation à sauver le projet de foyer.

Cette cagnotte est très populaire et a attiré des grands noms de la Silicon Valley, dont le PDG de gofundme, qui a versé 5.000 dollars. Résultat, la somme récoltée, est à l’heure de la rédaction de cet article, de plus de 92.000 dollars. En une journée.

http://www.slate.fr

Les chiens sentent littéralement notre peur… et la partagent


Je crois que la majorité des gens le savait que les chiens savent reconnaître nos émotions. Avec les des tests scientifiques, il n’y a plus aucun doute que les chiens grâce à leur odorat savent quand leur maitre ont peur .. Et je crois personnellement que même les chats en sont capables
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Les chiens sentent littéralement notre peur… et la partagent

 

Photo: iStock / Capuski

Alain Labelle

Les chiens (Canis lupus familiaris) sont capables de percevoir les émotions humaines comme la peur et d’y réagir en interprétant les signaux chimiques que nous dégageons, affirment des scientifiques italiens.

L’étude du biologiste Biagio D’Aniello et de ses collègues de l’Université de Naples laisse donc à penser que des informations émotionnelles peuvent être transmises entre deux espèces par des signaux chimiques, dans ce cas de l’humain au chien.

Le saviez-vous?

Des scientifiques estiment que la domestication du chien date d’au moins 33 000 ans. Elle coïnciderait avec les débuts de l’agriculture et l’apparition de déchets riches en amidon.

Des variations de deux gènes expliquent la capacité des chiens à communiquer et à interagir avec les humains et les différencient ainsi de leurs cousins sauvages, les loups.

Explications

Dans les présents travaux, les chercheurs voulaient au départ établir si les odeurs corporelles humaines produites dans des conditions émotionnelles particulières, comme le bonheur et la peur, véhiculaient des informations détectables par les chiens de compagnie (des labradors et des golden retrievers).

Pour le montrer, l’équipe italienne a demandé à un groupe de participants de regarder des vidéos conçues pour stimuler leurs émotions – peur, bonheur ou neutralité.

Elle a ensuite prélevé des échantillons d’odeurs à leurs aisselles, mais aussi à celles de volontaires qui n’avaient pas visionné les séquences.

L’équipe de recherche a ensuite placé les animaux avec leur propriétaire et avec un étranger dans une pièce dans laquelle avait été installé un diffuseur d’odeurs et où les chiens pouvaient se déplacer librement. Les odeurs ont ensuite été diffusées dans l’espace.

Le comportement et la fréquence cardiaque des bêtes ont été analysés.

Les résultats indiquent que les chiens ont manifesté moins de comportements dirigés vers leur propriétaire et plus vers l’étranger lorsqu’ils étaient en « bonne condition olfactive » associée au bonheur par rapport à l’odeur associée à la peur et à une odeur neutre.

En outre, pour l’odeur associée à la peur, les chiens affichaient plus de comportements liés au stress. Leur fréquence cardiaque comparée à celle relevée pour l’odeur neutre ou l’odeur associée au bonheur était moins rapide que dans les conditions de peur.

De plus, les chiens qui interagissaient pendant la diffusion de l’odeur liée à la peur cherchaient à se faire rassurer par leurs maîtres et avaient moins de contacts sociaux avec l’étranger.

On savait déjà qu’un chien peut ressentir les émotions humaines. En 2014 et 2016, des études européennes et brésiliennes l’avaient montré.

Mais aucune étude n’avait été réalisée spécifiquement sur le recours à l’odorat par les chiens pour y arriver.

Les auteurs de la recherche publiée dans la revue Animal Cognition(Nouvelle fenêtre) (en anglais) expliquent que les chiens ont un système olfactif plus développé que les humains. Il est donc logique, selon eux, qu’ils utilisent cette capacité pour recueillir des informations sur le monde qui les entoure

https://ici.radio-canada.ca/

Peut-on vraiment dépenser son argent comme on veut?


Je n’ai aucun problème avec les gens qui ont des voitures de luxe, ou autre chose qui coûte une fortune. C’est leur argent, ils peuvent faire ce qu’ils veulent. Ce qui est plus choquant par contre, c’est ceux qui se croient mieux que les autres parce qu’ils ont des objets plus chers et plus luxueux. Cependant, ces gens pourraient beaucoup à des organismes d’aide ou encore à la recherche en ayant quelque chose d’utile et plus durable comme l’exemple d’un étui pour le téléphone incrusté de diamants.
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Peut-on vraiment dépenser son argent comme on veut?

 

L'étui de téléphone incrusté de diamants de Drake... (PHOTO TIRÉE DE FACEBOOK)

L’étui de téléphone incrusté de diamants de Drake

PHOTO TIRÉE DE FACEBOOK

OLIVIA LÉVY
La Presse

Le chanteur Drake a dépensé 400 000 $US pour un étui d’iPhone incrusté de diamants. Franck Ribéry, le joueur de soccer vedette du Bayern de Munich, a créé une polémique en exhibant au jour de l’An sur les réseaux sociaux une côte de boeuf, recouverte de feuilles d’or, hors de prix.

 Est-ce indécent? Peut-on vraiment dépenser son argent comme on l’entend?

Et si votre meilleur ami achetait une Porsche flamboyante ou s’offrait un voyage luxueux? Vous le jugeriez? Pourquoi?

«Oui, on peut faire ce qu’on veut avec notre argent, mais il faut vivre avec le jugement des autres et on juge beaucoup, moi le premier, car je suis conseiller financier!», lance Michel-Olivier Marcoux, qui confie qu’il voit beaucoup de gens qui vivent au-dessus de leurs moyens, d’où le jugement sur leurs dépenses.

Il pense aussi que la jalousie ou l’envie teintent parfois les jugements.

Pour l’homme d’affaires et ex-dragon François Lambert, avoir de l’argent est une chose, mais l’exhiber en est une autre.

«Il y a des choses qui ne se font pas, surtout au Québec. Tu ne peux pas flasher avec ton argent, montrer en quelque sorte que tu es meilleur. Manger une côte de boeuf en or, c’est vouloir montrer qu’on est supérieur. C’est ça, le problème, et c’est une erreur de l’exposer sur les réseaux sociaux.»

Hélène Belleau, professeure à l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), estime que l’argent est un révélateur

«Ce qu’on juge, ce sont les choix que nous faisons, car l’argent est derrière tout et il est révélateur de notre mode de vie, de notre façon de la concevoir, de nos valeurs et priorités. Dans notre société, dès qu’une personne sort de la norme, on va la juger et vouloir la remettre dans le droit chemin. Est-ce l’argent qui choque ou le fait de sortir du cadre?», s’interroge-t-elle.

Ce qui choque souvent, ce sont les dépenses extravagantes.

«Dans l’absolu, chacun devrait pouvoir dépenser et investir son argent comme il l’entend», pense Geneviève Krebs, coach et auteure du livre Et si tout me réussissait. «C’est lorsque les comportements viennent heurter la morale que cela pose un problème éthique, dit-elle. Ce n’est pas tant le fait d’avoir beaucoup d’argent qui est montré du doigt, c’est ce qu’on en fait, surtout lorsque les choix frôlent le gaspillage, le non-sens, la provocation. La somme investie est jugée comme « inutile » et « choquante », alors qu’elle pourrait soutenir des causes comme la recherche médicale ou les actions qui oeuvrent pour que tout individu puisse se nourrir à sa faim.»

Pour François Lambert, tout est une question de perception.

«Guy Laliberté qui s’offre un voyage dans l’espace, ça passe, mais ça ne passe plus quand il demande un crédit d’impôt! Il a perdu son capital de sympathie. La limite avec l’argent est toujours très sensible, et pas toujours rationnelle», dit-il.

L’homme d’affaires cite en exemple le fait qu’il possède une Lamborghini.

«Je pourrais aller dans les soirées, la montrer et être le gars au-dessus de ses affaires, mais je préfère m’en servir pour les bonnes causes, notamment pour les enfants parce que c’était mon rêve depuis que je suis tout petit d’avoir une Lamborghini. Ça, honnêtement, les gens n’ont pas de problème quand je m’affiche de cette façon, je le vois bien.»

Le choix de la voiture est un sujet qui touche une corde sensible quand il s’agit de dépenser (ou pas) de l’argent. Et il faut assumer les choix plus flamboyants.

«Il y a tellement de gens qui jugent! Il faut prendre en considération l’image que projettent certaines marques d’automobiles comme Porsche ou Mercedes, souligne le conseiller financier Michel-Olivier Marcoux. Certains veulent se faire remarquer, d’autres veulent rester discrets mais une marque comme Porsche peut avoir une image négative auprès des employés et des clients.»

François Lambert pense qu’au Québec, il existe, à tort, encore cette mentalité de ne pas vouloir acheter une voiture trop luxueuse, surtout quand on est entrepreneur ou chef d’entreprise.

«La raison? Pour que les employés ne demandent pas d’augmentation de salaire! Parce que si le patron s’est acheté une grosse voiture, ils vont penser qu’il roule sur l’or et demanderont une augmentation! C’est ridicule! Les employés devraient être fiers de la réussite du patron, car ils font aussi partie de l’entreprise!»

L’argent est encore tabou, on en parle peu.

«C’est lié à notre passé religieux et à la figure avare de Séraphin qui est très présente», estime Hélène Belleau, auteure de L’amour et l’argent. «Dans un couple, vous savez, beaucoup de gens gèrent séparément leur budget pour éviter que le conjoint ait son mot à dire sur les dépenses de l’autre, parce qu’ils les jugent et n’ont pas les mêmes priorités. Alors pour les dépenses plus extravagantes, certains ne les font pas ou alors les cachent!»

Michel-Olivier Marcoux pense que la relation que nous avons avec l’argent est en train de changer

. «J’ai 29 ans, et avec les gens de mon âge, on parle ouvertement de nos salaires, on est décomplexés. Pour nous, avoir de l’argent, c’est avoir la liberté de pouvoir réaliser nos rêves. On ne voit pas ça de manière négative.»

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Les serial killers hommes et femmes choisissent leurs victimes différemment


Quand on parle de tueur en série, nous avons en mémoire des hommes, alors qu’il y a aussi des femmes qui ont tuer plusieurs personnes. Leurs victimes sont différentes, leurs approches ainsi que leurs raisons de mettre fin à des vies. De plus, les surnoms des femmes sont selon leur personnalité.
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Les serial killers hommes et femmes choisissent leurs victimes différemment

 

Plus de 65% des hommes serial killer harcèlent leurs victimes, contre seulement 3,6% des femmes. | Public Domain Pictures via Pixabay

Plus de 65% des hommes serial killer harcèlent leurs victimes, contre seulement 3,6% des femmes. | Public Domain Pictures via Pixabay

Repéré par Audrey Renault

Repéré sur Daily Mail

Pour les scientifiques, ces différences comportementales pourraient être un héritage de nos ancêtres chasseurs-cueilleurs.

 

Alors que Ted Bundy, célèbre serial killer américain est la star controversée de ce début d’année avec une série documentaire sur Netflix et un biopic bientôt en salle, une équipe du département de psychologie de l’université de Pennsylvanie, aux États-Unis, vient de mettre à jour des différences comportementales entre les serial killers masculins et féminins. Menée sur 55 tueurs en série et 55 tueuses en série, l’étude révèle que les hommes et les femmes ne choisissent pas leurs victimes de la même façon.

Les hommes tendent à traquer leur victime, comme le ferait un chasseur avec sa proie. Ils ciblent généralement de complètes étrangères ou étrangers. Au contraire, les femmes choisissent leurs victimes parmi leur entourage, dans un cercle plus ou moins restreint de connaissances. Les hommes tueurs en série sont ainsi six fois plus enclins à tuer un inconnu. Les femmes, elles, sont deux fois plus disposées à s’en prendre à un visage familier. Autre différence, plus de 65% des hommes ont harcelé, suivi ou épié leurs victimes, contre seulement près de 3,6% des femmes. Un profilage genré qui pourrait aider les enquêteurs et enquêtrices à identifier le ou la coupable, selon Marissa Harrison, professeure de psychology à l’université d’état de Pennsylvanie.


Un héritage évolutionnaire?

Pour les scientifiques, ces différences comportementales pourraient être un héritage de nos ancêtres chasseurs-cueilleurs.

«Historiquement, les hommes chassaient les animaux en tant que prédateurs, alors que les femmes avaient pour tâche de rassembler les ressources avoisinantes, comme les graines et les plantes pour se nourrir, explique Marissa Harrison. En tant que psychologue évolutionnaire, je me demande si des comportements hérités de cette distribution des rôles pourraient influencer la manière dont les hommes et les femmes serial killer choisissent leurs victimes.»

Au-delà des divergences comportementales des serial killers, le genre influe également sur la représentation de leurs crimes dans les médias. Si les hommes reçoivent ainsi souvent des surnoms illustrant leur brutalité comme Jack l’éventreur, le Dévisseur de têtes, le Cannibale de Milwaukee ou le Tueur au bain d’acide, les femmes sont renvoyées à leur genre: Jolly Jane, Tiger Woman, la Demoiselle de la mort… Un traitement médiatique différencié qui influence également la perception des couples de tueurs, scénario où la femme est souvent soupçonnée d’être sous l’emprise de son compagnon, à l’image de Ian Brady et Myra Hindley, Fred et Rosemary West ou, plus récemment, ce couple mexicain, arrêté pour les meurtres de vingt jeunes femmes.

 

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Les éléphants ont un cri d’alarme pour avertir de la présence d’humains !


Les éléphants sont des animaux très intelligents et ont une excellente mémoire. Ils ont aussi une capacité d’adaptation impressionnante pour éviter les menaces. Des éléphants vont même vivre la nuit si cela est plus sécuritaire. Parmi les menaces, l’humain est une de taille. Alors, ils ont créer un son spécifique, comme un grondement spécifique à l’homme et qui sera différent aux danger que représente les abeilles.
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Les éléphants ont un cri d’alarme pour avertir de la présence d’humains !

 

par Clara Zerbib, journaliste animalière

Les éléphants sont réputés pour leur grande intelligence, leur incroyable mémoire et leur formidable capacité d’adaptation.

En effet, ils ont par exemple compris qu’il était désormais plus prudent pour eux de vivre la nuit afin d’échapper aux braconniers. Mais une récente étude a également révélé que ces pachydermes avaient mis au point d’autres moyens pour se protéger des humains…

Un signal d’alarme spécifique pour les humains

Les scientifiques de l’université d’Oxford ont découvert que les éléphants émettaient un son bien particulier lorsqu’ils apercevaient un humain L’objectif ? Avertir leurs congénères d’un éventuel danger afin de leur laisser le temps de fuir !

En effet, les éléphants savent pertinemment que les humains sont l’une de leurs principales menaces. Depuis le temps qu’ils cohabitent avec eux sur la planète, ils ont appris à se méfier de ces êtres qui les poursuivent et qui les tuent sans relâche pour leurs défenses ou simplement parce qu’ils les gênent dans leurs activités.

Par ailleurs, les éléphants sont des animaux sociaux qui vivent en groupe et qui prennent soin de leurs proches. Ils ont pour habitude de vocaliser lorsqu’ils sont heureux, excités ou même effrayés. Mais ils peuvent également émettre des grondements plus graves et inaudibles pour l’oreille humaine. L’intérêt de ces sons de basse fréquence (infrasons) est qu’ils permettent d’alerter discrètement du danger, notamment sur de longues distances.

éléphant

Crédits : David Clode/Unsplash

Les autres cris d’alarme des éléphants

Les humains ne sont pas le seul danger auquel les éléphants ont à faire face dans la nature. Il existe d’autres menaces qui méritent également leur propre signal d’alarme. C’est notamment le cas des abeilles.

En effet, les éléphants sont particulièrement vulnérables aux piqûres d’abeilles, notamment au niveau des yeux. Quant aux bébés éléphants, leur peau n’est pas encore assez épaisse pour les protéger des piqûres. En ce sens, ils peuvent même être tués par un essaim d’abeilles.

Il était donc essentiel que les éléphants créent un signal spécifique permettant d’avertir les autres éléphants de la présence d’abeilles dans les alentours. Généralement, ce cri d’alarme, qui diffère de celui prévu pour les humains, est accompagné de secousses vigoureuses de la tête destinées à chasser les insectes posés au sol.

Les chercheurs ont ainsi pu découvrir que les éléphants avaient non seulement des signaux d’alarme spécifiques à chaque menace, mais qu’en plus ils avaient leur propre langue. Encore mieux, leurs cris pourraient s’apparenter à des mots humains. Ainsi, lorsqu’ils aperçoivent un humain, il est tout à fait possible que la signification de leurs grondements soit : “Humains, fuyez !”.

Source

https://animalaxy.fr/